- 05 mai 2013, 12:23
#1347280
Il y a des années que je fantasme ou pratique seul ou avec des partenaires de passage des pratiques sado masochistes. Cela a toujours fait partie de moi, même si je le cachais à mes conjointes officielles.
Et puis il y a dix ans je suis tombé follement amoureux de celle qui est ma compagne aujourd'hui. Je pensais filer le parfait amour et ne plus jamais revenir à ce qui n'était alors que des pratiques masturbatoires. Mais chassez le naturel ... Il y a trois ans, j'avouais ce côté obscur de mon personnage à ma compagne.
Elle accepta quelques soirées, quelques expériences. Je me mis à rêver dès ce moment à ce qu'elle devienne ma maitresse. Mais bien vite elle me perça à jour. Elle refusa de se livrer plus longtemps à mes petits jeux de pseudo soumis. Femme intelligente, elle m'expliqua qu'il y avait un grosse marge entre mon discours de soumission et les pratiques que je souhaitais. Loin de m'abandonner, je contrôlais. Si tu veux vraiment être mon soumis, il va falloir que tu abandonnes toute prétention et te plies à mes seuls désirs, conclue-t-elle. Ta seule préoccupation doit être mon plaisir.
Et depuis trois ans, ce sujet ne trouve comme seule réponse de sa part que celle là. Elle accepte que je m'amuse seul, parfois me demande de lui raconter ce que je me suis infligé. Ne juge pas, parfois même, m'offre des accessoires ou des sous vêtements féminins, mais jusqu'à ces dernières semaines, malgré quelques petites séances qu'elle m'offrait pour me faire plaisir, elle semblait ne pas être intéressée de devenir une domina.
Pendant cette période j'ai passé beaucoup de temps sur des sites autour de ces thèmes. J'ai découvert la gynarchie, et que mon couple était un couple gynarchique finalement. Cette révélation et d'en discuter avec elle modifia notre relation. Elle assuma sans problème d'être dominante et confirma qu'elle entendait bien que je lui obéisse, même si elle n'avait aucune intention de se transformer en domina de sex-shop et de me torturer ou me faire ramper à ses pieds.
Plus tard je découvrir la question de la chasteté du soumis et de la liberté sexuelle de la maîtresse. Cela me fit beaucoup fantasmer et me fait encore fantasmer. Comme nous parlons souvent et librement, je me confiais encore à elle. Je savais qu'au moins la possibilité offerte que je ne puisse jamais la tromper, lui plairait la sachant très jalouse. Par contre elle me traita de cinglé quant à l'idée qu"elle puisse faire l'amour avec un autre homme. Pour elle pas de sexe possible sans amour et c'est tout. Aussi cet acte d'adultère lui posait un problème moral.
Depuis l'année dernière donc, je suis encagé régulièrement sur des périodes de 10 à 15 jours quand elle est là et systématiquement quand elle est en déplacement professionnel puisqu'elle s'absente régulièrement sur plusieurs jours. Nos relations sexuelles sont plutôt rares, ma compagne n'étant pas à ce moment-là très portée sur le sexe , et elle contrôle mes masturbations. Encagé, elle me fait me branler rapidement le matin à la toilette à peu près une fois par semaine, sinon je suis libre et autorisé à le faire. Aussi elle m'ordonne de ma masturber devant elle quand je parais trop excité et elle me fait parfois le bonheur de me maltraiter le sexe, de me pincer les seins ... pour m'aider à jouir. Je ne manque pas de la remercier et il est vrai que je suis vraiment reconnaissant de son geste.
Pour ma part, je suis le plus heureux des hommes quand elle accepte que je lui embrasse, lèche les fesses et le sexe. Parfois mais trop rarement à mon goût elle accepte de me pisser dans la bouche, ou de lui servir de papier toilette. Ces pratiques se sont installées à ma demande mais elle semble ne pas en être friande et juste me le concéder pour me faire plaisir.
La semaine dernière, elle semblait très déprimée, très triste. Nous primes le temps de parler. Elle m'expliqua qu'elle était très attaché à moi, mais que ce n'était plus comme avant, qu'elle, ce qui lui plaisait surtout dans ses relations avec les hommes, c'était la séduction, de tomber amoureuse ... elle savait bien sûr que cela ne durait jamais, que c'était toujours le début de l'histoire ... Je la rassurais, en lui disant mon grand amour pour elle, je m'engageais à redoubler d'attention, à essayer de la séduire tout le temps. Elle me remercia de ma gentillesse mais me fit comprendre que cela ne suffirait pas et que ce ne serait plus jamais pareil entre nous. Je lui réaffirmais sa liberté sexuelle, mais en ajoutant que comme elle ne pouvait pas me tromper ou avoir du sexe sans amour ... D'ailleurs cela me rassurait finalement. Elle m'avoua que depuis quelques jours elle se sentait comme "en chasse", qu'elle regardait beaucoup les hommes autour d'elle et fantasmait souvent. Je l'encourageais à prendre un amant encore une fois mais sans y croire. Elle haussa les épaules. Je lui redis comment j'entendais transformer notre relation et qu'elle devienne ma maitresse ; elle épanouie et libre, moi chaste et à son service. La discussion en resta là.
Plusieurs jours après, je la surpris en pleine discussion via Face Boock avec un de ses anciens formateurs. Elle avait l'air gênée que je la trouve ainsi, émoustillée qu'elle avait l'air. Je lui demandais ce qu'elle faisait. Elle m'avoua sans détour qu'elle draguait ce type et qu'il se pourrait bien qu'il devienne son premier amant. L'annonce me sidéra; d'un coup nous passions de la théorie au réel sans que je m'y attende. Voyant ma réaction elle me rappela qu' elle en avait le droit et me demanda de le confirmer. La voix blanche je lui redis qu'elle avait le droit d'avoir des amants et allais dans une autre pièce. La nouvelle me faisait mal au ventre. J'étais à la fois très excité à ma grande honte et très inquiet : n'allais-je pas la perdre à ce petit jeu, de sa part cela signifiait-il qu'elle allait me quitter.
Elle me rejoignit quelques minutes après . Elle était très excitée, elle me fit constaté combien elle mouillait. Machinalement je lui proposais de la lécher et elle accepta. Pendant que je la faisais jouir avec ma langue elle m'expliqua qu'elle avait décidé d'avoir une aventure avec ce type et que s'il en était d'accord elle coucherait avec lui rapidement. D'ailleurs, elle envisageait de se rendre chez lui en fin de semaine prochaine. Elle me redemanda si j'étais toujours d'accord. Je lui réaffirmais mon consentement mais aussi ma peur de la perdre. Elle ne tenta même pas de me rassurer et reparti confirmer son premier rendez vous avec ce potentiel amant. Plus tard quand je fus sûr qu'elle dormait je me suis masturbé et ai joui violemment.
Le lendemain matin et depuis je suis au petit soin pour elle, attentif. Nous avons reparlé de son projet. Elle le confirme mais me dit sa volonté de ne pas brader notre vie pour un "sexe friend". Encore une fois elle en parle volontier et s'excite, encore une fois je finis par lui donner du plaisir avec ma bouche.
Depuis nous en reparlons souvent, et de son initiative. Elle ne me cache rien, et nous sommes très excité tous les deux. elle finit par me demander si c'était bien là mon fantasme d'être en cage pendant qu'elle se ferait sauter. Je lui réaffirmais mes craintes, mais aussi ma volonté d'aller jusqu'au bout de mon engagement. Je lui demandais d'être mis en cage dès cet instant afin de stimuler mon attention et mon service à son égard. Du coup elle a fini par prendre en considération la situation privilégier que ma soumission lui offrait : pouvoir avoir des amants sans se cacher, et m'avoir à son service à la maison. elle semble trouver cela plutôt bien. Depuis donc je suis dans ma "birdlocked".
Le rendez vous est pour jeudi prochain, elle se rend chez lui pour deux jours et une nuit. Nous allons aller jusqu'au bout de ce fantasme. Je suis à la fois fébrile, excité et inquiet. Elle aussi, et nous partageons de nouveau, ne serait que notre excitation.
Je ne manquerais pas de vous livrer ici la suite de cette histoire. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, réactions ou conseils, j'en ai besoin.
Et puis il y a dix ans je suis tombé follement amoureux de celle qui est ma compagne aujourd'hui. Je pensais filer le parfait amour et ne plus jamais revenir à ce qui n'était alors que des pratiques masturbatoires. Mais chassez le naturel ... Il y a trois ans, j'avouais ce côté obscur de mon personnage à ma compagne.
Elle accepta quelques soirées, quelques expériences. Je me mis à rêver dès ce moment à ce qu'elle devienne ma maitresse. Mais bien vite elle me perça à jour. Elle refusa de se livrer plus longtemps à mes petits jeux de pseudo soumis. Femme intelligente, elle m'expliqua qu'il y avait un grosse marge entre mon discours de soumission et les pratiques que je souhaitais. Loin de m'abandonner, je contrôlais. Si tu veux vraiment être mon soumis, il va falloir que tu abandonnes toute prétention et te plies à mes seuls désirs, conclue-t-elle. Ta seule préoccupation doit être mon plaisir.
Et depuis trois ans, ce sujet ne trouve comme seule réponse de sa part que celle là. Elle accepte que je m'amuse seul, parfois me demande de lui raconter ce que je me suis infligé. Ne juge pas, parfois même, m'offre des accessoires ou des sous vêtements féminins, mais jusqu'à ces dernières semaines, malgré quelques petites séances qu'elle m'offrait pour me faire plaisir, elle semblait ne pas être intéressée de devenir une domina.
Pendant cette période j'ai passé beaucoup de temps sur des sites autour de ces thèmes. J'ai découvert la gynarchie, et que mon couple était un couple gynarchique finalement. Cette révélation et d'en discuter avec elle modifia notre relation. Elle assuma sans problème d'être dominante et confirma qu'elle entendait bien que je lui obéisse, même si elle n'avait aucune intention de se transformer en domina de sex-shop et de me torturer ou me faire ramper à ses pieds.
Plus tard je découvrir la question de la chasteté du soumis et de la liberté sexuelle de la maîtresse. Cela me fit beaucoup fantasmer et me fait encore fantasmer. Comme nous parlons souvent et librement, je me confiais encore à elle. Je savais qu'au moins la possibilité offerte que je ne puisse jamais la tromper, lui plairait la sachant très jalouse. Par contre elle me traita de cinglé quant à l'idée qu"elle puisse faire l'amour avec un autre homme. Pour elle pas de sexe possible sans amour et c'est tout. Aussi cet acte d'adultère lui posait un problème moral.
Depuis l'année dernière donc, je suis encagé régulièrement sur des périodes de 10 à 15 jours quand elle est là et systématiquement quand elle est en déplacement professionnel puisqu'elle s'absente régulièrement sur plusieurs jours. Nos relations sexuelles sont plutôt rares, ma compagne n'étant pas à ce moment-là très portée sur le sexe , et elle contrôle mes masturbations. Encagé, elle me fait me branler rapidement le matin à la toilette à peu près une fois par semaine, sinon je suis libre et autorisé à le faire. Aussi elle m'ordonne de ma masturber devant elle quand je parais trop excité et elle me fait parfois le bonheur de me maltraiter le sexe, de me pincer les seins ... pour m'aider à jouir. Je ne manque pas de la remercier et il est vrai que je suis vraiment reconnaissant de son geste.
Pour ma part, je suis le plus heureux des hommes quand elle accepte que je lui embrasse, lèche les fesses et le sexe. Parfois mais trop rarement à mon goût elle accepte de me pisser dans la bouche, ou de lui servir de papier toilette. Ces pratiques se sont installées à ma demande mais elle semble ne pas en être friande et juste me le concéder pour me faire plaisir.
La semaine dernière, elle semblait très déprimée, très triste. Nous primes le temps de parler. Elle m'expliqua qu'elle était très attaché à moi, mais que ce n'était plus comme avant, qu'elle, ce qui lui plaisait surtout dans ses relations avec les hommes, c'était la séduction, de tomber amoureuse ... elle savait bien sûr que cela ne durait jamais, que c'était toujours le début de l'histoire ... Je la rassurais, en lui disant mon grand amour pour elle, je m'engageais à redoubler d'attention, à essayer de la séduire tout le temps. Elle me remercia de ma gentillesse mais me fit comprendre que cela ne suffirait pas et que ce ne serait plus jamais pareil entre nous. Je lui réaffirmais sa liberté sexuelle, mais en ajoutant que comme elle ne pouvait pas me tromper ou avoir du sexe sans amour ... D'ailleurs cela me rassurait finalement. Elle m'avoua que depuis quelques jours elle se sentait comme "en chasse", qu'elle regardait beaucoup les hommes autour d'elle et fantasmait souvent. Je l'encourageais à prendre un amant encore une fois mais sans y croire. Elle haussa les épaules. Je lui redis comment j'entendais transformer notre relation et qu'elle devienne ma maitresse ; elle épanouie et libre, moi chaste et à son service. La discussion en resta là.
Plusieurs jours après, je la surpris en pleine discussion via Face Boock avec un de ses anciens formateurs. Elle avait l'air gênée que je la trouve ainsi, émoustillée qu'elle avait l'air. Je lui demandais ce qu'elle faisait. Elle m'avoua sans détour qu'elle draguait ce type et qu'il se pourrait bien qu'il devienne son premier amant. L'annonce me sidéra; d'un coup nous passions de la théorie au réel sans que je m'y attende. Voyant ma réaction elle me rappela qu' elle en avait le droit et me demanda de le confirmer. La voix blanche je lui redis qu'elle avait le droit d'avoir des amants et allais dans une autre pièce. La nouvelle me faisait mal au ventre. J'étais à la fois très excité à ma grande honte et très inquiet : n'allais-je pas la perdre à ce petit jeu, de sa part cela signifiait-il qu'elle allait me quitter.
Elle me rejoignit quelques minutes après . Elle était très excitée, elle me fit constaté combien elle mouillait. Machinalement je lui proposais de la lécher et elle accepta. Pendant que je la faisais jouir avec ma langue elle m'expliqua qu'elle avait décidé d'avoir une aventure avec ce type et que s'il en était d'accord elle coucherait avec lui rapidement. D'ailleurs, elle envisageait de se rendre chez lui en fin de semaine prochaine. Elle me redemanda si j'étais toujours d'accord. Je lui réaffirmais mon consentement mais aussi ma peur de la perdre. Elle ne tenta même pas de me rassurer et reparti confirmer son premier rendez vous avec ce potentiel amant. Plus tard quand je fus sûr qu'elle dormait je me suis masturbé et ai joui violemment.
Le lendemain matin et depuis je suis au petit soin pour elle, attentif. Nous avons reparlé de son projet. Elle le confirme mais me dit sa volonté de ne pas brader notre vie pour un "sexe friend". Encore une fois elle en parle volontier et s'excite, encore une fois je finis par lui donner du plaisir avec ma bouche.
Depuis nous en reparlons souvent, et de son initiative. Elle ne me cache rien, et nous sommes très excité tous les deux. elle finit par me demander si c'était bien là mon fantasme d'être en cage pendant qu'elle se ferait sauter. Je lui réaffirmais mes craintes, mais aussi ma volonté d'aller jusqu'au bout de mon engagement. Je lui demandais d'être mis en cage dès cet instant afin de stimuler mon attention et mon service à son égard. Du coup elle a fini par prendre en considération la situation privilégier que ma soumission lui offrait : pouvoir avoir des amants sans se cacher, et m'avoir à son service à la maison. elle semble trouver cela plutôt bien. Depuis donc je suis dans ma "birdlocked".
Le rendez vous est pour jeudi prochain, elle se rend chez lui pour deux jours et une nuit. Nous allons aller jusqu'au bout de ce fantasme. Je suis à la fois fébrile, excité et inquiet. Elle aussi, et nous partageons de nouveau, ne serait que notre excitation.
Je ne manquerais pas de vous livrer ici la suite de cette histoire. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, réactions ou conseils, j'en ai besoin.