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#2469706
Il me dit ensuite qu’il allait filer à la douche et je lui proposa d’aller réveiller la miss. Un peu étonné il accepta mais après une brève douche.
(Ce qui suit, c’est ce qu’on m’a dit par contre !)
Il se dirigeât vers la chambre et j’attendais pour les suivre. Et quand je me décida à les rejoindre, la porte était fermée. Comme dans les films je cherchait à regarder par le trou de la serrure mais ne voyait rien, je collait mon oreille à la porte mais je n’entendais que moins ce qu’il se passait de l’autre côté. Totalement désemparé, je me masturbais derrière cette barrière opaque pour faire descendre ma frustration intense. Il me semblait entendre chuchoter par moment puis dés moments sans bruits. Mon cerveau s’évade mais je ne suis pas bien. Plus aucun sens ne m’aide à distinguer ce qu’il se passe. Si j’entendais le lit grincer je serai rassuré, si je l’entendais gémir je le serai également. Mais la j’étais paumé.
J’ouvrais donc la porte au risque de les déranger mais j’avais atteint mes limites. Ils étaient allongés en parallèle et il l’a caressait tendrement.
Plus tard dans la voiture j’ai su qu’elle avait vu que c’était lui et qu’après un baiser il a un peu embrasse ses seins et son corps mais l’envie matinale d’aller soulager sa vessie n’aurait pas permis d’aller plus loin.
Mon arrivée était donc le bon moment choisi pour se lever et aller partager un café à 3.
Deux cafés-clopes plus tard je les laissais pour aller aux toilettes, je prenais mon temps.
Quand je revint dans le salon, elle était adossée à lui, les seins découverts et caressés, une mains qui plongeait de temps en temps entre ses cuisses. Quand à elle, elle lui caressait les genoux.
Il se releva pour retourner déguster son entrejambe et je voyais le corps de ma femme se tendre, il lui faisait un effet certain, encore.
Alors que j’embrassais ma femme je lui chuchotais de se branler avec son gland nus. Les pousser dans un jeu de frustration un peu.
Qu’elle prenne son plaisir avec son sexe et qu’elle le veuille en elle alors que ce n’est pas possible et que lui non plus ne veuille arrêter mais ne puisse aller plus loin sachant que les préservatifs étaient dans la chambre.
Mais il prit les devants et nous amena dans la chambre.
Après qu’elle l’ait un peu sucé encore, il replongea entre ses cuisses alors que j’occupais la place bien au chaud dans sa bouche de mon sexe.
Quand il arrêta c’est moi qui prit sa place en la pénétrant fortement lui arrachant les derniers orgasmes de la matinée.
Elle le suçait goulûment et une fois de plus je ne put résister à l’aider de ma langue.
Elle enchaînait les orgasmes alors que deux heures avant elle ne souhaitait pas vraiment remettre le couvert ce matin.
Il était temps pour nous de nous éclipser après une bonne douche, profiter de nous et de toutes ses émotions accumulées.
Dans la voiture, le debrieth fut tout aussi excitant qu’enrichissant, la soirée fut imparfaitement parfaite, je suis encore plus amoureux de ma femme, plus passionné que jamais.
Et j’en sais désormais un peu plus sur les limites, il me faut au moins un sens en éveil pour profiter de mon candaulisme sereinement, voir où écouter sont les conditions nécessaires à mon plaisir...
#2475964
Notre dernière rencontre avec David nous avait apporté énormément d’émotions, de sensations nouvelles, physiques et psychologiques. Le débriefing qui s’en est suivi dura bien quelques jours, chaque image qui nous revenait était un nouveau sujet que l’on prenait plaisir à développer, était aussi pour nous une source d’excitation qui rendit pas mal de moments encore plus intenses. Nous étions sur notre petit nuage, à divers degrés. Il fallait qu’on le revoit et rapidement nos textos échangés allaient en ce sens.

Lors de notre précédente soirée qui était délicieusement parfaite, je n’avais pas pu savourer à sa juste valeur les visions qui m’étaient offertes : à trop imaginer les scènes avant de les vivre, j’avais fait disparaître de mon esprit un peu de la folie pourtant bien présente. Les journées qui ont suivi ont paradoxalement été presque plus excitantes que la soirée elle-même pour moi. Je n’avais qu’à penser quelques secondes au spectacle que ma femme et son amant m’avait offert pour me mettre à bander. Je me rends compte aussi qu’à trop vouloir prévoir les choses, j’avais mis une pression bien trop lourde à porter pour ma femme. Elle aurait pu y perdre sa spontanéité et aussi son plaisir. Je ne voulais donc pas renouveler les mêmes erreurs, mais là encore entre vouloir et pouvoir il y a un fossé bien trop large pour moi.

Après avoir trouvé un créneau de disponibilités commune, David était donc convié à passer la nuit chez nous, un match retour en somme. Au fur et à mesure que les jours nous rapprochaient de cette soirée, mon esprit s’échappait encore dans des fantasmes fous. Cela me mettait dans une excitation folle que ma femme peinait à combler. Je lui faisais part de quelques bribes de mes pensées, j’en partageais aussi avec David. En diluant un peu les informations à chacun d’eux, j’espérais ne pas les submerger.
Les cinq derniers jours, la passion de notre amour n’a jamais été aussi puissante. J’avais ce besoin de profiter de chaque secondes d’elle pour mieux pouvoir la « confier » ensuite. La journée du mardi arriva, ça y est nous y étions. Et finalement nous étions beaucoup moins accablés par la pression que ce que nous ne l’imaginions. Anna bossait normalement quant à moi, je terminais tranquillement de préparer notre petit repas léger du soir. Je savais que ma femme avait sa tenue en tête pour la soirée, mais elle voulait que ce soit aussi une surprise pour moi, et je me languissais de la découvrir sûrement très sexy. C’est vers 17h, quand nous sommes montés prendre la douche que ma femme a commencé à prendre conscience de ce qui l’attendait. Je voyais son comportement doucement changer, elle rentrait peu à peu dans son rôle et me faisait rentrer encore plus dans le mien. Ce soir je ne serai plus son homme, mais j’aurai la plus belle place pour les regarder. Une fois la douche prise, je devais la laisser se préparer pour ne la revoir que quand elle l’aurait décidé. L’impatience prenait place, les premières émotions aussi. C’est la frustration de la sentir se faire belle pour un autre sans que je ne puisse ni l’influencer ni la guider.

Une demi-heure avant l’arrivée de son amant, elle me rejoignit enfin, elle était sublime, une tenue sans équivoque qui la rendait irrésistiblement bandante. Je voulais vivre des émotions fortes ce soir, je sentais que j’allais être servi. Je voulais pousser chaque sensation de mon corps à leur paroxysme. La frustration, la jalousie, l’admiration, l’envie, le désir, l’excitation tout y passerait mais je ne pouvais imaginer à quelle intensité encore. Il arriva à l’heure annoncée par son GPS, et j’ouvris la porte pour l’accueillir.
#2476116
...et j’ouvris la porte pour l’accueillir.


Il n’eut que deux pas à faire avant d’aller à la rencontre des lèvres d’Anna, dire qu’avant lui c’était un de nos rares interdits et que maintenant c’est le plus naturellement possible qu’ils s’embrassent devant moi. C’est les règles du jeu et pour rien au monde je ne voudrai en changer. Il me semble qu’ils se sont embrassés deux fois, avant que nous ne le débarrassions. Il avait apporté un bouquet pour sa « femme du soir » et une bouteille de vin qu’on allait pas tarder à ouvrir. Le temps que ma femme mette les fleurs dans un vase, il s’était glissé derrière elle à la recherche de coutures de sous-vêtements éventuels. Il était rassuré, sa robe était portée à fleur de peau. Ils s’installèrent sur le canapé et je prenais place sur le fauteuil en face.
Entre deux discutions nous plaisantions de mon statut d’invité. Anna se leva pour nous apporter le repas et David la suivait du regard. À chaque pas, la robe remontait pour notre plus grand plaisir pour s’arrêter au pli des fesses. Il plaisantait de la situation, ma femme en jouait et j’étais fier et amoureux. On grignotait plus que ce que l’on mangeait mais entre chaque bouchées, David posait ses lèvres dans le dos dénudé de ma femme. Quant à sa main, elle ne cessait de la caresser. Peu à peu la main d’Anna se calât sur la cuisse de son amant parcourant délicatement sa jambe. Après avoir débarrassé brièvement, je leur proposais un café. Nous étions tous les 3 debout et le temps de faire couler le premier café, David entraina ma femme dans une danse sensuelle et langoureuse. Elle se laissât guider en arrière pour se faire basculer sur le canapé. Il avait dans sa manœuvre déjà dégrafé la robe d’Anna qui se retrouvait sexe et seins à l’air, bientôt recouverts par les lèvres et les mains de son amant. J’avais compris que c’était inutile de faire couler les autres cafés et pouvais me caler confortablement pour les regarder. Il la dévorait que ce soit la bouche, les seins ou la chatte, il jouait parfaitement de sa langue, de ses lèvres et de ses mains pour guider sa proie vers le chemin du plaisir. Elle chercha à défaire sa ceinture, et il l’aida pour délivrer sa queue qui l’appelait. Elle le pris en main et se rendit compte que David était dans le même état d’excitation qu’elle. Elle se cambra vers lui pour le prendre en bouche, son goût lui avait peut-être manqué tant elle le suçait avec passion. En quelques minutes nous étions passés de l’ambiance joueuse à une saveur torride. Ils prirent plaisir à temporiser un peu et me réclamer les cafés que je m’empressais de faire couler. Café et clope ingurgité, David nous proposa de continuer leur moment dans notre chambre. La encore avant lui aucun complice n’avait franchi la porte de notre nid conjugal, mais c’était l’homme des premières et c’était évident que nous ne lui refuserons pas. On avait même anticipé cela car je m’étais installé une chaise à côté du lit. Anna était la plus rapide à se dévêtir, quoi de plus logique car il ne lui restait pratiquement plus rien sur elle et s’installa sur le lit.
newhades69 a liké
#2476143
Bravo a vs 2 , c'est un très très beau récit et sans nul doute le pas vers le candaulisme réel est franchi et quel plaisir pour un amant de pouvoir posséder la bouche de sa maitresse devant le mari consentant et spectateur... ;)
#2476573
...Anna était la plus rapide à se dévêtir, quoi de plus logique car il ne lui restait pratiquement plus rien sur elle et s’installa sur le lit.

David la rejoignit et se lova sur elle, leurs lèvres soudées entre elles dansaient au rythme de leur langue. Ma femme le pivota et se mit à califourchon sur lui. Leur sexe frottaient l’un contre l’autre à la cadence de leurs baisers. Leurs mouilles se confondaient, ils se désiraient comme peut être jamais et je pris mon téléphone en guise de lumière pour être certain qu’il n’était pas déjà en elle. Sûrement pour éviter tout dérapage non protégé, elle se décala pour le reprendre en bouche. Elle le léchait, l’embrassait, le suçait, l’aspirait, le pompait, n’épargnant aucune zone de son sexe, il était sous son emprise et David dû se résoudre à l’interrompre sous peine de jouir trop rapidement. Il prit le temps de reprendre la maîtrise de son excitation et lorsqu’il se penchât pour attraper un préservatif, elle le reprit en bouche. Elle avait sûrement trop envie de le sentir en elle et lui laissât recouvrir « la bête » surnom qu’elle a donné à son sexe. Il se dressa face à elle, elle lui agrippa le sexe pour le glisser en elle. Toutes les variantes du missionnaire étaient épuisées et chacune apportaient son lot de plaisirs et de jouissance. La jalousie m’envahissait car il se faisait de plus en plus complices, les baisers de plus en plus fougueux, leurs jeux non-sexuels plus intimes. Je flirtais déjà avec mes limites mais ce soir je savais que je les dépasserais.

Mon ventre se nouait parfois, ça devait faire la 3eme fois que je devais aller évacuer ce stress aux toilettes mais paradoxalement j’étais bien. Elle se mit dans sa position préféré et c’est en levrette qu’il lui offrit de nouveaux orgasmes. Il se connaissait parfaitement et retardait au maximum sa jouissance pour le plus grand plaisir de sa maîtresse domptée (il nous avoua bien plus tard qu’il se récitait la table de 9 pour se calmer un peu !!!). Il se retira pour retourner lécher l’entrejambe de ma femme, essayer de la préparer à une sodomie auquel son corps se refusa. Il se déporta sur le côté pour reprendre une capote et intuitivement elle le gobât à nouveau, affamée de sa longue queue. J’avais besoin d’une pause et m’inséra en elle. Je la regardais le sucer avec envie pendant que mes va-et-vient me faisait monter très vite vers la jouissance. Il prit le relai et la chevaucha pour lui soutirer encore de nombreux cris de plaisir avant que ce ne soit la soif qui mît fin au round 1

Je descendais fumer une cigarette quand Anna me rejoignit. Elle m’annonça que le round 2 débuterait par un massage. Je remontais derrière elle, la regardant prendre place sur le lit et David entamait son étreinte sur son dos tendrement mais efficacement. De mon côté, Je savais qu’il ne faudrait pas grand-chose à ce massage pour à nouveau déraper, et alors que ma montée d’adrénaline commençait à ralentir, je décida de couper le son de la musique douce pour aller m’installer dans la chambre d’à côté. Seulement guidé par le bruit de leurs corps j’allais de nouveau m’imaginer tant de choses qui me feraient autant de souffrances mentales que d’excitation. Mon esprit s’évadait plus loin à chaque bruit, à chaque chuchotement que je ne pouvais comprendre. Mon sexe bandait à m’en faire mal et je ne pouvais me résoudre à me branler. En seulement quelques mouvement, je jouissait à nouveau mais malgré cela mon sexe ne perdait pas de sa rigueur. Je ne pouvais attendre plus et m’avançait discrètement dans l’encadrement de la porte pour les observer sans qu’ils ne le sachent. Je n’entendais pas la plupart des mots qu’ils échangeaient, masqués par les bruits de leur cavalcade. Je n’étais pas rassuré, volontairement blessé de la voir jouir sans savoir qu’elle était aidée par mon regard alors je m’avançais reprendre position sur ma chaise, lui faire voir que j’étais la avec elle, pour elle.
Encore quelques positions qui eurent le don de lui donner encore beaucoup de plaisir mais aussi de me refamiliariser avec la situation et ils s’arrêtèrent, repus....

A suivre...
#2476858
La qualité des photos n’est pas très bonne, c’est des copies écran du film que j’ai pu enregistrer au cours de la soirée...
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