open75 a écrit :Encore une fois, chacun a ses repères qui lui sont propres, c'est très subjectif.
Perso, je pense que le rapport complet avec éjaculation interne sans préservatif représente le summum du cocufiage. Mais cela peut aller sans relation domination/soumission entre le mari et sa femme.
Le fait de réserver certaines pratiques à l'amant marque une relation de soumission du mari. Particulièrement avec un accès à la sodomie qui lui serait refusé, alors qu'il serait autorisé à l'amant. A la différence de l'accouplement normal (vaginal), la sodomie induit une part de soumission de la femme envers l'homme qui la sodomise. C'est pourquoi elle a tendance à la refuser à son mari soumis, alors qu'elle l'accepte d'un amant qu'elle reconnaît comme dominant. Mais à mes yeux cela est un marqueur moins fort du cocufiage que l'éjaculation interne.
Juste mon avis perso à deux balles... 
Ton avis Open75 est d'une extrême pertinence.
Ma femme est d'une nature dominante, et l'un des rarissimes hommes à l'avoir dominée est son ex amant, JJ.
Elle a accepté et fait avec lui des quantités de choses qu'elle n'a jamais fait et qu'elle ne fera jamais avec moi. J'ajoute qu'elle n'a pas la moindre envie de faire avec moi.
Pour ce qui nous concerne, je suis le dominant dans notre couple public. L'extrême supériorité sexuelle de son ex amant explique assurément en grande partie son changement de comportement à mon égard. Elle m'a par ailleurs reproché ma soumission, mon effacement pendant toute sa liaison, alors qu'elle même faisait tout pour accentuer ma soumission sexuelle.
L'éjaculation interne a été un déclencheur très fort pour ma femme, autant certainement que pour moi.
Elle a eut peur d'affronter mon regard pendant des mois. Elle ne m'a pas laissé assister à cette première fois.
Elle m'a fait "partager" en se faisant "nettoyer" à son retour, mais il s'est passé presque 4 mois avant que ne puisse regarder son amant "la remplir", et encore ce fut très difficile pour elle de le faire. Nous sommes d'une génération qui est passé de la liberté à la capote, le sida n'existant pas à l'époque où on s'est rencontrés.. Donc nous faisaons partie des gens qui ont été formatés à l'idée de ne coucher sans capote que "si on aime".
Ma femme a ensuite cherché à minimiser l'effet du sperme...mais j'ai observé que les quelques fois où je l'ai surprise à l'entendre dire à son ex amant "je t'aime"...cela précédait, accompagnait ou suivait une éjaculation de l'intéressé.
L'association ne fait donc aucun doute pour moi.
Pour autant je ne m'explique toujours pas comment j'y trouve un plaisir intellectuel...et physique
(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)