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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#42185
Quand j'exerçais mes fonctions de formatrice à l'IUFM, il m'est arrivé plusieurs années de suite de travailler dans une équipe de formateurs où se trouvait Paul, un prof de français avec qui j'ai rapidement sympathisé. Chaque fois que nous nous rencontrions, nous échangions très naturellement et partagions les mêmes goûts littéraires. À midi, il nous arrivait de déjeuner ensemble et j'appris assez rapidement qu'il était divorcé et vivait seul dans un appartement du centre ville. L'épreuve du divorce qui venait tout juste d'être prononcé n'incitait d'ailleurs pas ce presque cinquantenaire à se précipiter dans une nouvelle relation et il préférait pour un temps vivre seul. Il me confia qu'il avait des aventures passagères mais rien de très sérieux. C'était aussi une période où il avait eu l'occasion de réaliser un fantasme comme faire l'amour avec deux femmes. J'ai trouvé ses confidences très touchantes, j'ai apprécié son ouverture d'esprit, je lui ai parlé de moi, de Philippe, mon mari, de mon couple, et de là est née une certaine complicité. Paul rencontra mon mari un jour où ce dernier m'avait accompagnée à Metz et m'avait attendue à l'entrée du bâtiment. Je quittais les lieux en discutant comme souvent avec mon prof de français préféré et fis les présentations d'usage. On décida d'aller boire un verre ensemble et l'on discuta de choses et d'autres, histoire de faire connaissance car j'avais souvent parlé de ce collègue à mon mari. Paul était plus petit que Philippe et plus massif mais tout aussi sportif, adepte de la natation. Ce que j'aimais chez Paul, c’étaient ses yeux clairs, tour à tour vifs, doux, rieurs donnant à l'expression de son visage beaucoup de charme.

Un jour, Paul, qui voulait me prêter un livre, s'aperçut qu'il l'avait oublié. Il me proposa de passer chez lui le récupérer en fin de journée, ce que je fis avant de rejoindre la gare où je prenais le dernier train pour rentrer chez moi. Je fus impressionnée par la quantité de livres qui tapissaient les murs et par toutes les piles d'ouvrages en équilibre précaire qui recouvraient un large coin de la pièce où il m'avait fait entrer. Un grand canapé et un fauteuil en cuir, une table basse recouverte de revues et un très beau tapis d'orient protégeant un parquet en bois, une chaîne hifi sur un meuble haut avec des CD tout autour (du jazz, du blues, quelques classiques) et des haut-parleurs à même le sol donnaient à son intérieur une intimité dans laquelle je me sentais immédiatement à l'aise. Il vivait dans une sorte de désordre réconfortant. Il s'excusa de ne pas m'accueillir dans un endroit plus rangé, ce qui m'amusa, et me proposa à boire.
Je n'avais que très peu de temps et soudain, sans prévenir, je lui posai la question suivante : "As-tu déjà eu une expérience sexuelle avec un couple ?". Je ne sais pas si c'est parce que j'avais vu sur une des piles le livre de S Vizinczey Éloge des femmes mûres que j'avais lu quelques années auparavant et dans lequel je n'étais même plus sûre qu'un tel fantasme fût décrit, que cette question était sortie aussi naturellement de ma bouche. Toujours est-il qu'il revint avec 2 grands verres de jus de fruit et, avec un large sourire aux lèvres répondit : "Non, mais je suis dans une phase où je suis ouvert à toute proposition", et d'ajouter sur un ton malicieux "Et si en plus elle vient de toi, si tu fais allusion à ton couple... j'y réfléchirai... et qui sait ?" Un court silence se fit jusqu'au moment où il réalisa qu'il n'avait pas posé la question essentielle : "Pourquoi me demandes-tu ça ? Tu aimerais faire l'amour avec deux hommes ?". Je lui répondis que c'est une expérience que j'aimerais vivre un jour, qu'au niveau de notre couple on ne l'excluait pas et qu'il ne me déplairait pas de le faire avec lui. Je vidai mon verre, m'approchai de lui. Il me serra dans ses bras, me murmura à l'oreille : "D'accord". On s'embrassa. Nos lèvres se rencontrèrent pour la première fois puis nos langues inévitablement firent connaissance. Je dus abréger ce doux moment et filer à la gare.


Durant le voyage du retour, je réfléchis à la manière dont j’allais annoncer à Philippe la possibilité d’une relation intime à trois. Nous avions déjà abordé le sujet et étions ouverts à ce type d’expérience. Nous savions que nous saisirions l’opportunité si les conditions étaient réunies. Arrivée à la maison, j’avais mon idée. Comme souvent le soir quand nous nous retrouvions, je lui racontai ma journée, mais ce n’est que plus tard quand nous étions couchés et enlacés que j’évoquai mon passage dans l’appartement de Paul et le fait que nous nous étions embrassés. Cependant, je ne dis rien encore de la discussion à propos de la possibilité de faire l’amour à trois. L’évocation du baiser échangé excita mon mari qui me demanda de décrire la scène dans les moindres détails. Il m’embrassa, frotta son sexe en érection contre ma vulve et au cours de cette étreinte, je lui confiai que j'avais l'occasion de faire l’amour avec deux hommes : Paul était d’accord pour vivre cette expérience avec nous. Il n’en fallut pas plus à Philippe pour me désirer comme jamais, ce que je traduisis comme un accord à réaliser cette relation à trois, et ce soir-là, nous fîmes l’amour avec une ardeur renouvelée.


Le jour de la rencontre arriva. Paul nous invita chez lui, un samedi après-midi. Nous étions au mois de juin. Il faisait doux, presque chaud. J'étais vêtue d'une jupe légère fleurie, d'un débardeur moulant à fines bretelles assorti et d'une petite culotte blanche à dentelles. Aux pieds, des chaussures ouvertes avec un petit talon. Cette tenue plaisait à mon mari qui avant de partir m'embrassa et passa sa main sous la jupe puis sous ma culotte pour me palper les fesses. Il était déjà excité mais réfréna ses ardeurs.
Dans l'ascenseur qui montait au troisième étage où Paul habitait, Philippe me serra contre lui et me glissa à l'oreille un "Je t'aime", tout à fait inhabituel. Je lui fis un baiser prolongé sur les lèvres.
Paul, pieds nus, nous accueillit dans son salon, la pièce que je connaissais, dans laquelle je me sentais bien et qui était un peu plus rangée. Il avait préparé des boissons fraîches. D'instinct, mon mari s'approcha des étagères et se familiarisa avec sa bibliothèque. Peut-être était-ce aussi pour se donner une contenance. Moi, je n'avais pas envie de perdre de temps, retirai mes chaussures, m'approchai de Paul en mettant mon index droit sur la bouche pour lui signifier de ne rien dire, me plaçai de manière à ce que mon mari nous voie, et l'embrassai voluptueusement. Il se détendit en me caressant le dos, les fesses tout en répondant à mon baiser qui devint de plus en plus profond. Puis ses mains passèrent sous mon haut et l'une glissa devant pour caresser mes seins. Je remarquai que Philippe nous observait avec intérêt. Puis Paul remonta ma jupe pendant je l'embrassais dans le cou, caressa mes fesses d'abord sur, puis sous ma culotte. À ce moment mon mari s'approcha, se plaça derrière moi et fit glisser ma culotte pour la dégager. Je sentais déjà le désir monter tout comme je sentais le sexe de mon amant durcir contre ma vulve. Il m'enleva aussi le débardeur. Il restait la jupe. Je déboutonnai la chemise de Paul, la retirai et caressai son torse. Lui, continuait à caresser mes fesses et chuchota : "Hmmmm, c'est bon...". "Alors continue", dis-je. J'ouvris la tirette de ma jupe et quand il dégagea ses mains, elle glissa d'un coup par terre. Mon mari se déshabilla complètement pendant que je défaisais la ceinture puis le pantalon de Paul qui tomba sur ses chevilles. Il le dégagea rapidement. Pour la première fois de ma vie, je sentais quatre mains caresser mon corps, s’immiscer entre mes jambes, s’attarder sur mes fesses, mes seins, parcourir mon visage, mes cheveux, mon cou et deux bouches rejoindre les mains pour me lécher, me sucer les tétons, mordiller mes fesses. Je fermais les yeux pour mieux goûter les sensations que je ressentais et les frissons qui parcouraient mon corps ainsi offert. Je m’agrippai aux épaules de Paul puis ma main droite descendit le long de son torse, de son ventre et fis descendre doucement son slip qui rejoignit son pantalon. Je découvris son sexe gonflé de désir, le pris entre mes mains, le caressai en l’effleurant du bout des doigts.
J’entraînai ensuite mes deux hommes vers le canapé. Eux assis, moi à genoux en face d’eux, le sexe de mon mari dans ma main gauche, le sexe de Paul dans ma main droite. J’entrepris de les sucer et de les branler tour à tour, ma bouche passant d’une queue à l’autre et les regardant dans les yeux successivement pour y lire toute la satisfaction que leur prodiguaient ces caresses manuelles et buccales. Je le fis d’abord avec une infinie douceur puis mon mari pressa ma tête vers son ventre pour mieux enfoncer sa queue, prit ma tête entre ses mains et rythma la fellation. Autant j’aimais auparavant éprouver ce sentiment de possession en tenant ces deux virilités entre mes mains, autant j’aimais devenir l’instrument de plaisir que donnait une fellation guidée par mon mari. Paul regarda avec quel enthousiasme je m’appliquais à la tâche et je devinais que son sexe tendu cherchait d’autres sensations. Il se leva, Philippe en profita pour s’allonger sur le canapé, je le chevauchai de manière à pouvoir continuer à le sucer tout en lui offrant ma chatte déjà très humide qui ne réclamait que sa langue. Celle-ci ne tarda pas à se tortiller entre les grandes lèvres, à s’enfoncer le plus profondément possible dans la fente de mon vagin puis à ressortir pour se diriger vers mon sensible clitoris, et elle reprit cette alternance jusqu’au moment où ma chatte ainsi préparée s’offrit à la queue de mon amant placé derrière moi. Il en introduisit les premiers centimètres en une poussée lente et habile. Il agita son pénis d’avant en arrière à l’intérieur de moi, me tenant par les hanches et, très délibérément, se retirant, s’arrêtant, et puis s’enfonçant profondément à nouveau. Il augmenta graduellement ses élans, enflammant mon vagin. Tout en faisant coulisser mes lèvres humides sur le sexe de mon mari, le branlant de la main droite, câlinant ses couilles de la main gauche, je ne pus m’empêcher d’exprimer des gémissements de plaisir tout comme Philippe à qui s’offrait le spectacle torride de voir une queue aller et venir dans la chatte de sa femme.
Entre nous trois, la tension fut à son comble. Quand Paul accéléra ses derniers coups de reins, en lâchant un « Ça monte… », je tournai la tête vers lui pour voir son visage. À ce moment, il poussa un cri et déchargea, libérant son désir par saccades. Que c’est beau un homme qui jouit ! J’accélérai le rythme de mes caresses humides jusqu’à ce que je sente la résistance de mon mari prête à l’abandonner. Il venait de recevoir quelques gouttes de sperme sur son visage quand Paul se retira ce qui finit de le faire jouir intensément et je vins puissamment en même temps que j’accueillis sa semence au fond de ma gorge.

Nous roulâmes tous les trois sur le tapis, moi entre les deux hommes se reposant contre moi. Nos respirations revinrent à la normale, nos corps se détendirent. Un rayon de soleil s’infiltra et nous enveloppa d’une douce chaleur. Nous étions bien là, serrés l’un contre l’autre. Je savourais cet instant de retour au calme après cette première expérience d’amour à trois.
#47948
Tres bien ecrit ma foi! Meme si celà relève de l'maginaire, on devine que penser à la situation ainsi évoquée ne vous laisse pas indifferente! Vous avez du avoir un bon prof de lettre au lycee Charles Hermite!!
Ecrivez donc encore, essayez d'imaginer une deuxième rencontre!
U.
Qui est le plus ecité des deux? Votre mari quand il lit ou vous quand vous ecrivez? (En pensant que des tas d'inconnus vous lisent..)
#49393
Fantasme ou réalité peu importe il semble en effet que l'un des deux a tres envie de candaulisme et l'écrit sur ce site.
Je penche pour le fait que ce soit mme qui ait envie sans vraiment pouvoir le fair
Doit on vous encourager?
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par sergio
#68571
Un superbe récit tout en subtilité érotique. Pas une once de pornographie.
Bravo. Ton mari a du le lire plusieurs fois. Mais quant n'est-il de la suite?
Un prochain texte racontera-t-il la soirée complète?
par opiquet
#186946
annedieuze a écrit :ce n est pas un temoignage, mais un texte redigé pour faire jouir mon mari...


Je trouve cette réponse à la fois amusante et touchante. J'aimerais beaucoup être ledit mari et que mon épouse m'écrive ce genre de texte "pour me faire jouir". Ce serait bien qu'il prenne lui aussi la plume pour exciter sa bienaimée (et nous par la même occasion).
Voilà une bonne façon de communiquer dans un couple. Bravo, continuez.
#792128
Superbe recit que celui-ci, qu'il fut destiné au plaisir cerebral de votre mari et donc de votre couple, ou bien histoire vecue; pour vos plaisirs plus reels encore ! ....

C'est très joliment narré, et incite à l'évasion ... Merci et bravo encore m!

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