- 01 oct. 2013, 11:15
#1428663
Je me suis souvent interrogé sur les raisons qui m'ont emmené à en arriver à un point si radical avec ma femme (j'ai posté quelques témoignages sur le site). Et il faut reconnaître que dans mon cas, simplement, une constatation s'impose : je me suis marié avec une salope.
Point de déni de ma part dans l'emploi du mot, mais plutôt un jugement fasciné : par salope, j'entends une femme qui aime les choses du sexe sans restriction ni tabou, qui les assume ouvertement et qui, à la longue, se satisfait difficilement de n'avoir qu'un seul partenaire sexuel dans sa vie amoureuse (quitte à faire souffrir son ou ses partenaires).
Or, je sais combien les hommes, pour en être un moi-même, sont "aimantés" par les salopes et qu'à vivre avec une telle femme, il n'y a pas 50 perspectives possibles. Car si une femme est une salope avec son mari, il y a de fortes chances qu'elle le soit avec un autre. Dans ce cas, 2 solutions : soit elle finit par plaquer son mari pour un autre homme, c'est la version conventionnelle. Soit le mari finit par accepter qu'elle ai des relations extra-conjugales. Le degré de souffrance et de plaisir qu'occasionne cette acceptation dessine alors les contours de la nouvelle relation : le candaulisme ou le culckolding. Le partage complice dans un cas, la soumission quasi aveugle dans l'autre.
En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes passés du candaulisme au cuckolding.
Son emprise a été croissante. Son pouvoir érotique lui a attiré naturellement (l'instinct de brousse ?) les mâles les plus virils, les plus séduisants, les "mieux baisant". Aussi me suis-je retrouvé relégué, tout aussi naturellement, dans un arrière-plan assumé de moins bien baisant. Avec les conséquences que l'on sait : moins de relation sexuelle avec elle (je parle ici de pénétration, car nous avons d'autres pratiques sexuelles ensemble), puis plus du tout, port progressif d'une cage, éjaculations limitées, prise en charge du quotidien, extension du domaine de son vice sur mon espace personnel, divulgation décomplexée de mes piètres performances sexuelles à certains membres de notre entourage, etc.
Il me faut convenir que ma fascination pour elle est allée croissante, elle aussi. Et qu'à poursuivre son seul plaisir, j'ai accepté de payer le prix du manque, du désir rarement soulagé et l'humiliation de n'être parfois qu'une ombre, son ombre.
Point de déni de ma part dans l'emploi du mot, mais plutôt un jugement fasciné : par salope, j'entends une femme qui aime les choses du sexe sans restriction ni tabou, qui les assume ouvertement et qui, à la longue, se satisfait difficilement de n'avoir qu'un seul partenaire sexuel dans sa vie amoureuse (quitte à faire souffrir son ou ses partenaires).
Or, je sais combien les hommes, pour en être un moi-même, sont "aimantés" par les salopes et qu'à vivre avec une telle femme, il n'y a pas 50 perspectives possibles. Car si une femme est une salope avec son mari, il y a de fortes chances qu'elle le soit avec un autre. Dans ce cas, 2 solutions : soit elle finit par plaquer son mari pour un autre homme, c'est la version conventionnelle. Soit le mari finit par accepter qu'elle ai des relations extra-conjugales. Le degré de souffrance et de plaisir qu'occasionne cette acceptation dessine alors les contours de la nouvelle relation : le candaulisme ou le culckolding. Le partage complice dans un cas, la soumission quasi aveugle dans l'autre.
En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes passés du candaulisme au cuckolding.
Son emprise a été croissante. Son pouvoir érotique lui a attiré naturellement (l'instinct de brousse ?) les mâles les plus virils, les plus séduisants, les "mieux baisant". Aussi me suis-je retrouvé relégué, tout aussi naturellement, dans un arrière-plan assumé de moins bien baisant. Avec les conséquences que l'on sait : moins de relation sexuelle avec elle (je parle ici de pénétration, car nous avons d'autres pratiques sexuelles ensemble), puis plus du tout, port progressif d'une cage, éjaculations limitées, prise en charge du quotidien, extension du domaine de son vice sur mon espace personnel, divulgation décomplexée de mes piètres performances sexuelles à certains membres de notre entourage, etc.
Il me faut convenir que ma fascination pour elle est allée croissante, elle aussi. Et qu'à poursuivre son seul plaisir, j'ai accepté de payer le prix du manque, du désir rarement soulagé et l'humiliation de n'être parfois qu'une ombre, son ombre.