- 03 juin 2019, 11:30
#2297003
"Salut JF"
"Bonjour Benoît"
"Tu peux ranger ça dans la cuisine, c'est pour tout à l'heure, on aura sûrement un peu faim...
"
"Muriel ne va pas tarder"
"C'est que j'ai envie de la voir, tu te doutes"
"Elle te plaît..."
"T'as remarqué non..?"
"Ben c'est un peu pour ça que je t'avais invité...la première fois"
"Ta femme est jolie, souriante et tellement sensuelle....et toi... prêteur,
...la cage ça va ?.... elle te l'a retirée depuis ma dernière visite ?"
" Heu ..non.."
" He be tu vas souffrir ...je suis en pleine forme...
... mais t'aimes ça matter
..non..?...rien que d'y penser ça commence à me faire bander... pas toi....
...oh zut j'oubliais...
..."
J'ai hâte que Muriel rentre, tant qu'à souffrir d'être 'serré' autant que ce soit de la voir plutôt qu'écouter les sarcasmes de Benoît...en même temps ça me satisfait qu'elle lui plaise tant...
"Muriel te plaît hein ?"
"Exactement, sa peau douce, ses sourires, ses seins...une poitrine rare... tout vraiment...et puis quelle bonne baiseuse, elle aime ça, vraiment...je bande là, tu sais ! Pas toi....oups
j'oublie tout le temps..."
L'entendre me fait mal et paradoxalement me satisfait. Muriel arrive, je sais la suite
..mes contraintes, leurs jubilations.... répétées...je suis presque certain que son retard est volontaire, histoire de laisser son amant et son mari en tête à tête... subtile perverse...
"T'es déjà là" et elle embrasse son amant, un bec pour moi tout en glissant un doigt le long de mon entre jambe en marquant les anneaux de la cage.
Ils ont les yeux brillants, leurs corps s'attirent...
"Alors, vous parliez de quoi..?"
"De ta beauté et de la cage de ton mari..."
"Il t'a dit, j'ai perdu la clé, rire !....non regarde elle est là....mon chéri montre nous... allez s'il te plaît ne fait pas le timide...montre..."
Je me fous à poil, la cage remplie par ma bite grossie à la dimension maximum de l'espace possible... déjà j'ai mal et déjà envie de les regarder baiser.... ils se retiennent c'est sûr...! Muriel minaude, aguiche, trouble les deux mâles.... sublime femelle, divine coquine... ils se tripotent, se palpent, devant moi...il bande pour ma femme, elle le motive...!
Les vêtements tombent, les excitations s'émoustillent... devant moi ils se désirent...
Il la pénètre, son gros pieux raide tendu, rigide rentre entre les cuisses de ma femme, j'ai mal, tout crispé, ma bandaison impossible.
Il lime, ils profitent. Ils baisent, un regard narquois au mari dont la présence stimule leur énergie sexuelle. Les matter, ce vice qui est le mien, me fait mal maintenant que je suis contraint par la cage.
"Approche JF, Benoît voilà la clé, enlève lui la cage....si si.."
Ma femme sur le dos, enfilée par Benoît et moi, debout, à côté des amants emboîtés, qui me laisse libérer par ce mec... c'est incongru, pornographique et pourtant...si...
Benoît, maladroit, retire la cage en touchant ma bite, gêné tous les deux mais lui doit se raidir dans le vagin de Muriel. Elle réagit d'un " mouai encore"
Elle est rouge en sueur, lubrique et catin.
"Retourne t'asseoir et branle toi si, s'il te plaît...je veux te voir... allez ose voyons, ose !"
Je repars libéré, pendant qu'elle se retourne et se fait prendre en levrette.
" Baise moi Benoît ! Bien au fond lentement ...encore..! Je veux voir jouir mon mari pendant que tu t'enfonces en moi, tout au fond ..."
Je retourne sur ma chaise.
"Non debout, reste debout, branle toi debout...si si,"....et j'obéis.
A quatre pattes,maintenant, elle se fait limer et nous encourage.
" Viens au fond Benoît, bien au fond... sentir ta grosse queue...siii....
Et toi si allez oui vas y oui ça vient, regarde Benoît mon mari va gicler ! Regarde ! Prend tes couilles mon chéri branle ton gland. Benoît ! Enfonce toi plus, tout au fond, tu peux !.."
Hallucinant, humiliant, pornographique, ma femme obtient ce quelle ordonne...Je me tripote face aux deux visages déformés par l'excitation sexuelle. Le couple d'amants copule a quatre pattes en regardant le cocu se masturber. Un temps retenu, honteux, confus, je me lâche, l'envie trop forte, l'abstinence a raison de ma honte, je me branle sans retenue, des coups de reins dans le vide accompagnent mes mains. J'écrase mes couilles, enserre ma bite gonflée, un doigt sous le gland mouillé...visage crispé, je regarde ma femme, toute aussi tendue que moi. Son amant la couvre, lui broye un sein, écrase une fesse et plaque ses couilles contre sa fente.
Englué dans les vagues de mon éjaculation je perçois que Benoît se vide dans ma femme, son cri étouffé, ses tremblements accompagnent leur jouissance extrême...
Un long moment de silence pour retrouver un comportement civilisé...du foutre au sol et sur le sofa....entre mes doigts, le long de la queue de Benoît et entre les cuisses de ma femme....des images d'orgie.... essoufflés par les orgasmes ....on plane, content, assouvi, fatigué, un peu troublé quand même...
Nos sexes masculins en berne, enfin, surtout le mien, déjà recrocquevillé. Benoît lui, son truc encore long et sûrement déjà prêt à honorer ma femme pour peu que....
C'est Muriel qui recadre.... " une tite coupette messieurs, vous en pensez quoi ? Je vais sous la douche pendant que vous rangez ici...oups... quand-même ça fait désordre ces traces blanches sur le tapis et le sofa....ho la la...."
"Tu ne veux pas que je te savonne le dos?"
"...si bien sûr...ben mon chéri, tu te charges du rangement et des taches... toutes, évidemment.... toutes..."
Et me voilà à poil, kleenex et éponge en main entrain d'essuyer le sperme de Benoît sur le sofa et le mien au sol, pendant que sous la douche j'entends les râles et couinements de Muriel de nouveau en corps à corps avec Benoît...
Ça devient un rite a chacune de ses visites, jusqu'à la fermeture à clé de la cage ordonnée par Muriel dont elle contrôle la bonne exécution avec jubilation..." Benoît fait attention que les boules soient bien séparées, pas coincées quand même "sourire...."
Ensuite je dois rester nu, " j'aime te voir dans ta cage mon mari chéri, si fais moi plaisir..."
Humiliation jusqu'au départ du bellâtre....et récompense au petit matin...Amour grandiose....
"Bonjour Benoît"
"Tu peux ranger ça dans la cuisine, c'est pour tout à l'heure, on aura sûrement un peu faim...

"Muriel ne va pas tarder"
"C'est que j'ai envie de la voir, tu te doutes"
"Elle te plaît..."
"T'as remarqué non..?"
"Ben c'est un peu pour ça que je t'avais invité...la première fois"
"Ta femme est jolie, souriante et tellement sensuelle....et toi... prêteur,

" Heu ..non.."
" He be tu vas souffrir ...je suis en pleine forme...

..non..?...rien que d'y penser ça commence à me faire bander... pas toi....


J'ai hâte que Muriel rentre, tant qu'à souffrir d'être 'serré' autant que ce soit de la voir plutôt qu'écouter les sarcasmes de Benoît...en même temps ça me satisfait qu'elle lui plaise tant...
"Muriel te plaît hein ?"
"Exactement, sa peau douce, ses sourires, ses seins...une poitrine rare... tout vraiment...et puis quelle bonne baiseuse, elle aime ça, vraiment...je bande là, tu sais ! Pas toi....oups

L'entendre me fait mal et paradoxalement me satisfait. Muriel arrive, je sais la suite
..mes contraintes, leurs jubilations.... répétées...je suis presque certain que son retard est volontaire, histoire de laisser son amant et son mari en tête à tête... subtile perverse...
"T'es déjà là" et elle embrasse son amant, un bec pour moi tout en glissant un doigt le long de mon entre jambe en marquant les anneaux de la cage.
Ils ont les yeux brillants, leurs corps s'attirent...
"Alors, vous parliez de quoi..?"
"De ta beauté et de la cage de ton mari..."
"Il t'a dit, j'ai perdu la clé, rire !....non regarde elle est là....mon chéri montre nous... allez s'il te plaît ne fait pas le timide...montre..."
Je me fous à poil, la cage remplie par ma bite grossie à la dimension maximum de l'espace possible... déjà j'ai mal et déjà envie de les regarder baiser.... ils se retiennent c'est sûr...! Muriel minaude, aguiche, trouble les deux mâles.... sublime femelle, divine coquine... ils se tripotent, se palpent, devant moi...il bande pour ma femme, elle le motive...!
Les vêtements tombent, les excitations s'émoustillent... devant moi ils se désirent...
Il la pénètre, son gros pieux raide tendu, rigide rentre entre les cuisses de ma femme, j'ai mal, tout crispé, ma bandaison impossible.
Il lime, ils profitent. Ils baisent, un regard narquois au mari dont la présence stimule leur énergie sexuelle. Les matter, ce vice qui est le mien, me fait mal maintenant que je suis contraint par la cage.
"Approche JF, Benoît voilà la clé, enlève lui la cage....si si.."
Ma femme sur le dos, enfilée par Benoît et moi, debout, à côté des amants emboîtés, qui me laisse libérer par ce mec... c'est incongru, pornographique et pourtant...si...
Benoît, maladroit, retire la cage en touchant ma bite, gêné tous les deux mais lui doit se raidir dans le vagin de Muriel. Elle réagit d'un " mouai encore"
Elle est rouge en sueur, lubrique et catin.
"Retourne t'asseoir et branle toi si, s'il te plaît...je veux te voir... allez ose voyons, ose !"
Je repars libéré, pendant qu'elle se retourne et se fait prendre en levrette.
" Baise moi Benoît ! Bien au fond lentement ...encore..! Je veux voir jouir mon mari pendant que tu t'enfonces en moi, tout au fond ..."
Je retourne sur ma chaise.
"Non debout, reste debout, branle toi debout...si si,"....et j'obéis.
A quatre pattes,maintenant, elle se fait limer et nous encourage.
" Viens au fond Benoît, bien au fond... sentir ta grosse queue...siii....
Et toi si allez oui vas y oui ça vient, regarde Benoît mon mari va gicler ! Regarde ! Prend tes couilles mon chéri branle ton gland. Benoît ! Enfonce toi plus, tout au fond, tu peux !.."
Hallucinant, humiliant, pornographique, ma femme obtient ce quelle ordonne...Je me tripote face aux deux visages déformés par l'excitation sexuelle. Le couple d'amants copule a quatre pattes en regardant le cocu se masturber. Un temps retenu, honteux, confus, je me lâche, l'envie trop forte, l'abstinence a raison de ma honte, je me branle sans retenue, des coups de reins dans le vide accompagnent mes mains. J'écrase mes couilles, enserre ma bite gonflée, un doigt sous le gland mouillé...visage crispé, je regarde ma femme, toute aussi tendue que moi. Son amant la couvre, lui broye un sein, écrase une fesse et plaque ses couilles contre sa fente.
Englué dans les vagues de mon éjaculation je perçois que Benoît se vide dans ma femme, son cri étouffé, ses tremblements accompagnent leur jouissance extrême...
Un long moment de silence pour retrouver un comportement civilisé...du foutre au sol et sur le sofa....entre mes doigts, le long de la queue de Benoît et entre les cuisses de ma femme....des images d'orgie.... essoufflés par les orgasmes ....on plane, content, assouvi, fatigué, un peu troublé quand même...
Nos sexes masculins en berne, enfin, surtout le mien, déjà recrocquevillé. Benoît lui, son truc encore long et sûrement déjà prêt à honorer ma femme pour peu que....
C'est Muriel qui recadre.... " une tite coupette messieurs, vous en pensez quoi ? Je vais sous la douche pendant que vous rangez ici...oups... quand-même ça fait désordre ces traces blanches sur le tapis et le sofa....ho la la...."
"Tu ne veux pas que je te savonne le dos?"
"...si bien sûr...ben mon chéri, tu te charges du rangement et des taches... toutes, évidemment.... toutes..."
Et me voilà à poil, kleenex et éponge en main entrain d'essuyer le sperme de Benoît sur le sofa et le mien au sol, pendant que sous la douche j'entends les râles et couinements de Muriel de nouveau en corps à corps avec Benoît...
Ça devient un rite a chacune de ses visites, jusqu'à la fermeture à clé de la cage ordonnée par Muriel dont elle contrôle la bonne exécution avec jubilation..." Benoît fait attention que les boules soient bien séparées, pas coincées quand même "sourire...."
Ensuite je dois rester nu, " j'aime te voir dans ta cage mon mari chéri, si fais moi plaisir..."
Humiliation jusqu'au départ du bellâtre....et récompense au petit matin...Amour grandiose....