- 26 févr. 2016, 15:35
#1882461
La superficie de la pièce aide à installer une rapide et nécessaire promiscuité qui ne déplait à personne.
Sans trop de surprise, S s'approprie ma femme en l'allongeant sur le dos, les jambes écartées. S est dos à la porte, le matelas est surélevé à hauteur moyenne de la taille. Il se met à genoux et commence à dévorer Nana qui ne tarde pas à gémir doucement, elle est adorable, que de plus beau que de voir sa femme gémir sous les coups de langues d'un autre homme en sa présence ? Je pense que toutes les militantes féministes devraient œuvrer pour cela - le droit au cuni -.
En ce qui me concerne, je ne rate rien de la scène car je me trouve niché à la tête de Nana et observe le désir s'emparer de Nana. Avec ses cheveux long dispersés autour de sa tête avec quelques mèches sur les yeux elle est divine, S a l'air lui aussi aux anges et n'arrête pas de dire à Nana qu'elle est si bonne et si sucrée. Je lui caresse le visage et les cheveux pendant qu'elle se fait déguster, elle entre ouvre les yeux et me souris, je suis heureux.
Devant moi se trouve P qui a commencé à embrasser L et rapidement J s'interpose pour se faire sucer par L et P, elle sont superbes, ces deux femmes partageant un sexe masculin. J m'a l'air très en forme et je me dis à cet instant qu'heureusement que c'est S qui s'occupe de ma femme car elle qui a peur des gros sexes, ça pourrait tout lui couper.
La vision des fesses de P m'oblige à explorer son sexe avec les doigts, d'abord doucement avec des caresses qui frôlent à peine son entre jambes afin de m'assurer qu'elle est réceptive, ensuite franchement en commençant à faire des mouvement plus bref et rapide. Je me dis que cette femme part au quart de tour et cela me plaît beaucoup, je continue à lui faire du bien pendant qu'elle gémit et se dandine les fesses sous l'action de ma main qui elle commence à être totalement trempée.
L -l'américaine pour ceux qui ont du mal à suivre - se met en levrette afin de recevoir J, ce qui l'amène à être pile face à P (la parisienne, oui il est peut être nécessaire de recadrer un peu) qui se met à l'embrasser goulument. Je regarde à ma droite S s'est relevé et commence à frotter son sexe ayant pris une teinte rosée, couleur du préservatif. Il a envie de Nana et cela se voit. Il commence à la pénétrer doucement, je suis subjugué par ce moment où cet homme entre dans ma chérie, le visage de Nana change, elle grimace un peu, normale le sexe de S est rigide et il est très correctement membré, elle tourne la tête vers moi sans ouvrir les yeux et apprécie cet instant où elle se fait posséder par cet inconnu, elle gémit encore tout en sortant sa langue pour hydrater sa lèvre supérieure : "Quelle salope", me suis-je dit à ce moment en concluant sur cette réflexion interne : "...et je l'aime". Je voyais le corps de Nana qui commençait à bouger au rythme des mouvements imposés par les vas-et-viens de S dans ma femme, qui lui ne fermait nullement les yeux, surement pour ne pas rater une seule seconde, je le comprends.
Je me place en levrette derrière P qui est toujours en exploration dans la bouche de sa partenaire. Au début L gémit par à-coups puis plus distinctement, elle aussi rythmée par les coup de reins de son partenaire, elle est très jolie cette américaine, elle est également très salope, car elle n'arrête pas de regarder sa levrette claquée dans les miroirs. Je finie par me placer derrière P afin de compléter le tableau, et tout s'accéléra. A mon humble avis si nous demandons à tous les protagonistes de nous coucher sur papier - pixel ? - leurs ressentis, mais aussi et surtout la perception du temps, je pense que personne n'aura la même vision. Pour ma pars cela est passé tellement vite, comme dans un film où l'on aurait activé la touche "avance rapide", comment dit-on en anglais miss Baltimore ? Ah oui"forward". Aussi, après avoir pris soin de bien installé ce bout de latex offert à notre arrivée, j'ai fait cambrer P et l'ai pénétré quasiment en un centième de seconde, ce qui a eu pour effet de lui faire lâcher la bouche de son américaine, stoppant ainsi temporairement ses jeux lesbiens pour revenir à une levrette plus classique qui lui arraché un "Hummm, hummm, ah, ah...". En vérité ce n'était pas la seule à crier, Nana à coté gémissait de plus en plus fort, je voyais le sexe de S disparaître régulièrement en Nana, j'ai posé une main sur son sein gauche pendant que je claquais les fesses de P tout en caressant les cheveux de Baltimore girl qui elle gémissait - le mot exacte est sûrement hurlait - de plaisir sous les coups de J tout en se regardant dans le miroir proche de sa tête, j'entendais les fesses de L claquer, résultat des allers retours de son partenaire en elle.
La température commençait à beaucoup monter, ceci n'étant pas une métaphore car les corps commençaient à se mouiller de transpiration.
Je m'activais de plus en plus vite derrière P qui m'invitait à me dépasser encore en encore sans ménagement, elle aime le sexe "violent" me suis-je dit.
La vitesse de la scène continuant à s'accélérer de manière exponentielle, je n'avait plus aucune maîtrise de moi, je voulais réaliser plusieurs fantasmes et ces trois femmes, toutes les trois des salopes revendiquées sont presque à ma disposition. Je sors alors de P, enlève le morceau de faux plastique et libère mon sexe que j'enfonce dans la bouche de ma chérie qui je le vois est heureuse que je m’occupe aussi d'elle, elle commence à lécher, sucer, enfin bon nombre de chose qu'elle fait avec merveille. Mes doigts de la main gauche n'ont pas lâchés le sexe de P et je la doigte profondément, elle coule littéralement et là je perds les pédales : j'enfonce mon pénis dans la bouche de Nana, attrape de ma main gauche P par les cheveux que j'attire sur mon sexe, je maintien sa tête en place fermement avec ma main et fais de même avec ma femme : Deux femmes me sucent en même temps : "et oui J je suis toujours dans la course, tu n'es pas le seul à t'être fait une double fellation" me dis-je avec humour. Je rends Nana à son partenaire et embrasse L qui est encore plus délicieuse pendant qu'elle se fait entreprendre. Pendant ce temps P me suce toujours avec gourmandise, je crois qu'elle avait très envie que la température monte car elle fut encore plus gourmande après s'être fait un peu malmenée par les cheveux.
Je prends le temps d'admirer : c'est ça une partouze ? Non, une petite partouze, mais pas mal déjà, me suis-je dit.
J pris la parole en brisant cet atmosphère chaude des rêves de canicule que nous faisons en été :
- On switch non ? dit-il à l'attention de S qui besognait Nana de plus belle.
- On a le temps, non ? Répondit S l'air un peu agacé et reprenant instantanément son boulot des plus intéressant.
- C'est vrai, ok, on a le temps, il n'y a pas le feu. Répondit-il un peu à tout le monde, tout en continuant sa levrette intense.
Nous avons continué comme ça pendant une bonne dizaine de minutes avant que L ne sorte pour aller prendre un douche. J laissa la porte ouverte pour renouveler l'air et c'est avec plaisir que nous profitâmes de cette fraîcheur. Mais c'est avec encore plus de plaisir que les voyeurs se sont agglutinés devant cette petite porte restée ouverte. Ce n'était pas pour nous déplaire mais la circulation de l'air s'en est retrouvé bloquée. Nous ne pouvions fermer la porte car il manquait Baltimore à l'appel.
Sous les regards des épieurs apprentis, nous avons recommencé sans attendre l'américaine, j'ai retourné P pour entamer un missionnaire (oui je suis très classique parfois le gain de place aidant pour ce genre de position), qui claquât fort encore et encore.
Derrière nous je ne voyais pas vraiment ce qui se tramait mais apparemment J faisait comprendre à S qu'il devait partager Nana, un rapide coup d’œil me permis de voir que Nana était au dessus de J et avait son énorme sexe en elle, c'est le bruit de ses râles qui m'ont fait me retourner.
Je voyais ce sexe disparaître dans ma femme qui était entreprise par deux hommes fort endurant et plus qu'au "garde à vous". je voyais la scène au ralenti, le sexe de J entrait et sortait, rapidement, mais en même temps doucement, assez pour que tous les détails ressortent, comme si la scène était une succession de diapositives, photo par photo l'histoire avançait pendant qu'elle chevauchait cet homme l'autre lui enfonçait son sexe dans la bouche, je me souviens encore de chaque détail, je voyais les yeux de Nana se fermer et s'ouvrir pour sucer, pendant que son corps bougeait sous les coups de l'homme sous elle.
J était me semble-t-il très "fan" des seins de ma femme qu'il tétait encore et encore, je me souviens m'être fait la réflexion suivante :"cela va mal finir, tant pis pour lui" tout en disant à J :
- Tu ne devrais pas insister sur ses seins, dis-je à l'attention de J, qui se trouvait sous Nana, s'enfonçant en elle et lui tétant les seins. Tu ne devrais pas, répétais-je en me rendant compte que mes paroles s'évanouissaient dans les gémissements de ma femmes, le brouhaha de nos spectateurs les les cris de plus en plus intenses de P à mesure que qu’accélérait et que je m'enfonçais de plus en plus fort.
Je me suis laissé bercé par les gémissements de ma femmes se faisant tourner et retourner par ces deux hommes en retournant vers ma partenaire et en l'embrassant à pleine bouche pendant que je m'enfonçait encore plus fort en elle, quand j'y repense, cela faisait un tel bruit qu'on devait entendre ces claquement dans le couloir, ce qui avait pour résultat d'ameuter les badauds, me suis-je dit, et puis "bon au point où nous en sommes ça ne peut pas être pire, je suis dans une femme totalement inconnue, qui me demande de la baiser fort, une bonne dizaine de mecs nous regardent et ma femme est derrière prise entre deux mecs qui se la passe comme si elle était une friandise sexuelle - chose qu'elle est à ce moment là bien entendu -".
Les "clacs, clacs clac !" que faisaient le missionnaire endiablé dans lequel je m'étais lancé depuis déjà une bonne quinzaine de minutes fut stoppé par les râles cette fois de J et de S, je me souviens m'être dit à ce moment : "ah, bien ils ont jouis en même temps, parfait".
Second râle de J, et un "oh" de surprise S, à ce moment là je prends conscience de ce qui se passe dans mon dos et je me dis que ça y est...
Et en effet, j'avais raison ce qui devait arriver arriva, je me retourne pour constater les dégâts et vois la scène, tellement drôle que je ne peux m'empêcher de rire aux éclats. Je reviens vers P, quelques nouveaux vas-et-viens, mais de nouveau pris par un fou rire suite au nouveaux râles de J et de S. Pourtant ils continuent, me suis-je dit en sortant de P et en embrassant ses seins, puis en la prenant derrière la nuque afin de rapprocher nos lèvres pour un baiser. Je croise les regards des voyeurs qui sont obnubilés par ce qu'ils voient et appellent leurs "amis de fortune".
- Tu as vue cette nana ? Putain trop fort, elle est trop bonne, dit l'un des badauds que j'identifie comme l'homme qui se cache le sexe en entrant dans la piscine.
- Elle est superbe sa copine au mec, me dit un autre voyeur, tout en désignant ma femme comme la "copine" de J
Pour m'assurer qu'ils parlaient bien de Nana je lui demande : "Elle ? La petite ?".
- Ouai, elle est bien salope, me dit-il en ajoutant "c'est incroyable, j'aimerais trop moi".
- Oui, MA femme est bien, lui dis-je en esquissant un grand sourire.
Entre temps, P est venu se blottir dans mes bras afin de se mieux assister et comprendre ce se passe.
- Ah oui, quand même, rajoute P en me souriant, "je ne savais pas", finit-elle par dire, toujours arborant ce sourire.
J était dans la même position, à savoir sous Nana qui le chevauchait toujours, S était passablement trempé, mais c'est J qui était le plus touché, il avait le visage, le torse mouillés, et surtout la boucle remplie et ce n'était pas près de s'arrêter, me suis-je dit intérieurement en rajoutant à voix haute.
- Oui, j'avais pourtant dit de ne pas toucher à ses seins, maintenant bravo, on a tout mouillé de lait, paréos, serviettes et amants, ai-je dit tout en regardant la scène.
Fasciné par cette dernière car loin de se stopper les deux amants s'amusaient à lui presser les seins afin que le lait parte dans toutes les directions et surtout leurs bouches, ils en voulaient, encore et encore. C'est comme ça que Nana se faisait baiser, chevauchant un homme qui entrait en sortait de ma femme tout en goûtant avec gourmandise son lait maternel.
- C'est incroyable tellement il y en a, hurla presque J tout en baisant Nana, "c'est tellement sucré, je ne savais pas que c'était aussi bon", finit-il par dire en pressant le sein gauche de Nana qui laissa échapper trois jets longs et fins dans la bouche de J. S, lui gouta à la source et n'en fut que plus excité me confia-t-il plus tard dans la soirée.
- C'est super, elle a du lait qui sort de ses seins les gars ! Dit un flâneur avec un train de retard, tout en tirant périodiquement sur son sexe, nous exposant une érection semi-molle.
Avec P nous avons continué à nous embrasser et nous masturber mutuellement tout en regardant ce scène pendant encore une bonne dizaine de minutes, ni J, ni S n'étaient avec nous. Quand j'y repense, Nana non plus, ils formaient un trio, dont Nana est une friandise, ils l'ont baisés, sucés - tétés -, et quand elle fût vidée (soulagement de la belle d'avoir les seins vides), S s'est fait sucer une dernière fois pendant que J se réveillait sous Nana qui le chevauchait toujours, elle avait les fesses cambrées, et quand j'y repense, ma chérie, un sexe dans la bouche, cambrée sur un autre homme, l'aspergeant de lait je me dit que "en matière de fantasme, j'en ai réalisé un bon nombre aujourd'hui".
- J ? Lui dis-je, si tu veux te lâcher en elle vas-y, pas de souci, elle aime qu'un homme jouisse en elle (dans le préservatif, je précise) tout en pelotant P qui se détendait à mes côtés.
Je regrette juste que l'américaine ne soit pas revenue, je suis sur qu'elle aurait apprécié le spectacle et qui sais-je, l'aurais peut-être une fois de plus embrassé, "elle embrasse si bien, ça se dit comment en anglais ? Heu, you are a kiss goddess", me suis-je dit.
Ils ont bien dû faire des vas-et-viens encore une bonne demi douzaine de minutes, plus pour J et S qui ne voulaient plus lâcher Nana que réellement pour de la baise, ensuite nous sommes descendu prendre une douche et changer les paréos et serviettes trempées (de lait pour une grande partie), pendant la descente je tenais ma femme par la main, les voyeurs me regardaient partir avec celle qui était sans conteste l'une des plus salopes qu'ils aient vus, ils ont d'ailleurs pensés qu'elle était la femme de J, cette pensée m'excitait et je serais la main de Nana.
Pendant la douche - où nous étions seuls - je profitais de l'ambiance et de l'excitation encore présente pour aller encore plus loin et expliqua à Nana ce que j'avais ressenti en posant mes lèvres sur celles de L, l'américaine et mon trouble lorsqu'elle caressa les seins de L.
- L est mignonne non ? lançais-je de manière nonchalante en me savonnant le corps.
- Oui c'est vrai, ses seins sont agréables au touché, me dit-elle en me soudant l'esprit de son regard, me laissant une vue sur l'eau qui ruisselait sur son magnifique corps de nymphe.
- Elle embrasse comme une déesse (goddess ?), ça m'exciterais que tu embrasses une fille, L pourrait être cette fille, elle a les lèvres douces et très bon goût, lui dis-je sans trop y croire bien entendu tout en me tournant le visage vers le jet de la douche afin de me rincer.
- Ok, mais si c'est toi qui lui demande, me rétorque-t-elle si naturellement. Je crois qu'à ce moment là le monde plus rien n'avait de sens. La Terre, la théorie de la relativité, la matière noire, le modèle standard de la cosmologie, les mathématiques plus rien d'autres n'avaient de sens à cet instant.
Si je voulais rétablir l'ordre et ne pas sombrer l'univers dans un chaos totale laissant place à l'entropie, je devais faire quelque chose (hé hé hé). Une fois de plus je dois sauver le monde.
C'est en sortant des douches que nous sommes retombés sur l'américaine dans les bras d'un homme. Elle était tellement occupée avec cet homme que nous n'avons pas osé l'aborder de nouveau.
Après un petit tour dans la piscine-jacuzzi où J s'était réapproprié ma femme, nous sommes allés au bar où nous avons retrouvé S et P avec qui nous avons rapidement échangé (de numéro de téléphone et de mail) pour s'accorder sur de prochaines rencontres.
Nous n'avons pas recroisé J, ni L et sommes allés nous changer dans les vestiaires. Revenir à la case départ en haut de ces escaliers où se trouvent plusieurs petits casiers bleus me rendait un peu perplexe et désorienté, je regardait ma femme, mère de notre enfant se rhabiller - pour sûr elle est belle - et j'étais déjà un peu nostalgique ces moments que nous venions de passer.
P est passée nous voir dans les vestiaires pour nous dire au revoir et s'en alla heureuse me semblait-il de la soirée passée à nos côtés.
En finissant de nous rhabiller nos regards se sont croisés avec Nana et j'ai tout de suite compris que tout ce que nous venions de vivre n'était que le début de nos aventures. Cette pensées rayonna en moi, aussi brulant que le sourire de ma femme et aussi ardent que l'amour que je lui porte encore et toujours.
Je dédie ce récit à l'amour de ma vie : Nana
Mon corps est infidèle, mais mon coeur ne l’est point...
SVP on n’a pas MSN, on n’aime pas MSN, on discute sur le site et par tel si affinités...Laissez nous un commentaire
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