- 03 juin 2021, 22:02
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Un vendredi après-midi studieux !
J’arrive en ville et me gare devant le bel hôtel où j’avais rendez-vous avec mon Amant sans la présence de Fred qui jardine !
Il m’attend devant ce beau bâtiment historique avec son joli sourire qui m’avait charmé dès notre première rencontre. J’ai le plaisir de goûter de nouveau à ses lèvres.
Nous montons dans la chambre et déjeunons sur un fond musical fort agréable.
Un texto m’informe alors que ma réunion est reportée de 30 minutes. Une aubaine, nous avons une heure devant nous…
Vous pouvez aisément imaginer comment nous avons profité de ce laps de temps qui venait de nous être offert.
Nous nous embrassons, nous déshabillons, nous caressons. Humm, que j’adore caresser ou être caressée.
Nous voilà très vite sur le lit et fait inhabituel c’est moi qui suis sur lui et dirige les opérations.
Je frotte d’abord mon sexe contre le sien. Le désir ne cesse de monter, j’ai très envie de lui, envie qu’il me pénètre.
Alors il y a toujours ce moment fâcheux, d’autant que Fred n’est pas là, où je dois attraper un préservatif et le dérouler sur son sexe dressé. Mais bon, nous ne sommes pas trop coupés dans notre élan, et je le chevauche enfin.
J’aime aussi cette sensation de prendre les rênes, de donner le tempo, de l’embrasser et de le caresser en dominant le panorama.
Mais je préfère encore le moment où il me retourne et me prend avec toute sa vigueur de mâle. C’est un mélange d’abandon, d’excitation, de vertige, de frisson qui se prolonge encore et encore jusqu’à l’explosion finale qui nous laisse allongés l’un à côté de l’autre, le souffle court mais épanouis.
A peine le temps de goûter ce temps précieux, qu’il est déjà l’heure de se rendre au travail.
Mais ce n’est qu’une pause puisque je le retrouve en fin de journée.
Le véritable amant, c'est celui qui d'une légère caresse sur les cheveux, d'un simple sourire ou même d'un regard perdu dans le vague vous fait chavirer de bonheur. Marilyn Monroe