- 17 sept. 2013, 09:39
#1419734
Bonjour,
Je vais conter avec plaisir notre expérience qui est passée du libertinage au candaulisme.
J'ai soixante deux ans, ma femme quarante deux, elle a un enfant de son premier homme qui va chez son père tous les weekends et les vacances. Après notre rencontre, nous sommes devenus libertins comme beaucoup de couple imaginant un troisième pendant nos rapports. Une condition pour elle : " un black " Nous avons donc fait quelques trios, en boite échangiste ou chez nous, et nous avons rencontré un jeune Ivoirien, trente huit ans actuellement, grand voyageur pour son travail avec des absences prolongées. J'ai lié amitié avec lui,lui même a des sentiments pour ma femme et après deux trios, tout naturellement, leur couple m'a "placardisé". Ma femme me dit qu'elle a besoin d'un homme qui lui amène tant de plaisir, qu'elle est lasse de rencontres éphémères, mais qu'elle m'aime beaucoup pour continuer à vivre avec moi.
Donc, quand nous le recevons, la dernière fois il est resté huit jours, ils flirtent devant moi, nous sortons ensemble, courses, restaurants, amis ( qui se posent des questions) boites. Ils utilisent donc notre chambre pour "dormir" et j'occupe la chambre de l'enfant, ne perdant rien des bruits de leurs ébats puisqu'ils refusent ma présence. Il est viril et ma femme a de nombreux orgasmes bruyants qui m'excitent au plus haut point. En son absence, nous vivons comme un couple normal, j'arrive à la faire jouir en lui parlant de lui pendant nos rapports.
En fait j'aime cette situation, mieux vaut être candauliste que cocu, j'aime les voir descendre le matin avec des cernes sous les yeux, nous discutons tout a fait normalement, comme si j'étais leur invité, je n'ai droit à aucun récit ni allusion à leurs frasques.
Nous avons arrêté nos sorties de libertins, ma femme attendant impatiemment ses futures visites.
Voilà, je reste avec elle et nos rapports sont normaux, j'aime bien son amant qui est intéressant dans sa vie, j'avoue me masturber pendant leurs rapports, un seul regret de ne pouvoir y assister ou même les filmer.