- 15 juin 2013, 11:36
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Voici une nouvelle aventure. J'en dédie son récit à une amie, je sais qu'elle aime me lire, et l'histoire ne s'est pas passée très loin de chez elle. Bisou sage sur la joue la belle.
Et si on allait chez Ikéa ?
Cette idée s'est lancée sur un coup de tête. Un couple remonte un ancien post dans lequel un homme propose à un couple de s'exhiber dans un Ikea proche de Liège. Ce n'est pas la porte à côté, mais c'est le plus proche de chez nous. C'est bien connu, chacun a "son" Ikea; celui là, c'est le "nôtre". On ne manque pas d'imaginer ce qu'il peut se passer en secret dans un lieu qu'on connait. L'histoire en reste là, le couple se demande comment ce genre de plan se déroule ... nous aussi en fait.
Coïncidence, sans doute un petit peu forcée par la remontée du post, le jeudi, un autre homme relance l'idée de l'exhibe pour une visite le vendredi. On avait quelque-chose de prévu ce jour là, mais ... et si on en profitait pour aller voir les salles de bain ? Ca m'ennuyait de changer nos plans ... Manon pas du tout. Je tente de repousser notre décision au vendredi matin, mais à tout hasard, je poste un message pour dire qu'éventuellement, peut-être, on ne sait jamais, on risque de venir, la décision sera prise le matin même de la visite, le lendemain donc. Trois réponses viennent coup sur coup. Manon les lit en temps réel comme à son habitude ... je savais que je ne pourrais plus lui refuser d'y aller. Mais un délai de réflexion est un délai de réflexion je précise aux personnes qui nous ont contactées qu'elles recevront un message le lendemain matin pour leur dire si on y va ou non et le cas échéant les informations pour nous retrouver.
Le lendemain matin, je remarque que le couple qui avait initialement remonté le post nous avait contactés aussi pour nous dire qu'ils sont intéressés. C'est donc quatre fois que j'envoie mon message pour donner notre heure d'arrivée et sans trop savoir dans quoi on s'aventurait, je n'ose trop m'avancer sur un scénario, je préviens que ça risque d'être relativement soft.
Et si à Liège on mange les fameux "boulets sauce lapin" ... des lapins on n'en pose pas, toutes les personnes contactées étaient là. Malheureusement l'une d'entre elles ne nous a pas retrouvés dans le magasin. Je vous raconte ...
Pour épicer la situation et garder une certaine spontanéité, j'avais volontairement omis de demander des informations à propos des voyeurs. Tout ce que nous savions d'eux était leur âge mentionné dans leur profil, avec le risque que ce soit n'importe quoi qui ait été écrit lors de l'inscription. Nous allions donc être observés par certaines personnes parmi la foule, mais sans savoir qui. La situation recherchée était réussie. L'impression était étrange déjà en sortant de la voiture, j'avais le sentiment qu'on nous épiait. On entre dans le magasin avec dix minutes de retard sur l'horaire indiqué aux voyeurs; ils avaient été prévenus d'un petit retard éventuel. Sont-ils là ? Quel monde ! On s'attendait à ce que ce soit désert. Nous attendent-ils au rayon des salles de bain ? Non, ils doivent être là, on avait dit qu'on flânerait dans le magasin. Je connais Manon par coeur, les mêmes questions lui taraudent l'esprit. Elle retourne nerveusement un sac à dos, fait brusquement demi-tour dans un rayon et on manque une collision frontale avec un homme. Et si c'était lui ?
On commence la fameuse promenade digne d'un GR qui semble d'habitude interminable où l'on passe son temps à chercher les raccourcis. Là on cherchait plutôt des fauteuils, c'est pratique les fauteuils pour laisser voir le haut des bas. Les voyeurs doivent être là. Cet homme que l'on a failli bousculer à l'entrée en est un, il avance à notre vitesse, consulte des fiches sans les lire, et ses regards se multiplient vers nous. Une autre personne qui joue bien le rôle du client avec son papier en main mais c'en est un aussi.
Ils restent assez distants, ils nous ont pourtant reconnus, mais on n'échange aucun mot, et quand les regards se croisent, ils se fuient presque. Ambiance étrange. Manon essaie les fauteuils ... pas pour savoir s'ils sont confortables ... pour savoir si sa robe remonte assez haut et laisse voir la jarretière de ses bas.
Une pièce vitrée aménagée en salon avec la télé allumée, on va s'y installer. On attend que les autres clients s'éloignent et de n'être à la vue que de nos voyeurs. Manon remonte un petit peu sa robe, croise et décroise les jambes, mais reste timide. Et si ce n'était pas eux ?
On reprend notre marche, on va en avoir le coeur net. Une petite cloison, on la contourne pour être à l'abri des regards des passants, j'embrasse Manon, lui caresse les fesses en remontant sa robe. Notre premier voyeur arrive sur ma gauche. J'observe sa réaction, le spectacle ne lui déplait pas. Je jette un oeil sur la droite pour voir s'il n'y avait pas un autre client "normal", je suis un petit peu surpris parce que je ne reconnais pas immédiatement notre second voyeur. L'avantage d'avoir des voyeurs, c'est qu'ils montent la garde aussi, j'imagine qu'ils me préviendront si quelqu'un arrive, je m'enhardis. Je fais tourner Manon face à eux, je glisse une main sur son pubis dans sa culotte et j'espère éveiller chez nos voyeurs l'envie d'être à ma place. Un doigt s'insinue entre ses lèvres et titille son bouton magique, je sais qu'il est trop tôt pour ça, elle se tortille, physiquement elle apprécie moyennement la caresse elle l'accepte un moment avant de repousser brutalement mon bras.
En échangeant à peine un mot on continue notre cheminement dans le dédale, toujours talonnés par nos voyeurs. Mais où sont les autres ? Notre description était pourtant claire. Une chambre à coucher avec une cloison dans le fond. J'y emmène Manon et entreprends de la peloter.
"Tu as envie qu'ils te touchent ?"
"Oui !"
"Alors demande leur toi-même."
"Ho non, je ne pourrai jamais."
Ils arrivent. J'insiste, moi je tiendrai bon, si elle ne demande pas, elle se contentera de mes mains; elle le sait. Quel délice d'entendre ce murmure sortir de la bouche de ma douce "vous voulez toucher ?" Petite phrase dite tellement timidement qu'elle est suivie d'un "Pa... pardon ?" qui l'oblige à répéter la question plus fort. Vous me croirez ou pas ... ils ont dit oui, et en plus ils l'ont fait. Une première main se pose sur ses fesses. Une simple caresse, mais tout son corps tressaille en réagissant à cette sensation qui ne peut être procurée que par une main illégitime. Je tente de faire écran pour ne pas choquer la bonne du curé. L'endroit n'était toujours pas très discret, on reprend notre randonnée.
Une autre chambre dans laquelle une salle d'eau est aménagée au fond, la "douche" en retrait. L'idéal quoi. On rentre dans la partie douche, les voyeurs sur le côté de la cloison peuvent voir Manon et surveiller en même temps une éventuelle venue. J'impose à Manon de s'installer sur le tabouret, d'écarter sa culotte, de dégager son clito et de se masturber devant nous. Je l'aide un petit peu en enfonçant un doigt dans sa chatte, un deuxième, puis les deux alternativement dans son cul et dans sa chatte. "Ouvre les yeux !". J'active mes mouvements, elle continue de se branler. "Ouvre les yeux, regarde-les !" Je l'oblige à se masturber en regardant les deux hommes. Je vois son regard coquin, je devine les idées qui passent dans son esprit. Mais mon jeu préféré, c'est de la garder sur le fil, je lui interdis de jouir.
"Tu veux d'autres doigts ?"
"Oui !"
Toujours la même condition. "Alors demande leur toi-même." Je passe derrière les deux hommes et vais monter la garde. Elle est assise sur son tabouret, la culotte écartée, la chatte offerte et, quel paradoxe, c'est tout timidement qu'elle demande s'ils veulent venir. Ils sont un petit peu timides aussi, il est vrai que j'avais écrit dans le mail que c'était uniquement pour le plaisir des yeux et que si ça devait aller plus loin, c'était uniquement sur invitation de Manon ou de moi. L'invitation de Manon était claire, mais ils me redemandent l'autorisation : accordée bien sûr. Leurs mains se dirigent directement vers le sexe de mon épouse. Un ou deux doigts du premier entrent dans sa chatte, le pouce de l'autre titille son clito. Je dois rappeler à Manon de ne pas gémir trop fort, j'entends les gens juste de l'autre côté de la cloison dans la chambre à côté. Son plaisir est visible. Réaction assez rare de sa part, mais dont la vision m'a excité, elle empoigne un de ses seins à pleine main. Un désir que le premier voyeur comprend immédiatement et se charge de le faire à sa place. Quelques minutes, et quelques "chut Manon pas si fort" plus tard elle jouit sous leurs doigts. Elle se mord la lèvre comme pour étouffer ses cris. Elle serre les cuisses et repousse leurs mains. Et les mains obéissent. J'en souris en pensant "ma belle si c'était les miennes tu n'en serais pas quitte !"
On sort à quatre de cette salle minuscule. On reprend notre marche en ayant l'air le plus naturel possible. C'est difficile, je dois avoir un sourire béat qui fait trois fois le tour de mon visage. Manon me demande si elle n'est pas toute rouge. Je me rends compte que j'ai oublié de vérifier si sa robe était bien mise, ouf, ça va. Je jette un oeil en arrière et voit que les deux voyeurs sont en train de discuter comme des potes et c'est Manon le point commun de leur nouvelle amitié. On a continué notre cheminement et on arrivait au bout de la première partie du magasin. On n'avait pas trouvé les salles de bains et on fait demi-tour en se disant qu'on avait dû louper le rayon. En recroisant nos voyeurs, l'un d'eux, prévoyant, nous explique qu'il avait regardé le plan et que c'est "en bas". Mais on mourait de soif, on était à côté de la cafétéria alors on a été boire un verre tous les quatre. La conversation était très sympathique, même si la situation était assez cocasse de faire connaissance seulement après ce qu'il s'était passé. J'étais cependant déçu qu'on n'ait pas rencontré ce couple et cet autre voyeur qui nous avaient contactés également.
On entame l'autre partie du magasin, il y a moins de petits coins tranquilles. L'excitation est un peu retombée. On arrive quand même au rayon des salles de bains, mais si les autres personnes nous attendaient là, ils auront abandonné. En plus dans les salles de bains il y avait des ouvriers qui en plaçaient de nouvelles dans tous les coins. On finit par se diriger vers la sortie.
Un couple nous accoste. J'avais presque deviné qu'il s'agissait de ce couple du forum, et j'ai eu la confirmation quand le monsieur a demandé "Vous êtes Manon ?". Nos deux voyeurs ont cru que nous rencontrions des connaissances et par délicatesse se sont éclipsés.
Assurément, il était écrit que nous ne ferions que de belles rencontres, quel couple charmant. Et quel sourire madame !
Je n'avais aucune envie, mais vraiment aucune, de leur dire que le spectacle était terminé. On essaie de s'éclipser derrière les rayons. J'embrasse Manon en relevant sa robe. Leurs yeux étaient attentifs à la scène, mais ils n'ont pas manqué de remarquer qu'une dame passait à côté de nous et nous préviennent. Décidément cet endroit est trop dégagé et trop fréquenté, on propose de remonter dans "notre" salle de bain, celle qui était si bien cachée. Le chemin est un peu long, mais on en retrouve une autre encore mieux cachée, nos voyeurs en gardien de l'entrée. L'un de nos deux premiers voyeurs nous avait suivis de loin.
C'était la première fois qu'un de nos voyeurs était ... une voyeuse, et ce n'était pas pour me déplaire. Manon en était troublée, un sentiment mêlé de timidité et d'excitation dans cette situation nouvelle. Elle me racontera par la suite avoir eu envie de ses caresses, elle n'a pas osé le demander et je dois reconnaître que je n'ai pas osé non plus. Je caresse Manon et mes mains se dirigent rapidement vers son sexe. Toujours debout, elle fait glisser sa culotte. Elle s'appuie contre le mur et commence à se masturber, mais elle est encore sensible de sa première jouissance. Je sais que mes doigts dans la chatte permettront de "réarmer" la machine. A genoux devant elle, je me lèche deux doigts et lui enfonce tout en lui léchant le clito. Je sens que mes doigts s'humidifient. Je bazarde nos affaires du tabouret et y installe Manon, jambes écartées, face à moi et nos voyeurs. Une paire de doigts laboure sa chatte et son cul sans ménagement. Je remarque à côté de moi des essuie-mains d'exposition, sont-ils là à dessein ? J'en aurais bien besoin son sexe dégouline jusqu'à mon poignet (je vous rassure, je me suis abstenu de les utiliser). Elle jouit une première fois, trop canalisée par la situation, pas assez fort à mon goût, sans interruption je reprends les caresses et elle jouit une deuxième fois.
Moi même un petit peu sonné, je me retourne et vois les trois paires d'yeux qui nous regardent. Ouf, ils sont encore là, notre sauvagerie ne les a pas fait fuir.
On retourne vers la cafétéria, où nous nous sommes séparés. Manon et moi sommes retournés prendre un verre pour retomber sur terre avant de quitter le magasin. Les salles de bain, je les regarderai sur le site ... ou bien on y retournera, mais sans vous le dire.
Nous remercions vivement les personnes que nous avons rencontrées ce jour là, beaucoup de savoir vivre, de délicatesse, d'attention, c'était très agréable. Et nous sommes sincèrement désolés pour le troisième voyeur qui ne nous a pas retrouvés.
Bisous,
Les fantasmes
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Notre présentation : http://www.forum-candaulisme.fr/presentation-de-madame-fantasmes-t35732.html#p853786
Messages et chat en bleu, c'est Manon qui vous écrit
Messages et chat en noir, c'est Laurent qui vous écrit
et ce pseudo te va tellement bien, car Manon c est vraiment ce que tu es
