- 07 juin 2018, 19:36
#2172431
Tandis que je m’essuie et me rajuste, Jean caresse tendrement les cheveux d’Isabelle..
« Détends-toi, ma chérie… J’aime te voir faire ça… Plus tu es salope, plus tu es magnifique et plus je t’aime… »
Isabelle renifle et lâche un profond soupir. Elle reste silencieuse. Enfermée dans son monde contradictoire de plaisir et de honte. Elle est agitée de tremblements.
Elle entrouvre les lèvres et expulse lentement la semence qui emplit sa bouche.
En un long filet continu.
Elle ne peut pas voir que Jean a positionné son verre au niveau de ses seins pour récupérer la semence qui s’écoulait.
« Tss, Isabelle… Nos règles sont claires… tout ce qui est déposé dans votre bouche doit être avalé… »
Jean me tend son verre.
Saisissant le menton d’Isabelle, je porte la coupe à ses lèvres. Elle a un mouvement de recul en sentant le sperme tiède mêlé à sa salive couler à nouveau dans sa bouche, mais je vide la coupe jusqu’à la dernière goutte.
Puis je lui fais refermer la bouche du doigt.
Elle a une petite moue de dégoût puis déglutit plusieurs fois. Longuement.
Je lui fais rouvrir la bouche pour vérifier qu’elle a bien tout avalé cette fois.
« C’est bien Isabelle, je vous félicite pour votre effort. Nos amis utiliseront votre bouche avec préservatif, donc vous n’aurez pas à gouter d’autres semences ce soir. Ils seront juste autorisés à jouir sur vous. Ils ne jouiront ni dans votre bouche, ni dans votre sexe, ni dans votre anus… »
A suivre
« Détends-toi, ma chérie… J’aime te voir faire ça… Plus tu es salope, plus tu es magnifique et plus je t’aime… »
Isabelle renifle et lâche un profond soupir. Elle reste silencieuse. Enfermée dans son monde contradictoire de plaisir et de honte. Elle est agitée de tremblements.
Elle entrouvre les lèvres et expulse lentement la semence qui emplit sa bouche.
En un long filet continu.
Elle ne peut pas voir que Jean a positionné son verre au niveau de ses seins pour récupérer la semence qui s’écoulait.
« Tss, Isabelle… Nos règles sont claires… tout ce qui est déposé dans votre bouche doit être avalé… »
Jean me tend son verre.
Saisissant le menton d’Isabelle, je porte la coupe à ses lèvres. Elle a un mouvement de recul en sentant le sperme tiède mêlé à sa salive couler à nouveau dans sa bouche, mais je vide la coupe jusqu’à la dernière goutte.
Puis je lui fais refermer la bouche du doigt.
Elle a une petite moue de dégoût puis déglutit plusieurs fois. Longuement.
Je lui fais rouvrir la bouche pour vérifier qu’elle a bien tout avalé cette fois.
« C’est bien Isabelle, je vous félicite pour votre effort. Nos amis utiliseront votre bouche avec préservatif, donc vous n’aurez pas à gouter d’autres semences ce soir. Ils seront juste autorisés à jouir sur vous. Ils ne jouiront ni dans votre bouche, ni dans votre sexe, ni dans votre anus… »
A suivre
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 07 juin 2018, 22:31
#2172474
Le sperme continue de couler sur son menton. Elle respire fort. Je sais que le goût et la texture ne lui plaisent pas. Mais dépasser ses dégouts, vaincre ses tabous, se découvrir toujours plus chienne, plus soumise est le moteur de son excitation. Lâcher prise, perdre le contrôle lui permet de jouir en se dédouanant de la responsabilité de l’acte.
Si son visage est couvert de sperme, ce n’est pas elle qui l’a voulu. Elle se contente de la montée de la jouissance que lui procure cette sensation de honte.
Les trainées de sperme maculent également son buste, ses seins et coulent vers son ventre.
« Jean, il faudrait essuyer un peu le visage d’Isabelle des traces de ma jouissance. Comme elle n’a pas su la garder en elle… Il va falloir aussi nettoyer ses seins et son ventre avant que ça ne sèche… Qu’elle soit présentable pour nos amis qui vont enfin s’occuper d’elle ensuite… Voulez-vous que je le fasse ? »
« Non, non, Erwin, c’est gentil, mais je vais le faire… Il faut être indulgent, vous l’avez inondée… Quand je pense qu’il y a quelques mois, l’odeur même du sperme lui soulevait le cœur… Je suis fier de toi, ma chérie ».
Doucement, il commence à essuyer les lèvres d’Isabelle.
Ses gestes sont tendres, délicats. Pendant qu’il s’affaire, je m’adresse aux invités.
« Isabelle va bientôt être à vous… Vous êtes tous passés par la salle d’eau vous laver ? »
Tout en continuant à essuyer le visage de son épouse, Jean me répond :
« Oui, tout le monde y est allé, Erwin… de toute façon, ma chérie, si tu sens une odeur qui ne te plait pas… tu prononces le mot d’arrêt… »
Elle acquiesce du menton timidement. Pas un mot n’est sorti de sa bouche depuis que la soirée a commencé et que je lui ai demandé de poser sa coupe de champagne pour lui bander les yeux. Elle nous sait gré des précautions d'hygiène et de sécurité que nous prenons pour elle. ca a été un facteur primordial pour l'aider à lâcher prise.
Même si, hélas, ca ne nous a pas mis à l'abri de tout...
« Bien c’est parfait, vous pouvez vous mettre à l’aise, Isabelle va satisfaire toutes vos envies, tous vos fantasmes. Je vous rappelle qu’au moindre geste violent, à la moindre insulte, la soirée sera terminée… Quand vous serez prêts, Pensez à prendre le tube de vaseline et de bien en enduire votre sexe… pour éviter les échauffements. Les parties intimes d’Isabelle sont fragiles. Il faut y faire attention.»
Comme indifférent à mon discours, Jean ôte méticuleusement toutes les traces luisantes sur le visage, les seins et le ventre d’Isabelle.
« Ton nouveau rouge à lèvres est très bien, mon amour. Il n’a pratiquement pas bougé malgré les frottements de la queue d’Erwin . C’est incroyable… »
Le décalage entre ce que je viens de dire et la remarque de son mari arrache un long soupir à la belle. Elle sait ce qui l'attend... avec au bout cette jouissance folle qu'elle va connaitre.
Perdue quelque part entre fierté, honte, révolte et excitation de se voir si soumise.
A suivre…
Si son visage est couvert de sperme, ce n’est pas elle qui l’a voulu. Elle se contente de la montée de la jouissance que lui procure cette sensation de honte.
Les trainées de sperme maculent également son buste, ses seins et coulent vers son ventre.
« Jean, il faudrait essuyer un peu le visage d’Isabelle des traces de ma jouissance. Comme elle n’a pas su la garder en elle… Il va falloir aussi nettoyer ses seins et son ventre avant que ça ne sèche… Qu’elle soit présentable pour nos amis qui vont enfin s’occuper d’elle ensuite… Voulez-vous que je le fasse ? »
« Non, non, Erwin, c’est gentil, mais je vais le faire… Il faut être indulgent, vous l’avez inondée… Quand je pense qu’il y a quelques mois, l’odeur même du sperme lui soulevait le cœur… Je suis fier de toi, ma chérie ».
Doucement, il commence à essuyer les lèvres d’Isabelle.
Ses gestes sont tendres, délicats. Pendant qu’il s’affaire, je m’adresse aux invités.
« Isabelle va bientôt être à vous… Vous êtes tous passés par la salle d’eau vous laver ? »
Tout en continuant à essuyer le visage de son épouse, Jean me répond :
« Oui, tout le monde y est allé, Erwin… de toute façon, ma chérie, si tu sens une odeur qui ne te plait pas… tu prononces le mot d’arrêt… »
Elle acquiesce du menton timidement. Pas un mot n’est sorti de sa bouche depuis que la soirée a commencé et que je lui ai demandé de poser sa coupe de champagne pour lui bander les yeux. Elle nous sait gré des précautions d'hygiène et de sécurité que nous prenons pour elle. ca a été un facteur primordial pour l'aider à lâcher prise.
Même si, hélas, ca ne nous a pas mis à l'abri de tout...
« Bien c’est parfait, vous pouvez vous mettre à l’aise, Isabelle va satisfaire toutes vos envies, tous vos fantasmes. Je vous rappelle qu’au moindre geste violent, à la moindre insulte, la soirée sera terminée… Quand vous serez prêts, Pensez à prendre le tube de vaseline et de bien en enduire votre sexe… pour éviter les échauffements. Les parties intimes d’Isabelle sont fragiles. Il faut y faire attention.»
Comme indifférent à mon discours, Jean ôte méticuleusement toutes les traces luisantes sur le visage, les seins et le ventre d’Isabelle.
« Ton nouveau rouge à lèvres est très bien, mon amour. Il n’a pratiquement pas bougé malgré les frottements de la queue d’Erwin . C’est incroyable… »
Le décalage entre ce que je viens de dire et la remarque de son mari arrache un long soupir à la belle. Elle sait ce qui l'attend... avec au bout cette jouissance folle qu'elle va connaitre.
Perdue quelque part entre fierté, honte, révolte et excitation de se voir si soumise.
A suivre…
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 09 juin 2018, 19:36
#2173181
Je fais un petit essai avec un extrait de vidéo.
Je ne sais pas si je le referais car c'est très long pour recadrer et découper le film.
Il s'agit du moment ou Isabelle ne réussit pas à avaler le sperme. Elle le garde en bouche et le crache lentement. Cette séquence est assez forte je trouve.
Je ne sais pas si je le referais car c'est très long pour recadrer et découper le film.
Il s'agit du moment ou Isabelle ne réussit pas à avaler le sperme. Elle le garde en bouche et le crache lentement. Cette séquence est assez forte je trouve.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 09 juin 2018, 19:47
#2173182
C'est sans doute long à faire, mais quel bonheur pour le spectateur !!
Merci beaucoup, c'est une merveille.
Merci beaucoup, c'est une merveille.
- 10 juin 2018, 21:54
#2173579
juste merci, c'est érotique, excitant et extrêmement bien écrit
notre histoire: http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2443875#p2443875
en rose, c'est la miss qui écrit
en rose, c'est la miss qui écrit
- 11 juin 2018, 06:48
#2173661
Les images, le texte et maintenant la video......
Tout est magnifique, l'on ressent parfaitement bien l'intensité de la situation, la délicatesse, et le coté hyper sex....
Tout est magnifique, l'on ressent parfaitement bien l'intensité de la situation, la délicatesse, et le coté hyper sex....
- 11 juin 2018, 14:19
#2173835
Huummm, longtemps que je n'avais pas parcouru, à tort, ce délicieux récit merveilleusement illustré... Il est passionnant, captivant de par les mots choisis et les photos sublimes... Isabelle dégage une délicate sensualité et d'un érotisme brûlant. Fascinant !!!
- 24 juin 2018, 15:50
#2178973
L’atmosphère s’alourdit encore un peu.
Les hommes présents dans la pièce commencent à se mettre à l’aise. Mais l’ambiance reste feutrée. Les fermetures éclair se baissent, certains se mettent nus. Tous se masturbent.
Je fais relever Isabelle, pour la conduire vers ces hommes qu’elle a vus tout à l’heure pendant l’apéritif et qui vont désormais se succéder en elle, dans sa bouche, son ventre et ses reins, sans qu’elle sache jamais qui la prend et combien de temps ca va durer…
Jean s’approche de moi et attire mon attention sur un des hommes qui vient de sortir son sexe de son caleçon.
Le membre est hors norme. D’une épaisseur hors du commun.
Je chuchote à l’oreille de Jean :
« Isabelle va avoir bien du mal à le prendre en bouche… Ca devrait aller mais il faudra qu’il commence par ça. Il faudra aussi faire attention qu’il ne l’étouffe pas avec son engin… Pour son sexe, ça ira… Elle a déjà pris des godes plus gros que ça, mais à condition qu’il ne passe pas le premier et qu’elle soit déjà bien lubrifiée et bien ouverte. Mais par contre, il ne faudra pas qu’il la sodomise. Il va la déchirer ! On ne le connait pas… pour peu qu’il soit trop rude, c’est trop dangereux… »
Nous nous regardons. Indiquer à l’homme que lui seul ne pourra pas profiter du délice de prendre les reins de la belle risque de créer des tensions.
On ne peut pas tergiverser. Je décide.
Je murmure à l’oreille de Jean.
« Je sais… Pas de sodomie ce soir. Pas besoin de nous justifier… Nous nous en occuperons quand ils seront partis, si le cœur nous en dit… »
Je reprends Isabelle par le bras et, sans un mot, je la fais s’agenouiller à nouveau.
Aveugle sous son bandeau, elle tourne la tête en tous sens.
Appuyant sur son dos, entre ses épaules, je la fais se courber en avant jusqu’à ce que ses épaules touchent le sol.
« Ne vous inquiétez pas, ma belle. Petit changement de programme, mais qui ne changera rien à votre plaisir… Votre mari et moi avons décidé que vous ne seriez pas sodomisée ce soir… »
Elle soupire longuement, dans un souffle saccadé. Sûrement parce qu’elle est sûrement soulagée de n’avoir pas à subir les assauts pas toujours maîtrisés de ceux qui a prennent par sa voie étroite. Ses formes affolantes n’étant pas toujours de nature à apaiser les esprits des mâles présents. Mais aussi parce qu’elle réalise que c’est moi qui décide qui la sodomisera ou non. Et ce sentiment d’être dépossédée de son pouvoir de décision la heurte autant qu’il l’excite. Terrible dilemme : Recherche de la jouissance absolue ou dignité ? C’est ce grand écart aussi qui l’excite tant. Le cerveau humain est si complexe…
« Calmez-vous Isabelle… vous allez bientôt profitez des hommages de tous ceux que votre vue excite depuis maintenant deux heures.. »
J’effleure son œillet qui se rétracte sous mes doigts. Il est encore souple et échauffé par mes manipulations de tout à l’heure.
Isabelle renifle bruyamment. Et a un mouvement sur le côté, comme pour se dérober.
Jean s’approche, un peu inquiet. Isabelle serait-elle en train de sortir du jeu ?
Veut-elle arrêter le jeu ?
Il fait glisser son doigt entre ses lèvres pour vérifier son état d’excitation.
A suivre
Les hommes présents dans la pièce commencent à se mettre à l’aise. Mais l’ambiance reste feutrée. Les fermetures éclair se baissent, certains se mettent nus. Tous se masturbent.
Je fais relever Isabelle, pour la conduire vers ces hommes qu’elle a vus tout à l’heure pendant l’apéritif et qui vont désormais se succéder en elle, dans sa bouche, son ventre et ses reins, sans qu’elle sache jamais qui la prend et combien de temps ca va durer…
Jean s’approche de moi et attire mon attention sur un des hommes qui vient de sortir son sexe de son caleçon.
Le membre est hors norme. D’une épaisseur hors du commun.
Je chuchote à l’oreille de Jean :
« Isabelle va avoir bien du mal à le prendre en bouche… Ca devrait aller mais il faudra qu’il commence par ça. Il faudra aussi faire attention qu’il ne l’étouffe pas avec son engin… Pour son sexe, ça ira… Elle a déjà pris des godes plus gros que ça, mais à condition qu’il ne passe pas le premier et qu’elle soit déjà bien lubrifiée et bien ouverte. Mais par contre, il ne faudra pas qu’il la sodomise. Il va la déchirer ! On ne le connait pas… pour peu qu’il soit trop rude, c’est trop dangereux… »
Nous nous regardons. Indiquer à l’homme que lui seul ne pourra pas profiter du délice de prendre les reins de la belle risque de créer des tensions.
On ne peut pas tergiverser. Je décide.
Je murmure à l’oreille de Jean.
« Je sais… Pas de sodomie ce soir. Pas besoin de nous justifier… Nous nous en occuperons quand ils seront partis, si le cœur nous en dit… »
Je reprends Isabelle par le bras et, sans un mot, je la fais s’agenouiller à nouveau.
Aveugle sous son bandeau, elle tourne la tête en tous sens.
Appuyant sur son dos, entre ses épaules, je la fais se courber en avant jusqu’à ce que ses épaules touchent le sol.
« Ne vous inquiétez pas, ma belle. Petit changement de programme, mais qui ne changera rien à votre plaisir… Votre mari et moi avons décidé que vous ne seriez pas sodomisée ce soir… »
Elle soupire longuement, dans un souffle saccadé. Sûrement parce qu’elle est sûrement soulagée de n’avoir pas à subir les assauts pas toujours maîtrisés de ceux qui a prennent par sa voie étroite. Ses formes affolantes n’étant pas toujours de nature à apaiser les esprits des mâles présents. Mais aussi parce qu’elle réalise que c’est moi qui décide qui la sodomisera ou non. Et ce sentiment d’être dépossédée de son pouvoir de décision la heurte autant qu’il l’excite. Terrible dilemme : Recherche de la jouissance absolue ou dignité ? C’est ce grand écart aussi qui l’excite tant. Le cerveau humain est si complexe…
« Calmez-vous Isabelle… vous allez bientôt profitez des hommages de tous ceux que votre vue excite depuis maintenant deux heures.. »
J’effleure son œillet qui se rétracte sous mes doigts. Il est encore souple et échauffé par mes manipulations de tout à l’heure.
Isabelle renifle bruyamment. Et a un mouvement sur le côté, comme pour se dérober.
Jean s’approche, un peu inquiet. Isabelle serait-elle en train de sortir du jeu ?
Veut-elle arrêter le jeu ?
Il fait glisser son doigt entre ses lèvres pour vérifier son état d’excitation.
A suivre
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 24 juin 2018, 18:17
#2179036
Bravo et merci pour ce récit, aussi troublant et excitant à découvrir que passionnant à lire !
- 24 juin 2018, 18:19
#2179040
Isabelle franchement magnifique , un récit superbement raconter de jolies émotions
- 26 juin 2018, 18:01
#2179756
Magnifique récit. On se sent presque présent. Bravo @erwin92
Porto - PRT
- 06 juil. 2018, 14:20
#2183424
Caressant doucement de son pouce son clitoris et ses petites lèvres ouvertes, Jean tente de rassurer Isabelle.
« Ma chérie ? Ca va… ? On arrête si tu veux… Tu veux arrêter… ? Dis-moi… »
Elle ne répond pas, ne bouge pas. Prosternée, la tête et les épaules reposant sur la moquette Il la fait se redresser doucement en la prenant doucement par les épaules.
« Ma chérie, dis-moi… tu veux continuer… ? »
Il lui caresse la joue tendrement pour l’apaiser.
Elle respire de manière saccadée puis dans un souffle, elle murmure :
« Oui… »
On sent le soulagement des invités qui ont cru un instant que la soirée allait s’arrêter là.
C’est ce qui était convenu. Malgré les apparences, Isabelle pouvait à tout moment arrêter le jeu.
« Merci mon amour, je suis tellement fier de toi. Je t’aime… »
Il l’aide avec précaution à se courber de nouveau en avant.
Je caresse les courbes offertes et fais signe à Jean de s’approcher.
J’écarte les fesses d’Isabelle à deux mains.
« Jean ? pouvez vous vérifier si isabelle est toujours suffisamment mouillée pour que ces messieurs puissent la prendre ? »
Jean s’accoupit derrière son épouse et ouvre doucement son sexe avec ses doigts, exposant son intimité luisante et trempée.
« Ca va, Erwin Isabelle dégouline littéralement. Elle est prête pour la suite… »
Effectivement, elle est prête pour la suite. Elle tremble de tout son corps à se sentir manipulée et exposée ainsi.
Je place l’extrémité du rosebud contre le centre de son anus. Elle se raidit. Il est resté sur la table un moment et doit être froid au contact de ses chairs brulantes.
« Chut... calmez vous Isabelle… »
J’appuie lentement, l’anneau joue parfaitement et s’ouvre sans difficulté. Je le fais entrer à moitié.
Puis je le lâche. Juste à l’endroit où son diamètre est le plus large et dilate le plus l’anus.
« Contrôlez-vous Isabelle… Comme je vous ai appris… »
Elle souffle et expire longuement pour maîtriser ses contractions.
Le Rosebud reste à moitié fiché dans l’orifice.
A suivre
« Ma chérie ? Ca va… ? On arrête si tu veux… Tu veux arrêter… ? Dis-moi… »
Elle ne répond pas, ne bouge pas. Prosternée, la tête et les épaules reposant sur la moquette Il la fait se redresser doucement en la prenant doucement par les épaules.
« Ma chérie, dis-moi… tu veux continuer… ? »
Il lui caresse la joue tendrement pour l’apaiser.
Elle respire de manière saccadée puis dans un souffle, elle murmure :
« Oui… »
On sent le soulagement des invités qui ont cru un instant que la soirée allait s’arrêter là.
C’est ce qui était convenu. Malgré les apparences, Isabelle pouvait à tout moment arrêter le jeu.
« Merci mon amour, je suis tellement fier de toi. Je t’aime… »
Il l’aide avec précaution à se courber de nouveau en avant.
Je caresse les courbes offertes et fais signe à Jean de s’approcher.
J’écarte les fesses d’Isabelle à deux mains.
« Jean ? pouvez vous vérifier si isabelle est toujours suffisamment mouillée pour que ces messieurs puissent la prendre ? »
Jean s’accoupit derrière son épouse et ouvre doucement son sexe avec ses doigts, exposant son intimité luisante et trempée.
« Ca va, Erwin Isabelle dégouline littéralement. Elle est prête pour la suite… »
Effectivement, elle est prête pour la suite. Elle tremble de tout son corps à se sentir manipulée et exposée ainsi.
Je place l’extrémité du rosebud contre le centre de son anus. Elle se raidit. Il est resté sur la table un moment et doit être froid au contact de ses chairs brulantes.
« Chut... calmez vous Isabelle… »
J’appuie lentement, l’anneau joue parfaitement et s’ouvre sans difficulté. Je le fais entrer à moitié.
Puis je le lâche. Juste à l’endroit où son diamètre est le plus large et dilate le plus l’anus.
« Contrôlez-vous Isabelle… Comme je vous ai appris… »
Elle souffle et expire longuement pour maîtriser ses contractions.
Le Rosebud reste à moitié fiché dans l’orifice.
A suivre
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 06 juil. 2018, 14:35
#2183429
@erwin92 Merci pour tout cela, et particulièrement pour cette vidéo assez unique je dois dire qui m'a fait me dresser d'un bond !
- 06 juil. 2018, 15:01
#2183436
La belle conduite par @erwin92 dans un subtil mélange de perversion, fermeté et douceur. Je me délecte de chaque chapitre de notre histoire.
Couple trioliste cherche amant(s) pour le plaisir de Madame
- 16 juil. 2018, 19:34
#2187472
À quand la suite de ce magnifique récit... erwin votre plume nous manque!!!
- 31 juil. 2018, 14:15
#2193072
Je reste un instant à admirer les contractions de l’anus qui palpite autour de l’intrus.
« C’est bien Isabelle… Je vais condamner l’accès à vos reins pour ce soir. »
Et j’appuie brusquement. Le rosebud s’enfonce et le muscle se resserre autour de sa base.
Isabelle a à peine un petit cri de surprise.
Je m’agenouille à ses côtés et m’approche de son oreille.
« Voilà Isabelle, c’est l’heure… Vous voilà transformée en la plus magnifique catin que j’ai connu… J’ai condamné votre anus à cause d’une queue hors du commun qui vous aurait déchirée... Mais rassurez-vous, quand nos invités auront profité de votre bouche et de votre ventre, il est presque certain que je rouvrirais l’accès à vos reins. Jean et moi n’allons pas rester insensibles au spectacle de notre poupée offerte aux envies de ces messieurs… et vous devrez encore nous soulager comme nous le voudrons… En attendant, vous allez être à eux pour deux heures. Vous vous mettrez dans les positions qu’ils voudront, vous leur donnerez ce qu’ils veulent. Ils passeront de votre sexe à votre bouche. Et quand ils voudront jouir, ils auront l’autorisation de retirer leur préservatif pour jouir sur vous... Y compris dans votre bouche, mais sans contact… Donc ouvrez grand la bouche si on vous le demande... Et n’oubliez pas… Vous pouvez supplier, refuser… Le jeu ne s’arrêtera que si vous dites « Pourpre »… Allez ma belle, laissez-vous complètement aller… Vous allez encore jouir comme une folle… »
Je la fais se redresser en la prenant par le bras. Elle se laisse faire…
Elle respire à nouveau fortement. Je sais l’impact que mes mots ont sur elle.
Elle dégouline…
Je lui retire sa jupe. Elle est désormais nue à l’exception de ses bas et ses escarpins.
Je la conduis vers le lit.
Nous passons devant Jean qui la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement dans le cou.
Il lui murmure quelques mots. Elle acquiesce doucement de la tête. Il l’embrasse une dernière fois à pleine bouche.
Je la fais monter sur le lit et la fais basculer en avant.
« Messieurs ? Elle est à vous… »
« Jean, allons fumer une cigarette sur la terrasse, le temps que nos invités fassent connaissance avec Isabelle.
Nous la laissons ainsi sur le lit et sortons sur la terrasse. Les hommes s’approchent.
« C’est bien Isabelle… Je vais condamner l’accès à vos reins pour ce soir. »
Et j’appuie brusquement. Le rosebud s’enfonce et le muscle se resserre autour de sa base.
Isabelle a à peine un petit cri de surprise.
Je m’agenouille à ses côtés et m’approche de son oreille.
« Voilà Isabelle, c’est l’heure… Vous voilà transformée en la plus magnifique catin que j’ai connu… J’ai condamné votre anus à cause d’une queue hors du commun qui vous aurait déchirée... Mais rassurez-vous, quand nos invités auront profité de votre bouche et de votre ventre, il est presque certain que je rouvrirais l’accès à vos reins. Jean et moi n’allons pas rester insensibles au spectacle de notre poupée offerte aux envies de ces messieurs… et vous devrez encore nous soulager comme nous le voudrons… En attendant, vous allez être à eux pour deux heures. Vous vous mettrez dans les positions qu’ils voudront, vous leur donnerez ce qu’ils veulent. Ils passeront de votre sexe à votre bouche. Et quand ils voudront jouir, ils auront l’autorisation de retirer leur préservatif pour jouir sur vous... Y compris dans votre bouche, mais sans contact… Donc ouvrez grand la bouche si on vous le demande... Et n’oubliez pas… Vous pouvez supplier, refuser… Le jeu ne s’arrêtera que si vous dites « Pourpre »… Allez ma belle, laissez-vous complètement aller… Vous allez encore jouir comme une folle… »
Je la fais se redresser en la prenant par le bras. Elle se laisse faire…
Elle respire à nouveau fortement. Je sais l’impact que mes mots ont sur elle.
Elle dégouline…
Je lui retire sa jupe. Elle est désormais nue à l’exception de ses bas et ses escarpins.
Je la conduis vers le lit.
Nous passons devant Jean qui la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement dans le cou.
Il lui murmure quelques mots. Elle acquiesce doucement de la tête. Il l’embrasse une dernière fois à pleine bouche.
Je la fais monter sur le lit et la fais basculer en avant.
« Messieurs ? Elle est à vous… »
« Jean, allons fumer une cigarette sur la terrasse, le temps que nos invités fassent connaissance avec Isabelle.
Nous la laissons ainsi sur le lit et sortons sur la terrasse. Les hommes s’approchent.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 01 août 2018, 00:05
#2193344
Ce post est une tuerie!et cette femme aussi!
De magnifique photos!!
Merci beaucoup de ce partage
De magnifique photos!!
Merci beaucoup de ce partage