Après la belle expérience avec Zack j'ai répondu à l'annonce d'un jeune curieux du candaulisme, de plus, attiré par les femmes plus âgées que lui. Jules attendra.
Avec Muriel, on est arrivé à la conclusion de prendre un café et d'évaluer la suite.... j'ajoute que l'excitation et le désir coupable rendait notre couple bien fébrile, ( les maris candaulistes connaissent cet engouement, ces émotions anticipées.) Une fois de plus, l'avant émoustille,... l'excitation candauliste c'est profitable, avant, pendant et après....
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J'ai réservé une chambre dans sa ville et nous voici tous les trois, au bar de l'hôtel. On a appris le partiel, reste à découvrir l'éventuel feeling même si le doute n'existe pas vraiment. Muriel a la spontanéité, l'instinct de perception des bonnes ondes. Le temps du café sert à confirmer la décision finale....
La gaité de Muriel fait que je donne à Adrien le numéro de notre chambre où il nous retrouve dix minutes plus tard... Comment décrire ces minutes ou je sais que Muriel va faire l'amour avec un homme qu'on a choisi ensemble, qu'elle va s'offrir à lui et que lui s'excite déjà de la baiser devant moi.
On sait, Muriel et moi, qu'on doit ajuster les rythmes, tranquilliser notre "recrue"
, la simplicité et laisser faire les instincts.... Alors, en même temps que les bulles, je fais danser mon épouse lascive et désirable. Le mode séduction lui va si bien...les vêtements légers, soyeux, révélent peu à peu son sex-appeal, en s'ouvrant, en glissants face à un Adrien subjugué. Je caresse les fesses, la poitrine libre de Muriel. Aucun doute qu'il bande déjà bien raide. Il est temps pour Adrien d'entrer en scène. Je lui laisse inventer la suite, guidé en cela par l'expérience en la matière de ma belle.
L'atmosphère si spéciale, ces instants de doutes et d'envies, tous ces interdits face à nous, les respirations plus profondes, les silences de chacun....
Il l'enlace et tout le monde frémi... Adrien est doux, naturel dans son désir, ses comportements, ses caresses et ses baisers. Muriel s'abandonne et entraîne les nudités. Il bande, c'est évident, tout droit, tout raide, tout dur. Déjà Muriel saisit le membre et roule les couilles durcies. Elle sait gérer le stress.... maintenir l'envie sans précipitation. Adrien découvre la rondeur, la fermeté de la poitrine. Il embrasse les petits tétons pointus qui lui sont offerts. Les deux amants roulent sur le lit. Il vont faire l'amour, tout excités qu'ils sont maintenant !!
J'ajoute, par ma présence, une sacrée dose d'adrénaline. Le mari cocu mate et se tripote...
Ils baisent dans la découverte des corps. Il sait déjà maîtriser les rythmes, faire l'amour par étapes et faire grimper ma femme aux rideaux avec sa queue si drue, si virile. Ses mains jouent les caresses parfaites, au bon endroit au bon moment. Il lui donne un premier orgasme avec sa langue, sa bouche qui aspire le clito tendu...
Elle, son visage rougi, ses yeux révulsés, son couinement, quelle tension pour retenir mon éjaculation.
Ils se redressent ensemble pour une levrette voulue par les deux amants. Comment sait-t-on anticiper le désir de la partenaire ? Adrien saisit les hanches de Muriel et le membre rigide pénètre lentement la vulve ouverte et bien mouillée. Pas besoin qu'il guide sa queue, il va lentement au fond et ressort de même. Il regarde a chaque fois sa queue s'engager seule dans le ventre de ma femme. Elle s'enfonce en douceur, écarte les lèvres, polavant un brutal coup de rein final. Il la fait gémir et crier. "Rentre" mais il ressort de nouveau et la défonce encore. De plus en plus rapprochés, de plus en plus vigoureux Adrien sait utiliser sa queue. Les liqueurs de Muriel trempent les deux sexes. Il s'accroche à deux mains aux hanches et laisse sa bite pénétrer seule l'antre de ma belle. Quelle baise ! Comme elle aime ça, comme ils partagent leurs plaisirs. Ils montent ensemble au sommet de leur excitation. Tendus, grimaçants, criants " encore, encore !" " Tiens prend ça" "oui encore" " tu veux" " oui vas y...hum.."....
Ils ont chaud, l'énergie est communicative, ma femme se donne, il fait tout pour la réjouir. Elle est belle et se laisse observer de partout par son jeune amant fougueux. Lui se crispe de plus en plus, toutes ses tensions au bord de la jouissance des deux.
"oh viens ! Viens ! là !...grrr .."
Il prend ma femme, elle le reçoit, elle aspire le jus de son amant.... le mien se perd dans un kleenex....
Il ressort et laisse Muriel déguster son orgasme, vivre sa petite mort aplatie sur le ventre...
Il croise mon regard, sans gêne, comme pour rechercher mon approbation sur ses capacités, sa queue pas loin de pouvoir servir de nouveau si Muriel le veut.
Elle le veut en effet...."t'as vu mon chéri, c'est que je plais à Adrien... il bande encore dis donc..."
Elle s'offre sans pudeur, allongée sur le dos, jambes ouvertes... lascive.
Le sourire, les mots pervers, le mari cocu au sexe mou, ont eu un pouvoir immédiat sur la bite du fringant Adrien.
Il est reparti tout raide à l'assaut de ma belle, tellement ravie de se faire baiser encore... Lui triomphant, planter au dessus d'elle. Elle profite encore de la vigueur de la jeunesse, de la queue bien rigide et de l'energie d'un Adrien fougueux, trop ravi de se faire ma femme devant moi. Coït enfin, coït encore....
On a laissé Adrien repartir, Muriel dormir, repue et remplie.
Quelles étranges émotions, quelles sensations que de s'endormir auprès de ma femme qui vient de faire l'amour avec un inconnu, savoir combien les deux ont dégusté leur intimité, leurs désirs, je les ai vu jouir ensemble....
Au matin, vivre notre réveil d'amoureux... l'épouse encore alanguie s'est offerte à son mari, dans la torpeur du lit dévasté, encore enveloppée par les effluves de ses débordements sexuels...les seins lourds d'avoir été manipulés, pelotés, le sexe fragile, lèvres collées, quelques écailles sur la peau, cette peau sans résistance, le corps flasque des abandons répétés. Mais les cuisses qui s'ouvrent, la respiration plus profonde, les bras qui enlacent, " oui viens mon mari, entre, prend moi, coule dans mon ventre...oh oui j'aime nos folies, je suis à toi, donne moi ton jus...." Nos bouches se joignent jusqu'a l'instant ou l'amour s'embrase, nous lie, corps et âmes...
On s'est endormi sans se séparer...