- 03 août 2020, 12:45
#2443666
Nadia, ma future femme, me refusait tout rapport sexuel avant le mariage. Je supposais que c'était normal, et que c'était là une attitude tout à fait respectable de sa part, la réaction naturelle d'une gentille fille bien élevée et fidèle à son éducation. Ce ne fut que plus tard que je découvris que Nadia n'était pas si « respectable » que ça ! Mais pour le moment, j'étais aveuglé par les courbes douces de ses larges seins, fermement tenus par de fins soutien-gorge, ou par les merveilleuses rondeurs de ses fesses attirantes.
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même !
Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettaient l'estomac sens dessus dessous ! Même maintenant, cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient, petit à petit, de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts.
Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit. Alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser !
« Karim mon chéri, attends que nous soyons mariés, et tu verras, je te rendrai heureux », me répétait-elle régulièrement.
Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements. Cependant, je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.
Chaque nuit dans mon lit, je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main !
Enfin, vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi ! Elle était, il faut dire, l’héritière d’une bonne famille fortunée de Rabat.
Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverai enfin au lit avec mon amour pendant notre nuit de noces. Heureusement, j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop. De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi.
La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal. Bien sûr, je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à la déshabiller entièrement ! Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement, Nadia fut compréhensive et, en peu de temps, elle fit en sorte que mon érection revienne.
Bientôt, notre mariage fut consommé avec succès !
J’enfonçais, dans sa chatte poilue et pulpeuse, mon petit membre turgescent et fébrile qui ne tarda pas, en pas plus de 2 minutes et quelques aller-retour rageurs, de se répandre cette fois dans ce temple sacré, chaud, humide et bien large qui, à ma réflexion, était loin d’être vierge comme moi !
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt incroyable, était que, pendant tout le reste de notre lune de miel, je ne fus pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas, pas s'il la respectait réellement. Du respect, j'en avais certainement pour elle, et elle le savait bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle !
Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seul, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense...Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain.
Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins. Je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant, je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir !
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes en soie. Je gâchais ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon zizi en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis. Ensuite, je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle, et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir. Ainsi, elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterai plus, ni sur mes « droits » conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows. Cela me bouleversa complètement !
J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes souvent plus beaux que moi et, qui de plus, semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour. Comme chaque soir, je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine. Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner, petit à petit, Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir, avec horreur, s'embrasser sur la bouche !
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoule. Je pensai un instant me battre avec cet homme. Mais je décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et « sa conquête », il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage, et effrayé par une éventuelle confrontation.
Enfin, je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse, et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés. Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demi-obscurité, je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la mini-jupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia, il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante, je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon !
Bientôt, l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ?
Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision. Puis le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau, et ils commencèrent à échanger un long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne lui cherchait pas lui résister ! Ce baiser passionné dura encore et encore ! Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia, et avec une tension grandissante, je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de ma chérie.
Ma femme était en train de se faire prendre sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc, mais en même temps, je notai que mon zizi était en train de grossir...Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop. J'étais déboussolé ! Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voir se faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et « baisable » donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter !
Nadia ne m'avait pas encore vu, mais soudain, son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : « Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul, et ensuite, tu me suivras dans ma chambre ! ». Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt. Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre à ma grande honte, moi, je me mis à jouir ! Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis je me mis à éjaculer inutilement !
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon lamentablement. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête sous mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène.
Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé...Alors j'étais intéressé d'en savoir plus !
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant, me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que je fusse pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre.
Pendant je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger pouvait être en train de faire en ce moment avec ma femme. Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son zob énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche…
Puis je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de « sa femme », qui savourait chaque minute de cette pénétration. Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre, remplie de la semence de cet homme ? Je ne pouvais m'endormir et l'attendis ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était. Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par son corps. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi, et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise, son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment pris le temps de se remettre après avoir été comblée par le zob de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance, et enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
« Qu'est-ce que tu foutais ? », lui criai-je dessus. Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage. Avant que je n’aie pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifla lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
« Ne me parle plus jamais sur ce ton ! », prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix. C'est à ce moment précis que changea ma vie. Même à cet instant, je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui était le patron dans notre couple ? Ou alors, allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitai un instant, mais au fond de moi, je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorai son pardon, et pleurnichai en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement, jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule Femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillai devant elle. Comme elle ne disait rien, je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant et qu'elle était intéressée. Après quelques minutes, je pus apercevoir du coin de l'œil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné, et elle le savait !
Encore quelques minutes et elle se retrouvait au lit avec moi, me fixant dans les yeux, son humeur étant devenue maintenant beaucoup plus douce.
« Continue », dit-elle.
A présent, je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr, je n'y verrai aucune objection. Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, eh bien, j'étais d'accord. Si elle voulait « discuter » avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux !
J'adorais cette femme qui était capable de me pardonner après avoir osé lever le ton sur elle !
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même !
Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettaient l'estomac sens dessus dessous ! Même maintenant, cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient, petit à petit, de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts.
Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit. Alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser !
« Karim mon chéri, attends que nous soyons mariés, et tu verras, je te rendrai heureux », me répétait-elle régulièrement.
Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements. Cependant, je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.
Chaque nuit dans mon lit, je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main !
Enfin, vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi ! Elle était, il faut dire, l’héritière d’une bonne famille fortunée de Rabat.
Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverai enfin au lit avec mon amour pendant notre nuit de noces. Heureusement, j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop. De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi.
La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal. Bien sûr, je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à la déshabiller entièrement ! Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement, Nadia fut compréhensive et, en peu de temps, elle fit en sorte que mon érection revienne.
Bientôt, notre mariage fut consommé avec succès !
J’enfonçais, dans sa chatte poilue et pulpeuse, mon petit membre turgescent et fébrile qui ne tarda pas, en pas plus de 2 minutes et quelques aller-retour rageurs, de se répandre cette fois dans ce temple sacré, chaud, humide et bien large qui, à ma réflexion, était loin d’être vierge comme moi !
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt incroyable, était que, pendant tout le reste de notre lune de miel, je ne fus pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas, pas s'il la respectait réellement. Du respect, j'en avais certainement pour elle, et elle le savait bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle !
Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seul, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense...Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain.
Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins. Je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant, je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir !
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes en soie. Je gâchais ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon zizi en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis. Ensuite, je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle, et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir. Ainsi, elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterai plus, ni sur mes « droits » conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows. Cela me bouleversa complètement !
J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes souvent plus beaux que moi et, qui de plus, semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour. Comme chaque soir, je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine. Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner, petit à petit, Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir, avec horreur, s'embrasser sur la bouche !
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoule. Je pensai un instant me battre avec cet homme. Mais je décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et « sa conquête », il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage, et effrayé par une éventuelle confrontation.
Enfin, je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse, et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés. Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demi-obscurité, je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la mini-jupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia, il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante, je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon !
Bientôt, l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ?
Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision. Puis le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau, et ils commencèrent à échanger un long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne lui cherchait pas lui résister ! Ce baiser passionné dura encore et encore ! Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia, et avec une tension grandissante, je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de ma chérie.
Ma femme était en train de se faire prendre sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc, mais en même temps, je notai que mon zizi était en train de grossir...Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop. J'étais déboussolé ! Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voir se faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et « baisable » donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter !
Nadia ne m'avait pas encore vu, mais soudain, son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : « Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul, et ensuite, tu me suivras dans ma chambre ! ». Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt. Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre à ma grande honte, moi, je me mis à jouir ! Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis je me mis à éjaculer inutilement !
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon lamentablement. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête sous mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène.
Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé...Alors j'étais intéressé d'en savoir plus !
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant, me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que je fusse pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre.
Pendant je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger pouvait être en train de faire en ce moment avec ma femme. Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son zob énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche…
Puis je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de « sa femme », qui savourait chaque minute de cette pénétration. Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre, remplie de la semence de cet homme ? Je ne pouvais m'endormir et l'attendis ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était. Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par son corps. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi, et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise, son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment pris le temps de se remettre après avoir été comblée par le zob de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance, et enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
« Qu'est-ce que tu foutais ? », lui criai-je dessus. Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage. Avant que je n’aie pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifla lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
« Ne me parle plus jamais sur ce ton ! », prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix. C'est à ce moment précis que changea ma vie. Même à cet instant, je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui était le patron dans notre couple ? Ou alors, allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitai un instant, mais au fond de moi, je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorai son pardon, et pleurnichai en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement, jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule Femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillai devant elle. Comme elle ne disait rien, je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant et qu'elle était intéressée. Après quelques minutes, je pus apercevoir du coin de l'œil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné, et elle le savait !
Encore quelques minutes et elle se retrouvait au lit avec moi, me fixant dans les yeux, son humeur étant devenue maintenant beaucoup plus douce.
« Continue », dit-elle.
A présent, je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr, je n'y verrai aucune objection. Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, eh bien, j'étais d'accord. Si elle voulait « discuter » avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux !
J'adorais cette femme qui était capable de me pardonner après avoir osé lever le ton sur elle !