Après cette petite interruption, je reprends la suite de cette soirée encore fraîche dans ma mémoire.
J’en étais resté au moment où son amant avait mis 4 doigts à l’intérieur du cul de ma femme – c’est-à-dire que s’il avait ajouté le pouce ça aurait fait tout le poing qui se serait trouvé à l‘intérieur. Je suppose que dans ce cas-là elle aurait dit stop… (mais comment en être sûr ?).
Comme je disais, un ou deux doigts j’avais déjà vu, même si ça n’arrivait pas très souvent : par exemple, sur les photos précédentes, qui datent d’un moment déjà, on voit qu’il avait mis 2 doigts. Mais ce soir là, c’était bien quatre. Et ça semblait être rentré facilement, rien qu’avec sa mouille et la salive de son amant (par simplicité, je vais maintenant écrire A pour le désigner).
J’ai alors vu A se pencher vers elle, pour lui murmurer quelque chose à l’oreille. Quelques secondes plus tard, A me demandait de lui apporter le lubrifiant… Là j’ai compris que j’allais peut-être la voir pour la première fois se faire prendre par derrière pour de bon, par la grosse queue de A.
Je suis vite revenu avec le tube. En même temps qu’il le prenait et l’ouvrait, A retirait sa queue de la bouche de ma femme et venait se placer derrière elle, debout. Elle se tenait toujours sur le côté gauche, son cul en bordure du canapé, les jambes repliées sur son ventre (en positon fœtale, disons).
L’intérieur de son cul étant déjà visiblement bien préparé et élargi, A n’a pas remis de lubrifiant à l’intérieur mais s’en est mis une bonne dose sur la queue. Puis l’heure x est arrivé : je le suis placé derrière A, un peu sur le côté, et je l’ai vu introduire délicatement le gland dans l’anus de ma femme. Le reste a suivi, millimètre par millimètre. Je m’attendais à ce qu’il reste à moitié enfoncé à l’intérieur, ou du moins qu’il fasse une pause un peu longue au milieu, mais non : il a enfourné toute la longueur, lentement mais sans faire de pause, avant de rester immobile tout au fond pendant peut-être deux ou trois minutes. Encore une nouvelle surprise pour moi, à quelques minutes d’intervalle : quelques minutes auparavant, je ne m’attendais pas à la voir pour la première fois enculée par A.
Après être resté immobile au fond quelques instant et s’être assuré que tout allait bien et que ça lui plaisait, A a commencé à bouger, doucement au début, puis plus rapidement et avec de plus en plus d’amplitude, jusqu’à sortir à peu près la moitié de sa queue à chaque va et vient, et en rentrant à chaque fois jusqu’aux couilles : un parfait ramonage en règle, quoi – presque comme si c’était sa chatte, juste un peu moins rapide et les coups de butoir moins prononcés – mais à la façon dont ses couilles venait se coller sur sa chatte juste en dessous, je voyais qu’il était au plus profond. Ca glissait très bien… Ses 20 cm épais dans le cul de ma femme, je ne m’attendais pas à ça… !
Puis Madame a placé ses doigts sur son clito et a commencé à se caresser, toujours en position fœtale, la jambe gauche reposant sur la droite. Je suis alors venu me placer en face d’elle et j’ai soulevé sa jambe gauche : de cette façon elle pouvait accéder plus facilement et plus librement à son clito, tandis que de mon côté je voyais entièrement sa belle chatte, bien mouillée, et juste derrière la queue de A qui lui dilatait un peu plus le cul à chaque va et vient.
Très vite Madame a commencé à gémir, et en 5 minutes elle avait joui très, très intensément, et en réveillant peut-être tout le voisinage. A est resté encore quelques instant à l’intérieur, et ça ne semblait pas la déranger. Il a pu l’astiquer encore un moment, sans jouir lui-même, se retenant pour la suite ou les jours suivants. Ou peut-être qu’il n’a pas osé décharger dans son cul sans lui demander, devant moi.
Les conditions n’étaient pas très bonnes (lumière assez faible, Madame préférant ce soir là une lumière pas trop crue), mais j’ai quand même pu garder un petit souvenir dont voilà deux petits extraits).
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