- 18 oct. 2013, 15:14
#1441837
cela fait 1 mois déjà
je vous prie d’être indulgents avec moi car je vais essayer pour la première fois de vous raconter une de mes expériences libertines vécues avec mon mari et des hommes qui me sont encore inconnus à ce jour.
Mariés depuis 3 ans, nous avons connu notre première expérience libertine il y a deux ans. Nous privilégions et nous préférons surtout les rapports avec un autre homme malgré que mon mari ne soit pas bisexuel. Nous avons pu rencontrés au cours de nos sorties des hommes élégants, charmants, expérimentés, toujours choisis avec minutie par l’homme de ma vie. Il a su découvrir en moi mes penchants sexuels et me faire aimer les rapports fantasmatiques qu’il essaie de mettre en scène à chacune de nos soirées intimes à trois. Il a toujours aimé connaître mes envies, mes fantasmes et les pulsions éprouvées pour tel ou tel homme. Mes penchants ainsi dévoilés, mon mari a découvert entre autres mon envie d’être soumise à la gente masculine, et d’essayer un jour, peut être quand je me sentirais prête à franchir le cap, une soirée à pluralité masculine.
Je reconnais à présent avoir été naïve dans mes propos, je n’aurai jamais pensé qu’un jour il m’arriverait de connaître une telle expérience, ou se mêlent la jouissance, la docilité, la totale délivrance des sens… Nous n’en étions pas à nos premières discussions sur le sujet du libertinage ni à nos premières expériences. Il me rappelait souvent qu’un jour viendrait où je devrais lui donner toute ma confiance et lui obéir sans aucun compromis pour que nous puissions vivre une expérience inédite et peut être unique.
Je reçu un mail un vendredi au travail, me demandant de me tenir prête ce soir à sortir et de faire en sorte d’être la plus élégante et sexy possible. Ce mot doux de mon chéri me laissa penser que nous allions sortir au restaurant et peut être par la suite en club, qui sait ? En rentrant assez tôt, j’ai pu me préparer, m’habiller, me faire belle et attendre l’heure de ce mystérieux rendez-vous. Il est maintenant 19 heures et mon mari arrive et me propose un dîner en ville. J’acquiesce et lui demande si ma tenue lui convient ne sachant pas dans quel endroit nous nous rendions. Il fait un signe de la tête et réponds que ça lui semble parfait même si il n’a pas vu ce qui se cachait dessous. Je lui dis à l’oreille que je porte ma guêpière noire, des bas et un soutien gorge et string assortis. Son sourire me fit comprendre que ça l’enchantait au plus au point.
Nous avons dîné tous les deux, et parlé de tout et de rien. Je sentais une ambiance bizarre, il ne faisait aucune allusion au reste de la soirée, et semblait même rester sur sa réserve comme si il me cachait quelque chose.
Le repas achevé, il me fait comprendre que nous ne rentrerions pas à la maison ce soir, et qu’il avait préféré réserver une chambre d’hôtel. Il me rappela au creux de l’oreille que le moment était venu pour moi de me soumettre à ses désirs si longtemps attendus. Je fus surprise surtout quand il m’a dit que je me souviendrais de cette nuit très longtemps. Je le suivis sans aucune question, j’avais compris que je n’avais plus mot à dire et il faut bien avouer que mon excitation était également grandissante. Nous montâmes les escaliers de l’hôtel, où il me fit passer devant lui pour pouvoir contempler mes jambes je pense qui étaient assez dénudées par cette robe assez courte je dois dire. On pouvait y percevoir le haut de mes bas. Cet hôtel que je ne connaissais pas, ne comportait au dernier étage que deux chambres dont l’une nous était attribuée vraisemblablement.
Arrivé devant la porte de la chambre, il me dit : « les choses sérieuses commencent ma chérie, je te veux comme tu n’as jamais été ». Le trac commença à monter quand il sorti de sa poche un bandeau et me le plaça sur les yeux. Le noir et l’angoisse envahissèrent mon esprit. Que pouvait il y avoir derrière cette porte ? Il ouvra la porte et me fit entrer avec douceur. La porte se referma derrière moi. Il faisait noir mais je sentais quand même une lumière comme tamisée qui éclairait la pièce. Je n’osais pas parler, mon ventre était noué. Il me fit asseoir sur le lit. Je sentis une main inconnue qui se posa sur ma cuisse, cette main était bien plus grande que celle de mon homme. D’ailleurs où était il lui ? Ma jupe se releva et je sentais mes cuisses se dénudées. Une autre main arriva de l’autre coté de moi sans que je ne sente de présence. Il y a-t-il un homme ? Deux peut être ? Mon excitation grandissait de me savoir dans une telle posture, offerte aux yeux et aux mains de probables inconnus. Les caresses se sont fait plus présentes et plus appuyées sur mes cuisses, ma jupe remontée toujours jusqu’au haut de mes cuisses. Ces inquisiteurs avaient sûrement pu profiter de la vue de mes jambes ornées de leur bas. Une voix accompagnée d’un souffle vient me chuchoter à l’oreille que j’allais devoir faire preuve de docilité ce soir et que mon mari m’avait offerte. Cette voix je ne la connaissais pas ma glaça, qui cela pouvait il bien être ? Mes poignets furent attrapés et menottés dans mon dos. J’étais maintenant à la merci de cet ou ces hommes, je ne savais plus.
Ma peur mais aussi mon excitation grandissaient de plus en plus. Je sentis tout à coup quatre mains venir remonter ma jupe. Il semble qu’elle devait les gêner car il me soulevèrent et la firent tomber a mes pieds. Mon haut décolleté fut enlevé aussi en même temps. J’avais compris que deux hommes étaient là. J’étais en guêpière, presque nue, au milieu de nulle part. Désormais je sentais des doigts parcourir mes seins qui durcissaient, d’autres s’afféraient sur mon entre jambes. On me fit me lever et me mettre a genoux sur le lit, tête posée sur l’oreiller et mains toujours attachées. Une autre voix que celle de toute a l’heure y allait de ses commentaires : « elle me semble très prometteuse cette fille, tu as vu ses jambes et ses fesses, elle doit aimer ça, ça se voit, elle est déjà bien humide ». Une autre lui répondit qu’il était sur que j’allais aimer, surtout avec des formes comme les miennes.
« On va lui enlever sont string, voir si le reste est aussi attrayant » un autre répondit. Tant de voix, mais que ce passait il, ces voix inconnues et mon mari que je n’entendais pas. Mon string roula sur mes cuisses, laissant à la vue de ces hommes mes fesses et mes orifices. D’autres commentaires approuvés mon épilation toute fraîche.
Je sentis avec surprise des doigts s’insinuer sur mon intimité, je mouillais toujours plus et les réflexions commençaient à pleuvoir sur le spectacle que j’offrais. Un doigt entra sans difficulté en moi, les va et vient se faisaient de plus en plus persistants, puis deux doigts. Cette position bien qu’inconfortable, m’excitait au plus au point. Un sexe fut pointé devant mes lèvres et la voix de son propriétaire m’ordonna de le sucer avec douceur. Je pris ce sexe en bouche que je sentais grossir encore entre mes lèvres. Il me paraissait énorme en comparaison de celui de mon mari. Je m’efforçais de le sucer avec application, mais ça ne devait pas être assez puisque je reçu une tape sur mes fesses en me disant de m’appliquer plus.
On finit par me détacher. Un deuxième sexe arriva au niveau de mes lèvres. Ne voyant toujours pas ce qui se passait, je compris quand même que les hommes étaient au moins trois. Deux à proximité de mes lèvres et un troisième qui jouait avec mon sexe qui gonflé par le plaisir coulait sans doute. J’alternais d’un membre à l’autre. Ma bouche semblait déformais tant je faisais d’efforts pour les recevoir. Je connaissais bien le plaisir avec deux hommes mais cette situation m’excitait beaucoup plus. Une porte s’ouvrit et j’entendis deux voix assez distinctement. Seraient-ils cinq ? Non mon mari ne m’aurait pas osé m’abandonner à cinq males ?
Et pourtant, les voix se mêlant j’ai bien pu compter cinq hommes qui me voyaient totalement offerte, exhibée comme une véritable « salope ». Ceux que je suçais allaient de leurs commentaires, en disant que ce serait un gâchis de ne pas profiter d’un corps aussi exquis. Ils avaient l’air de se connaître, peut être les connaissais-je aussi ? Je continuais à pomper comme il me l’avait été ordonné, ma tête était guidée en cas de relâche et quelques tapes sur les fesses pouvaient se faire sentir. Cette sensation jusqu’à ce jour inconnue me procurait un intense plaisir. Je poussais mes fesses en arrière pour sentir les doigts plus profondément. Des mains écartaient mes fesses : « Tu as vu le cul de cette fille, elle est bonne non ? » « Tu parles de fille toi moi je dirais plus cette salope qui se donnent à nous sans nous connaître, elle doit aimer ça cette cochonne, regarde elle a la bouche pleine et en redemande ».
Le premier homme a m’avoir mis son sexe en bouche se retira et je le sentis me contourner. Il pointa son sexe et le fit coulisser entre mes petites lèvres. J’avais rarement connu une telle sensation de remplissage. Son sexe devait être assez épais, surtout au niveau du gland. Il entra en moi et alla se caler au fond en un seul coup. J’ai crié comme jamais. « Mais c’est qu’elle aime être remplie cette salope. Vous avez vu en un seul coup de queue elle hurle ! » J’entendais ces paroles qui m’humiliaient et m’excitaient à la fois. « Tu sais ton mari nous avez dit que tu aimais ça mais à ce point. Tu veux savoir ce qu’il nous a dit aussi sur ton compte ? Tu réponds ou quoi ? » je dis d’un ton faible « oui ? ». « Il nous a dit que ton rêve était de se faire baiser par cinq hommes très bien membrés. Il nous a laissé carte blanche pour nous occuper de tes fesses ma chérie. »
Mes yeux toujours dans le noir, je compris que je ne pourrais me soustraire au traitement infligé par ces hommes venu uniquement pour prendre possession de moi. Les hommes se sont remplacés dans ma bouche, un à un, deux à deux, ma chatte à été prise en permanence par des allers et venus de plus en plus rapide. On m’a obligé à m’agenouiller devant eux, à relever les fesses et m’offrir. Je ne pourrais vous dire où mon mari les avez rencontrés mais c’est sur ils avaient été sélectionnés très sévèrement, car ils étaient tous musclés, bien membrés et endurants. J’ai joui à plusieurs reprises, totalement passive et remplie. Les humiliations se sont faits de plus en plus présentes. Un d’entre eux me tirait les cheveux pendant qu’il me prenait en levrette, l’autre me fessait et les autres riaient de ces situations.
Soudain, la voix la plus rauque, dit aux autres qu’il allait s’occuper du plus petit de mes orifices. Il tenta un doigt et vis sûrement un peu ma réticence à recevoir ces membres que je sentais imposants. « Mais c’est qu’elle ne semble pas très à l’aise par là la petite chienne ? Ne se soumettrait elle pas complètement comme nous l’a promis son mari ? Il retenta un doigt humide qu’il avait mis dans ma chatte juste avant et le poussa avec assez de force pour qu’il me pénètre assez profondément. J’étais prise par l’orifice que seul mon mari avait pu visité. Son doigt m’apportait quelques cris étouffés, puis un deuxième le rejoignit, j’étais prise par un homme que je ne connaissais pas et que ne se gênait pas pour me fourrer ses doigts dans mon petit trou assez serré. Je sentais les regards se posaient sur mes fesses et mon visage pour décerner la jouissance que je pouvais éprouver. Je poussais des cris de jouissance, c’était bon de se sentir ainsi prise et soumise. Il s’enleva brusquement et un autre passa derrière. Il m’appuya sur la table, de dos jambes bien écartées, et commença à pointer son gland sur mon petit trou. « Vas y tu peux y aller je l’ai bien dilaté la cochonne, t’as vu elle a aimé, défonce la bien. ». Il glissa son sexe en moi, par un chemin encore trop peu emprunté. J’ai réellement hurlé sur son passage « Mais c’est qu’elle aime ça la salope ? » « Continue, montre lui qui domine ici » Il est alors allé de plus en plus vite, je m’accrochais à la table à pleine main pour limiter les secousses. Je sentais ses couilles frappaient mon clito et ça décuplait mon excitation, je criais mon plaisir à ces inconnus qui me faisaient tant de bien.
D’un coup il se retira, on me fit aller vers le lit. Un homme était déjà allongé et je compris que j’en avais pas fini de ces gaillards. On me fit monter à califourchon sur cet homme et une fois bien calé au fond de moi, je sentis une main frôler mon anus, et une bite s’y insinuer. « On va te remplir ma salope comme tu l’as jamais été. Ton mari ne pourra jamais te faire ce qu’on te fait et tu verras tu en redemenderas comme une salope que tu es ». Ca y est, j’étais prise par mes deux orifices les plus intimes. Ils allaient et venaient sans ménagement. Je sentais ces sexes en moi, qui prenaient toute la place, je criais encore plus fort, j’ai joui une fois, puis deux je crois. Ma bouche fut vite prise par les autres sexes qui s’étaient plantés devant moi. Trois j’avais toujours pensé que c’était trop à sucer, mais pourtant je le faisais, j’alternais entre ma bouche, mes lèvres et ma langue. J’entendis un râle et compris que je ne pourrais pas éviter leurs éjaculations qui ne furent pas longue. Les trois hommes devant moi m’ont littéralement craché leur sperme au visage, entre mes lèvres et m’ont obligé à les lécher jusqu’à la dernière goutte. Je gémissais toujours des assauts de mes deux amants. Le premier qui me sodomisait se retira et éjacula sur mes fesses et sur mon trou béant de son passage, le dernier, sortit de mon sexe tuméfié et se finit de se masturber sur mes fesses lui aussi.
Je n’avais jamais connu de tels orgasmes. J’étais exténuée et haletais encore de toute cette jouissance ininterrompue. Ils se dispersèrent les uns après les autres en complimentant mes qualités de salope soumise, certains disaient qu’ils aimeraient à nouveau rencontrés ma route mais que pour l’instant ce n’était pas au programme rigoureusement présenté par mon mari. Le bandeau toujours posé sur mes yeux, je les entendis sortir de la chambre, et la voix de mon mari de chuchotant dans un calme plus que serein de retirer mon bandeau. Je fus surprise de le voir assis à coté de moi, en caleçon lui aussi, un appareil photo à la main. Il avait sans doute immortalisé ces instants mémorables de ma vie de libertine. Je lui demandais si il avait participé, il me répondit qu’il n’avait pu s’empêcher de souiller ma jolie bouche au moment où les autres l’ont fait également. Je lui ai alors demandé qui étaient ces hommes, il me répondit que je n’avais pas à le savoir et que seul le plaisir avait compté dans cette histoire.
A ce jour, je ne sais toujours pas qui était présent ce jour là, je sais juste qu’ils étaient cinq et que c’était des hommes d’expérience dans ce domaine. Je n’ai pas non plus vu les photos, qui semble t’il, sont bien cachées par mon mari.
Je remercie ceux ou celles qui m’ont lu jusqu’au bout, en espérant que mon vécue vous a plu. Si c’est le cas laissez moi vos commentaires…
je vous prie d’être indulgents avec moi car je vais essayer pour la première fois de vous raconter une de mes expériences libertines vécues avec mon mari et des hommes qui me sont encore inconnus à ce jour.
Mariés depuis 3 ans, nous avons connu notre première expérience libertine il y a deux ans. Nous privilégions et nous préférons surtout les rapports avec un autre homme malgré que mon mari ne soit pas bisexuel. Nous avons pu rencontrés au cours de nos sorties des hommes élégants, charmants, expérimentés, toujours choisis avec minutie par l’homme de ma vie. Il a su découvrir en moi mes penchants sexuels et me faire aimer les rapports fantasmatiques qu’il essaie de mettre en scène à chacune de nos soirées intimes à trois. Il a toujours aimé connaître mes envies, mes fantasmes et les pulsions éprouvées pour tel ou tel homme. Mes penchants ainsi dévoilés, mon mari a découvert entre autres mon envie d’être soumise à la gente masculine, et d’essayer un jour, peut être quand je me sentirais prête à franchir le cap, une soirée à pluralité masculine.
Je reconnais à présent avoir été naïve dans mes propos, je n’aurai jamais pensé qu’un jour il m’arriverait de connaître une telle expérience, ou se mêlent la jouissance, la docilité, la totale délivrance des sens… Nous n’en étions pas à nos premières discussions sur le sujet du libertinage ni à nos premières expériences. Il me rappelait souvent qu’un jour viendrait où je devrais lui donner toute ma confiance et lui obéir sans aucun compromis pour que nous puissions vivre une expérience inédite et peut être unique.
Je reçu un mail un vendredi au travail, me demandant de me tenir prête ce soir à sortir et de faire en sorte d’être la plus élégante et sexy possible. Ce mot doux de mon chéri me laissa penser que nous allions sortir au restaurant et peut être par la suite en club, qui sait ? En rentrant assez tôt, j’ai pu me préparer, m’habiller, me faire belle et attendre l’heure de ce mystérieux rendez-vous. Il est maintenant 19 heures et mon mari arrive et me propose un dîner en ville. J’acquiesce et lui demande si ma tenue lui convient ne sachant pas dans quel endroit nous nous rendions. Il fait un signe de la tête et réponds que ça lui semble parfait même si il n’a pas vu ce qui se cachait dessous. Je lui dis à l’oreille que je porte ma guêpière noire, des bas et un soutien gorge et string assortis. Son sourire me fit comprendre que ça l’enchantait au plus au point.
Nous avons dîné tous les deux, et parlé de tout et de rien. Je sentais une ambiance bizarre, il ne faisait aucune allusion au reste de la soirée, et semblait même rester sur sa réserve comme si il me cachait quelque chose.
Le repas achevé, il me fait comprendre que nous ne rentrerions pas à la maison ce soir, et qu’il avait préféré réserver une chambre d’hôtel. Il me rappela au creux de l’oreille que le moment était venu pour moi de me soumettre à ses désirs si longtemps attendus. Je fus surprise surtout quand il m’a dit que je me souviendrais de cette nuit très longtemps. Je le suivis sans aucune question, j’avais compris que je n’avais plus mot à dire et il faut bien avouer que mon excitation était également grandissante. Nous montâmes les escaliers de l’hôtel, où il me fit passer devant lui pour pouvoir contempler mes jambes je pense qui étaient assez dénudées par cette robe assez courte je dois dire. On pouvait y percevoir le haut de mes bas. Cet hôtel que je ne connaissais pas, ne comportait au dernier étage que deux chambres dont l’une nous était attribuée vraisemblablement.
Arrivé devant la porte de la chambre, il me dit : « les choses sérieuses commencent ma chérie, je te veux comme tu n’as jamais été ». Le trac commença à monter quand il sorti de sa poche un bandeau et me le plaça sur les yeux. Le noir et l’angoisse envahissèrent mon esprit. Que pouvait il y avoir derrière cette porte ? Il ouvra la porte et me fit entrer avec douceur. La porte se referma derrière moi. Il faisait noir mais je sentais quand même une lumière comme tamisée qui éclairait la pièce. Je n’osais pas parler, mon ventre était noué. Il me fit asseoir sur le lit. Je sentis une main inconnue qui se posa sur ma cuisse, cette main était bien plus grande que celle de mon homme. D’ailleurs où était il lui ? Ma jupe se releva et je sentais mes cuisses se dénudées. Une autre main arriva de l’autre coté de moi sans que je ne sente de présence. Il y a-t-il un homme ? Deux peut être ? Mon excitation grandissait de me savoir dans une telle posture, offerte aux yeux et aux mains de probables inconnus. Les caresses se sont fait plus présentes et plus appuyées sur mes cuisses, ma jupe remontée toujours jusqu’au haut de mes cuisses. Ces inquisiteurs avaient sûrement pu profiter de la vue de mes jambes ornées de leur bas. Une voix accompagnée d’un souffle vient me chuchoter à l’oreille que j’allais devoir faire preuve de docilité ce soir et que mon mari m’avait offerte. Cette voix je ne la connaissais pas ma glaça, qui cela pouvait il bien être ? Mes poignets furent attrapés et menottés dans mon dos. J’étais maintenant à la merci de cet ou ces hommes, je ne savais plus.
Ma peur mais aussi mon excitation grandissaient de plus en plus. Je sentis tout à coup quatre mains venir remonter ma jupe. Il semble qu’elle devait les gêner car il me soulevèrent et la firent tomber a mes pieds. Mon haut décolleté fut enlevé aussi en même temps. J’avais compris que deux hommes étaient là. J’étais en guêpière, presque nue, au milieu de nulle part. Désormais je sentais des doigts parcourir mes seins qui durcissaient, d’autres s’afféraient sur mon entre jambes. On me fit me lever et me mettre a genoux sur le lit, tête posée sur l’oreiller et mains toujours attachées. Une autre voix que celle de toute a l’heure y allait de ses commentaires : « elle me semble très prometteuse cette fille, tu as vu ses jambes et ses fesses, elle doit aimer ça, ça se voit, elle est déjà bien humide ». Une autre lui répondit qu’il était sur que j’allais aimer, surtout avec des formes comme les miennes.
« On va lui enlever sont string, voir si le reste est aussi attrayant » un autre répondit. Tant de voix, mais que ce passait il, ces voix inconnues et mon mari que je n’entendais pas. Mon string roula sur mes cuisses, laissant à la vue de ces hommes mes fesses et mes orifices. D’autres commentaires approuvés mon épilation toute fraîche.
Je sentis avec surprise des doigts s’insinuer sur mon intimité, je mouillais toujours plus et les réflexions commençaient à pleuvoir sur le spectacle que j’offrais. Un doigt entra sans difficulté en moi, les va et vient se faisaient de plus en plus persistants, puis deux doigts. Cette position bien qu’inconfortable, m’excitait au plus au point. Un sexe fut pointé devant mes lèvres et la voix de son propriétaire m’ordonna de le sucer avec douceur. Je pris ce sexe en bouche que je sentais grossir encore entre mes lèvres. Il me paraissait énorme en comparaison de celui de mon mari. Je m’efforçais de le sucer avec application, mais ça ne devait pas être assez puisque je reçu une tape sur mes fesses en me disant de m’appliquer plus.
On finit par me détacher. Un deuxième sexe arriva au niveau de mes lèvres. Ne voyant toujours pas ce qui se passait, je compris quand même que les hommes étaient au moins trois. Deux à proximité de mes lèvres et un troisième qui jouait avec mon sexe qui gonflé par le plaisir coulait sans doute. J’alternais d’un membre à l’autre. Ma bouche semblait déformais tant je faisais d’efforts pour les recevoir. Je connaissais bien le plaisir avec deux hommes mais cette situation m’excitait beaucoup plus. Une porte s’ouvrit et j’entendis deux voix assez distinctement. Seraient-ils cinq ? Non mon mari ne m’aurait pas osé m’abandonner à cinq males ?
Et pourtant, les voix se mêlant j’ai bien pu compter cinq hommes qui me voyaient totalement offerte, exhibée comme une véritable « salope ». Ceux que je suçais allaient de leurs commentaires, en disant que ce serait un gâchis de ne pas profiter d’un corps aussi exquis. Ils avaient l’air de se connaître, peut être les connaissais-je aussi ? Je continuais à pomper comme il me l’avait été ordonné, ma tête était guidée en cas de relâche et quelques tapes sur les fesses pouvaient se faire sentir. Cette sensation jusqu’à ce jour inconnue me procurait un intense plaisir. Je poussais mes fesses en arrière pour sentir les doigts plus profondément. Des mains écartaient mes fesses : « Tu as vu le cul de cette fille, elle est bonne non ? » « Tu parles de fille toi moi je dirais plus cette salope qui se donnent à nous sans nous connaître, elle doit aimer ça cette cochonne, regarde elle a la bouche pleine et en redemande ».
Le premier homme a m’avoir mis son sexe en bouche se retira et je le sentis me contourner. Il pointa son sexe et le fit coulisser entre mes petites lèvres. J’avais rarement connu une telle sensation de remplissage. Son sexe devait être assez épais, surtout au niveau du gland. Il entra en moi et alla se caler au fond en un seul coup. J’ai crié comme jamais. « Mais c’est qu’elle aime être remplie cette salope. Vous avez vu en un seul coup de queue elle hurle ! » J’entendais ces paroles qui m’humiliaient et m’excitaient à la fois. « Tu sais ton mari nous avez dit que tu aimais ça mais à ce point. Tu veux savoir ce qu’il nous a dit aussi sur ton compte ? Tu réponds ou quoi ? » je dis d’un ton faible « oui ? ». « Il nous a dit que ton rêve était de se faire baiser par cinq hommes très bien membrés. Il nous a laissé carte blanche pour nous occuper de tes fesses ma chérie. »
Mes yeux toujours dans le noir, je compris que je ne pourrais me soustraire au traitement infligé par ces hommes venu uniquement pour prendre possession de moi. Les hommes se sont remplacés dans ma bouche, un à un, deux à deux, ma chatte à été prise en permanence par des allers et venus de plus en plus rapide. On m’a obligé à m’agenouiller devant eux, à relever les fesses et m’offrir. Je ne pourrais vous dire où mon mari les avez rencontrés mais c’est sur ils avaient été sélectionnés très sévèrement, car ils étaient tous musclés, bien membrés et endurants. J’ai joui à plusieurs reprises, totalement passive et remplie. Les humiliations se sont faits de plus en plus présentes. Un d’entre eux me tirait les cheveux pendant qu’il me prenait en levrette, l’autre me fessait et les autres riaient de ces situations.
Soudain, la voix la plus rauque, dit aux autres qu’il allait s’occuper du plus petit de mes orifices. Il tenta un doigt et vis sûrement un peu ma réticence à recevoir ces membres que je sentais imposants. « Mais c’est qu’elle ne semble pas très à l’aise par là la petite chienne ? Ne se soumettrait elle pas complètement comme nous l’a promis son mari ? Il retenta un doigt humide qu’il avait mis dans ma chatte juste avant et le poussa avec assez de force pour qu’il me pénètre assez profondément. J’étais prise par l’orifice que seul mon mari avait pu visité. Son doigt m’apportait quelques cris étouffés, puis un deuxième le rejoignit, j’étais prise par un homme que je ne connaissais pas et que ne se gênait pas pour me fourrer ses doigts dans mon petit trou assez serré. Je sentais les regards se posaient sur mes fesses et mon visage pour décerner la jouissance que je pouvais éprouver. Je poussais des cris de jouissance, c’était bon de se sentir ainsi prise et soumise. Il s’enleva brusquement et un autre passa derrière. Il m’appuya sur la table, de dos jambes bien écartées, et commença à pointer son gland sur mon petit trou. « Vas y tu peux y aller je l’ai bien dilaté la cochonne, t’as vu elle a aimé, défonce la bien. ». Il glissa son sexe en moi, par un chemin encore trop peu emprunté. J’ai réellement hurlé sur son passage « Mais c’est qu’elle aime ça la salope ? » « Continue, montre lui qui domine ici » Il est alors allé de plus en plus vite, je m’accrochais à la table à pleine main pour limiter les secousses. Je sentais ses couilles frappaient mon clito et ça décuplait mon excitation, je criais mon plaisir à ces inconnus qui me faisaient tant de bien.
D’un coup il se retira, on me fit aller vers le lit. Un homme était déjà allongé et je compris que j’en avais pas fini de ces gaillards. On me fit monter à califourchon sur cet homme et une fois bien calé au fond de moi, je sentis une main frôler mon anus, et une bite s’y insinuer. « On va te remplir ma salope comme tu l’as jamais été. Ton mari ne pourra jamais te faire ce qu’on te fait et tu verras tu en redemenderas comme une salope que tu es ». Ca y est, j’étais prise par mes deux orifices les plus intimes. Ils allaient et venaient sans ménagement. Je sentais ces sexes en moi, qui prenaient toute la place, je criais encore plus fort, j’ai joui une fois, puis deux je crois. Ma bouche fut vite prise par les autres sexes qui s’étaient plantés devant moi. Trois j’avais toujours pensé que c’était trop à sucer, mais pourtant je le faisais, j’alternais entre ma bouche, mes lèvres et ma langue. J’entendis un râle et compris que je ne pourrais pas éviter leurs éjaculations qui ne furent pas longue. Les trois hommes devant moi m’ont littéralement craché leur sperme au visage, entre mes lèvres et m’ont obligé à les lécher jusqu’à la dernière goutte. Je gémissais toujours des assauts de mes deux amants. Le premier qui me sodomisait se retira et éjacula sur mes fesses et sur mon trou béant de son passage, le dernier, sortit de mon sexe tuméfié et se finit de se masturber sur mes fesses lui aussi.
Je n’avais jamais connu de tels orgasmes. J’étais exténuée et haletais encore de toute cette jouissance ininterrompue. Ils se dispersèrent les uns après les autres en complimentant mes qualités de salope soumise, certains disaient qu’ils aimeraient à nouveau rencontrés ma route mais que pour l’instant ce n’était pas au programme rigoureusement présenté par mon mari. Le bandeau toujours posé sur mes yeux, je les entendis sortir de la chambre, et la voix de mon mari de chuchotant dans un calme plus que serein de retirer mon bandeau. Je fus surprise de le voir assis à coté de moi, en caleçon lui aussi, un appareil photo à la main. Il avait sans doute immortalisé ces instants mémorables de ma vie de libertine. Je lui demandais si il avait participé, il me répondit qu’il n’avait pu s’empêcher de souiller ma jolie bouche au moment où les autres l’ont fait également. Je lui ai alors demandé qui étaient ces hommes, il me répondit que je n’avais pas à le savoir et que seul le plaisir avait compté dans cette histoire.
A ce jour, je ne sais toujours pas qui était présent ce jour là, je sais juste qu’ils étaient cinq et que c’était des hommes d’expérience dans ce domaine. Je n’ai pas non plus vu les photos, qui semble t’il, sont bien cachées par mon mari.
Je remercie ceux ou celles qui m’ont lu jusqu’au bout, en espérant que mon vécue vous a plu. Si c’est le cas laissez moi vos commentaires…