- 14 mai 2013, 23:26
#1352186
l'intervention de nousdu56 est conforme au ressenti de mon épouse.
Elle a aimé le principe de la différence : peau, saveur, approche, sensibilité, contact... Elle ne s'inscrivait pas le moins du monde dans un principe de performance, donc n'a pas été déçue, pas plus qu'elle n'a été enthousiaste, soit !
Ce sont les hommes (moi, sans aucun doute) qui se positionnent en rivaux, associé inévitablement à la notion de "territoire". Un intrus est entré sur "mon" territoire, a "violé" "mon" espace (pas ma femme !!), et c'est difficile/douloureux à accepter (pour moi). Les fixations de certains membres sur les tailles de sexe dans l'autre rubrique du forum sont ancrés sur les mêmes fantasmes dignes des cours d'écoles : celui qui pisse le plus loin... Je sais que révérencieux n'est pas d'accord avec ça (versus Uto) mais il est impossible de déméler ce qui relève du simple fétichisme du symbole phallique, de la réalité anatomique. Ce qui est bien réel c'est la souffrance de certains hommes particulièrement avantagés (témoignage d'un gabonnais) qui ne parveniennnent pas à péréniser leurs relations sentimentales avec des jeunes femmes suite à cette caractéritique malgré les trésors de douceur déployés (contraint et forcé du reste). Toute médaille a son revers.
En revanche, non elle ne se sent pas "souillée", pas plus que je ne le vois comme ça, puisque telle n'est pas son interprétation, même cet amant a été médiocre dans son comportement. Elle ne cherchait pas un gentihomme, ni quelqu'un à aimer. Elle s'était imposée un défit, elle est satisfaite d'y avoir répondu avec succès. Elle se sent mieux pour aborder sa sexualité de façon différente et ensemble désormais. Certes, je lui impose des limites qui ne sont pas forcément conformes à celles qu'elle se fixerait spontanément. Mais nous formons un couple et il est cohérent de respecter les limites de chacun, de trouver un consensus dans lequel chacun se retrouve. J'ai trop souffert (souffre encore) de ce passage en force que j'ai ressenti comme un cruel manque de respect pour moi, et je ne lui pardonnerais pas de réintérer dans ce sens.
Sans être frigide le moins du monde et ayant du goût pour les choses du sexe, elle a néanmoins des difficultés à jouir sans artifice (en fait elle n'y parvient presque jamais, et jamais en se caressant -sauf effort physique intense de sa part- : il lui faut un accessoire - à pile - ou la douche (si elle est seule) !! et je n'ai qu'une seule fois réussit à la faire décoller avec ma bouche et c'était une première pour elle...il y a 14 ans, jamais plus depuis !) mais elle sent que nous progression et espère que nous y arriverons ensembles si Dieu nous prête vie. Elle considére en effet que nous avons tout le temps d'y parvenir (elle est plutôt positive de complexion
).
Venus et mars sont deux planètes bien distinctes, c'est une lapalissade et il est difficile de ne pas transposer ses craintes/fantasmes/désirs/envies... sur l'autre en lui prétant des émotions qui sont à l'opposé de celle qu'elle (je me place du côté mars, on l'aura compris) ressent en définitive. Je suis très coupable régulièrement de chercher dans ce qu'elle me dit ce qu'elle ne me dit justement pas et que je crois -ou veux - déceler, lui attribuant des pensées qu'elle n'a pas et des désirs - ou des peurs- qui ne sont pas les siens, mais les miens !
Maintenant, il faut considérer que le couple est une entité qui doit demeurer instable pour motiver chacun dans la reconquête de l'autre en permanence, l'acquis ne stimulant pas le désir. Et je crois que dans nos couples qui ont tendance à fonctionner sur un mode candauliste dans lesquels les femmes sont souvent "vénérées", elles ressentent un confort affectif qui n'est pas favorable à leur excitation. Elle m'oppose souvent le caractère trop évident de mes sentiments, et que mes compliments perdent en pertinences tant ils sont "prévisibles". Ils ont pour elle un côté galvaudé en définitive. Elle ne se sent pas assez en "danger" pour me désirer tout à plein comme elle le souhaiterait, d'où son envie impérieuse de me voir prisonnier d'autres bras (beaucoup m'envieraient cette liberté
... de principe...je me méfis quand même un peu, elle était si jalouse !). Elle est finalement bien plus candauliste que moi !! L'autre facette c'est, bien sûr, qu'elle est ravie de mes attentions et ne manque pas de me les "repprocher" si elles tardent à venir.... Paradoxes et contradictions sont sans doute indissociables de nos humaines natures et rendent les relations...passionnantes !?

Elle a aimé le principe de la différence : peau, saveur, approche, sensibilité, contact... Elle ne s'inscrivait pas le moins du monde dans un principe de performance, donc n'a pas été déçue, pas plus qu'elle n'a été enthousiaste, soit !
Ce sont les hommes (moi, sans aucun doute) qui se positionnent en rivaux, associé inévitablement à la notion de "territoire". Un intrus est entré sur "mon" territoire, a "violé" "mon" espace (pas ma femme !!), et c'est difficile/douloureux à accepter (pour moi). Les fixations de certains membres sur les tailles de sexe dans l'autre rubrique du forum sont ancrés sur les mêmes fantasmes dignes des cours d'écoles : celui qui pisse le plus loin... Je sais que révérencieux n'est pas d'accord avec ça (versus Uto) mais il est impossible de déméler ce qui relève du simple fétichisme du symbole phallique, de la réalité anatomique. Ce qui est bien réel c'est la souffrance de certains hommes particulièrement avantagés (témoignage d'un gabonnais) qui ne parveniennnent pas à péréniser leurs relations sentimentales avec des jeunes femmes suite à cette caractéritique malgré les trésors de douceur déployés (contraint et forcé du reste). Toute médaille a son revers.
En revanche, non elle ne se sent pas "souillée", pas plus que je ne le vois comme ça, puisque telle n'est pas son interprétation, même cet amant a été médiocre dans son comportement. Elle ne cherchait pas un gentihomme, ni quelqu'un à aimer. Elle s'était imposée un défit, elle est satisfaite d'y avoir répondu avec succès. Elle se sent mieux pour aborder sa sexualité de façon différente et ensemble désormais. Certes, je lui impose des limites qui ne sont pas forcément conformes à celles qu'elle se fixerait spontanément. Mais nous formons un couple et il est cohérent de respecter les limites de chacun, de trouver un consensus dans lequel chacun se retrouve. J'ai trop souffert (souffre encore) de ce passage en force que j'ai ressenti comme un cruel manque de respect pour moi, et je ne lui pardonnerais pas de réintérer dans ce sens.
Sans être frigide le moins du monde et ayant du goût pour les choses du sexe, elle a néanmoins des difficultés à jouir sans artifice (en fait elle n'y parvient presque jamais, et jamais en se caressant -sauf effort physique intense de sa part- : il lui faut un accessoire - à pile - ou la douche (si elle est seule) !! et je n'ai qu'une seule fois réussit à la faire décoller avec ma bouche et c'était une première pour elle...il y a 14 ans, jamais plus depuis !) mais elle sent que nous progression et espère que nous y arriverons ensembles si Dieu nous prête vie. Elle considére en effet que nous avons tout le temps d'y parvenir (elle est plutôt positive de complexion

Venus et mars sont deux planètes bien distinctes, c'est une lapalissade et il est difficile de ne pas transposer ses craintes/fantasmes/désirs/envies... sur l'autre en lui prétant des émotions qui sont à l'opposé de celle qu'elle (je me place du côté mars, on l'aura compris) ressent en définitive. Je suis très coupable régulièrement de chercher dans ce qu'elle me dit ce qu'elle ne me dit justement pas et que je crois -ou veux - déceler, lui attribuant des pensées qu'elle n'a pas et des désirs - ou des peurs- qui ne sont pas les siens, mais les miens !
Maintenant, il faut considérer que le couple est une entité qui doit demeurer instable pour motiver chacun dans la reconquête de l'autre en permanence, l'acquis ne stimulant pas le désir. Et je crois que dans nos couples qui ont tendance à fonctionner sur un mode candauliste dans lesquels les femmes sont souvent "vénérées", elles ressentent un confort affectif qui n'est pas favorable à leur excitation. Elle m'oppose souvent le caractère trop évident de mes sentiments, et que mes compliments perdent en pertinences tant ils sont "prévisibles". Ils ont pour elle un côté galvaudé en définitive. Elle ne se sent pas assez en "danger" pour me désirer tout à plein comme elle le souhaiterait, d'où son envie impérieuse de me voir prisonnier d'autres bras (beaucoup m'envieraient cette liberté


