- 17 août 2020, 13:38
#2448288
Je trouve DouSSeur particulièrement inspirante par sa beauté naturelle et coquine que son DouX a la plus grande gentillesse de nous faire partager, souvent dans des situations ou des lieux décalés ou cocasses. J'ai donc décidé, avec son accord, de créer un post où des poèmes tenteront d'être le plus en harmonie possible avec des photos de sa belle qu'il aura montrées.
Je commence par la série de randonue de dimanche. DouSSeur rencontre une écrevisse. Je me suis dit que cela valait une fable.
DouSSeur et l’écrevisse
Par une belle journée d’été
DouSSeur voulut aller marcher nue.
« J’ai bien œuvré et j’ai mérité
D’être comme Ève » dit l’ingénue.
Et c’est ainsi qu’elle chemina,
Vêtue comme quand elle était née.
Toute gaie, elle n’imagina
Pas où elle allait être entraînée.
Elle arriva près d’une rivière
Aux berges garnies de jolies pierres
Blanches qui rendaient l’eau plus diaphane.
DouSSeur, en ces lieux, était profane
Et ne vit pas le mal, quand, soudain,
Surgit une petite écrevisse.
Sans plus y tenir, d’un air badin,
Elle trempa plus haut que ses cuisses.
Hélas, l’irascible crustacé
Fut dérangé et, sans crier gare,
Jugeant qu’il en avait plus qu’assez,
Pinça, mon Dieu quel vil traquenard !,
Les lèvres intimes de DouSSeur
Qui en eut une vive douleur.
Moralité, le maillot de bain
Est d’un port qui n’est pas anodin.
Je commence par la série de randonue de dimanche. DouSSeur rencontre une écrevisse. Je me suis dit que cela valait une fable.
DouSSeur et l’écrevisse
Par une belle journée d’été
DouSSeur voulut aller marcher nue.
« J’ai bien œuvré et j’ai mérité
D’être comme Ève » dit l’ingénue.
Et c’est ainsi qu’elle chemina,
Vêtue comme quand elle était née.
Toute gaie, elle n’imagina
Pas où elle allait être entraînée.
Elle arriva près d’une rivière
Aux berges garnies de jolies pierres
Blanches qui rendaient l’eau plus diaphane.
DouSSeur, en ces lieux, était profane
Et ne vit pas le mal, quand, soudain,
Surgit une petite écrevisse.
Sans plus y tenir, d’un air badin,
Elle trempa plus haut que ses cuisses.
Hélas, l’irascible crustacé
Fut dérangé et, sans crier gare,
Jugeant qu’il en avait plus qu’assez,
Pinça, mon Dieu quel vil traquenard !,
Les lèvres intimes de DouSSeur
Qui en eut une vive douleur.
Moralité, le maillot de bain
Est d’un port qui n’est pas anodin.
Mabellemeuf, Fredplaican a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier