- 09 avr. 2010, 14:23
#31094
Mon collègue de boulot avait organiser une sortie à un concert , il était seul sa femme était en déplacement professionnel et nous avait demander detre disponible pour la soirée , au dernier moment il m’envoie un sms et me demande de prévenir ma femme , oups enfin sa putain que le maître souhaite l’avoir seule pour eux !! il m’informe qu’il à inviter un copain a lui , ma femme était donc partie seule avec Dominique et Rachid, son copain algérien, en camping-car.Le maître m’a prévue une surprise son copain film la soirée ,celui qui filme, dont je ne reconnais pas la voix, présente un bâtiment assez imposant, en site urbain, je suppose Voici le Palais des sports, le concert va commencer dans quelques minutes ,à l’image apparaissent Dominique et sa putain, patientant au milieu de l’énorme file d’attente. C’est Rachid qui filme, et l’image s’attarde sur mon épouse. sa chevelure brune encadre un visage un peu rond et, sans être une beauté fatale, je trouve qu’elle a beaucoup de charme. Elle porte une tunique noire, style oriental, boutonnée sur le devant et dont la transparence trahit l’absence de soutien-gorge. De nombreux regards s’intéressent visiblement aux deux globes généreux qui tendent le léger tissu, sans que cela ne paraisse la gêner. Sa jupe, assez courte, s’arrête à mi-cuisses, dévoilant de belles jambes , au galbe rehaussé par des souliers à talons.Puis l’image se brouille quelques secondes avant le démarrage d’une nouvelle séquence. Ils doivent être dans la salle de concert, c’est plutôt sombre, et on entend jouer la musique du groupe. Rachid filme le maître , assis à côté de lui, sa putain est allongée en travers, la tête posée sur les cuisses de notre copain. La caméra zoom un peu, et malgré la pénombre je découvre l’objet de l’intérêt du cameraman.Mon collègue a passé une main sous la tunique de son vide couille et lui pelote les seins, passant de l’un à l’autre, pas discrètement du tout. Je n’en reviens pas. Quel culot ! Prise par l’ambiance du spectacle, sans doute, mon épouse ne cherche pas à le dissuader, ce qui m’interpelle et m’inquiète… Il a défait les premiers boutons de la tunique, découvrant un mamelon bombé, au volume conséquent, très appétissant, si bien que nombre de leurs voisins se détournent du concert pour apprécier l’alléchant spectacle qui s’offre à eux.Je suis sidéré qu’elle l’ait laissé faire, et commence à me poser des questions. Ma femme finit quand même par repousser la main inquisitrice et referme sa tunique d’un geste agacé. Elle semble dire quelque chose que je ne réussis pas à entendre, mais qui les fait rire tous les deux, et cela m’agace un peu plus.L’image se coupe à nouveau, puis une nouvelle apparaît. La caméra filme maintenant un parking qui parait proche du palais des sports, et on aperçoit effectivement le camping-car de Dominique. L’image du véhicule se rapproche. Par la porte grande ouverte on peut entendre la musique car le volume sonore est plutôt élevé. Le cameraman entre dans l’habitacle, pointant son objectif sur les occupants :
• — Je vous présente mes amis, Dominique et sa putain. Oups… pardon !… il ne faut pas les déranger, je pense !
La voix s’est faite chuchotement car le spectacle qui apparaît est absolument incroyable. Ma femme est assise dans le fond du véhicule, les jambes relevées en appui sur le bord de la banquette, la tête renversée vers l’arrière, tandis que mon collègue est agenouillé devant elle, le visage plaqué contre son bas-ventre. Rachid s’est un peu reculé mais n’est pas sorti du camion, et ne parle plus. Il zoom sur le couple, d’abord sur Virginie, s’attardant bien évidemment sur l’alléchante poitrine partiellement dénudée, puis l’objectif descend vers mon collègue, mais comme il tourne le dos on ne voit rien de ce qu’il fait. Rachid se lève,
car l’image prend subitement de la hauteur et se rapproche du couple. La musique est suffisamment forte pour qu’ils ne l’entendent pas., le cameraman du dimanche se rince l’œil à bon compte, filmant maintenant en plongée le décolleté affolant de mon épouse, puis descendant le long de son ventre.
Je découvre en gros plan le visage de mon collègue, enfoui entre les cuisses de sa putain, sa langue dardée qui lui fouille la chatte, léchant les lèvres roses qu’il tient écartées avec deux doigts. La scène m’hypnotise littéralement et, malgré la colère, je sens très vite venir une érection. Ma femme lui caresse doucement les cheveux :Rachid zoom encore un peu plus, jusqu’à voir distinctement le clitoris que la pointe de la langue vient chatouiller. Le petit bouton est dressé, gonflé, et sa putain, qui tire les lèvres de sa vulve vers le haut pour le dégager, frémit à chaque coup de langue dessus. De temps en temps Dominique relève la tête pour vérifier l’effet de son petit traitement.Sa langue glisse le long de la vulve mouillée puis, par petites touches rapides, s’insinue dans le vagin avant de remonter vers le clitoris et de le titiller, faisant trembler sa partenaire. Le salaud sait y faire, il n’y a pas de doute, et il doit se régaler du splendide clito qu’elle lui offre.
Le vide couille du maître , qui a dû sentir la présence de Rachid, ouvre les yeux et, apercevant la caméra qui les filme, se contente de dire en souriant :
• — Tu vas avoir des souvenirs, hein mon cocu !
Elle dégrafe les derniers boutons, révélant à la caméra sa voluptueuse poitrine. Rachid zoome sur les deux superbes melons aux aréoles brunes, rondes et gonflées, qu’elle caresse en regardant la caméra, un petit sourire sur les lèvres.Elle les prend par dessous en les remontant, mettant en valeur leur taille et leur galbe parfait , sa me rend dingue de jalousie mais , surtout, m’excite terriblement.Mon collègue, qui s’est redressé, prend le relais pour filmer la scène. Complètement abasourdi, je vois Rachid ouvrir son pantalon et en extirper un pénis de belle taille, long et droit, avec un gland bien renflé.Il fait glisser son pantalon au sol, met un genou sur la banquette et se rapproche de ma femme qui referme sa bouche sur la verge brune.Rachid sourit, la regardant faire.La vision du vide couille, les seins nus, la chatte à l’air, la bouche déformée par la verge gonflée et bien raide, est surréaliste. Je m’en veux de l’avoir laissée partir avec ces deux lascars, mais comment pouvait on refuser , mon collègue de boulot voulait sa putain , Et il zoom sur le visage de mon épouse, qui s’active sur le membre imposant de son ami. Rachid arbore un pénis plus gros que la moyenne, très veiné, terminé par un gland brun et conique. Je vois distinctement les lèvres qui repoussent la peau, avalant le sexe, puis refluent jusqu’au gland pour le lécher et le sucer. Le maître fait un gros plan sur le gland lisse et brillant que la langue de sa putain excite consciencieusement tout en massant les bourses, pressant les gros testicules entre ses doigts. j’ai une trique de dingue et, dégageant ma queue, je me masturbe en la regardant faire.La putain lance un regard interrogateur à Rachid, qui lui fait signe de continuer. Prise de frénésie, elle se met à branler la verge et à la sucer avec un appétit féroce. Le maître a pris un peu de recul et filme Rachid, les reins cambrés, le bassin projeté vers l’avant, se faisant bouffer la bite par son vide couille. Elle semble s’en régaler, l’avalant presque complètement, sa tête allant et venant sur le pieu de chair hérissé à une cadence endiablée.
Mon collègue zoom sur le sexe de Rachid qui disparaît presque complètement dans la bouche affamée, et je distingue parfaitement le sursaut de sa partenaire quand il éjacule.Ma femme , oups sa putain a gardé la verge dans sa bouche, regardant Rachid dans les yeux tandis qu’il se décharge longuement, et j’imagine sans peine la semence tiède et épaisse qui coule dans sa gorge. Doucement, elle lèche le membre, le nettoyant de toute trace de sperme, puis elle le libère et tourne la tête vers la caméra, toute souriante.Mon collègue zoom sur le visage de ma femme , filmant le liquide laiteux qui coule le long de son menton. Visiblement ma femme a bu la plus grande partie de l’éjaculation.Tout en parlant il filme mon épouse de haut en bas, offrant au spectateur une vue privilégiée sur une magnifique paire de seins, bien rebondis, aux pointes hérissées, gorgées de désir et sur la vulve bombée, couverte d’une fine toison noire, encadrant des lèvres plissées et brillantes d’humidité. Dominique tend la caméra à son compère, quitte son pantalon, et s’approche de son vide couille, arborant une superbe érection.Sans dire un mot il lui retrousse la jupe sur le ventre, lui relève une jambe, dégageant son bas-ventre.Rachid focalise l’objectif sur le pénis arqué qui caresse la vulve entrouverte, puis fait un gros plan , je vois le gland lisse et brillant s’enfoncer tout doucement entre les lèvres roses, puis la verge tout entière.Il est complètement enfoncé en elle, ses cuisses au contact des fesses rebondis, et lui caresse les hanches.Il se retire doucement puis je vois sa queue bien raide plonger à nouveau dans les entrailles de mon épouse qui l’accueille, les cuisses largement ouvertes. Rachid filme le membre courbe et épais qui se met à aller et venir, d’abord lentement puis le rythme s’accélère. J’entends par moment les râles de plaisir que lâche la putain quand le maître la pénètre un peu plus profondément. il sait utiliser son sexe, à en juger les plaintes de ma femme à chaque pénétration’espace réduit du camping-car ne facilite pas les mouvements, obligeant les occupants à faire de la gymnastique pour changer de place. Le maître lui écarte les fesses et la pénètre d’une seule poussée, presque violemment. Il reste un instant immobile, puis entame un va-et-vient ample et profond, manifestant bruyamment son plaisir.Il la tringle vigoureusement, ce qu’elle a l’air d’apprécier à en juger les cris d’encouragement qui résonnent dans le camping-car. La petite table oscille sous les coups de boutoir encaissés par mon épouse, mais semble malgré tout résister.Je la vois onduler du bassin, la tête baissée, les yeux fermés, cherchant à s’empaler encore plus sur le membre qui la fourrage.Cette vidéo va t-elle restée confidentielle ou bien au contraire va-t-elle faire la joie de dizaines de spectateurs au cours de soirées entre copains de mon collègue de boulot ? Si c’est le cas j’imagine le nombre de gars, peut-être des copains, qui se sont branlés en regardant ma femme se faire sauter. Tout comme moi, qui m‘astique de plus en plus fort en les regardant. Elle apprécie visiblement d’être ramonée de la sorte
Il se retire et, demandant à sa putain de l’aider, il déplie la banquette, laquelle, prenant appui sur la table, se transforme en un clin d’œil en un lit plus spacieux. Le maître se couche sur le dos, invitant son vide couille à le chevaucher. Elle s’exécute et l’enjambe, se positionnant au-dessus de la verge dressée, la guide vers sa chatte et s’empale dessus en gémissant de plaisir. Cambrée, prenant appui sur les cuisses de son partenaire, la poitrine en avant, elle se met à onduler du bassin, cherchant les meilleures sensations.
Il s’est emparé des lourds mamelons qui se dressent fièrement au-dessus de lui, enfonçant ses doigts sans ménagements dans la chair souple et soyeuse, les malaxant avidement, et il en pince les pointes saillantes. Ses mains n’arrivent pas à englober totalement les seins, beaucoup trop gros pour elles.Sa putain se penche vers lui, offrant à la bouche impatiente de son partenaire ses deux magnifiques joyaux, dont il s’empresse de sucer les tétons gonflés. Puis ce que je redoute ne tarde pas à se produire. Rachid, qui a posé la caméra, l’orientant vers le lit, s’approche du vide couille, lui écarte les fesses, dévoilant le sillon d’une croupe magnifique, ronde et bien charnue. Cela me permet de voir distinctement la queue enfoncée dans le vagin, qui va-et-vient lentement, et juste au-dessus la petite rosette brune et plissée de l’anus.Ce qui va suivre est logique, dans l’état d’excitation où ils sont tout les trois, Ils vont la baiser ensemble, la prendre par ses deux orifices et me faire doublement cocu, moi .Ils ont du bien rigoler les salauds !Rachid se rapproche, dépose un filet de salive puis caresse la petite rondelle du bout de l’index, en petits mouvements concentriques. Son érection témoigne de son désir pour ma femme, et je dois reconnaître qu’il a un sacré braquemart, long et épais, formidablement dressé, prêt à s’engouffrer dans la croupe pulpeuse qu’elle lui présente. Il introduit un doigt tout entier, puis deux, fourrageant doucement l’anus qui se détend, allant et venant doucement. Son autre main caresse les fesses nues, les claquant de temps à autre. À l’introduction du doigt ma femme s’est crispée, puis rapidement se détend, embrassée à pleine bouche par mon collègue ,Après lui avoir bien assoupli l’anus, il crache sur son sexe puis, le guidant d’une main, il l’appuie sur le petit orifice qui lentement cède sous la pression du gland, lequel s’enfonce peu à peu entre les fesses rondes.
Il patiente quelques instants, puis progressivement il lui pénètre totalement l’anus, sans qu’elle en souffre, à mon grand étonnement. Elle semble avoir une capacité de dilatation tout à fait étonnante, car l’imposante bite glisse facilement, plongeant dans les profondeurs secrètes jamais dévoilées. Sous mes yeux effarés, ma femme se fait sodomiser, Dominique, qui a stoppé ses mouvements pendant l’introduction, reprend progressivement ses va-et-vient, en alternance avec Rachid qui fouille maintenant vigoureusement dans l’intimité de mon épouse. Je l’entends crier comme jamais elle n’a crié, secouée par les coups de boutoir de ses deux amis.Je contemple les deux bites pleines d’énergie qui vont et viennent en cadence, pilonnant la croupe offerte, dévastant l’intimité de mon épouse. Elle doit le sentir passer, pensé-je, et prendre un pied pas possible. Le plaisir évident qu’elle prend, là, sur l’écran, m’excite terriblement, augmentant mon érection et je me branle de plus belle.en regardant la putain du maître prise en sandwich entre les deux compères, se faire défoncer par leurs formidables pieux de chair, et en même temps j’ai une trique d’enfer. Nue, le corps peloté par les mains fébriles qui pétrissent les seins, claquent ses fesses, elle s’abandonne aux assauts énergiques de ses deux amants, tandis que je me branle frénétiquement en l’écoutant hurler son bonheur.À leurs cris je comprends qu’ils viennent de jouir, presque en même temps, profondément plantés en elle. Ils soufflent comme des bêtes, et j’imagine leur foutre bouillant qui jaillit abondamment, noyant ses orifices intimes. La putain a joui également, car son corps est traversé de tremblements, tandis que ses deux partenaires s’activent encore en elle. Ils doivent lui mettre une sacrée dose !Son orgasme déclenche le mien et j’éjacule copieusement sur le tapis du salon.Finalement Rachid, puis mon collègue se dégagent, s’écroulant de chaque côté de mon épouse, qui se tient à quatre pattes, l’intérieur des cuisses couvert du liquide crémeux qui s’écoule de son vagin et de son anus dilaté.
Je reste assis sur le canapé du salon, mon sexe encore raide, excité par le spectacle auquel je viens d’assister.
le camping-car était rentré au petit matin. J’avais discuté un peu avec mon colègue et Rachid avant qu’ils repartent et me femme s’était couchée, exténuée.!
Les jours suivants elle avait été de très bonne humeur, me parlant sans cesse de cette excellente soirée au concert, ce que je comprends mieux aujourd’hui.
Quand on est bien baisée…