- 05 août 2018, 13:53
#2195072
- SEULE DANS LA FOULE -
(Histoire vraie)
Un spectacle nocturne était programmé ce soir-là, de ces spectacles de Province, sans prétention et charmants, qui égayent les soirées estivales des vacanciers.
Des pelouses en pente douce pour gradins, une bande de sable en guise de scène.
La nuit tombait doucement, les étoiles s'allumaient une à une, la fraîcheur arrivant enfin aprés une journée étouffante.
La Nymphette était vêtue d'une simple petite robe noire à taille empire, mettant en valeur, aux yeux de tous, ses petits seins et ses jambes fines. Mais comme la soirée avait un petit air de fête, elle avait contré cette simplicité avec un bracelet doré pour orner son menu poignet et des boucles d'oreilles qui rivalisaient avec le voile d'or déposé sur ses paupières.
Son époux, fier de marcher à ses côtés, prenait plaisir à surprendre les oeillades dérobées de quelques messieurs attisés par la démarche ondulante de la Nymphette.
L'heure du spectacle approchait, la foule emplissait peu à peu la pelouse dans un joyeux brouhaha. Tous attendaient le lever d'un rideau imaginaire.
La féerie débuta enfin, captivant l'attention de la Nymphette. Mais très vite, son attention fut détournée par la main de son époux se promenant doucement le long de ses cuisses. Il faut dire qu'assise à même le sol, les genoux un peu repliés, avec une robe courte, cela laissait le champ libre à Monsieur qui ne trouva d'ailleurs aucune résistance.
Ses caresses étaient douces et remontaient peu à peu vers le haut des cuisses, jouant avec cette frontière où finissent les jambes et commence cet éternel objet de désir.
La Nymphette se laissait faire, l'obscurité aidant à faire oublier la présence des spectateurs voisins.
Son époux se fit plus entreprenant en glissant le bout de ses doigts sous la culotte déjà un peu humide. Il caressait délicatement ces premiers replis moelleux, accueillants, prêts à s'écarter pour donner accès à d'autres charmes. Ce ballet discret troublait la Nymphette qui se demandait si quelqu'un aux alentours s'apercevait de quelque chose. Mais elle n'osa pas tourner la tête de peur de croiser un regard désapprobateur ou captivé par ce provocant spectacle.
Monsieur poursuivait son voyage dans les vallées de la Nymphette, titillant son clitoris tendu par le plaisir, approchant de plus en plus près de son gouffre déjà bien ouvert, jouant avec ses lèvres soyeuses.
La Nymphette suivait de près la progression se demandant jusqu'où irait ce voyage. Sur la scène, le spectacle se poursuivait, mais c'est désormais les yeux fermés qu'Elle en profitait. Le souffle retenu par moment, quelques soupirs aussi rares que discrets venaient parfois aux oreilles de son époux.
Pour trouver une position plus propice au plaisir, la Nymphette laissa un genou retomber au sol, écartant ainsi les cuisses à demi. La voie était libre et son époux glissa un doigt franc dans son antre, puis un second, faisant se cambrer la Belle. Pour retenir un gémissement pouvant attirer l'attention, elle enfouit son visage contre l'épaule de son mâle et concentra toute son attention sur cette intimité visitée avec douceur et application. Elle fut alors seule au milieu d'une foule captivée par un tout autre spectacle, absorbée par son plaisir et excitée par la crainte de se faire remarquer.
Monsieur activant ses doigts de plus en plus vigoureusement, faisait rapidement monter le plaisir de la Nymphette frissonnante. Pour lui laisser un peu de répit, il abandonna pour quelques instants la grotte humide pour s'attarder sur ses seins tendus à demi offerts depuis cette si jolie robe. Il joua avec ses têtons durcis, les pinçant délicatement et les allongeant, provoquant un trouble encore plus grand.
Il revint enfin visiter l'intimité de la Nymphette, qui tenta d'accompagner le va et vient par de petits mouvements du bassin. Mais la dureté du sol ne lui donnait que peu de liberté, l'obligeant à attendre la venue du plaisir suprême distribué par son époux.
Hélas, le spectacle se termina avant l'arrivée de la jouissance espérée. Il fallut rouvrir les yeux, applaudir, et songer à rentrer après avoir remis en place ses idées et sa petite culotte.
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