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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#187785
Merci Ethan de tes bons voeux, je te souhaite moi aussi une très bonne année.
Cela dit, non, Laurent ne confond pas. D'abord parce qu'il y a une relation particulière entre eux. Le fait qu'il ne la partage pas. Et là il s'agit d'un moment de tendresse et non d'amour. mais sait-on jamais.
En tous cas merci de tes commentaires, comme je le dis souvent, ce sont vos commentaires qui encouragent les auteurs à continuer. On a besoin de stimulant, de savoir que ça plaît, ça doit être bon pour notre égo.
Noste a liké
#188251
Et pour ça oui ça nous plait.
Que cette relation évolue ne change rien à l'amour que chacun porte à l'autre compagnon.
Qui sait si les deux amies ne vont pas apprendre à mieux ce connaitre.
Et les maîtres à mieux vivre leur passion commune en coopération !
l’impatience est grandissante après chaque épisode.
Et l'attente est toujours difficile.
Vivement la suite.
#190165
J'arrive, j'arrive!!! Je ne suis pas vraiment en panne d'inspiration, c'est surtout le temps qui me manque un peu. Mais bon, devant tant d'insistance impatiente, je vous livre l'épisode 32. Bonne lecture et merci de vos petits messages bien sympathiques.


Quand Margot devient chienne.
Margot voyage.

En descendant la passerelle de l’avion, Margot fut saisie. Saisie par la chaleur. Une chaleur moite qui montait du tarmac. C’était la saison des pluies et justement, une grosse averse était tombée à peine quelques minutes avant que l’Airbus de la Cameroun Airlines n’atterrisse à Douala. C’était une sensation curieuse. L’air chaud montait du sol et passait sous la courte jupe de Margot qui avait cru un instant que les réacteurs n’étaient pas éteints. A peine avait-elle parcouru quelques mètres pour rejoindre l’aérogare, qu’elle était trempée de sueur et de l’humidité ambiante. Si bien que son fin chemisier épousait parfaitement son buste et aucun détail ne pouvait échapper aux regards inquisiteurs des autres passagers et du personnel au sol. L’arrogance de ses tétons devait laisser rêveur plus d’un homme présent dans la file d’attente pour passer la douane, tout comme dans celle qui attendait l’arrivée d’un conjoint, d’un ami ou d’un parent, de l’autre côté de la vitre.
Ce fut son tour de passer devant le bureau du préposé. Elle tendit son passeport que l’homme prit machinalement sans relever le museau de son ordinateur. Lorsqu’il jeta enfin un œil sur le document, il leva vite son nez et resta comme pétrifié, la bouche ouverte, l’œil fixe sur, non pas le visage de Margot pour vérifier l’identité de la passagère, mais sur ses seins bien entendu. « BHV » se crut autorisé d’intervenir car le reste de la file d’attente s’impatientait. Il agita son propre passeport se qui déconcentra enfin le préposé. Il tamponna tout aussi machinalement les papiers de Margot et se saisit de celui de « BHV » sans pour autant quitter la poitrine humide de Margot qui avançait.
Ils parvinrent néanmoins dehors après avoir récupéré leurs bagages et ce ne fut pas sans mal, car traverser un hall bondé, fut-il celui d’un aéroport, n’est déjà pas commode, mais là, avec une Margot dévisagée par tous, la tâche fut rude. Mais une fois dehors ce n’était guère mieux. Une horde de chauffeurs de taxis et porteurs ou guides en tous genre se ruaient vers quiconque sortait de l’aérogare. « BHV » et Margot ne furent pas épargnés. Ils furent ballottés, poussés, tirés, c’était à qui pourrait s’attirer l’intérêt du couple. « BHV » criait autant qu’il pouvait qu’il n’avait pas besoin d’un taxi, pas plus que d’un guide, la meute les assaillait toujours.
C’est une voix de stentor qui les délivra en dispersant la foule des artisans taxi. Un géant noir de deux mètres au moins s’avançait vers eux, un sourire carnassier accroché à une bouche lippue. Il attrapa les valises comme de vulgaires petits sacs de supermarché et se dirigeât vers une voiture garée au milieu de la chaussée en grommelant vaguement quelques mots que « BHV » interpréta comme le signe qu’ils devaient le suivre. Ce qu’ils firent.
La voiture était une grosse Mercédès heureusement climatisée. Margot ressemblait de plus en plus à une serpillière sortie d’un seau d’eau. Elle dégoulinait littéralement. D’ailleurs ils apprécièrent tous les deux la fraicheur relative de l’automobile. Le géant se mit au volant et démarra aussitôt dans un crissement de pneus. Margot essayait de décoller son chemisier de sa peau mais en vain. Le chauffeur de la limousine ne manquait pas de ce rincer l’œil dans le rétroviseur qu’il avait orienté à dessein. Il ouvrit d’ailleurs des yeux comme des calots, lorsqu’elle pris les bords de sa jupe et qu’elle l’agita pour se donner de l’air. Non seulement il avait une vue imprenable sur ses cuisses, mais nul doute qu’il avait constaté l’absence de culotte ou du moindre string fusse-t-il ficelle. A tel point qu’un méga coup de klaxon le ramena à une autre réalité, on arrivait dans l’avenue de l’Indépendance. Pour autant, le grand noir était manifestement à l’aise dans cette circulation chaotique. Cela déboulait de partout. Le code de la route semblait ici être resté dans les placards des auto-écoles. Si bien que parfois, Margot se trouvait projetée sur « BHV » ou réciproquement. Lorsqu’ils arrivaient à garder leur équilibre, ils en profitaient pour regarder les belles maisons le long de l’avenue. Romain, le chauffeur s’était enfin présenté, leur détaillait ce qu’il voyait avec moult renseignements sur les occupants de certaines maisons, dont manifestement, tous n’étaient pas de ses amis. C’est en débouchant dans le boulevard de l’Unité qu’il expliquait qu’un méchant blanc s’était échappé avec la caisse de l’entreprise, voilà deux jours. Tous les policiers étaient sur les dents, mais lui pensait qu’il était déjà probablement au Gabon ou en Centre Afrique. A moins que ce soit au Nigéria. Là-bas c’est tous des bandits affirma-t-il.
La voiture bifurqua sur le boulevard du Président Ahidjo non sans avoir évitée un pauvre bougre attelé à une carriole miséreuse. La circulation était dense et il fallait plus ou moins zigzaguer entre les autres voitures, les carrioles, les vélos ou mobylettes d’un autre âge et les piétons ou vendeurs à la sauvette qui arpentaient l’une des avenues principales. A coups de klaxon et d’invectives, Romain finit par tourner dans le boulevard de la Liberté et pilla devant l’Akwa Palace, l’hôtel qui avait été réservé à leur intention pour leur séjour africain.
« BHV » et Margot étaient plutôt heureux de quitter ce monde de fou qu’est la circulation dans cette grande ville camerounaise, mais ils passèrent vite dans le hall de l’hôtel, tant la chaleur était accablante rien qu’en traversant le trottoir.
Là encore, Margot ne passa pas inaperçue. Le hall était très accueillant avec sa petite fontaine permanente et ces plantes exotiques. La climatisation et ces plantes donnaient une sensation de fraicheur bienfaisante lorsqu’on arrivait de l’extérieur. De grandes baies vitrées donnaient une vue sur la terrasse extérieure et la piscine de l’hôtel où quelques baigneurs bravaient les grosses chaleurs. A son entrée, toutes les paires d’yeux présentes convergèrent, selon le propriétaire, vers le visage de Margot ou ses seins, ou ses fesses mais toujours avec la même envie gourmande dans l’expression.
Le chauffeur-guide géant les avait précédés et transmettait au groom les valises qu’il avait sorties de la Mercédès. Le concierge leur remit la clef de leur chambre et ils furent guidés jusqu’aux ascenseurs, puis à la chambre. Enfin la chambre, une suite oui. Une salle de bain qui pouvait accueillir deux familles de réfugiés à Paris, un salon de cinquante mètres carrés, une chambre immense aussi donnant sur la piscine en dessous. On passera sur le dressing, le petit hall d’entrée, à peine si on aurait pu garer la Mercédès. Bref, leur hôte prenait soin d’eux.
Margot ne perdit pas de temps et fila en direction de la salle de bain tout en se déshabillant. Une bonne douche fraiche allait lui faire le plus grand bien se dit-elle et surtout des vêtements propres et secs. « BHV » avait ouvert la baie vitrée et se tenait sur le balcon où il regardait le paysage offert. Le groom toujours une valise à la main, ne perdait pas une miette de la vue lui non plus, mais pas de celle de l’extérieur. Margot ne prêtait aucune attention à ce petit noiraud et faisait des allers et venues entre la salle de bain et la chambre nue comme un ver. « BHV » en revenant dans le salon surprit le regard du groom. Ce dernier s’en aperçu et fut tout confus. Il posa la valise et se mit à regarder ses chaussures. « BHV » s’approcha de lui, fouilla dans une de ses poches et instantanément, le bras du préposé se tendit. Il ouvrit de grands yeux étonnés lorsqu’il vit ce qui reposait au creux de sa main. Puis son regard alla de « BHV » à sa main puis de sa main à « BHV ».
- ???
- Tu ne sais pas ce que c’est ?
- Si patron, je vois bien que c’est un préservatif. Mais pourquoi ?
- Tu as droit à un pourboire non ? Et j’ai vu que tu regardais ma femme. Alors va te servir.
- Hein ???!!
- Oh !!! Tu en fais des histoires. Tu le veux ton pourboire ou tu le veux pas ?
- Mais c’est que … Madame ne voudra pas.
- Mais si. Margot ! Viens ici je te prie.
- Oui Maître, qui y a-t-il ?
- Donne son pourboire à ce brave garçon.
- Mais … Je n’ai rien sur moi vous voyez bien.
- Je lui ai donné ce qu’il faut.
Le groom tendit fièrement son petit sachet contenant le préservatif.
- Mais … Maître, ce n’est pas possible !
- Comment ça ce n’est pas possible ? Fais lui ce qu’il veut et ne commence pas à discuter. Il faut nous préparer pour ce soir, on est attendu à diner. Alors dépêche toi.
Margot prit le groom par le bras et l’entraîna à sa suite dans la salle de bain. Elle retira la serviette qu’elle avait passée autour d’elle lorsque « BHV » l’avait appelée et fit signe au jeune homme de se déshabiller. Il s »exécuta assez maladroitement d’ailleurs et faillit perdre l’équilibre plusieurs fois. A la fin, il resta en slip, les bras ballant, hésitant comme un puceau. Malgré sa timidité, une jolie érection semblait se dessiner dans le coton petit bateau.
- Et bien, qu’attends-tu pour enlever ça ?
- Bien Ma’ame.
- Allez viens ici. Mais dis moi tu es rudement bien monté pour un jeune.
- Vous trouvez Ma’ame ?
- Un peu que je trouve.
Et Margot se saisit de l’objet de sa convoitise qui, aussitôt dans sa main, prit une taille plus que respectable et une raideur que plus d’une matraque lui envieraient. Elle le fit monter dans la baignoire et le suivit. Elle fit couler la douche et s’employa à nettoyer le bâton de manioc local. Le traitement conjugué du jet et de sa main finit de donner une taille à priori définitive à l’engin. Afin de parfaire le travaille, elle se pencha et emboucha l’objet autant que ses mâchoires distendues le lui permettaient. Le groom s’agrippa aussitôt à la tête de Margot et accompagna le mouvement, ponctuant le rythme de « ahans » significatifs. Margot n’en revenait pas. Malgré un bon morceau de la chose au fond de sa gorge, ses deux mains mises l’une au dessus de l’autre, ne suffisaient pas à envelopper complètement la queue noire. Elle se dit qu’elle allait la sentir passer quand sa chatte allait avaler ce pieu tout raide.
Elle lui fit signe d’enfiler la capote britannique et elle se retourna pour se positionner en levrette dans la baignoire. Le groom dont le gourdin donnait l’impression de vouloir éclater sa propre chair tant il bandait, comprit vite ce que la dame blanche attendait et s’avança jusqu’à l’entrée de cette vulve béante, coulante et gonflée de désir lubrique. Il avait du mal, malgré la situation bien réelle, à croire que cette chose était en train de lui arriver. Putain ! Se disait-il, je vais baiser une blanche. Une bonne salope blanche. En plus, c’est son mec qui me la prête ! Quand je vais dire ça à mes potes !!
Le jeune black prit sa bite à la main et branla le con ruisselant en de grands mouvements de bas en haut. La belle mouillait de plus belle. Son gland était enduit de cyprine odorante. Il se permit même de titiller le trou du cul qui semblait l’appeler. Puis, alors que Margot gémissait, il commença d’introduire son chibre petit à petit. Margot eut un petit cri et releva la tête sèchement lorsqu’elle sentit cette queue interminable lui défoncer la chatte. Elle avait beau avoir l’habitude et ne plus compter le nombre de bites qu’elle s’était prise, celle-là était d’un sacré beau calibre. Elle sentait bien qu’il la ménageait tout de même. Il s’enfonçait doucement, sans à coup, sans forcer. Mais néanmoins, lorsqu’il arriva au fond, Margot fit la grimace, pourtant il en restait dehors. Toute la bite n’était pas entrée. Il lui serra les hanches et commença un va et vient doux mais constant. Malgré la clim, les deux corps ruisselaient de transpiration. Le groom saisit les fesses de Margot afin de les écarter. Il voulait voir sa queue noire entrer dans cette chatte de blanche. Il aurait bien voulu prendre des photos pour faire baver ses collègues et amis. Il se permit même de glisser un doigt dans la rondelle brunâtre, comme ça, pour voir. Comme il n’y avait pas de réaction négative, c’était même le contraire lui sembla-t-il, il mouilla ses doigts à l’humidité abondante qui sortait de la chatte et enfila un deuxième doigt dans l’orifice. L’opération ne paraissait pas déplaire à la salope blanche. On dirait même qu’elle s’enfonçait elle même davantage sur la queue tendue. Encouragé, le jeune homme introduisit un troisième doigt. Toujours aucun rejet. Il se dit que le mari n’avait pas donné de consigne, qu’il avait dit qu’on pouvait se servir, alors tant qu’à faire, je vais l’enculer cette pute.
Alors que son braquemard disparaissait de plus en plus dans le ventre de Margot et que les trois doigts avaient bien évasé le trou du cul, le petit black se dit que c’était le bon moment. Il se retira entièrement du vagin et Margot sentit un grand vide tout d’un coup. Mais elle fut à peine surprise de sentir son anus investi par le pieu d’ébène lubrifié par sa propre mouille. Là aussi, il s’enfonça d’un trait régulier sans à coup. Là aussi elle le sentit passer. Son trou du cul s’habitua néanmoins rapidement au calibre et lorsque les couilles tapèrent sa chatte, il resta sans bouger. Vu le regard du groom, on peut penser qu’il n’en revenait pas lui même d’avoir pu enfoncer sa queue entièrement dans cet orifice. C’est Margot qui réagit la première en entamant un va et vient sur le baobab de l’autochtone. Lui se contentait de se tenir au bord de la baignoire alors que Margot coulissait d’elle même sur sa queue.
Le groom sentait la sève monter dans son tronc et Margot gémissait de plus en plus fort. Leur respiration à l’un et à l’autre s’accélérait au rythme des coups de rein. Margot commençait à râler et le black avait quasiment les yeux révulsés. Encore quelques coups et Margot se dégagea pour se retourner sur les genoux face à un geyser de foutre qui lui aspergea littéralement le corps. Elle en avait pris plein la poitrine. Elle dégoulinait de sperme. L’autre se branlait encore. Il voulait manifestement se vider les burnes à fond. D’ailleurs Margot se demandait d’où venait tout ce foutre. Il n’avait pas dû baiser depuis dix ans !
Margot se releva et lui fit un bisou sur ses grosses lèvres, puis elle ralluma la douche pour que le jeune puisse se laver.
- Bon, vous avez bientôt fini tous les deux ? Je te signal qu’on est attendu pour diner ! Et, d’autres réjouissances t’attendent ma Perle d’Afrique !
Noste a liké
#190472
ce petit déplacement en vacance à l'étranger, c'est une bonne idée.
Et c'est vrai, comme l'a dit "romagne" on est accro à cette histoire.
Merci pour le plaisir diffusé par cette aventure et vivement la suite.
#196621
Merci de vos commentaires les amis et désolé pour cet écart entre les épisodes mais ces derniers temps, j'ai un peu moins le loisir d'écrire. Soyez indulgent. Voici tout de même l'épisode 33. Bonne lecture et n'hésitez pas à me donner vos impressions.



Quand Margot devient chienne.
Le voyage continue.

Le bistrot latin. C’est là qu’une table avait été réservée pour le soir. C’est un charmant petit restaurant dans le quartier de Bonapriso, à la décoration raffinée dont la salle donne sur un jardin bien agréable. La table retenue était un peu à l’écart et les autres convives très sympathiques. Il y avait deux couples et deux hommes seuls, tous noirs. Margot avait bien tentée de s’intéresser à la conversation, mais une fois encore, elle avait lâché prise au bout d’un moment. Les termes employés étaient de l’hébreu pour elle. Mais il semblait que les autres femmes étaient dans le même cas. Hélas, les trois femmes n’étaient pas assises côte à côte, il leur était donc impossible de converser entre elles. Margot se demandait d’ailleurs bien de quoi elles auraient pu parler. La seule chose dont elle s’était aperçu, c’est que l’une d’entre elle surtout, ne faisait que lorgner dans son décolleté. Suivi en cela d’ailleurs par les quatre hommes présents. Certes pas avec insistance, cela aurait été déplacé. Mais, on pouvait penser que l’un comme l’autre connaissait le nombre de grains de beautés dont la naissance des seins de Margot étaient pourvu.
A la fin du diner, au demeurant excellent, l’un des hommes, qui semblait bien être un peu le supérieur de tous les autres, proposa que tous aille boire un verre à sa villa. Suggestion accueillie avec plaisir et tout ce petit monde prit la direction du parking.
« BHV » monta dans la berline de celui que Margot voyait comme le patron et elle même monta avec les deux femmes dans un quatre quatre conduit par un des hommes seuls. La position assise avait fait remonter sa robe déjà pas très longue et les deux femmes noires n’en perdaient pas une miette.
- Vous êtes très belle madame Margot.
- Merci c’est très gentil, mais je vous en prie, appelez-moi Margot, pas de madame entre nous si vous le voulez bien. Et je vous trouve aussi très jolies toutes les deux.
- Oh ! Madame margot, euh, pardon, Margot, vous êtes trop aimable. Nous voudrions bien être jolies comme vous. Mais nous sommes très touchées de votre compliment.
Disant cela, la black en avait profité pour poser sa main sur la cuisse de Margot. Comme ça, mine de rien. Mais elle ne la retirait pas sa main. Et voyant qu’aucune réaction de la propriétaire de la cuisse ne venait, la main s’enhardit. Elle caressa la peau doucement, presque sans bouger. Juste sur quelques millimètres.
- Vous avez une peau très fine Margot. Un plaisir sous la main.
- Merci du compliment.
Il n’en fallut pas plus pour que la main se laisse aller à une intrusion plus poussée. Margot n’avait rien contre et de toute façon, « BHV » avait dit, surtout de ne pas contrarier ces dames, elles pouvaient avoir une influence sur les maris. C’est donc un massage en règle de la cuisse qu’elle subissait. Comme Margot ne disait toujours rien alors que le véhicule avançait toujours, le bout des doigts s’égara quelque peu.
- Waouh !!! Margot ! Mais vous n’avez pas de culotte ???!!!
- Ah non, je n’en porte jamais.
- Mais c’est … Mais vous … Ah ça ! Je n’en reviens pas.
Elle n’en revenait pas, mais elle n’avait pas lâché la cuisse pour autant et même, elle avait carrément les doigts sur la chatte lisse de Margot.
- Mais ???!! Vous n’avez pas de poil non plus ??
- Ben non, je n’aime pas ça non plus. Pourquoi, vous en avez vous ?
- Oui, toutes les deux, mais on les taille bien sur.
- Il faudra me faire voir ça.
- Oh oui, avec grand plaisir. Je crois qu’on va bien s’amuser toutes les trois.
Alors que le chauffeur avait orienté son rétroviseur afin de bien se rincer l’œil, deux doigts fourbissaient la chatte de Margot qui sentait le plaisir monter dans son ventre. Elle se contorsionna pour parvenir à lever une jambe afin que l’accès à sa chatte soit plus aisé et surtout, qu’elle ressente plus de plaisir. Comment Marie (elles s’étaient quand même présentée en sortant du restaurant) a interprété cette manœuvre, on l’ignore mais toujours est-il que sans quitter la chatte, elle posa un doigt sur la rondelle de Margot qui gémit de plus belle. Se sentant encouragée, elle enfonça son doigt.
- Tu aimes te faire enculer aussi ?
La question était brutale, mais elle avait l’avantage d’être précise. Elle se précisait d’autant plus qu’un second doigt avait rejoint le premier alors que Joséphine, installée sur le siège avant gauche, tendait son bras au maximum pour tenter d’entrer elle aussi, un ou deux doigts dans la chatte de leur nouvelle copine de jeu.
- Oui, j’adore ça. Pas vous ?
- Bien sur qu’on aime ça ! Et plein d’autres choses, tu verras.
Margot avait jouit deux fois avant que le quatre quatre ne s’arrête devant une superbe villa au style colonial revisité. Chacune dans le véhicule avait pris soin de se refaire une allure présentable avant de descendre pour rejoindre les hommes autour de la piscine mais à l’abri sous le patio. Un boy apporta des rafraîchissements et ces messieurs reprirent leur conversation sans plus se soucier de la gente féminine. Après quelques instants et quelques gorgées de jus de mangue bien frais, sous l’impulsion de Marie qui semblait avoir prise sur son amie Joséphine, les trois femmes se levèrent et quittèrent l’ombre bienfaisante du patio.
- Je fais visiter la maison à notre nouvelle amie.
- Oui, oui, bien sur, amusez-vous bien les filles.
S’amuser, Marie y comptait bien. Son homme ne croyait pas si bien dire. Elle entraina les deux autres femmes dans son sillage et une fois passé le grand salon orné de trophées et de peau de bestioles en tout genres, ainsi que de sculptures en ébène ou en bois de fer plus ou moins monumentales, elle bifurqua dans un couloir qui menait aux chambres. En passant devant chacune d’elle, elle en ouvrait la porte afin de faire découvrir la décoration à Margot qui ouvrait des yeux comme des soucoupes. Non pas que ce soit particulièrement beau, même au contraire aurait-elle dit, mais c’était des décors pour le moins inattendus. Du rococo en passant par de grandes draperies lourdes et moches, du presque chinois au rustique normand, bref, du lourd quoi. Mais la pièce du fond réservait quelques surprises. C’est bien à ça que servent les pièces du fond, non ?
Le trio pénétra dans une espèce de grand salon. Il y avait plusieurs canapés installés de façon à former un carré fermé et une table basse en bois sculpté en son centre. Comble du luxe inutile, il y avait une cheminée et, perfection du raffinement, une peau de bête étalée devant le foyer ou rougeoyait un faux feu de bois. Du lourd quoi, c’est bien ce que je disais. Sur les murs des photos de la France. De partout. Le Mont Saint-Michel, l’arc de triomphe, la tour Eiffel évidemment, des paysages de corse, de Normandie ou de je ne sais où. Margot était impressionnée.
- Comment tu trouves notre petit nid margot ?
- Euh … Super votre petit nid. Ah oui, très beau.
- Merci, c’est gentil. Tu sais c’est moi qui ait fait toute la déco ! Et ça n’a pas été simple pour trouver tout ça, tu t’imagines bien. Mais bon, on n’est pas là pour acheter le fond hein ? Allez les filles venez vous asseoir par ici.
Margot se calla dans un des grands canapés et comme par hasard, elle se retrouva avec une fille de chaque côté d’elle. Joséphine semblait attendre que Marie commence les hostilités. Visiblement elle ne prenait jamais l’initiative. Marie était donc bien la dominante comme elle le pensait.
- Où on est là ? Parce que dans la voiture je n’ai pas vraiment suivi notre déplacement.
Marie avait posé sa main sur la cuisse de Margot. Elle remontait déjà le maigre tissu qui la voilait à peine et les doigts atteignaient l’aine. De son côté Joséphine baissait avec soin les bretelles de la robe et les seins ne tardèrent pas à se dévoiler.
- On est à Bonabéri, c’est de l’autre côté du Wouri. Par la fenêtre du salon on voit le port de Douala et côté entrée, on voit le mont Cameroun.
A propos de mont, c’est le mont de vénus qu’escaladait Marie. Puis elle chuta dans une crevasse très humide et enfonça toute sa main au fond du gouffre. De son côté, Joséphine bouffait les tétons de Margot.
- Putain, tu as vu Marie comme ils sont gros ?
- Fais voir Jo. Donne m’en un… Ah oui en effet, et bien dur ! Et regarde sa chatte comme elle mouille. Je crois qu’on va pouvoir lui faire goûter Victor.
- Hein ?! C’est qui Victor ?
- Tu vas voir ma salope, je crois que tu vas aimer, mais ce n’est pas encore le moment. C’est une surprise.

Joséphine se leva et se mit debout à cheval au dessus de Margot pour se faire à son tour bouffer la moule. Elle s’avança et prit la tête de Margot pour la coller sur sa chatte.
- Vas-y, bouffe moi !
- Merde !!! Mais c’est une vrai râpe à fromage ton pubis !!
- Ah bon, tu trouves ?
- La vache, oui ! Tu devrais les raser complètement ou les laisser plus longs.
- Ouais, je vais voir, en attendant bouffe ! J’ai trop envie de ta langue.
Pendant ce temps, Marie faisait un va et vient constant dans la chatte de Margot et on ne voyait qu’un bout de bras qui en sortait. De son autre main elle avait récupéré on ne sait où, un gode de belle taille qu’elle tentait d’insérer dans le trou du cul excité. Elle finit par y parvenir. Margot râlait tout en suçant la chatte de Joséphine qui coulait déjà abondamment, déversant son jus dans la bouche de Margot et même à côté. Les trois femelles en chaleur transpiraient autant de la chaleur ambiante que de l’excitation qui les tenaillait.
Joséphine poussait de petits cris, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, jusqu’à ce qu’elle pousse un feulement de tigresse et tomba sur le côté, secouée de tremblements et éjaculant un vrai jet d’eau discontinu. Margot la regardait jouir, le visage maculé du jus de la chatte qu’elle venait de branler avec sa langue. Même ses nibards luisaient, trempés de mouille.
Marie retira sa main du vagin de margot dans un bruit de succion, ainsi que le gros gode de son trou du cul. Elle se dirigea ensuite vers un coin de la pièce, du côté où un drap devait recouvrir quelque meuble fragile. Elle appela les deux autres femmes qui quittèrent le canapé pour la rejoindre. Marie attendit qu’elles soient à côté d’elle et agrippa un coin du drap qu’elle retira d’un seul geste.
- Voici la surprise Margot !!
- Waouh !!! Mais c’est incroyable ! Je n’ai jamais rien vu de pareil.
- Je m’en doute ma chérie. Et tu vas pouvoir l’essayer.
- Tu rêves ???!!!! Tu as vu le … la … Ce n’est pas possible !!!
- Mais si, mais si.
Noste a liké
par Ethan
#198591
et ben, je vois qu'elle profite bien de l'hospitalité africaine, notre petite Perle!
Vraiment de mieux en mieux. Décidément, plus tu écris mieux c'est, il te faut donc continuer pour t'améliorer encore (ou comment demander la suite de manière détournée).
Merci pour ces chapitres, ils sont extra.
par corsica2
#199506
Merci à tous pour vos compliments, cela fait toujours autant plaisir. Voici l'épisode 34, la fin du voyage africain. C'est un peu plus court que d'habitude mais ne soyez pas inquiet, l'histoire continue. Bonne lecture.


Quand Margot devient chienne.
Le voyage continue.

La première surprise passée, Margot n’en demeurait pas moins bouche bée. Marie et Joséphine, elles, étaient particulièrement contentes de l’effet produit sur leur copine blanche. Margot ouvrait et refermait la bouche sans qu’un mot n’en sorte. Finalement elle se décida d’avancer. Il fallait qu’elle touche. Elle n’en revenait toujours pas. Une fois à côté, elle s’agenouilla et caressa l’objet doucement.
- Alors Margot, comment trouves-tu mon Victor ?
- Je n’en reviens toujours pas Marie. C’est vraiment un bel objet. C’est magnifique. C’est en quoi ?
- C’est de l’ébène. Il te plaît ?
- Il faudrait être difficile. Bien sur qu’il me plaît.
- Vas-y, essaye !
Margot continua sa caresse. Pour autant, cette dernière n’avait aucun effet sur l’objet. Et pour cause, c’était un homme sculpté dans l’ébène. Mais un homme en taille réelle. Enfin réelle ! La tête, les jambes, les bras, le torse, etc., oui, mais le sexe était énorme. En fait on aurait dit un gisant mais avec une grosse bite en érection. Elle était légèrement orientée vers l’avant et manifestement, elle avait pas mal servi si on en jugeait à la patine du bois à cet endroit là. Un peu comme le gisant de Jim Morrison au cimetière du Père Lachaise à Paris.
Mais Margot hésitait. Pourtant à caresser ce morceau de bois sensuellement, elle sentait bien que ça coulait entre ses cuisses. Mais merde, quel gros dard tout de même. Il faisait au moins trente centimètre de long minimum et bien huit ou neuf de diamètre avec un gland particulièrement bien détaillé qu’on devait sentir passer.
- Alors, tu te décides ?! On voit bien que tu en meurs d’envie. La salope que tu es ne peut résister à l’appel d’une si jolie queue. Allez, monte la dessus, je vais t’aider.
Margot se laissa vite convaincre et en effet ne put résister à l’envie d’essayer un pareil engin, fut-il en bois d’ébène. Elle se positionna à cheval au dessus de la sculpture, aidée par les deux camerounaises aussi excitées qu’elle. Marie au passage lui passa la main entre les cuisses et lui fit remarquer que l’humidité abondante qui s’y trouvait suffirait largement à lubrifier le pieu lors de l’intromission. Enfin, plus exactement, elle lui a dit : « Ben dis donc ma salope, vu comme tu mouilles, ça va rentrer tout seul ! ».
Et de fait, lorsque Margot commença à se baisser, des gouttes de son jus tombaient sur la queue de bois. Petit à petit elle descendait jusqu’à sentir le bout du nœud à l’entrée de son vagin ruisselant. Le gland força à peine le passage et il fut avalé. Margot fermait les yeux et on voyait bien qu’elle se retenait quand même un peu. La raideur et la dureté du membre d’ébène l’apeuraient et elle faisait attention de ne pas se blesser. Elle descendait donc doucement et s’empalait centimètre par centimètre.
Pendant ce temps, les deux autres salopes noires la caressaient partout afin de maintenir un niveau d’excitation qui, elles l’espéraient, ferait oublier à Margot, la taille du morceau qui lui rentrait dans la chatte. Lorsqu’elles se croisaient sur un sein ou la bouche de l’empalée, elles ne perdaient pas non plus l’occasion de se rouler de bonnes grosses pelles baveuses. Puis Margot fut remplie. Le sexe d’ébène n’avait pas complètement disparu certes, mais on n’en voyait plus beaucoup. Sauf par moment car elle avait commencé un va et vient et il semblait bien que margot commençait à prendre son pied.
- Alors mesdames, on s’amuse bien ?
Les deux maris de ces dames et « BHV » venaient d’entrer dans la pièce. A moins qu’ils aient observé le spectacle de ces femelles en chaleur depuis un bon moment. Toujours est-il que le trio masculin entourait le trio féminin et que déjà, quelques mains s’égaraient.
- Comment trouvez-vous Victor Margot ?
- Oh !!! Très bien dit-elle sans pour autant arrêter ses pistons.
- Ce modèle est-il à votre convenance ?
- Il m’effrayait bien un peu au début je l’avoue, mais je crois que j’y prends goût.
- J’en ai l’impression, oui ! Si j’en juge au jus qui s’est rependu sur moi.
- Sur vous ????!!!!
- Ah oui, on ne vous a pas dit ? Cette statue d’ébène, et bien, j’en suis le modèle. Donc, ce sur quoi vous vous acharnez, c’est la réplique de ma queue.
- Hein ????!!!! Ce n’est pas possible !
- Mais si, mais si. D’ailleurs vous allez voir.
« BHV » regardait les deux blacks se déshabiller. Sa Perle le ravissait de plus en plus. Elle était vraiment devenue une belle salope avide de sexe. Et maintenant, plus grand chose ne la rebutait. La preuve se monstre qu’elle avait dans les entrailles. Et même pas humain. Et manifestement, elle allait avoir encore autre chose dans le cul sans tarder.
Les deux noirs étaient maintenant à poil, la queue raide comme la justice. Leurs femmes s’étaient écartées, laissant la place aux mâles dominants. Un des deux était venu s’asseoir sur la tête de la sculpture, face à Margot. L’autre lui a appuyé sur le dos la forçant à se pencher. Tellement qu’elle put emboucher la queue tendue qui se présentait à elle et commença une succion manifestement appréciée. Elle n’eut pas le loisir de se retourner pour voir ce qui avait servi de modèle au sculpteur se présenter à l’entrée de son petit trou. Petit, il ne le resta pas longtemps. Lubrifié avec ce qui coulait de la chatte empalée, le gland du même calibre que l’autre força l’entrée. Margot cria jusqu’à ce que l’anneau se referme sur le membre. Il resta un instant immobile. Il fallait bien que son trou du cul s’habitue à cet engin de destruction massive. Puis l’attrapant par les hanches il commença sa poussée. Doucement mais continue. Sans à coup mais sans arrêt. Des larmes perlaient aux yeux de Margot qui gardait la bouche ouverte dans un rictus de douleur. Elle ne criait plus mais cette queue lui défonçait le cul.
L’autre black l’avait laissée un moment récupérer puis il lui reprit la tête pour qu’elle le suce de nouveau. Derrière elle, le second avait commencé un va et vient long et lent. Alors que les deux autres femmes étaient en train de sucer « BHV », ce dernier pouvait voir la trentaine de centimètre de bite noire sortir presqu’entièrement du fion de sa Perle Africaine et replonger aussitôt jusqu’à la garde. Nul doute qu’elle devait la sentir passer. D’autant qu’elle se croisait avec celle encore plus dure qu’elle avait dans la chatte. Au rythme qu’adoptait Margot pour sucer son gros sucre d’orge, les deux noirs comprirent qu’elle avait fini par s’habituer aux deux bites d’ébène et même sans doute, y prenait-elle du plaisir. L’un et l’autre adoptèrent alors le même rythme chacun de leur côté et les gémissements ne tardèrent pas à devenir des cris pour finir en râles gutturaux assez rapidement. Si rapidement qu’alors que Margot prenait une grand giclée de foutre dans la bouche, l’autre derrière, a eut à peine le temps de se retirer du trou du cul et venir devant, que déjà, de grands jets de sperme atteignaient Margot sur les seins, le ventre et les cuisses.
On aida Margot à se retirer de la bite de bois dans un grand bruit de succion et elle s’affala, brisée, sur le gisant. Elle avait du foutre autour des lèvres, dans les cheveux, ça lui coulait partout sur le corps. « BHV » qui était venu s’asseoir à côté d’elle la prit dans ses bras. Elle se recroquevilla contre son torse comme pour se sentir protégée. Il déposa un baiser sur son front.
- On va rentrer à l’hôtel si tu veux bien ma Perle rare ?
Margot acquiesçât en silence mais se blottit davantage. « BHV » était content, il avait sa chienne.
par mic9210
#206120
Tres joli recit, j'ai pratiquement tout lu d'une seule traite et j'en redemande. Donc bravo a l'auteur et continuez de nous faire revez.
Et puisqu'il est encore temps, une bonne annee 2011, avec beaucoup de nouvelles avantures.
Et encore merci.
par Ethan
#206811
Je dois dire que je ne m'attendais pas du tout à ce qui se trouvait sous le drap mais je ne suis pas du tout déçu.
Effectivement, Margot est devenue une vraie chienne! Elle accepte de ces monstres dans ses orifices, on peut la fister facilement après de tels morceaux.
Vraiment corsica2, tu es mon maitre!
par corsica2
#210190
Bonjour et merci à tous de votre patience. Je manque un peu de temps pour écrire en cette période. Voici tout de même l'épisode 35. Bonne lecture et encore merci de vos encouragements. C'est toujours un plaisir de lire vos messages.


Quand Margot devient chienne.
Retour d’Afrique.

- Alors ce petit voyage en Afrique, cela c’est bien passé ?
- Très bien Laurent je vous remercie.
- Et avec Margot, pas de souci ?
- Non, non, elle est parfaite notre perle. Vous ne l’avez pas encore vu ?
- Non, je ne suis pas encore rentré à la maison.
- Alors dépêchez vous, je pense qu’elle était impatiente de vous retrouver.
- Oui, j’allais rentrer, je voulais juste vous saluer. Et puis j’aurai souhaité un entretien si vous le voulez bien.
- Mais bien sur mon cher Laurent. Rien de grave j’espère ?
- Non, mais je ne préfère pas en parler au téléphone.
- Oui bien sur. Alors voulez-vous demain soir chez moi ?
- Très bien, cela me convient tout à fait.
- Voulez-vous venir dîner avec Margot ?
- Euh … Non, je viendrai seul si vous le permettez.
- Comme il vous convient. Alors à demain.
- Bonsoir « BHV », à demain.

Lorsque Laurent est rentré, Margot courait dans toute la maison complètement à poil. Elle allait de la chambre à l’entrée, de l’entrée à la salle de bain puis retour à la chambre d’où elle ressortait avec un paquet de linge sous le bras direction la machine à laver. Laurent tout en déposant ses clefs de voiture sur le petit meuble de l’entrée et en mettant sa veste dans le placard, regardait d’un œil amusé, l’animation fébrile que mettait sa femme à elle toute seule.
Cette dernière, tant elle était concentrée sur son activité, ne vit pas de suite l’arrivée de son mari. Mais lorsqu’elle s’aperçut de sa présence, elle lâcha tout ce qu’elle tenait à ce moment là et courut vers lui pour lui sauter dans les bras en attachant ses jambes autour de sa taille. Elle lui embrassa le visage comme une mort de faim sur tous la surface, ne laissant aucun centimètre de peau sans baisers. Cette embrassade finit sur sa bouche où elle plongea sa langue comme pour en explorer chaque parcelle.
Laurent se dégagea afin de recouvrer son souffle que cette diablesse semblait vouloir lui faire perdre. Il la pris par les épaules pour l’écarter un peu de lui et la contempla.
- Tu es magnifique ma chérie. Tu sembles en pleine forme malgré le voyage. Ton petit séjour c’est bien passé ?
Mais déjà Margot s’acharnait sur la ceinture et les boutons du pantalon de son homme.
- On parlera de ça plus tard, là j’ai juste envie de toi mon amour.
Les gestes étaient adroits et la queue de Laurent eut tôt fait de surgir d’entre les pans de la braguette. Margot se jeta dessus sans plus de préalable. Elle engloutit d’un coup la tige déjà raide jusqu’au fond de sa gorge. Elle avait le nez quasiment disparu dans le pantalon, c’est dire à quel point elle avait avalé la chose. Elle recula la tête, des larmes au bord des yeux et tentait tant bien que mal de contenir des hauts le cœur. Mais à peine sa respiration retrouvée, elle replongea la bite au fond de sa bouche gourmande. Laurent avait bien du mal à résister à un traitement aussi vigoureux et lui fit savoir que si elle ne se retirait pas, elle avait se prendre une bonne giclée de foutre au fond de la gorge. Il tentait en même temps de repousser la tête de Margot toujours accrochée à sa queue comme un bigorneau à son rocher. Mais la bougresse résistait.
- Margot !! Attention à toi !!!
- Hummmmmmmm….
- Tant pis pour toi alors !
Et dans un grand râle venu du fond de son ventre, Laurent déchargea un paquet de foutre dans la bouche de Margot. Il n’en finissait pas de se vider par saccades. Chaque jet manquait de faire étouffer sa suceuse préférée. Elle déglutissait autant que possible afin de n’en pas perdre une goutte. Malgré tout, ça lui dégoulinait au coin des lèvres et déjà ses deux nibards étaient barbouillés de sperme épais. Enfin l’un cessa de se vider et l’autre récupéra sa respiration.
- Ben dit donc mon chéri, tu avais fait des réserves pour moi ?
- Non, mais j’avoue que tes talents de suceuse y sont sans doute pour quelque chose. Tu ne cesses de progresser dans ce domaine. Bravo ! Quel talent.
- Merci mon chéri. Mais tu ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte, non ?! À moins que ta soumise ne t’ait épuisé ?
- Non, non, pas de danger. Mais que veux-tu encore ?
- Viens dans la chambre je vais t’expliquer.
- Bon, si tu veux. J’arrive de suite, il faut que je passe par les toilettes avant, je te rejoins.
À son retour dans la chambre, Margot était à quatre pattes sur le lit, offrant son cul en gros plan. Laurent, pourtant habitué à ce genre de spectacle, se remit à bander instantanément. Il s’approcha du lit. Se mit à genoux derrière elle et plongea sa langue dans l’orifice béant et mouillé de sa chatte charnue. Il mettait de grands coups de langues remontant du clito jusqu’à l’anus qui frémissait à chaque passage. Après quelques allers et retours, il s’attarda sur la rosette qui s’entrouvrait sous l’excitation provoquée. Il continua son intromission linguale tout en fourrant deux puis trois doigts dans le vagin maintenant dégoulinant de cyprine chaude et visqueuse.
Sa bite lui faisait mal. Il bandait comme un cerf. Il ne pouvait plus attendre. Il monta sur le lit et présenta aussitôt le gland à l’entrée de l’orifice le plus étroit. Il était convenu, entre eux deux, de ne jamais poser de question concernant leurs activités parallèles. Ils avaient trouvé un parfait équilibre et coulaient des jours heureux. Pourtant merde, il lui semblait bien que ce trou du cul avait dû se prendre quelque chose de balaise récemment. Il ne demanda rien, mais …
De fait, son gland fut avalé. Comme aspiré. Il avait suffit qu’il lubrifie l’instrument dans le jus qui coulait abondamment pour que ça glisse tout seul. D’ailleurs le reste suivit aisément. Il lui sembla même que ce n’était pas lui qui avait enfoncé sa queue mais Margot qui s’était empalée dessus. C’est lorsque ses couilles vinrent battre la chatte de Margot qu’il se dit que quand même, ce « BHV », il en avait fait une sacrée belle salope. Insatiable et tiens prend ça dans ton cul, gourmande et tiens tu la sens bien celle-la, salope et tiens je suis au fond, finalement chienne et tiens prend mon jus dans ton ventre !
Les deux corps s’affaissèrent sur le lit, trempés de sueur, ahanant de concert, cherchant leur respiration. C’est margot qui récupéra le plus vite. Elle se remit à quatre pattes et se retourna pour sucer de nouveau la bite molle de Laurent. Du sperme coulait de son trou du cul. Laurent devait effectivement en avoir en réserve. Margot s’employa à lui nettoyer la queue, avalant tout le foutre qui ne l’avait pas emplie. Peut-être espérait-elle aussi redonner un peu de vigueur à cette chair molle, mais rien n’y fit et elle se résolut à abandonner sa tâche et se lova dans les bras de son homme. Il s’endormir tous les deux ainsi, repus, satisfaits, crevés.

Au petit matin, Laurent dormait encore comme un loir. À voir son visage, on devinait qu’il était plongé dans un rêve. Et apparemment un rêve plutôt agréable à en juger à ses expressions. Et puis ce léger mouvement du bassin ne laissait guère de doute.
Laurent voyait cette tête monter et descendre sur son ventre. Parfois il allait au devant. Sa queue le brûlait. Cette bouche était si bonne. Cette langue si coquine. Une main lui massait les boules alors qu’il sentait un doigt s’insinuer entre ses fesses et venir caresser sa rosette. Putain que c’était bon !!! Ne pas sortir de ce rêve !! Surtout ne pas en sortir ! C’est vraiment trop bon. Mais en se disant cela, c’était précisément ce qu’il faisait. Peu à peu il reprenait conscience. Les yeux à peine ouverts, il voyait toujours cette tête monter et descendre sur son ventre. Mais je rêve toujours ou quoi ? Pourtant cette bouche qui lui enserrait la bite semblait bien réelle. Il finit d’émerger et se mit sur les coudes.
- Déjà au travail chérie ?
- Ben je n’ai pas pu résister répondit-elle en se relevant un instant.
- Remarque, il y a pire comme réveil matin.
- Oui je suppose dit-elle en replongeant sa queue au fond de sa gorge.
- Mais tu es vraiment insatiable !
- Oui peut-être, mais hier je t’ai sucé et tu m’as enculée, mais tu ne m’as même pas baisée !!! J’ai un manque !
Et Margot retourna à son œuvre. Laurent se positionna plus à son aise et laissa sa femme finir de le mettre en forme. D’ailleurs le doigt qu’elle venait de lui mettre dans le cul venait de parfaire l’érection qui était déjà en bon chemin.
Satisfaite de son travail, Margot se releva et vint se mettre à califourchon au dessus de la queue tendue vers le ciel. Elle l’agrippa pour la diriger vers son antre au fur et à mesure qu’elle descendait. Elle mouillait tellement que des gouttes tombaient sur le gland et glissaient le long de la hampe, lubrifiant la chair qui allait la pénétrer.
Laurent qui regardait cette chatte béante aux lèvres charnues qui allait engloutir sa bite turgescente dans un instant, se disait que sa Margot faisait des prouesses avec lui. Il savait ne pas avoir un sexe extraordinaire. Mais le traitement qu’elle savait lui infliger, lui donnait l’impression qu’elle était tout d’un coup énorme. Margot venait de s’asseoir sur son pubis, sa bite au fond du vagin et Laurent se dit qu’il l’aimait comme un fou cette Margot. Ils avaient bien parfois quelques petites accroches, mais jamais de grosses disputes. Ils avaient énormément de goûts communs. Sexuellement, c’était de mieux en mieux. Leur vie était harmonieuse. Il se dit qu’il était heureux.
Margot avait commencé à onduler du bassin. Laurent fermait les yeux. Il avait agrippé les seins gonflés aux pointes érigés dans ses mains et les malaxait tendrement. Margot avait les mains derrière la tête qu’elle tenait en arrière. Son petit ventre musclé ondulait au rythme du bassin. La sève montait déjà dans la verge raide. Leur souffle s’accélérait, les gémissements devenaient râles, la sueur perlait sur le torse de Laurent et coulait entre les seins de Margot. Son bassin allait d’avant en arrière dans un rythme plus soutenu. Celui de Laurent se soulevait à la même cadence. Telle l’écuyère sur un cheval au galop, Margot se démenait sur sa monture à une allure soutenue. Malgré le rythme effréné, jamais la chatte de Margot ne s’était décollée du corps de Laurent. C’est uniquement avec les mouvements du bassin et ses muscles vaginaux qu’elle allait libérer toute l’énergie vitale de la queue de son amant. Les cris de l’une et les borborygmes de l’autre étaient maintenant à l’unisson. Laurent s’arc-bouta, raide comme la justice au moment où Margot fut prise de tremblements incontrôlables. Les deux corps étaient unis dans le même orgasme. Leur jouissance dura longtemps. Puis les muscles se relâchèrent. Laurent retomba comme inerte alors que Margot s’affaissait sur son torse tout aussi molle que lui.

Ils se rendormir tous les deux sans changer de position, anéantis par cet orgasme dévastateur mais tellement bon.
Cette fois ce fut Laurent qui émergea le premier. Il s’appliqua à couvrir le visage qu’il aimait de baisers tendres et doux. Margot se réveilla à son tour, un sourire accroché aux lèvres.
- Bonjour chéri ! Bien dormi ?
- Bonjour mon amour. Oui, très bien, mais il me semble avoir fait un drôle de rêve.
- Ah bon ? C’était agréable au moins ?
- Bof …
- OH !!!! Chameau !!!
- Margot ?
- Oui ?
- Je t’aime.
par Ethan
#211928
Ça fait bien longtemps qu'il n'y avait pas eu de chapitre consacré à Margot et Laurent, mine de rien, ça apporte quelque chose à l'histoire: la tendresse et l'amour, je suppose.
Quoiqu'il en soit, je ne suis tjs pas déçu et j'attends avec impatience la suite. Merci pour ce chapitre, corsica2.
#225826
Bonjour et désolé de vous avoir fait attendre la suite. Voici l'épisode 36. Bonne lecture.


Quand Margot devient chienne.
Du changement peut-être ?

- Ben dit donc, tu n’es même pas bronzée !! Ce n’était pas la peine d’aller en Afrique. Tu étais où d’ailleurs ?
- Au Cameroun. Mais je n’allais pas bronzer en si peu de temps. De plus il faisait très chaud mais le soleil est comme voilé en cette saison, alors.
- Ouais, et puis tu n’as pas dû être souvent à l’extérieur hein ?!
- Oh !!! Pour qui veux-tu me faire passer Anne ? Quand même !
- C’est ça oui, dis moi aussi que tu étais au couvent …
Les deux amies se retrouvaient une fois de plus dans leur club favori. Anne n’alla pas plus loin dans ses commentaires ou ses questions. Depuis le début il était convenu qu’elle n’en parlait pas entre elle. Chacune disparut à son cours et elles se retrouvèrent après à la douche.
- Anne, tu veux venir avec moi cette après-midi ?
- Cette après-midi, attend, euh … Non, je ne peux pas.
- Ah, dommage, je voulais qu’on fasse les magasins toutes les deux.
- Bien écoute, une autre fois avec plaisir, mais là, je ne suis pas libre.

Lorsque Laurent gara sa voiture sur le parking du château, ce début d’après-midi était très chaud. Le soleil était haut et la chaleur écrasait tout. Nous n’étions pourtant qu’à la fin du printemps. Mais à part un léger bruissement dans les feuillages provoqué par une brise légère, on n’entendait rien. Pas même les oiseaux habituellement si bruyants. Ils devaient eux aussi faire la sieste dans quelque havre de fraicheur.
Sur le parking, la voiture d’Anne était déjà là. Mais à part ça, l’endroit semblait désert. Laurent marcha jusqu’au perron et comme toujours, sorti de nul part, le croque-mort ouvrit la porte à son arrivée. Il le salua et poursuivit son chemin vers la tour et l’escalier de pierres froides. Au moins là, une douce fraicheur tempérait l’endroit. Il descendit calmement et poussa la porte de bois clouté. Aucun son si ce n’était le discret ronronnement de la climatisation. Il s’arrêta sur le seuil, laissant à ses yeux le temps de s’habituer à l’éclairage indirect.
Il retira sa veste qu’il déposa sur le dossier d’une chaise et avança de quelques pas. Anne était là. Juste un peu plus loin. Nue. À quatre pattes sur les tapis. Elle ne bougeait pas. Ne disait rien.
- Bonjour Féline.
- …
- BONJOUR FÉLINE !
- Pardon mon Maître, bonjour mon Maître.
- Tu ne m’as pas entendu ?
- Si bien sur, mais je n’étais pas sur que vous vouliez que je parle.
- Ah. Très bien, tu es pardonnée alors.
- Merci mon Maître.
Laurent fit le tour de Féline sans plus rien dire. Il passa le dos de sa main depuis son cou jusqu’à ses fesses. Un frisson lui parcourut l’échine. Il se baissa sur un genou et appuya sa caresse en épousant le galbe de ce cul si appétissant. Machinalement, Féline écarta davantage les cuisses. Laurent en profita pour s’aventurer entre.
- Mais dit moi ! Tu mouilles déjà ma salope ! Je t’ai à peine touchée !
- Mon Dieu, vous me faites un tel effet mon Maître !!!
- Je vois ça oui.
Laurent se releva et abandonna Féline juste un instant. Il se déshabilla entièrement et revint se mettre devant elle. Il se baissa et se mit à genoux, la queue en semi érection déjà. Naturellement, Féline tendit un peu le cou pour atteindre l’objet de son désir. Quelques petits coups de langues bien placés suffirent à faire relever la chose. C’est donc presque complètement raide que le sexe gonflé disparut entre les lèvres de sa suceuse préférée. D’ailleurs, les mouvements de succion qu’elle faisait avec sa langue et ses joues eurent tôt fait de parfaire la raideur du pieu de chair chaude. Laurent attrapa la tête de Féline et s’enfonça jusqu’au fond de sa gorge. Elle avait maintenant le nez dans la courte toison de son pubis et sa respiration se faisait plus difficile. Il lui permit donc de se dégager afin de retrouver son souffle mais elle reprit rapidement sa succion. Laurent la laissa faire à son rythme. C’était d’ailleurs fort agréable ainsi. Alors pourquoi changer quand c’est bon. Tout de même, au bout de quelques instants, il voulut calmer ses ardeurs, il ne voulait pas jouir de suite. Il avait d’autres projets. Il se retira donc et ordonna à Féline de se lever.
- Viens par ici ma salope ! J’ai envie de jouer un peu.
Il entraina sa soumise vers la croix. Laurent aimait bien cet engin. Surtout que cette croix permettait d’intervenir aussi bien devant que derrière tel que l’avait conçu « BHV ». Féline se mit d’elle même en position et il referma les bracelets de cuir sur ses quatre membres. Les pieds étaient pas mal écartés de telle sorte qu’on aurait pu passer entre ses cuisses sans la toucher. Mais en même temps, sa chatte s’en trouvait largement ouverte et accessible. Laurent commença par lui pincer les tétons. Il les étira. Ces derniers réagirent et durcir instantanément. Il se munit de pinces reliées entre elles par une chainette. Chaque téton fut saisi. Féline fit une légère grimace mais la douleur s’estompa bien vite faisant place à une douce chaleur irradiant ses seins que maintenant, Laurent étirait en s’étant reculé avec la chainette dans la main. Il accrocha cette chainette à une plus grosse chaine qui pendait du plafond. Ainsi, les tétons restaient en extension permanente. Ensuite il ressortit le gros gode monté sur le pied à manivelle et le plaça juste sous la chatte qui coulait déjà abondamment. Il se mit derrière et commença à tourner la manivelle. Une petite claque sur une fesse et la réaction fut instantanée, une giclée de cyprine lubrifia le phallus de silicone.
- S’il vous plaît mon Maître ?
- Oui Féline ?
- C’est que … Euh … Je …
- Oui quoi ? Que veux-tu ? Tu as mal ?
- Non mon Maître, ce n’est pas ça.
- Alors quoi ?
- C’est que j’ai une envie pressante …
- Tu as envies d’uriner, c’est ça ?
- Oui mon Maître.
Laurent se releva et revint se placer devant elle. Il retira le trépied impudique mais laissa les pinces de seins en place.
- Vas-y !
- Mais … Mon Maître … Vous ne me détachez pas ?
- Non, fais ici !
- Comme ça, devant vous ?
- Oui bien sur. Et tu vas aller doucement. Petit à petit. Compris ?!
Il se rapprocha de sa prisonnière et finalement retira les pinces de ses tétons. Féline fit une petite grimace de douleur lorsque les tétons furent libérés et qu’ils regagnèrent leur place initiale. Puis Laurent se colla quasiment au corps de sa soumise et lui mit sa main sur le sexe, comme une coquille. Il massa la vulve, écartant les lèvres, lubrifiant ses doigts tant Féline coulait. Puis, d’un coup, enfonça trois doigts dans la chatte béante et chaude.
- Vas-y maintenant pisse !
Féline ferma les yeux. Elle semblait se concentrer. La situation était inattendue mais au fond, cela l’excitait. Elle se laissa aller et la main de Laurent qui s’était agenouillé recueillit les premières gouttes. Il commença un va et vient alors que la pluie d’or lui coulait dans la main, puis le long du bras. Pour lui aussi c’était une première mais il avait d’instinct eu envie de cette expérience lorsque l’occasion c’était présentée. Il lui dit de s’arrêter et passa derrière elle. Sa queue était tendue au maximum. Il l’insinua entre les cuisses de Féline et lui demanda de se remettre à uriner sur sa bite. Le champagne se remit à couler. Il eut l’impression que son sexe avait encore grossi tant l’excitation le tenaillait. Sa queue était trempée et ses couilles aussi. Le liquide lui dégoulinait maintenant entre les cuisses. Il décida de la pénétrer. Féline continuait de couler, intarissable, et Laurent la baisait avec violence presque, l’animalité reprenant le dessus. Il se déchainait à grands coups de rein. La jouissance arriva vite. Il déchargea son foutre au fond de son ventre alors qu’enfin la source c’était tarie. Quand il se retira, retrouvant ses esprits, il fut sur que sa décision était la bonne.


- Alors mon cher Laurent, comment allez-vous ?
- Bien « BHV », bien, merci et vous même ?
- Oh moi, je vieilli mon ami.
- Ne dites pas de bêtises, vous êtes en pleine forme.
- Certes, je ne vais pas mal. Mais je n’ai plus vingt ans et parfois je suis fatigué. Il faut dire que j’ai eu une vie plutôt agitée.
- C’est juste un petit coup de mou, reposez-vous et cela ira mieux.
- Sans doute, sans doute. Mais au fait que me vaut l’honneur ? Vous vouliez m’entretenir, non ?
- Oui en effet. J’ai pris une décision. Ou plutôt je voudrais en prendre une mais sans vous je ne peux pas.
- Comment ça Laurent ? Que se passe-t-il ? Un problème ?
- Un problème, je ne sais pas, mais cela pourrait le devenir.
- Expliquez-vous, vous m’effrayez mon ami.
- Et bien … En fait … je voudrais deux choses et je ne peux rien faire sans vous.
- Ah bon ? Allez-y, dites.
- Je voudrais récupérer ma femme ou plutôt votre soumise et me séparer de la mienne. En d’autres termes, faire un échange. Je vous cède ma soumise contre la vôtre. Voilà.
- Ah !........
- Qu’en dites-vous ?
- Ce que j’en dis ? Que ça mérite réflexion.
- Vous ne seriez pas contre ?
- Écoutez, finalement je ne vais pas réfléchir du tout. J’accepte. Peut-être même que vous tombez bien. Inconsciemment je crois que j’aspire à une vie plus calme. Toutes ces soirées, garden-party, etc., je crois que j’en ai un peu assez. Je sais que Féline ne fonctionne qu’en exclusivité et cela me va très bien. Mais est-elle d’accord ? Et pourquoi cette décision ?
- Je ne lui en ai pas encore parlé mais si vous êtes d’accord pour la protéger, je vais le faire et lui en expliquer les raisons. Si j’ai voulu prendre cette décision c’est que je commence à avoir peur de tomber amoureux d’elle tout simplement. J’aime trop Margot pour lui faire ça et je crois savoir que vous ne laissez pas Féline indifférente.
- Sur le principe je suis d’accord. Mais vous savez que votre femme a désormais de gros besoin. Il vous faudra être à la hauteur.
- Vous pensez qu’elle voudra bien, elle ?
- Perle … euh Margot ?
- Oui.
- Tant que je suis son Maître elle m’obéira. A vous de prendre la suite.
- Très bien, alors, nous sommes d’accord ?
- Nous le sommes en effet. Cela ressemble un peu à des adieux, non ?
- Je crois en effet que ce sera mieux de ne plus se voir après.
- Alors adieu mon cher Laurent, je suis vraiment heureux de vous avoir connu et pas seulement pour votre femme croyez-moi. Vous êtes un chic type.
- Merci « BHV », j’ai moi aussi été ravi de vous côtoyer et je vous remercie pour ce que vous avez fait pour nous. Adieu donc.





Voilà la fin de cette histoire. Du moins de cette aventure. Honnêtement je ne sais plus trop comment articuler de nouveaux événements dans le cours de leur vie. C’est sans doute possible mais là, je cale un peu. Mais que mes fidèles lecteurs, que je remercie chaleureusement au passage pour leurs encouragements et leurs compliments, se rassurent, je reviendrai avec une nouvelle histoire, soyez-en certain.
nacra29 a liké
par Ethan
#225884
J'apprécie cette fin puisqu'elle est laissée ouverte à toute imagination.
Mais surtt j'apprécie que Laurent préfère se séparer de Féline plutôt que de tomber amoureux d'elle et de trahir la confiance de Margot.
J'ai vraiment l'impression que cette fin est la meilleure qui pouvait se faire.
Après tout, Margot et Laurent forment un couple candauliste avant toute chose, tomber amoureux d'une autre personne revient (pour moi) à briser le lien entre les 2 personnes formant ce genre de couple.
J'espère bientôt te lire de nouveau sur la toile. Merci corsica2.
par joelma
#251940
quel talent!
mais à quand la suite que nous attendons tous ?
nous imaginons margot dans cette aventure et notre corps tendu vibre avec impatiente .
merci de nous délivrer .
#1092380
superbe réçit,qui m'a bien tenue en haleine et bien excité...Une histoire passionnante,où j'ai adoré voir ces femmes passionnées de sexe et s'abandonner totalement à leur plaisir.....Félicitations!
par didso77
#1286653
ouarfffff je ne connaissais pas ce post et viens de tout lire dans la foulée. Eh beh je suis mainteant fatigué avec toute cette tension et cette excitation que l'auteur a su distiller. Je le remercie pour tout ce temps qu'il a passé à écrire afin de nous combler... Cela repésente des 10ains d'heures et peut être même des centaines oiur nous faire rêver.
Merci à lui

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