- 08 mai 2013, 14:01
#1348910
Peut-être vous souvenez de mes sujets « Le cocu de la Saint-Sylvestre », « Stivius et Aliae ». Certains d’entre vous avaient eu la gentillesse de me féliciter pour mon style (un peu) et (surtout) pour les photos de Léa, un moment qualifiée de plus belle fille du forum.
Très belle slave brune de 36 ans, Léa est ma maîtresse depuis quatorze ans et ma Maîtresse depuis cinq ou six ans. Elle aime le sexe, c’est aussi simple que ça. Après que nous eussions décidé que je ne divorcerais pas pour Elle, Elle s’est choisi un mari, il y a cinq ans. Ce faisant, Elle est, comme je le disais plus haut, devenue ma Maîtresse avec un grand M, moi, je suis devenu son cocu. Avocat, bel homme, bien pourvu par dame nature, il la baise très bien (« Ecoutons nos belles »), longtemps et fort. Mais hélas de plus en plus rarement.
Vous me direz que j’aurai pu (du ?) en profiter et reprendre ma place d’amant aimé, choyé et premier dans le cœur de ma Dame. Sans doute, mais mon petit sexe et la rapidité avec laquelle je dégaine ne sauraient lui suffire. Plutôt que d’attendre et d’être tôt ou tard victime de son insatisfaction, j’ai pris les devants comme cette histoire, ce journal d’un cocufiage, va le montrer, je l’espère.
J’ai fait la connaissance d’E. qui lira ces lignes et peut-être ajoutera sa partition à la mienne. Scientifique lui, bel homme aussi, à la fois charmant et viril, il m’a tout de suite semblé être l’amant idéal pour Léa (quoique qu’elle ait un goût assez prononcé pour les seniors et qu’E. soit plus jeune qu’elle de quatre ou cinq ans). Il s’est avéré depuis qu’il est lui aussi équipé comme un étalon.
Restait à organiser la rencontre, fortuite bien sûr. Un verre avec E. sur une jolie terrasse parisienne sachant qu’elle devait passer par là. Un ou deux sms, et hop, l’affaire est dans le sac, elle nous rejoint juste pour prendre un verre. Pour que la pièce soit en place, sachez qu’elle ne sait pas ce que je manigance et gobe la fable d’un verre avec un ancien stagiaire.
Amis cocus, c’est le coup de foudre entre eux. Au moins le coup de foudre physique. Elle est vêtue d’un jean et d’une blouse blanche légère. Ce sont les premiers beaux jours. Elle fait la chatte devant lui. Moi qui la connais, je vois bien que ses tétons durcissent un peu, qu’en sirotant son verre, Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre et roule son bassin d’une fesse sur l’autre, manière (Elle me l’a avoué) de sentir les lèvres de sa chatte frotter d’une cuisse l’autre.
Lui, en T shirt moulant, blanc aussi est enjoué et drôle, sexy en levant ses bras bien musclés derrière son cou, comme pour se délacer. Son jean n’est pas assez moulant pour qu’on distingue les contours de sa verge, mais la bosse qu’y fait son service trois pièces est respectable. Je vois le regard de ma belle y glisser à plusieurs reprises, prenant prétexte de regarder l’heure ou de chercher une serviette tombée au sol, pour baisser les yeux et porter le regard sur l’entrejambe d’E.
Manifestement, ils se plaisent, très vite je n’existe plus pour eux. La scène ne dure pas longtemps, mais elle est assez intense. Le flash.
Le lendemain, comme si de rien n’était, je les hook up par mail. Elle me gronde à peine.
Et c’est parti.
Très belle slave brune de 36 ans, Léa est ma maîtresse depuis quatorze ans et ma Maîtresse depuis cinq ou six ans. Elle aime le sexe, c’est aussi simple que ça. Après que nous eussions décidé que je ne divorcerais pas pour Elle, Elle s’est choisi un mari, il y a cinq ans. Ce faisant, Elle est, comme je le disais plus haut, devenue ma Maîtresse avec un grand M, moi, je suis devenu son cocu. Avocat, bel homme, bien pourvu par dame nature, il la baise très bien (« Ecoutons nos belles »), longtemps et fort. Mais hélas de plus en plus rarement.
Vous me direz que j’aurai pu (du ?) en profiter et reprendre ma place d’amant aimé, choyé et premier dans le cœur de ma Dame. Sans doute, mais mon petit sexe et la rapidité avec laquelle je dégaine ne sauraient lui suffire. Plutôt que d’attendre et d’être tôt ou tard victime de son insatisfaction, j’ai pris les devants comme cette histoire, ce journal d’un cocufiage, va le montrer, je l’espère.
J’ai fait la connaissance d’E. qui lira ces lignes et peut-être ajoutera sa partition à la mienne. Scientifique lui, bel homme aussi, à la fois charmant et viril, il m’a tout de suite semblé être l’amant idéal pour Léa (quoique qu’elle ait un goût assez prononcé pour les seniors et qu’E. soit plus jeune qu’elle de quatre ou cinq ans). Il s’est avéré depuis qu’il est lui aussi équipé comme un étalon.
Restait à organiser la rencontre, fortuite bien sûr. Un verre avec E. sur une jolie terrasse parisienne sachant qu’elle devait passer par là. Un ou deux sms, et hop, l’affaire est dans le sac, elle nous rejoint juste pour prendre un verre. Pour que la pièce soit en place, sachez qu’elle ne sait pas ce que je manigance et gobe la fable d’un verre avec un ancien stagiaire.
Amis cocus, c’est le coup de foudre entre eux. Au moins le coup de foudre physique. Elle est vêtue d’un jean et d’une blouse blanche légère. Ce sont les premiers beaux jours. Elle fait la chatte devant lui. Moi qui la connais, je vois bien que ses tétons durcissent un peu, qu’en sirotant son verre, Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre et roule son bassin d’une fesse sur l’autre, manière (Elle me l’a avoué) de sentir les lèvres de sa chatte frotter d’une cuisse l’autre.
Lui, en T shirt moulant, blanc aussi est enjoué et drôle, sexy en levant ses bras bien musclés derrière son cou, comme pour se délacer. Son jean n’est pas assez moulant pour qu’on distingue les contours de sa verge, mais la bosse qu’y fait son service trois pièces est respectable. Je vois le regard de ma belle y glisser à plusieurs reprises, prenant prétexte de regarder l’heure ou de chercher une serviette tombée au sol, pour baisser les yeux et porter le regard sur l’entrejambe d’E.
Manifestement, ils se plaisent, très vite je n’existe plus pour eux. La scène ne dure pas longtemps, mais elle est assez intense. Le flash.
Le lendemain, comme si de rien n’était, je les hook up par mail. Elle me gronde à peine.
Et c’est parti.
fundus a liké