J'ai envie de la suivre. De lui retirer sa culotte moi même et de la prendre contre le mur bien bruyament pour signifier aux autres invités que...
Alors qu'elle me tourne le dos, son visage se tourne vers moi et tout en continuant à se diriger vers la cuisine, soulève sa robe, baisse sa culotte et la retire avec un sourire narquois.
La garce! Au même moment deux copines la croisent en riant, leur cigarette terminée. Elles s'approchent de moi et décident de me faire la conversation. Je n'entends rien. Je l'imagine dans la cuisine sans culotte discutant avec ces messieurs. La posant négligemment sur la table lorsqu'elle sera seule avec son jouet. Le laissant là, interdit, ne sachant s'il doit tenter ou pas sa chance. Les hommes sont tellement cons dans ces situations.
Mais la voilà qui arrive. Elle s'assoit en face de moi. Les deux filles sont occupée avec leur délire de filles. Oui je suis super macho parfois. Et particulièrement quand une nana me met les nerfs à vifs!
Je la regarde. Nos yeux ne se quittent pas. Mille questions fusent.
"Oui il a vu"
"Quoi?"
"Je réponds à ta question: oui il a vu"
"J'ai pas posé de question"
"Tu m'as dit retire ta culotte et montre! c'est ce que j'ai fait. Je lui ai montré."
"Je te crois pas!"
"Que j'ai retiré ma culotte?"
Un sourire ironique aux lèvres elle soutenait mon regard.
"Montre moi ça! Maintenant"
alors rapidement, elle souleva sa robe et la remis en place...
"Mieux que ça!"
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Elle avait les jambes croisées en mode "défense d'entrer". Le monde autour n'aidait pas beaucoup à ce qu'elle se lache. Tous trop prêt de nous. Elle n'avait pas assez bu pour cela.
Je lui remplissais son verre de champagne. Elle tenta de m'arrêter d'un geste de la main accompagné d'un "enfoiré" soufflé discrètement. Elle me fit les gros yeux, genre "non t'exagères tu sais que je tiens pas l'alcool". Le tout accompagné d'un sourire complice qui disait "je n'ai pas besoin d'alcool ce soir mais tu as raison.. donne moi une excuse!"
Elle s'enfonça dans le canapé afin de mieux se joindre à la discussion entre filles. Les mecs étaient revenus et pour une fois ne parlaient pas foot ou autre connerie. Quoique... ils parlaient boulot. Toujours ce besoin de se placer les uns par rapport aux autres. Impossible d'y échapper!
" ... et toi OnPlay? Quoi de neuf?"
- "Que du vieux! tu sais dans l'enseignement pas grand chose de nouveau!"
- "faut venir nous rejoindre! On a besoin de tête comme la tienne pour..."
Je n'écoutais pas. Dans le coin de l'oeil, je voyais ma femme qui faisait mine de ne plus faire attention à bien serrer ses cuisses. J'étais le seul à voir si je tournais la tête vers elle. Mais je voyais que je n'étais pas le seul à avoir vu l'opportunité de se rincer l'oeil.
Le "jouet" était nerveux et se dandinait. Il cherchait un moyen d'avoir un meilleur angle de vue. Mais il ne pouvait pas prendre le risque de se faire choper à mater. Les voyeurs n'ont pas bonne presse dans la "vraie vie". Tout le monde sait ça. Je me marre intérieurement.
J'ai envie qu'il voit et en même temps me délecte de son impuissance. Mais je suis dans la même situation. Impossible pour moi de voir et de profiter.
C'est l'impasse. Obligé de jouer le jeu social et d'avoir des conversations sans intérêt. Le jouet m'observe et doucement nous glissons vers une sorte de complicité tous les deux. Ma femme se penche pour regarder l'Iphone d'une copine et sa robe remonte à la lisière de ses adorables petites fesses.
Comme deux gros boeufs nous avons le même reflexe que nous réprimons tout de suite mais trop tard. L'un et l'autre nous sommes penchés. Un mouvement bref qui a suffit à nous trahir. Il savait désormais que je savais qu'il savait. Nous réprimons un fou rire.
L'un des copains avec qui nous discutons pense qu'il a sorti une bonne blague. Nous ne pouvons plus nous retenir et éclatons de rire!
- "on peut rire avec vous?" nous dit ma femme.
L'autre raconte alors sa blague et nous partons dans un fou rire impossible. Ma femme joue la fille interloquée qui n'a pas compris. Mais ses yeux brillent. Elle aime ce genre de situation. Elle tend son verre vide à son jouet qui s'empresse de le lui remplir.
Nous discutons un moment, le temps passe vite. Je réalise alors que nous sommes seuls tous les trois. Je décide alors de passer à la vitesse supérieure.
- "Chérie tu pourrais remettre ton bas en place tu risques de provoquer un accident cardiaque là!"
Elle me regarde en souriant et se tourne vers son jouet
- "tu es cardiaque?"
-"euh non.. et t'inquiète pour mes yeux ça va aussi. Mais je suis d'accord avec lui"
-"ah bon comment ça?"
-"bah tu peux remettre tes bas, les remonter un peu. Enfin si tu veux je peux t'aider..."
Elle ouvre la bouche. Aucun son ne sort, elle joue la surprise en souriant et se tourne vers moi "genre chéri dit quelque chose!!"
Je rigole. Il rigole. Je remplis les verres de tout le monde. Il lui tend son verre plein avec un large sourire.
Elle lui dit:
- "attend j'ai besoin de mes mains pour remonter mon bas!"
Et voilà que ses mains remontent sur sa robe nous montrant le haut de ses bas. Elle me regarde droit dans les yeux pour voir l'expression de mon visage. Ses cuisses s'ouvrent. Ses doigts tiennent son bas qu'elle remonte lentement.
Le silence se fait. Nous n'osons plus rien dire de peur qu'elle réalise ce qu'elle fait et à quel point la vue sur son intimité est parfaite. Nous sommes dans un autre monde. Elle nous tient en son pouvoir.
Elle continue ainsi, ses mains passant en revue centimètre par centimètre son bas faisant mine de le remettre en place, mais, le regard vigilant sur les autres personnes autour, elle n'est pas si à son aise que cela.
Très franchement, je me trouvais coi. L'autre n'était pas mieux. Et un fou rire semblait vouloir venir à la surface tel un tsunami prêt à tout détruire de ce merveilleux moment... pour des années certainement!
Je ne gérai plus rien. D'habitude si prompt à réagir, donnant l'impression d'un parfait contrôle de chaque instant je me trouvais dépassé et idiot. Submergé par une tension qui ne voulait pas dire son nom.
Tout ce bousculait dans ma tête. Les autres étaient si proches. Il ne fallait pas qu'ils se rendent compte et fassent tout capoter. Mais je ne savais pas donner une suite à ce moment pour le prolonger; je ne savais pas non plus comment l'arrêter sans faire un flop.
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