- 02 sept. 2018, 17:04
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Quelques mois après cet épisode, S m’annonce, presqu’à regret, qu’il s’est remit avec son ex. Bien qu’il ait adoré nos épisodes, il faut tout mettre en pause. Il est honnête, du genre fidèle et veut se consacrer pleinement à sa nouvelle relation. Quelques textos s’échangent, une petite photo du cul de poupée avec « S. » écrit dessus pour son anniversaire, une vidéo d’elle qui suce ma queue et qui lui souhaite bonne année... sans grande relance. La page est bel et bien tournée. On s’amuse à plein d’autres choses, mais leur histoire turbulente me pousse à croire que « notre aventure à nous » n’est pas tout à fait finie.
Deux ans après sa relation se termine. J'avais vu juste. Un peu patraque il lui faut quand même quelques mois pour s’en remettre. Il baise à droite à gauche et enchaîne un temps les coups sans lendemain. Pour oublier une histoire de coeur, il faut que le corps exulte. On reparle de tout ça, progressivement, l’envie monte et je lui évoque un week-end que nous devons passer chez mes parents pour les mêmes raisons que la dernière fois. Il se chauffe et décide de nous accompagner.
J’en parle à Poupée mais je la sens pas dans le mood. Elle avait pourtant adoré, elle le sait, l’admet, mais là non. Elle est comme ça. Parfois oui, parfois non, avec des balancements que la raisons n’explique pas forcément. J’en parle à S et lui dit que c’est pas gagné, que c’est pas non plus mort mais qu’il va falloir être progressif et malin pour la faire chavirer.
Le soir venu, on se love tous les trois dans le salon près du feu. On boit des coups. On s’amuse et au bout d’un moment de regards et d’allusion, le ton est donné. Elle ne veut pas, pas ce soir, avec un grand sourire. On lui dit: Allez quoi! avec deux grands sourires. On discute et s’enivre autour d’un jeu de société, une sorte de puissance 4 amélioré et comme on une mission à mener, on décide avec S. de modifier un peu les règles. À chaque fois qu’un joueur perd il enlève une fringue et boit une bonne gorgée. Mais c’est risqué! C’est un coup à se retrouver tous les deux à poil, ivre mort et elle qui part se coucher, en pull et en chaussons. Mais heureusement pour nous, elle est pas très forte à ce jeu. Elle perd plus que nous. On ajoute donc une règle. Celle (ou celui) qui perd continue à jouer. Les règles vont clairement dans un sens. Elle sourie, ça se décoince, c’est presque gagné. L’alcool ne nous aide pas à enchaîner les victoires mais on se concentre. On s’échange quelques regards complices et hilares avec S, on s’indique des pièges ou des occases de jeu, discrètement quand elle nous regarde pas. L’enjeu est de taille.
S est en face de moi et Poupée est à ma droite et elle se retrouve vite en sous-vêtements. Ils sont blancs, en dentelles, assortis… Je la trouve sacrément apprêtée pour une fille qui ne voulait pas aller au bal. On continue… Elle est maintenant en string et nous, on a plus grand chose non plus. Elle dit qu’elle ne peut pas continuer car au prochain coup, elle se retrouvera à poil. Je lui dis que si elle perd, elle peut garder son string mais qu’en échange elle doit accepter un autre défis. Soit elle nous fait un twerk (en string, devant nous deux, je suis un génie!) soit elle passe sous la table et me suce pendant que je joue la partie suivante. Dans un cas comme dans l’autre, ça va déraper, elle le sait, elle est coincé, dit que c’est « vraiment abusé, genre! » mais n’est pas non plus farouche dans sa complainte. On commence la partie. La pression monte. Il faut absolument que je gagne. Je me concentre comme jamais ce soir là et vlan! c’est gagné. Elle est dégoutée ou du moins s’en donne l’air. Elle hésites grandement sur le gage. Elle se lève. C’est un twerk? Se rassoit. Peut-être pas. Elle n’ose ni l’un ni l’autre, elle peste. Au bout d’une petite minute de cinema elle semble avoir choisie son châtiment et s’accroupie lentement. On la regarde, avec délectation, se faufiler comme un chat entre les pieds de la toute petite table sur laquelle on joue. Entre nos jambes et le piètement étroit, elle se retrouve presque coincée, la tête au dessus de ma braguette et le cul à quelques centimètres de celle de S. Pour nous prêter au jeu du gage on commence une nouvelle partie pendant que ma petite pute sort ma queue et commence à me sucer doucement. On continue un semblant de jeu, S caresse la chatte de poupée à pleine main. Quand elle entend que les pièces ne bougent plus vraiment sur le plateau elle nous rappelle à l’ordre, on s’exécute alors en les bougeant juste pour faire du bruit. Le jeu ne ressemble plus à rien. On en a plus grand chose à foutre et ça nous fait bien marrer. Alors on trinque à plein verre, savourant notre victoire et nous rappelant à quel point on a galéré! Quelques centimètres plus-bas, Poupée me gobe la queue à pleine bouche, gémissant comme une chienne avec l’entreprise de S qui a tiré son string sur la fesse droite et lui fourre maintenant 2 doigts tout au fond de sa chatte, trempée. Elle a beau dire!
La scène dure un peu. Déjà parce qu’elle est agréable et qu’une victoire ça se savoure mais aussi parce qu’on a envie de la chauffer à bloc pour que la girouette tienne le cap. On est donc là, assis à siroter nos verres et Poupée qui s’affaire sous la table. C’est incroyable de discuter avec un pote tout en se faisant sucer. On se sent privilégié. On se sent presque roi. Au bout d’un moment je lui prend les cheveux et lui relève la tête. Sa bouche humide, ouverte, encore en forme de O, un fil de bave la relie à mon gland, ses gémissements, toujours et les yeux presque dans le vague, S est en train de faire des miracles. « Je crois que S à bien envie de se faire sucer aussi ». Sans vraiment réfléchir elle commence à se retourner vers sa queue. Ça y est. Elle a capitulé et elle a maintenant très envie de goutter à nos arguments. Elle sort de la table et on s’installe dans les canapés. Je suis derrière elle. Son cul est au premier plan les jambes écartés exposant sa chatte toute humide et derrière un dos cambré, elliptique, je vois sa tête pistonner entre les jambes de S qui est confortablement assis. Elle s’agite et s’excite comme si elle voulait rattraper les heures de son indécision. Je l’attrape fermement par les hanches et lui enfonce ma queue au fond de la chatte. Mes hanches lui tape fermement sur les fesses, donnant à tout son corps le rythme de la pipe. Et avec un balai d’aller-retour, échangeant nos places, on lui fait sa fête pendant un long moment. C’est histoire de planter le drapeau, de savourer le travail achevé et surtout de lui faire comprendre, du plus profond de son être, qu’elle a eu bien raison de capituler.
Une fois épuisés, ivres et vidés, on décide d’aller se coucher. Dans la chambre, elle m’annonce qu’elle a encore envie de s’amuser et je saute sur l’occasion pour lui dire de retourner voir S. C’est un peu tôt pour assumer d’aller satisfaire un autre homme, sans moi et elle s’y refuse. Mais l’idée est plantée.
Dans un effort harassant mais nécessaire je me lève l’emmène avec moi vers le salon ou S dormait et lui dit que notre petite pute a très envie de prolonger la soirée et à voir l’expression de S., elle n’est pas la seule. On remet donc ça et je m’étonne de l’énergie qu’elle y met pour une fille qui nous snobait 2h plus tôt. Est-ce qu’elle voulait qu’on lui court après? Sentir 2 hommes qui la veulent, s’impatiente et se battent pour avoir son cul? Si c’est ça, elle a en tout cas la monnaie de sa pièce. Je la regarde prendre son pied comme une vraie petite chienne, les cheveux en bataille, le corps en sueur et les fesses rougies par nos fessées. Ça laisse présager le meilleur pour la suite.
Le lendemain S prend la route. On se quitte en lui disant que la porte est grande ouverte, toujours. La voiture s’éloigne. Je passe ma main sous la jupe de Poupée et lui attrape la fesse à pleine main. On fait tous les deux signe de loin à celui qui m’a aidé à la baiser une bonne partie de la nuit.