Début Juillet 2016, camping libertin près d'Agde, suite 5... et fin
Je regarde la mer avec, en premier plan, mon demi tout pétillant, coiffé d’une belle mousse blanche, tout un symbole ! Les gens discutent autour de nous sans être trop bruyant, on est bien... Marine, les yeux perdus dans le lointain reste silencieuse. J’appréhende un peu le résultat de ce qui semble être une sorte de méditation.
Les images tournent dans ma tête, Les deux hommes se relayant dans sa bouche, dans son cul, ses gémissements... Je me redresse sur ma chaise, je bande de nouveau et cela devient presque désagréable. Je tourne la tête vers elle, lui prends la main :
_ Ca va ma belle ?
Elle me regarde et me sourit ;
_ Très bien !
Le fait d’entendre simplement ces deux mots sur un ton aussi détendu me procure un soulagement énorme. Je ne peux, malgré tout, m’empêcher de poser la question qui me taraude depuis un long moment.
_ Tu ne regrettes rien alors... aucun remords ?
Son sourire disparait lentement :
_ Non pourquoi... Je devrai ?
_ Houlà, non ! Surtout pas ! C’est que... Je... Tu m’as toujours dit que tu ne voulais pas... Enfin, Tu ne voulais pas te faire pénétrer par un autre mec et... Pfff, en résumé, comme t’avais toujours parlé de devant mais jamais de derrière, je ne savais pas quoi leur dire lorsqu’ils en ont parlé devant moi cet aprèm... Et j’avais peur que tu m’enn veuilles de les avoir laissés faire.
Ma tirade lamentable se finit dans un souffle et je me réfugie dans mon demi dont j’avale une grande gorgée. Soudain Marine pouffe de rire tout en serrant ma main plus fort.
_ Mon pauvre chéri, je suis désolée de t’avoir créé autant de soucis !
Elle rit plus fort, se moquant visiblement de ma mine déconfite. Puis elle reprend son sérieux et se penche vers moi pour parler moins fort :
_ Je sais que c’est absurde mais pour moi... Comment te dire... C’est comme si mon derrière était moins important que ma petite chatte.
De nouveau, elle pouffe de rire et cette fois, je l’accompagne. Un moment de silence apaisé, chacun replongeant dans ses pensées. Soudain Marine se met à rire doucement :
_ Tu sais ce que je me disais ?
_...
_ Si les gens qui nous entourent savaient... J’imagine même pas ce qu’ils penseraient de moi. Sans doute que pour eux je serai une pute, une dépravée...
A mon tour je rigole avant de lui répondre.
_ Sans doute, en façade ! Mais je me dis que beaucoup de mecs se diraient au fond d’eux-mêmes « putain, si je pouvais me la faire... » ou « Houaaa comme j’aimerai que ma femme soit comme ça ! ».
Marine rit un peu plus fort puis se met la main devant la bouche et se penche vers moi pour murmurer :
_ Tu crois que des nanas se diraient « dommage que mon homme ne me permette pas ce genre de chose » ?
Je lui réponds sur le même ton :
_ Je suis sûr qu’il y en a plus qu’on ne pense... Tant pis pour eux !
Elle me sert la main plus fort avec un petit sourire au coin des lèvres, ma complice, ma coquine, mon amoureuse...
Je bois une gorgée et je repars dans ma contemplation. Quelques planches à voile, deux voiliers dans le lointain et... De nouveau les images du petits bois qui envahissent ma tête, c’est plus fort que moi ! De nouveau, je bande et j’ai envie de faire parler Marine, ça m’excite grave...
_ En tous cas, moi, j’ai pris un pied terrible...
Elle tourne la tête vers moi avec un grand sourire :
_ Mais tu n’as même pas joui !
_ Oui mais coté excitation... Enorme !
Silence.
_ J’aime bien quand tu regardes... Mais je préfère quand tu regarde et que tu participes.
Je me penche vers son oreille et lui chuchote :
_ Ben j’ai participé... Je t’ai branlé pendant qu’ils t’enculaient...
_ Rhhôôôô, quelle vulgarité !
Son rire dément sa réponse faussement outragée. Je bande de plus belle.
_ J’ai adoré te voir t’occuper de deux bites en même temps...
_ Arrêtes... On va nous entendre...
Cette fois, sa gêne n’est pas feinte, j’insiste en me penchant de nouveau :
_ T’as aimé, pas vrai ?
Elle ne répond pas tout de suite, avale une gorgée de bière puis se penche vers moi à son tour pour me répondre :
_ J’avoue que... Ben que c’était bien...
_ On recommencera alors...
_ attention ! Tu vas faire de moi une vraie nympho...
_ Non, juste une femme comblée qui me rendra hyper heureux...
_ Tu es bête... Je t’aime très fort, tu sais ! C’est complètement débile tous ça... Je te dis que je t’aime et en même temps je me fais sauter par d’autres mecs devant toi, ça n’a pas de sens !
Elle rigole doucement.
_ Ca n’a rien à voir ma belle, moi aussi je t’aime très fort mais tu sais bien qu’il ne faut pas confondre le cul et le cœur...
Elle me prend de nouveau la main et la sert très fort. On est super bien, mais nos verres sont vides !
Il ne faut pas longtemps pour atteindre le petit restau dans un vieux quartier de Sète. Mais le trajet me met à la torture. Avant de quitter le camping, Marine s’est de nouveau changée, son chemisier blanc n’étant pas sorti indemne de notre visite dans le petit bois. Une jolie robe a remplacé la jupe et le chemisier. Pendant le trajet, Marine remonte ses jambes et pose ses talons sur le tableau de bord, dévoilant ses cuisses et me laissant entrevoir son minou, elle ne porte pas de culotte. Elle me regarde avec un petit sourire espiègle. De temps en temps, son regard descend sur la bosse déformant mon short et son sourire s’accentue. Au bout de quelques minutes, elle me nargue :
_ Tu as un problème mon chéri ? Je trouve que tu ne roules pas bien vite...
_ C’est ça, fous toi de moi.
On finit par arriver et je gare le camping car au fond d’un petit parking situé non loin du restau. Je coupe le moteur et commence à pivoter pour descendre lorsque Marine m’attrape le bras. Je m’immobilise pendant qu’elle se lève de son siège et se penche vers moi. Posant sa main sur mon short elle murmure :
_ Il faut examiner ça... Ce n’est pas normal d’être enflé comme ça, sans raison...
Je ne bouge pas pendant que ses mains s’activent pour défaire ma ceinture puis la braguette. Lentement, elle baisse le haut du short dévoilant le bout de ma bite dépassant de mon slip. Ses doigts caressent mon gland tout doucement puis elle s’incline et le prend dans sa bouche. Je ferme les yeux, dégustant comme il se doit ce pur moment de bonheur. Sa langue s’active autour de ma queue puis elle me relâche, baisse un peu plus mon short pour me lécher plus bas sans atteindre mes testicules, coincées dans mon slip. Puis elle remonte, lèche le bout de ma queue avant de se redresser, un sourire coquin sur les lèvres.
_ Non, rien de grave, ça peut attendre encore un peu.
Sur ces mots, elle pivote sur elle-même et sort de son côté, me laissant complètement désemparé. J’ai juste le temps de lui dire « Espèce de petite salope ! » avant qu’elle ne referme sa portière en éclatant de rire…
Durant tout le repas, nous ne parlons que de sexe et peu à peu, le vin aidant, elle se lâche dans ses propos. J’ai vraiment l’impression que dans sa tête, elle se sent beaucoup plus à l’aise avec nos petits jeux si particuliers.
Tant et si bien qu’à la fin du diner, je me sens hyper chaud. Je n’ai qu’une envie, la baiser dès que possible. Et lorsque je le lui dis, elle me répond du tac au tac :
_ Quand tu veux !
Sous son regard plein de provocation, j’appelle le serveur pour avoir l’addition. Le temps qu’il aille chercher son terminal pour payer avec ma carte bancaire, Marine jette un coup d’œil autour d’elle et me demande de regarder sous la table. Je me recule, remonte un peu la nappe et me penche légèrement.
Cuisses bien écartées, sans culotte, elle descend une de ses mains et à l’aide de deux doigts, écarte ses grandes lèvres afin de bien me montrée l’entrée de sa vulve trempée. J’ai le cœur qui cogne et ma queue tente pour la nième fois de sortir par le haut de mon short. Le serveur revient…
A peine sorti du restaurant, nous prenons la première petite ruelle que nous trouvons, puis une autre et nous nous retrouvons dans un endroit désert bien que nous entendons le bruit de conversations venant d’une rue sans doute plus importante toute proche. Soudain Marine me lâche la main, s’avance rapidement de quelques pas puis se retourne vers moi. D’un seul coup, elle relève sa robe jusqu’au dessus de sa tête, s’exhibant entièrement nue devant mes yeux hagards.
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Juste le temps de la prendre en photo et, rabaissant sa robe, elle repart devant moi en riant et en se déhanchant exagérément. Je la suis, le souffle court, excité par sa folie, je la sens prête à tout et ça me rend fou de désir.
De nouveau, elle s’arrêt :e et se retourne. Elle me regarde et baisse un coté du haut de sa robe, dégageant son sein droit. Puis de ses mains, elle remonte le bas afin d’exhiber sa chatte.
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_ Ca te plait ?
La bouche sèche, je ne sais que répondre. Elle rit tout en remontant la bretelle de sa robe, cachant son sein. Puis elle se retourne et repart. Quelques mètres plus loin, elle s’engouffre dans un petit escalier de pierre constituant l’entrée d’une maison. Elle s’assoit sur une marche, dégage son sein gauche puis écarte légèrement ses cuisses, prenant la pose.
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Je tremble de partout, la porte peu s’ouvrir, des gens peuvent apparaitre dans la ruelle, elle s’en moque ! Je la sens chaude, pleine d’envies, totalement soumise à ses pulsions sexuelles. Je me dis que je vais pouvoir la baiser, lui faire faire ce que je veux, elle ne dira pas non. Mon excitation est à son paroxysme et elle le sait !
Provoquante à l’extrême, elle murmure :
_ Dommage qu’ils ne soient pas là... J’aurai bien aimé me faire prendre ici, devant toi...
_ Tu en as vraiment envie ?
Ma voix tremble, je suis totalement déboussolé et tellement excité que j’en ai mal aux testicules.
Sans répondre, elle se relève, un petit sourire au coin des lèvres, passe devant moi et va s’adosser au mur, de l’autre coté de la ruelle. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle baisse le haut de sa robe, dévoilant sa poitrine bien ferme, puis, d’une main, remonte le bas de sa robe.
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_ Tu crois qu’ils aimeraient me voir comme ça ?
Tout dans sa façon de s’exhiber évoque son envie de se faire baiser. Je m’avance vers elle sans qu’elle n’esquisse le moindre geste. Je remarque au mouvement de sa poitrine, sa respiration rapide, saccadée, bouche à peine ouverte. Je plaque une main sur un sein et l’autre sur sa chatte. Elle ferme les yeux, haletante, soumise. J’ai envie de vulgarité, envie de lui exprimer d’une façon totalement bestiale l’envie qui me taraude depuis trop longtemps. Tout en la caressant, j’approche ma bouche de son oreille et lui murmure :
_ J’adore quand t’as envie de te faire tringler comme une salope…
Sa respiration s’accélère encore. Elle a les yeux fermés et reste silencieuse.
_ T’as pas eu assez de queue aujourd’hui ? T’en veux encore ?
Son souffle court sur mon oreille trahi son excitation qui semble aussi intense que la mienne. Puis, presque à ma surprise, elle me répond d’une voix à peine audible, dans un souffle :
_ Oui… J’aime trop ça…
Je pince légèrement son téton tout en glissant un doigt dans sa fente totalement offerte. Elle gémit, ouvre les yeux et le regard voilé par le plaisir, prononce les mots magiques qui rendent fou tout homme normalement constitué :
_ Baise moi !
Délaissant sa chatte, je commence à défaire ma braguette quand soudain des voix et des bruits de pas se font entendre, tout proche. Je m’écarte rapidement pendant que Marine remonte le haut de sa robe. Nous avons à peine le temps de nous réajuster qu’un groupe de personnes apparaît au bout de la ruelle. Intérieurement, je les maudits tout en étant soulagé car s’ils étaient arrivés quelques minutes plus tard…
Nous les laissons passer après un bref salut et nous pouffons de rire, heureux d’avoir évité une situation embarrassante. Nous repartons en sens inverse et au moment de passer devant le petit escalier, Marine s’arrête. Reculant dans l’entrée, elle s’assoit sur les premières marche en m’attirant ers elle. Posément, elle défait ma braguette, plonge sa main dans mon slip et sort ma queue. Je la regarde avancer sa tête, sortir sa langue et lécher la hampe puis remonter sur le gland qu’elle lape consciencieusement avant de le prendre entièrement dans sa bouche. Je tends mon bras afin de prendre un selfi très particulier.
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C’est trop bon ! Ma coquine suce divinement bien et il ne lui faut que quelques secondes pour m’amener au bord de l’orgasme. Ma main plaqué sur sa nuque, je tente de lui imposer mon rythme sans vraiment y arriver. C’est elle qui dirige, elle qui impose la cadence, me maintenant au sommet de la vague. Le petit jeu n’en finit plus et je finis par la supplier d’arrêter. Soudain, elle redresse la tête, me laissant pantelant, à bout de souffle, ma bite dressé vers le ciel. Elle se met debout puis descend une marche pour se retrouver à la bonne hauteur. Relevant le bas de sa robe tout en écartant les jambes, elle répète d’une voix rauque les mots magique :
_ Baise moi !
Je réagis immédiatement. Empoignant ma bite, j’avance mon bassin, collant mon gland entre les grandes lèvres brillantes de son jus. D’un mouvement du bassin, je la pénètre d’un coup, m’enfonçant le plus profondément possible. Fléchissant les genoux, Marine contribue à se faire empaler tout au fond de son ventre. Elle lâche un petit cri puis murmure :
_ Ooohhhh que c’est bon…
Je ne peux m’empêcher d’émettre à mon tour une sorte de grognement tout en commençant à m’agiter d’avant en arrière. Une envie bestiale de part et d’autre, envie de baiser totalement primaire, sans tendresse, ni douceur. Envie de nous soulager, envie de mettre fin à une tension nerveuse insoutenable. Marine baisse le haut de sa robe d’un geste rageur, m’offrant sa poitrine à lécher, à sucer, ses tétons à mordiller. Je la tringle sans ménagement, faisant trembler ses seins à chacun de mes coups de boutoir. Elle laisse échapper un petit « han ! » à chaque fois que je frappe le fond de son vagin et ça me rend encore plus fou. Peu importe si des gens arrivent, plus rien ne peut nous arrêter, du moins en théorie !
Des voix, des bruits de pas, Ils arrivent et... Nous nous séparons, une nouvelle fois. J’ai du mal à remettre ma queue dans mon short ce qui amuse Marine. Les gens passent en nous jetant un regard soupçonneux puis d’autres bruits, d’autres gens, c’est foutu. Ville de merde où on ne peut pas être tranquille cinq minutes. Marine pouffe de rire devant ma frustration qui me met de mauvaise humeur.
Elle s’approche de moi et m’embrasse tendrement sur la bouche.
_ On peut aller faire un tour sur la plage si tu veux. A cette heure, il ne doit pas y avoir beaucoup de monde...
La perspective est plus qu’alléchante et me redonne aussitôt le moral. Ma femme est une adorable salope, j’en suis fou amoureux !
Direction Marseillan plage, il y a des dunes dans ce coin et j’ai une petite idée de ce qu’on pourrait y faire. Le plus compliqué, c’est, de trouver une place pour ce garer pas trop loin, même avec un petit camping car. Finalement, je trouve une place le long d’un trottoir dans une rue pas trop passagère. Le temps d’attraper un drap de bain, nous voilà partis vers la mer. Au bout de 10mn, elle est là, devant nous. Nous marchons sur le sable, main dans la main jusqu’à la limite des immeubles puis nous quittons la clarté des lampadaires pour nous enfoncer dans la nuit. La lune éclaire un peu mais on ne voit pas grand-chose au loin. Personne en vue, la plage est toute pour nous. Par précaution, nous marchons, encore cinq minutes puis je remonte légèrement sur les dunes afin d’y trouver un léger creux pour y étendre la serviette. Je me retourne et regarde avec surprise Marine qui se déshabille tranquillement. Entièrement nue, elle me sourit et lance :
_ Un petit bain de minuit ?
_ Heuu oui, si tu veux mais j’espère qu’il n’y a personne d’autre dans le coin.
_ Qui veux-tu qu’il y ait, à part deux ou trois voyeurs peut-être et ça, on s’en fou, non ?
La légèreté du ton m’étonne, elle se lâche vraiment et je commence à envisager des perspectives très intéressantes pour notre futur...
Je me déshabille à mon tour et nous courrons vers la mer.
L’eau est bonne, un vrai plaisir. Nous nous éclaboussons et rions pendant quelques minutes. Je me retrouve soudain coller contre elle et me frotte contre sa peau toute douce. Ses tétons dressés affleurent juste à la surface de l’eau. Je me penche et en prend un entre mes lèvres. Marine ne bouge plus. Je sens sa main descendre et s’emparer de mon sexe en érection. Elle me branle lentement pendant que je suce son téton puis murmure :
_ On serait mieux sur la serviette...
Je me redresse et nos bouches se rencontrent. Nous nous embrassons avec passion, nos langues emmêlées. Lorsqu’à bout de souffle nous nous séparons, je lui prend la main et l’entraine vers les dunes.
A peine arrivés dans notre petit coin, Marine se laisse tomber à genoux sur le drap de bain. Elle s’empare aussitôt de ma queue toujours aussi raide et la prend dans sa bouche. Je ferme les yeux, debout sur mes jambes qui tremblent déjà pendant qu’elle me suce avec dextérité. Sa langue tourne autour de mon gland, s’arrête sur le frein, puis repart dans sa ronde infernale. Penchant sa tête, elle m’avale plus profondément, puis ressort ma bite de sa bouche avec un bruit de succion. Sa langue descend le long de ma bite, lentement, avant de venir me lécher les testicules tout en me branlant de sa main. J’ai de plus en plus de mal à garder l’équilibre. Je la regarde s’activer, remonter sa langue puis me sucer de nouveau avec douceur. Elle se met à me pomper, caressant mes couilles de sa main tout en me branlant de l’autre, une vraie torture. Je regarde machinalement sur le côté et découvre un type à genoux dans le sable entre les hautes herbes à quelques mètres de nous. Ils nous observe et le mouvement de son bras entre ses cuisses ne laisse aucun doute sur ce qu’il fait.
Saisissant les cheveux au niveau de la nuque, je tire la tête de ma coquine en arrière. Surprise, elle lève les yeux et je lui murmure :
_ Il y a un type qui nous regarde.
_ Où ça ?
D’un petit signe de tête, je lui indique la direction. Elle tourne la tête puis me regarde de nouveau en pouffant de rire.
_ Hummm, on va essayer de ne pas le décevoir... Non ?
Tout en parlant, elle me masturbe tout doucement, son autre main plaquée sur mes fesses. Je lui demande :
_ Ca t’excite ?
_ Un peu, et toi ?
_ Moi j’ai envie qu’il te voit bien...
_ Hi hi hi, tu veux dire que tu aimerais qu’il soit plus près ?
_,Hum moui, ça me plairait bien qu’il s’approche un peu pour qu’il puisse voir une belle salope en action...
Elle me regarde toujours droit dans les yeux mais son sourire a disparu. Sa main me serre davantage tout en continuant ses mouvements de va et vient. Penchant la tête en avant, elle reprend ma bite dans sa bouche et se remet à me pomper lentement. Je la regarde faire pendants quelques secondes puis je jette un coup d’œil vers le type toujours accroupi. Sans réfléchir, je lève mon bras et lui fait signe de venir.
Il se relève, hésite un peu puis s’approche doucement pour se figer à environ deux mètres de nous. La cinquantaine, un peu bedonnant, il n’est pas vraiment attirant. Il me sourit et se laisse de nouveau tomber à genoux, sa queue en érection se balançant entre ses cuisses. Surprise par le bruit, Marine redresse la tête et découvre notre voyeur près de nous. Le type hoche la tête en guise de salut et murmure :
_ Désolé si je vous... Ma femme... c’est pas vraiment son truc de baiser. Alors je me soulage comme ça en regardant les autres.
Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il parle et en plus pour nous dire ça ! Je reste sans voix, incapable de lui répondre. Je regarde ma coquine qui lui adresse un léger sourire avant de se remettre à me sucer. Je balance mes hanches d’avant en arrière comme si je la baisais et regarde le type qui de nouveau se masturbe, les yeux fixé sur nous.
Rapidement, je me retrouve au bord de l’orgasme. J’empoigne ses cheveux et lui tire la tête en arrière juste au moment ou je vais craquer. Comprenant la raison de mon geste, elle arrête immédiatement de me branler tout en me souriant. Je souffle un grand coup, feit deux pas pour me placer derrière elle et me laisse tomber à genou sur la serviette. Plaçant mes mains sur ses épaules, je la tire en arrière pour l’amener à s’assoir. Passant mes bras autour de son corps, je m’empare de ses seins, un dans chaque main et commence à les pétrir lentement tout en l’embrassant dans le cou. J’entends sa respiration s’accélérer trahissant son excitation. J’ai, envie de l’exhiber encore plus. Plaçant ma bouche contre son oreille, je lui chuchote :
_ Montre lui... Ecarte tes cuisses
Haletante, les yeux mi clos, elle obéît. Lentement, elle ouvre ses jambes, exhibant sa chatte devant le type qui se déplace pour être bien en face et mieux voir.
Je tremble de partout, ma vue se brouille un peu et perd un peu le contrôle de mes pensées. J’ai envie de dire des choses crues, envie de cul. Cette fois, je ne murmure plus, je veux que lui aussi m’entende :
_ Ecarte plus, ouvre bien ta chatte !
Marine est dans le jeu ! Pour mon plus grand plaisir, elle s’exécute, les yeux bien ouverts. Respirant fort, elle s’ouvre au maximum et me répond :
_ Comme ça ?
Saisissant ses tétons entre mes doigts, je les pince un peu el lui arrache un gémissement. Penchant la tête en arrière elle happe l’air comme un poisson hors de l’eau. Ses yeux voilés par le plaisir me fixe une fraction de seconde avant de se fermer et de me dire dans un souffle :
_ Baise moi !
_ Met toi à quatre pattes !
Je me recule et la regarde se mettre en position pour une levrette. Genoux bien écartés, la tête posée sur la serviette, cambrée au maximum, elle m’offre son cul sans retenue, prête à se faire tringler. Je m’avance vers elle, empoigne ma bite et positionne mon gland entre les grandes lèvres humide de sa vulve. Elle est trempée. Plaçant mes mains sur ses hanches, je la tire vers moi et m’enfonce avec délice jusqu’au fond. Elle laisse échapper une sorte de petit grognement de satisfaction et commence immédiatement à onduler d’avant en arrière. Je me remémore les paroles de Christophe et lui donne raison, elle bouge merveilleusement bien son cul quand on la baise ! Le type ne rate pas une miette du spectacle et se branle comme un fou. Je commence à aller et venir entre ces fesses si accueillantes, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Envie de baiser cette salope et de la faire jouir devant l’autre, envie de me vider tout au fond de ce ventre. Le souffle court, haletante comme une chienne, elle gémit de plus en plus fort sous mes coups de boutoir puis laisse échapper de petits cris rauques. Mes couilles claquent sur ses cuisses et je sens ma sève monter de mon ventre vers ma bite. Soudain, Marine se redresse, creusant ses reins et pousse un grand cri suivi d’un long râle, son corps agité de soubresauts comme s’il était traversé par un courant électrique. Dans un dernier coup de rein, je m’enfonce au plus profond et à mon tour, je me raidit, incapable de me maitriser davantage, j’explose, éjaculant par saccade, me vidant complètement de ma sève en grognant ma jouissance.
Marine se laisse aller à plat ventre, cherchant son souffle, les fesses luisantes de mon sperme qui dégouline de ma bite qui se recroqueville doucement. Je m’allonge prêt d’elle et jette un coup d’œil vers le type qui s’éloigne déjà, sans un mot. Sans doute rêvera-t-il que sa femme lui permette un jour ce genre de folie. Cette pensée me fait sourire et je finis par la glisser dans l’oreille de ma coquine qui se met à rire elle aussi. Je l’enlace et la serre fort contre moi. On s’aime !
Le lendemain au réveil dans le camping, il n’y a que des emplacements vides en face de nous. On n’a même pas pu se dire au revoir... Dommage car Marine m’avoue qu’elle aurait bien aimé garder le contact... Surtout avec un certain Christophe. Moi, je lui réponds que Sandra... Ben je me la serais bien faite ! Cela nous fait beaucoup rire et nous rend encore plus forts, encore plus complices, encore plus amoureux !