999...., sourire...
Julio, l'étudiant stoppeur..sur la route de Córdoba...
Tu y es ?...
Il faisait chaud a San Juan tu décides de couper au plus court par la piste de montagne....Tu charges le garçon.,..il va chez sa tante, restauratrice, juste au-dessus de la ville...Tu décides aussi du jeu qui suit...
On fait connaissance, il est charmant, curieux de notre vie dans son pays. Alors, peu à peu tu décides malicieusement de m'offrir à ce garçon, rendre ce voyage totalement érotique. Ça, il fait chaud !...
Tu règles le rétroviseur de sorte que de sa place arrière il voit mes cuisses....là, juste ou tu poses ta main.... je comprends ton manège et te laisse faire, que tu n'aies aucun doute sur mon acquiescement....on verra bien, après tout il est sympathique.
Ma jupe remonte, je m'enfonce dans le siège...ta main continue ses caresses...j'ai chaud a l'idée de ce jeu...j'observe ton regard entre mes cuisses dénudées et le rétro...tu t'assures qu'il jouisse du spectacle d'autant que tes doigts atteignent ma culotte blanche. La conversation est tombée, mon souffle plus appuyé, le sien aussi...ta main écarte mes cuisses et dévoile la petite auréole que tu provoques en titillant ma fente au travers du tissu....la route est très sinueuse et parfois tu as besoin de tes deux mains. Qu'importe, tu en profites pour la replacer au plus près de mon sexe et écarter bien grand mes cuisses...tu m'éxhibes et oui, cela m'excite. Julio choisi le meilleur angle de vue, alors je fais en sorte d'ajuster ma position au mieux....j'ai chaud... j'ouvre un bouton de mon chemisier et glisse au bout du siège. Envie que tu me tripotes devant lui...qu'elle perversité excitante ! Il peut maintenant voir directement mes cuisses, tes doigts qui glissent sous la culotte pour être au contact de mon sexe. Le rétro lui renvoi l'image de mon chemisier débraillé ouvert sur mon soutien gorge. Tu arrives à conduire malgré tout. Ce n'est plus une simple auréole sur ma culotte mais bel et bien ma mouille qui transpire. Je baisse le pare-soleil et l'oriente de sorte à pouvoir croiser le regard de Julio. Il ne perds pas une miette de cette exhibition de ta femme....j'imagine sa bandaison au centre de son bermuda..... Nos regards se croisent dans le miroir du pare soleil figés dans cette envie impossible. L'excitation perverse nous habite tous, t'es diablolique...
Je guide ton doigt vers mon orifice et mon autre main caresse mes seins que je dénude en relevant mon soutien gorge...et toi tu continues de conduire comme impassible...j'ondule et ne peux retenir quelques gémissements quand tu fouilles mon clito... j'imagine la tension de notre voyageur !! Je sais la mienne...et toi qui semble imperturbable...
Enfin le parking du restaurant, vide a cette heure et à cette époque. Je me rafistole mais en feu, loin d'être calmée !! Je ne sais plus ce que je fais ou devrait faire,. Julio me prends par la main et m'entraîne. " Viens voir la terrasse" pendant que sa tante te guide vers la table...
On court a travers des pièces du restau et une fois sur un balcon il se serre contre mon dos, pétri mes seins, embrasse mon cou et plaque son sexe entre mes reins. Le spectacle est fabuleux...mais, je me retourne, on s'embrasse. Il baisse ma culotte qui se déchire pendant que je descend son bermuda. Pas le temps de défaire chemisier et soutien gorge qu'il est déjà en moi, affalés sur une sorte de banquette, on se baise....
Urgence absolue, désir souverain.
Les préliminaires ont été vécus, allons directement à l'essentiel, à l'aboutissement.
Quand même des coups de reins, des ondulations, des aspirations, je veux être prise, je veux son jus, cuisses ouvertes autour de ses reins. ...profiter quand-même...il retrousse mon soutien gorge, bouffe mes seins. Et, si aller...aller..! Viens prends moi gicle putain !!...hummmm l'assouvissement...si vraiment.... c'est bon...si bon.... j'aime vraiment ça. Jouir et être ensemencée...
(Ce n'est pas très féminin, pas très correct ou respectable qu'une femme dise ça... pourtant...il faisait si chaud....)
Retour sur terre, réaliser ce qui vient de se passer, paraître naturelle....
" Va en salle retrouver mon mari je passe par les toilettes et vous rejoins."
Un peu d'eau, replacer les cheveux mais sans culotte retourner dans la vie....
C'est difficile la discrétion pour une femme, notre sexe est ouvert....
Je sais que tu n'es pas dupe du temps passé, de mon trouble et plus encore du pauvre Julio qui ne sait quelle posture prendre. La tante a t elle comprit ? Pas sûr en tout cas elle a assuré la conversation et le service.... elle trouvera plus tard ma culotte sous son pot de fleur...

..
Tu n'as pas eu a te plaindre une fois à l'hôtel, non ? Sur le chemin j'ai dormi, trop gênée pour parler mais ensuite mon extrême vigeur, mon déchaînement ont forcément révélé mon adultaire sans besoin de mots... quelle étreinte !! Je me souviens !...
On n'en a jamais parlé....ben voilà, j'avoue aujourd'hui...il y a prescription...mais tu savais n'est-ce pas.... t'avais tout fait pour....ton fantasme vécu... et sans avoir à retirer de culotte.....
Tu m'as couverte a ton tour, ton jus bien au fond de moi. Je suis toujours à toi en dernier.
Mon amour... nos étreintes toujours là pour clore un épisode...