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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1540509
J'adore écrire et je vous met a suivre une petite histoire.
Dites-moi ce que vous en pensez.
Je la met entière.


Un gros fantasme

Ce soir tu veux que je m’habille sexy, tu supervises tout ce que je dois mettre est posé sur le lit.
Un bustier avec jarretelles qui laisse mes seins découverts qu’on ferme avec des lacets derrière, tu adores le lacé toi-même, des bas en soie noir avec une couture des chaussures très hautes noires aussi puis dessus une jupe en cuir très courte, une chemise noire ouverte sur les seins, je te dis que je ressemble à prostituée, tu souris.
Tu m’as réservé une surprise pour notre soirée, je suis impatiente de savoir et te pose des questions mais tu restes évasif, j’en saurais plus beaucoup plus tard.
J’aime quand tu es mystérieux comme ça mais appréhende tout de même la suite du programme.
Nous sommes en Région Parisienne, c’est l’été je passe quand même un manteau long sur ma tenue pour sortir, ou allons nous ?
Je me pose pleins de questions ou m’emmènes-tu ?
Je ne vais pas diner dans cette tenue ?
Je me laisse entrainer, on se dirige vers la voiture, cet après-midi tu es sorti pour la nettoyer à priori elle est rutilante.
Je reste silencieuse dans la voiture, quel est ton programme.
Tu te diriges vers le bois de Boulogne, on le traverse tellement souvent que je n’y prête pas attention, seulement lorsque je te vois garer la voiture et que tu me dis « descends », « pardon, tu veux que je descende ici mais il n’y a pas de resto qu’est-ce qu’on fait là ? » « Tu es une pute ce soir, tu enlèves ton manteau et tu attends le client, tu peux même enlever ton chemisier ».
Surprise je te laisse enlever mon manteau, il glisse de mes épaules, tu déboutonnes mon chemisier et me l’enlève, je ne sais pas comment réagir « Est-ce une blague ? Ou dois-je vraiment faire la pute ce soir ? » Tu as l’air très sérieux, je te laisse faire.
Tu ouvres le coffre et y dépose le manteau et le chemisier puis tu sors un petit sac en papier et me dis « Voilà ton outil de travail », je regarde ceux sont des préservatifs, il y en a beaucoup.
« Voilà chérie tu avais le fantasme de faire la pute donc vas-y fonce ».
Je reste interloquée, sans prévenir comme ça tu voudrais que je fasse la pute ce soir dans le bois de Boulogne, je n’ai pas trop le temps de bien réfléchir, soit je remonte dans la voiture en
faisant une scène, soit je me lâche et deviens une pute pour un soir.
Ma décision est prise, tu le vois dans mes yeux alors tu t’éloignes et vas t’asseoir sur un banc un peu plus loin.

En passant devant la voiture je vois que tu as installé des draps sur les fauteuils, tu avais tout prévu.
Un homme s’approche, mon cœur bat la chamade, Serais-je à la hauteur ? Je ne sais même pas les prix, tu ne m’as rien dit des tarifs, je suis seule comment m’y prendre ?
Sympa comme fantasme mais dans la réalité ce n’est pas aussi facile.
Je frissonne.
- Bonsoir ma jolie, tu es nouvelle ?
- Oui, bonsoir.
- Combien pour une pipe ?
- Avec ou sans préservatif ?
- Donnes moi le tarif des deux et je choisirais mais tu as intérêt a être bonne.
- Tu ne le regretteras pas, 20 avec et 30 sans (je ne sais pas si le prix est fort ou non mais je ne suis pas de première jeunesse, je dois surement mettre des prix à la baisse)
- Ok pour une pipe sans capote, dans le bois derrière ou tu as un véhicule ?
- Ma voiture est là mais je pense que pour une pipe c’est mieux dehors.
J’empoche les 30 euros et nous allons un peu à l’écart, je le défroque et pose mes genoux sur le sol, puis je soupèse ses couilles et commence a lécher sa bite qui est agréable et d’une assez bonne longueur, elle grossit assez vite sous ma langue.
Joli gabarit, il me prend la tête et pousse sa queue au fond de ma gorge, je le laisse faire c’est le client si il veut baiser ma bouche.
J’étouffe un peu mais je ne dis rien et je continus comme je peux a le sucer mais c’est lui qui imprime le rythme, il baise ma bouche comme un fou, le mouvement est rapide, sa bite est de plus en plus grosse, je sors la langue et essaie de lécher le gland et encore un mouvement et je sens le sperme giclé au fond de ma gorge et je l’avale religieusement en léchant bien les contours de cette belle queue, il râle et envoie encore un jet puissant.
Puis il se rhabille et sort du bois, je me relève dépoussière un peu mes bas et sors quelques secondes derrière l’homme.
Je marche de long en large depuis quelques minutes quand un homme très jeune arrive et me demande
- C’est combien ?
- Pour quoi ?
- La baise ?
- Avec une pipe avant ou juste la baise ?
- Non juste la baise, tu écartes les cuisses et je te baise.
- OK alors 40 euros la passe.
- OK.
Il me tend les billets.
J’ouvre la voiture derrière et m’allonge sur la banquette, jambes écartées ma chatte à l’air, je sors un préservatif de l’emballage et lui donne.
Il sort sa queue qui est en érection pas besoin d’une petite caresse, pose le préservatif et entre dans ma chatte jusqu’à la garde, heureusement que je mouille facilement.
Il s’excite comme un petit chien sur mon trou, quelques coups de reins et je le vois faire la grimace, il ne va pas déjà éjaculer…
Bah si ça y est c’est déjà fini, je suis un peu désabusée, faire la pute n’est pas aussi rigolo que je pensais.
Je suis à deux doigts de courir vers mon mari et de dire « on rentre », j’en pleurerais presque de dépit.
Le gars est parti, je suis assise sur la banquette et me pose des questions quand un homme approche et me dis « Combien pour la passe ? », « 40 euros » je réponds avec des sanglots dans la voix.
Il acquiesce et me donne 50 euros je lui rends 10 il s’assoit à côté de moi et pose une main sur un sein, enfin un homme qui va prendre un peu son temps, je souffle de soulagement, il me pince le téton, je gémis, je me penche sur sa braguette et la défait je sors son sexe à moitié érigé et le caresse avec douceur, elle commence a grossir, c’est un beau gabarit, j’en salive déjà.
Il me dit « tu vas t’empalé dessus et je te tripoterais les seins, si je suis satisfait je te donnerais les 10 euros que tu m’as rendus », je fais signe que oui, mais je suis plus attirée par sa queue que par ses paroles, bon sang j’ai envie de lui.
Je défais un préservatif, il continue ses caresses sur mes seins qui sont dressés et sensibles, je veux qu’il suce les pointes et lui dit ce qu’il s’empresse de faire.
Je pose la capote sur son sexe droit comme un ‘i’ et je relève une cuisse pour m’empaler sur ce pieu, je me laisse tomber dessus en soupirant.
Je monte et descend sur la queue doucement au départ, je veux sentir ce sexe au plus profond de moi, lui me pince et me tète les seins, je gémis doucement j’aime ce qui se passe entre lui et moi j’ai envie d’accéléré la cadence, il prend mes hanches et m’aide et me mordant la poitrine, je vais jouir sur cet homme, je ne peux pas me contenir, je sens la lame de fond qui me transperce je jouis et le dis tout fort contre son oreille, lui me mors les tétons et continus a s’enfoncer en moi qui reste quelques secondes inertes, mes parois intimes se resserrent sur sa queue alors il râle et jouis dans la capote.
Je reste quelques secondes couchée sur lui sa bite a des sursauts en moi j’adore ça même si la capote dérange un peu pour le ressenti.
Je me relève, il enlève la capote, fait un nœud et on la remet dans l’emballage, il y a un sac plastique dans la voiture (monsieur a penser à tout), j’y dépose la capote et l’autre de celui d’avant que j’avais déposé par terre.
Il me donne le billet de 10 et s’en va.
Je me rajuste et sors de la voiture.
Un homme plutôt âgé se dirige vers moi, il me dit « Combien pour la pipe ? »
« 20 euros avec préservatif » il acquiesce et me donne 20 euros que je glisse dans la poche de ma jupe.
Je m’assoie sur le siège devant défait la braguette de mon client et commence a le caresser son sexe est plutôt mou, je crois que je vais devoir bien m’activée pour le faire durcir.
Je le rapproche de moi et commence a le lécher en le regardant avec un regard pervers qui dit « je vais te bouffer la bite et tu vas jouir mon grand », je mets son sexe dans ma bouche et en même temps prends ses mains pour les mettre sur mes seins.
Pendant que l’homme les soupèsent, les malaxent, les pincent je vais de plus en plus vite sur sa queue qui commence a avoir une grosseur acceptable.
Je bouscule un peu ses bourses, les pincent, elles sont gonflées, je sais qu’il va jouir, je continue à m’appliquer sur son sexe, je le lèche comme une glace, l’entre et le ressort de plus en plus vite, de plus en plus fort, sa bite a un soubresaut je sens qu’il va venir, il pousse un râle, il va venir, je serre ses couilles, les frotte l’une contre l’autre il pince mes tétons de plus en plus fort et pousse un cri en envoyant la purée dans le préservatif.
Il se réajuste, me dis merci et s’en va.
Je mets le préservatif dans le sac avec les autres puis sors de la voiture, je me dirige vers mon homme qui fume cigarettes sur cigarettes, tu me regardes venir vers toi, je m’arrête devant toi et te dis « Merci pour cette soirée, on rentre ? » « C’est toi qui voit »
Je me pose des questions veux-je continué ou non ?
La soirée n’a pas était super, est-ce que ça va changer ?
Je te refile le fric et repars vers la voiture ou je recommence a faire les cent pas.
Il suffit de quelques minutes pour voir débarqué un homme de 25 ou 30 ans accompagné d’un copain, il me demande combien pour les deux ?
- Vous voulez quoi exactement ?
- Bah un qui te baise et l’autre que tu suces ?
- OK 60 euros pour les deux.
- 50 euros et si on est content on repayera pour une autre séance, on est de gros baiseurs.
- OK 50 euros.
Le premier me file un billet de 50, la voiture me parait être un peu juste pour nous accueillir, je sors un plaid du coffre qu’on utilise pour les pique niques et nous nous éloignons dans le bois ou j’étale le plaid, les mecs déboutonnent leurs braguettes, ils ont des sexes énormes, je gémis rien que de les voir, je vais bien prendre.
Je me penche pour prendre celui de droite dans ma bouche, pendant que son copain enfile deux doigts dans ma chatte en disant « cool elle mouille » il déchire un préservatif et l’enfile puis debout il rentre sa queue entière dans mon vagin et commence a entrer et sortir avec violence, je ne peux pas sucer le copain donc il essaie de me baiser la bouche au même rythme que son copain, je suis une machine a plaisir, celui dans ma chatte m’agrippe par les hanches avec force, je sens ses ongles qui entrent dedans, il me fait mal mais en même temps c’est tellement bon, je gémis.
Je serre un peu les lèvres sur la queue qui entre dans ma bouche, lui me pelote les seins un peu brutalement, j’adore leurs bestialités, j’aime qu’on me rudoie, je subis en bougeant du cul et en jouant de la langue.
Mes seins sont triturés, ils sont un peu douloureux mais tan pis ma chatte se resserre sur sa queue, il sort et s’allonge par terre sur le plaid, je m’empale sur sa queue tout en continuant a sucer son ami, il me tient toujours les hanches et m’aide a monter et descendre pendant que le copain s’occupe toujours de mes tétons et de ma bouche.
Ils bougent en rythme en moi, leurs queues sont énormes et me prennent bien, je sens que ça va durer et je vais appréciée tout juste qu’à la dernière minute.
La queue dans ma chatte bouge, elle remue tellement que je commence a sentir venir les prémices du plaisir, je sens que je vais jouir, ça monte dans le fond de mon ventre et je pousse un cri, le mec en moi dit « elle jouit la pute, on a fait jouir une pute » l’autre éjacule dans ma bouche, j’avale tout le sperme en m’étouffant à moitié.
L’autre continu a imprimé le mouvement dans ma chatte, je n’en peux plus, je m’affale un peu sur lui et là il jouit dans la capote je sens les mouvements dans le préservatif de sa bite pendant qu’il évacue son plaisir.
Je reste sur lui quelques secondes, puis me relève j’enlève la capote et entreprend de nettoyé la bite devant moi, je le lèche comme une glace avec ardeur, je sens des doigts qui entreprennent ma chatte, deux doigts qui entrent et sortent dans un clapotis.
Puis une bouche qui vient me sucer, pendant que je suce son copain l’autre commence a cuni a me faire tomber à genoux.
Il lèche ma chatte du clito à l’anus et je gémis en poussant mon cul vers sa bouche, la bite sous ma langue recommence a durcir, nous allons recommencer là tout de suite, je ne leur demande pas d’argent je suis dans le ressenti j’ai envie de leurs sexes encore une fois.
Je sens des morsures sur mon clito, je vais jouir sur sa langue c’est énorme, je me tends je vois venir l’orgasme, il me transperce pas le temps de m’arrêter je me retrouve à quatre pates le cul à l’air, celui que j’avais en bouche quelques secondes avant passe une capote et m’enfile jusqu’à la garde dans l’anus heureusement que je suis bien écartée et que ça soit rentré tout seul.
Même pas un frémissement, l’autre me remet d’office sa bite dans la bouche, j’adorerais une double pénétration, sa bite est encore un peu molle, je la lèche, passe mes doigts sur ses boules, il soupire et je sens sa bite durcir sous ma langue, pendant ce temps l’autre me pilonne le cul avec brusquerie.
Ma langue est en même temps sur sa queue et sur ses boules, je mordille légèrement, il pousse ma tête pour que j’avale à fond son sexe qui devient de plus en plus dur.
Il défait un préservatif pour le passer et se dirige derrière moi, il s’allonge sous moi de façon a ce que je puisse m’empaler sur sa queue tout en gardant celle de son copain dans mon cul.
Je suis prise en sandwich par deux hommes avec deux grosses queues et j’adore ça, il me pince les seins pendant qu’ils impriment tous les deux le mouvement à notre trio.
Je suis super prise, je l’impression que je suis totalement pleine, je suis un morceau de viande et j’adore ça.
Je suis le mouvement de va et vient, je vais jouir encore une fois, ça me passe des doigts de pieds au sommet de la tête, je sens les spasmes me traversés de part en part.
Je les entends râlés quasi en même temps, ils éjaculent dans leurs capotes.
Je me retrouve avachis sur le plaid, chacun retire sa bite et sa capote, ils font des nœuds et les déposent avec les autres.
Le premier mec me balance un billet de 50 euros et se ils se cassent, plutôt humiliant d’être traité comme une pute mais je suis une prostituée pour ce soir, j’empoche le billet avec l’autre, je plis le plaid, ramasse le sachet de capotes et celles usées et me dirige vers la voiture.
Ou je dépose le plaid et les préservatifs usagés dans le sac, ma collection a bien enflée, un mec se penche vers moi et me dis « combien pour la passe ? » « 40 euros » « tu es chère chérie, j’espère que ça vaut le coup. »
Je rougis puis ouvre la porte arrière pour faire entrer le mec qui a déjà baissé son pantalon en bas des chevilles, il me tend les billets que je met dans ma poche je le caresse doucement sa bite est bien tendue, je défait une capote que je fixe sur sa queue et m’assois sur lui, j’entre sa queue d’un seul coup et remonte doucement, je monte et descend sur sa queue en gémissant, il me pince les seins j’adore qu’on me prenne les seins quand on me baise.
Le mouvement s’accélère il me dit qu’il veut qu’on change de position je me met à quatre pates et il m’enfile la chatte d’un coup de reins, je sens sa bite appuyé sur le fond de mon vagin, je suis comme folle, je pousse de petits cris, que j’aime le sexe, je dois être faite pour être pute, j’adore ça, je le lui dit « vas-y baises-moi , plus fort, plus profond secoues-moi », ce qu’il fait avec pleins de hargne, il grogne, je gémis, je vais jouir encore comme la petite pute que je suis, bon sang rien que de penser ça « je suis une pute », je jouis mon orgasme est puissant, je cris comme jamais j’ai crié avec mon mari, je suis en transe.
Le mec qui en même temps que moi, il jouit, nous jouissons ensemble, il me tire par les cheveux et me dit « salope, tu aimes la queue, j’ai trouvé une pute qui adore ça, je vais prévenir les copains ».
Il enlève la capote et sort de la voiture, je ramasse le préservatif fais un nœud et le met dans le sac avec les autres.
Je regarde dans le rétro, je dois faire un raccord maquillage, je m’installe sur le siège devant et remet du fard sur mes yeux, du rimmel et du rouge à lèvres.
Quand la porte s’ouvre c’est toi tu t’assois à côté de moi et m’embrasse :
- Alors chérie c’est bien ?
- Oui très bien, je m’éclate.
- J’ai entendu, tu as jouis comme une petite salope.
- Oui je suis une bonne petite pute, tous mes clients sont contents.
- Tu veux rentrée ?
- Ah non pas maintenant alors que je commence à m’amuser.
Tu sors de la voiture, je te tends les billets que j’ai gagnés et tu repars vers ton banc.
Je sors et commence mon va et vient pour attendre le client, un mec de 55 ans s’approche et me dis « combien pour la pipe, 20 avec préservatif, 30 sans », il me tend 20 euros, je prends un préservatif et on s’éloigne un peu dans le bois.
Je me met à genoux et défait sa braguette, sa bite n’est pas très longue mais plutôt épaisse, je commence a le caresser, pour la faire durcir, dès qu’elle commence a être d’une bonne épaisseur et droite je place le préservatif et je commence a le sucer en pinçant ses bourses et en les malaxant, il gémis je prend ses mains que je pose sur mes seins il s’applique à les titillé et ça lui fait de l’effet sa bite durcie dans ma bouche, je joue avec, je la fait entrer et sortir tout en continuant a jouer avec ses boules, je lape sa queue de long en large, l’embrasse, la mordille, il prend mes cheveux et me baise la bouche, impressionnant comme les hommes adorent ça, il râle et je l’entend dire « ça vient, je jouis, la salope, elle m’a fait jouir ».
Il lâche mes cheveux enlève la capote qu’il ferme et me la donne puis se rhabille et quitte le bois.
Je le suivrais dans quelques secondes le temps de frotter mes bas qui vont finir par filés les pauvres…
Je reviens vers la voiture que un groupe de 3 ou 4 mecs arrivent, il y a dedans le mec de tout à l’heure.
- Coucou chérie tu me remets ?
- Oui, ceux sont tes potes ?
- Oui alors on te propose par groupe de deux, on est quatre, les autres regardent ou se font sucer pendant que les autres te baisent.
- Ok combien vous payez ?
- 100 euros pour le moment et peut-être plus si on veut continuer.
- Ok.
Je vais à la voiture prendre le plaid et le sac de capotes, puis je me dirige vers le bois avec mon petit groupe.
Je pose le plaid, mon client de tout à l’heure me refile les 100 euros et les mecs baissent tous leur pantalon, les bites sont déjà bien érigées, ils sont super excités, ça va être chaud.
Un mec passe par derrière et me pince durement les seins je me cambre vers lui, je sens sa queue raide contre mes fesses, un autre est à genoux sur le plaid et commence à me lécher la chatte, je vois les deux autres qui se caressent, je leur fais signe d’approcher, j’entends « la salope va nous baiser tous les quatre », et oui je vais me faire toute cette chaire fraiche, ça va être l’apothéose de ma soirée, le bouquet final.
J’ai une bite dans chaque main que je tripote, malaxe et une autre derrière moi pendant que son propriétaire me secoue, tripote et mordille les seins et le dernier à genoux qui me bouffe la chatte comme jamais, je commence a gémir, j’adore ça quatre étalons pour mon plaisir.
Celui derrière passe une capote et commence a me baiser, je suis penché le cul cambré vers lui, il me laboure les fesses avec force et me serre les hanches pour pousser sa bite toujours au plus profond de moi, je pousse des gémissements de chienne en chaleur, je lui dit que j’aime sa queue , que je la veut bien profond et encore plus fort en moi dans mes mains les deux autres grossisses, je les branle avec force et l’autre continue a me lécher le clitoris, ça y est je vais jouir et je le crie « Je jouis, oh oui je jouis », le mec explose dans la capote et sort on me fait mettre a genoux , le mec qui me lécher le clito est allongé et il a mit une capote, je m’empale dessus en poussant un râle, je viens quand même de jouir et après ma soirée ma chatte commence a être un peu douloureuse mais ça ne m’arrête pas.
Je m’empale sur la queue raide et je sens des doigts qui s’insèrent dans mon anus, le mec crache dessus et les enfonce sans problèmes apparents donc il glisse sa queue à la place et me voilà avec ma deuxième double pénétration de la soirée.
Ils sont plutôt brutaux mais j’adore je couine sous leur coup de boutoir, bon sang si tu pouvais me voir, je suis une chienne assoiffée de cul, leurs queues en moi me donne des frissons dans tout le corps, elles rentrent et sortent avec puissance, je ne peux que suivre le mouvement en piaffant.
Une bite s’approche de ma bouche c’est mon ami de tout à l’heure, je le suce avec application.
Je suis prises par les trois trous, au même rythme elles vont et viennent en moi.
La quatrième vient se frotter contre ma main je la prends et commence a la caresser doucement, elle est douce dans ma main, je m’applique a bien le faire rebander.
Je suce, je branle pendant que les autres entrent et sortent en moi de plus en plus vite, je sens monter en moi une autre vague de jouissance, elle me transperce de haut en bas, j’ai des frissons sur tout le corps, les jambes qui tremblent, je n’en peux plus je cri ma jouissance.
J’entends « vous avez vus les mecs cette pute jouit et elle ne fait pas semblant ».
Les mecs en moi commence a râlés, ils vont jouir, celui dans mon cul ressort il veut éjaculer sur moi et tous les copains aussi je me retrouve allongée sur le plaid et les quatre au dessus de moi qui se branlent pour évacuer la purée, je prend dans mes mains deux queues au hasard et aide un peu, le premier éjacule sur mon ventre je sens le jet qui n’en fini pas puis un autre sur mes seins, je suis habillée mes fringues et moi nous allons être couvertes de jus d’hommes mais je ne dis rien et laisse faire quand aux deux autres ils éjaculent en même temps à moitié sur mon visage et ma poitrine j’en ai partout.
Je demande si l’un d’eux a un kleenex pour m’essuyer mais ils répondent que non mais qu’ils ont un pote qui adore lécher donc il va me nettoyer et c’est ce qu’il fait il se met à quatre pates et commence a lécher mes seins les contours, les pointes, il remonte doucement sur mon menton, je glousse j’adore ça, je suis sûre de jouir encore.
Il redescend vers mes seins pince les pointes et les lèche en même temps, je recommence a sentir des picotements dans le tréfonds de la chatte.
J’aime sa langue et savoir qu’il nettoie le sperme c’est mortel encore plus que lorsque c’est mon mari lorsque je reviens d’une soirée avec un amant, bien sûr c’est fort mais là c’est autre chose un nettoyeur étranger qui avale le sperme de ses amis.
J’en jouirais presque juste en y pensant, il est descendu sur mon ventre et me tient les seins, il le pince assez durement, sa bite et contre ma chatte, elle est dure, il a une santé le bonhomme, j’écarte les cuisses pour lui faire voir que je suis prête à l’accueillir.
Je regarde autour de moi, les copains sont entrain de se masturbés, leurs queues ont repris une jolie ampleur, on va remettre le couvert, j’en frémis d’avance et je suis toute excitée.
Comme je les ai vus ils approchent, chacun dans une main et l’autre dans la bouche, je ne sais pas trop comment il se place mais il me baise la bouche à quatre pates au dessus de ma bouche.
Le nettoyeur a fini, il passe une capote et entre en moi et en me tenant par les hanches il me fait monter et descendre sur sa queue, je me laisse totalement faire par la bouche et par la chatte, le seul truc ou j’ai un peu de contrôle c’est les mains donc je continu a branler de haut en bas à pincer ou malaxer leurs couilles, de temps en temps je glisse un doigt le long du périnée et pousse un doigt dans leurs anus.
Le bois n’est que râles et gémissements, nous sommes dans l’action je sens une nouvelle jouissance me transpercée, je jouis sous les coups de cet homme qui se sont accélérés, il va jouir lui aussi je ressers mes parois vaginales, il grogne et éjacule dans la capote.
Puis il se retire, le mec dans ma main gauche passe une capote et va-le remplacé.
Même mouvement il prend mes hanches et brutalement entre et sort dans mon vagin qui est hyper sensible, je gémis à chaque poussée, je ne suis plus qu’une machine, un instrument de sexe pour eux et rien que de penser ça me fait monter un orgasme du plus profond de mes entrailles.
Il remonte de l’intérieur, comme une boule de feu qui passerait de mes intestins et qui remonterait dans ma gorge pour ressortir en un cri puissant et primaire.
Je suis toute tremblante, complètement disloquée, le mec en moi continu son mouvement de va et vient ma chatte c’est comme de la lave en fusion, je ne peux plus contenir la jouissance qui me traverse et je la hurle.
Le deuxième éjacule dans son préservatif et se retire, le troisième s’installe après avoir mit la capote obligatoire et commence les va et vient, ma chatte est toute amollie par la vague de jouissance ressenti, je ne peux plus bouger pour le moment et me laisse guider par le mec, celui dans ma bouche balance la purée, je manque m’étouffé, je ne l’avais pas vus venir.
J’avale tout religieusement et il se relève pendant que l’autre fait encore 3 ou 4 mouvement et dans un gémissement jouit dans la capote.
Il se relève, les trois autres sont rhabillés, le dernier remonte sa braguette puis on me donne une poignée de billets et ils repartent.
Je reste allongée, je dois récupérer un peu avant de repartir vers la voiture, tu ne tardes pas quelques minutes pas plus et tu es là :
- Salut chérie alors cette soirée ?
- Bien je suis lessivée
- Je vois ça tu veux que je t’aide a ramasser tout ça ?
- Oui s’il te plait.
Tu fais les nœuds aux préservatifs, ramasse le paquet ou il y a les neufs puis tu vas à la voiture.
Je me réajuste en attendant quand tu reviens tu m’aides a me relever puis tu plis le plaid et me tiens le bras pour aller jusqu’à la voiture.
Tu m’aides a monter puis tu te places côté conducteur et nous repartons, je m’endors durant les 10 minutes qu’il faut pour arriver à la maison puis tu m’aide a me doucher et je me couche et dors comme un bébé, nous en reparlerons plus tard, là je dois récupéré de ma soirée.
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par Sizaxe
#1540990
Voilà un fantasme, très bien raconté, que nous devons être nombreux à partager, et pas seulement des hommes. Et qui rappelle furieusement une histoire qui nous est réellement arrivée, à Axelle et moi, et que voici :

J’entendais ses talons claquer dans l’escalier, qu’elle devait descendre à toute allure. Axelle et moi venions encore de nous pouiller. Pour des conneries, comme d’hab. La faute à mon frère, ou à sa sœur, ou à sa mère, je ne sais plus, et on s’en fout. Elle allait encore faire la gueule, et j’avais horreur de çà. Avant, c’était une fois par mois, maintenant, ça pouvait arriver n’importe quand. Parfois par jeu, parfois plus sérieux. Bref : chiant ! Je décidai de filer au lit pour bouquiner.

J’entendis la porte s’ouvrir au bout d’une demi-heure, trois quarts d’heure. Elle avait dû fumer un peu, ou faire le tour du pâté de maisons. De deux choses l’une : ou ça allait être l’auberge du cul tourné, ou elle allait tout mettre en œuvre pour se faire pardonner. Je priai le ciel que ce soit la deuxième solution. Quand elle entra dans la chambre, je levai les yeux de mon livre en souriant :

- Ca va?
- …
- Qu’est-ce que tu as fait ?
- Deux passes.

Elle avait dit ça avec le plus grand sérieux, je n’en crus donc pas un mot.

- Tu me tentes. Viens donc ici. C’est combien ?
- 50 la pipe, 100 l’amour. Payable d’avance.

Le jeu commençait à m’exciter : je pris mon portefeuille dans le tiroir de la table de nuit et lui donnai deux billets de 50 €. Elle tira le drap d’un mouvement sec. Je bandais honteusement. Elle enleva chaussures et jupe et vint s’installer à califourchon sur moi. Comme je commençais à déboutonner le chemisier, elle ajouta

- A poil, c’est 150 !
- OK. Je repris le portefeuille d’où je tirai quarante euros. 140 : je ne peux pas faire mieux sans passer à la banque.
- Ca ira.

Elle rangea ses sous dans le paquet de clopes qu’elle posa sur la table de nuit, puis enleva lascivement chemisier et soutien-gorge. Je dois reconnaître qu’elle m’en donna pour mon argent. Les débats achevés, elle fila prendre une douche.

Je tendis la main vers son paquet de clopes. Qui contenait, soigneusement roulés, deux billets de 50, sept de 20 et cinq de 10. La salope ! Quand elle revint, je lui demandai si la soirée avait été bonne.

- Dispute mise à part, excellente, pourquoi ?
- Sur le plan comptable, veux-je dire ? Je tirai de sous l’oreiller le paquet de billets, que je jetai en l’air.
- Ah ! Deux passes, je te l’ai dit. Trois avec toi… 300 €, non, 290, net d’impôts.
- Comme mac, j’ai droit à la moitié. Je te fais un prix : je ne reprends que mes 140 €. Et tu reviens ici tout de suite me raconter la chose.

Quand nous eûmes fini de baiser, elle me raconta l’histoire suivante :


En sortant de l’immeuble, la température l’avait surprise : l’orage du début de soirée avait dû la faire baisser de dix bons degrés. Il avait fait lourd toute la journée, aussi était-elle habillée d’une jupe aussi courte que légère et d’un chemisier. Un bref frisson la secoua. Maintenant qu’elle était dehors, il fallait bien y rester au moins un peu : remonter aussitôt aurait trop ressemblé à une capitulation.

A 23 heures, la circulation sur le boulevard était encore intense, même pour un samedi. Mais à cause des vacances il n’y avait presque pas de voitures garées sur la contre-allée. Elle s’appuya contre un platane, tira un paquet de cigarettes de sa poche de chemisier, en prit une et l’alluma. Finalement, elle trouva qu’il faisait bon. Elle leva les yeux sur la fenêtre de leur appart’. La lumière était éteinte : Richard avait dû se coucher pour lire ou regarder la télé. Perdue dans ses réflexions, elle entendit derrière elle le chuintement de pneus mouillés sur l’asphalte sans y prêter attention. Elle sursauta et se retourna quand elle réalisa qu’on lui adressait la parole. Une voiture était arrêtée derrière elle. Le chauffeur, vitre ouverte et bras à la portière lui dit à nouveau quelque chose en souriant. S’imaginant qu’il cherchait une adresse, elle s’approcha.

- Pardon ?
- Désolé de te tirer de ta rêverie, ma jolie. Je te demandais seulement : combien ?

Elle comprit immédiatement qu’il la prenait pour une pute, mais au lieu de lui coller une baffe, elle sentit monter en elle une incroyable excitation et s’entendit répondre :

- 50 pour une pipe.
- OK. Monte. On va où ?
- Tu tourne à droite.
- C’est une impasse…
- Y’a un parking.

Elle le savait : c’était celui de son immeuble, et elle était sortie avec les clefs de l’appart’ et la télécommande. Elle le conduisit à la place réservée aux « invités ». Elle lui demanda de sortir et de contourner la voiture. Elle baissa sa vitre, défit la ceinture du type, fit glisser son zip et tira son sexe d’un caleçon à fleurs. Puis elle tendit la main. Il fouilla dans une poche et en tira les 50 € réclamés, qu’elle roula avant de les glisser dans son paquet de cigarettes. Puis elle commença son ouvrage.

Dix minutes plus tard, elle avait regagné l’air libre. Après avoir consulté sa montre, elle décida de s’accorder encore un clope. Elle songeait encore à son aventure qui l’avait laissée toute excitée quand une seconde voiture s’arrêta. Cette fois-ci, elle comprit la question du premier coup.

- 100 € l’amour.
- OK. Monte. Où va-t-on ?
- Tut tournes à droite…
- C’est une impasse.
- Y’a un parking. La répétition des échanges la fit rire.
- J’ai horreur de çà. On va baiser dehors, puisque c’est une impasse, il ne passera personne. Il arrêta la voiture le plus loin possible du boulevard.
- Tu as des capotes ?

Il lui montra la boîte à gant. Elle en prit un, qu’elle lui tendit pour qu’il la mette. Elle avait horreur de ces machins-là. Il glissa vers elle sur la banquette. Elle enleva sa petite culotte, tendit la main, roula et prit le temps de ranger les billets dans leur coffre-fort avant de venir se planter sur lui. Elle joua son rôle à la perfection, un peu trop bien, même, puisqu’elle n’eut là encore pas le temps de jouir.

Il n’y eut pas de troisième clope. Elle regagna sans attendre son quatrième étage.

Elle ne sait pas pourquoi cette histoire l’a pareillement excitée. Moi non plus. Je pense que nous allons recommencer…
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par Sizaxe
#1542353
Cette histoire est totalement véridique. Enfin… c’est ainsi qu’elle me l’a racontée, et ça fait huit jours que je me demande si elle ne m’a pas monté un bateau. Parce que les billets dans le paquet de clopes, elle a pu les y mettre elle-même, hein.

Les gros yeux rouges du réveil indiquent 03 :51. Quatre plombes du mat, et je bande comme un âne. Une érection si forte qu'elle en devient presque douloureuse. A mon côté, Axelle dort comme un loir. En appui sur un coude, je la regarde, attendri. Attendri et excité. Du bout du doigt je lui caresse le visage, provoquant un bruit curieux, à mi-chemin du grognement et du gémissement.

- Cékigna ?
- C’est la journée de la femme. J’ai pensé qu’on pourrait arroser çà. Elle ouvre un œil.

- A 4 heures. Ben t’es pas en retard, toi ! Mais je la connais, mon Axelle : c’est une gourmande. Elle lève une main paresseuse en direction de… Mais on dirait le bâton de Justin Bridur !

D’un seul geste elle repousse la couette, s’installe à califourchon sur moi et d’une main preste m’introduit en elle. Je lève les mains, de manière à ce que les paumes effleurent ses seins, dont les mamelons durcissent aussitôt. Elle commence à onduler du bassin, provoquant les couinements du sommier, qui viennent s’ajouter à ses propres gémissements comme chez linlin (comment-votre-femme-exprime-son-orgasme-t16992-20.html#p976328).

J’en reste comme deux ronds de flan : elle qui, d’habitude, adore les préliminaires… Je ne sais pas dans quel rêve érotique elle était perdue, parce que force est de reconnaître que c’est tout bien lubrifié à l’intérieur, et que ma queue glisse en elle comme le maquereau tout juste sorti de l’eau dans la main du pêcheur. Elle en a tellement conscience que c’est elle qui attaque.

- Tu pourrais me dire à qui tu rêvais pour avoir une trique pareille ?
- Tu sais bien, que même en rêve, c’est toujours avec toi que je fais des cochonneries (et c’est vrai, même s’il arrive que nous n’y soyons pas que deux). Je rêvais à l’aventure que tu m’as racontée il y a huit jours. Tu sais bien, tes deux passes sur le boulevard. Je me demandais…
- Tu te demandais ?
- Si tu m’as dit la vérité, ou raconté des carabistouilles…
- Parce que tu ne m’en crois pas capable ?
- …
- Si c’est comme çà…

Et elle suspend tout mouvement. Le sommier gémit d’aise. Puisque nous en arrivons à l’épreuve de force, mes mains abandonnent ses seins pour agripper ses hanches. Je m’enfonce en elle, tout au fond, tout au fond, et un, et deux, et trois grands coups de boutoir : je gicle une bonne dizaine de fois, pousse un profond soupir et ajoute, pendant que ma baguette magique retourne à l’état de zigounette d’enfant pré-pubère.

- Je ne sais pas toi, mais moi je trouve que ça fait du bien !
- Je ne sais pas si tu en seras d’accord, mais c’est la journée de la femme et je ne compte pas me finir toute seule.

Ce disant, elle se déplace rapidement pour me coller son minou dégoulinant sur la bouche et bloquant mes bras avec ses jambes. Pour la première fois de ma vie, je vais me taper mon propre sperme. Je n’aime pas trop, et y’en a beaucoup… Fort heureusement, elle ne tarde pas à jouir. Elle vient s’allonger langoureusement sur moi et, comme d’habitude, trouve le mot de la fin.

- Si tu ne m’en crois pas capable, je peux recommencer samedi prochain. Tu pourras regarder…Dors bien !

Elle me fait un baiser léger. Lâchement, pour éviter d'avoir à répondre, je fais semblant de dormi. Me voilà bien avancé…
Il n'y a que trois possibilités : 1) elle bluffe : elle en est incapable, et j'aimerais bien la coincer, 2) elle l'a fait, y a pris du plaisir, et ne demande qu'à recommencer : je me demande si j'y tiens tant que ça, 3) pire encore : elle ne l'a pas fait, mais est prête à le faire par bête fierté, rien que pour me river mon clou. Sûr que je vais bien dormir...
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par linlin
#1542930
Sizaxe a écrit :les couinements du sommier, qui viennent s’ajouter à ses propres gémissements comme chez linlin (comment-votre-femme-exprime-son-orgasme-t16992-20.html#p976328).


Eh ben mon cochon, si j'en juge par ce que je connais, tu as du te régaler.

Mais bon il n'y a pas de cochons sans cochonnes et nous en sommes tous heureux et heureuse comme Béa qui, sans pudeur, clame : ''moi j'aime faire plaisir...''

Un grand merci à toi

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