- 28 juil. 2021, 08:26
#2537228
Merci beaucoup.
Voilà la suite.
Cependant je tiens à Michpat, tu as tellement raison.
Ça me tue que ça soit avec lui...
Pour reprendre où j'en étais, ce qui s’est passé à cette fameuse soirée, je m’en souviendrai toute ma vie.
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis. Là, nous allons partir en vacances et je ne sais pas trop comment ça va se passer.
Je pense qu’à la rentrée, des choses devront être faites. Je sais pas encore.
Mais ça ne sert à rien que je vous parle de tout ça pour l’instant sans vous avoir déjà dit ce qui s’est passé dans l’ordre.
Tout a commencé deux jours avant la fameuse soirée. Ma femme est arrivée plus tard à la maison. Elle m’a dit qu’elle revenait de chez l’esthéticienne. Le RV était-t-il prévu ? Elle y va régulièrement mais je me suis posé la question. La veille c’était chez le coiffeur…
Je n’ai pas fait de commentaires. Et nous n’avons pas parlé de la soirée.
Tout le monde est arrivé à peu près en même temps, vers 21 h.
Gaëlle avait une jupe plutôt courte (moins courte quand même que la dernière fois) en cuir et avait mis un petit top cache cœur. Cela n’était pas indécent ni même provocateur. Déjà je respirais mieux.
Mag avait fait un petit effort, pour ne pas paraître trop laide. Quant à Luc, classique on va dire.
J’ai bien regardé leurs gestes quand ils se sont dit bonjour.
Rien de louche. Juste une main de ma femme sur son épaule en lui faisant la bise...
On a bu l’apéro puis j’ai mis ce qu’on avait commandé chez le traiteur sur une table et on se servait en picolant.
Je m’étonnais de l’ambiance. On parlait du covid évidemment, de plein de choses et on rigolait.
Premier hic, pour moi. A un moment Gaëlle racontait quelque chose tout en riant et Luc la charriait. Pour l’arrêter, ELLE lui a mis sa main sur sa cuisse à lui. C’était un petit geste et par bien des côtés anodin. Mais…voila quoi.
Personne n’a semblait faire attention mais j’avoue que j’ai failli avaler de travers.
En fait, plus la soirée passait plus ils étaient complices. Moi et Mag d’un côté et eux deux de l’autre.
Ça n’était pas choquant, il n’y avait rien de particulier mais on sentait qu’il y avait deux discussions un peu séparées. J’écoutais évidemment tout en faisant la conversation à Mag mais ils ne disaient rien de particulier. Ils parlaient de trucs dans leur jeunesse, ce qu’ils avaient fait, des expériences par ci par là.
De temps en temps Gaëlle prenait à témoin Mag, du genre, Mag tu te rappelles quand… bla, bla, bla…
Quand Gaëlle a débarrassé elle a dit, allez Luc vient me donner un coup de main. Bon nous avons une cuisine américaine, donc on les voyait parfaitement et il n’y avait rien de louche.
Pareil, à un moment, on était à trois, Gaëlle était à la cuisine et quand elle est revenue elle s’est assise sur l’accoudoir du canapé à côté de lui. Pourtant à la maison ce n’est pas la place qui manque.
Elle n’était pas la même que d’habitude. Plus volubile, plus maniérée, Elle roulait des yeux, c’était bizarre de la voir comme ça. Elle parlait plus vite, faisait plein de gestes pour s’exprimer. Elle changeait de comportement devant lui, peu importe que Mag et moi soyons là.
Elle était donc un peu surélevée sur l’accoudoir , en mini…ses cuisses sous ses yeux… et je n’ai pas rêvé, j’ai trouvé que la jupe était plus courte. Je sais c’est idiot mais c’est vraiment l’impression que j’ai eue. Et elle gigotait. Et quand elle riait, une main sur l’épaule de monsieur…
La non plus y avait rien en soi, c’était que des petits détails mais…
La soirée était passée hyper vite et il était près déjà d’une heure du mat.
Puis Mag a dit qu’elle devait rentrer.
Plus de métro. J’ai donc appelé un taxi. Mag a dit qu’elle pouvait rentrer à pied. Elle n’habite pas vraiment à côté. Ça n’était vraiment pas raisonnable.
Toutes les lignes de taxi étaient occupées avec une grosse attente.
Il aurait pu proposer de la raccompagner. Il a une bagnole. Il voulait que je me barre.
Mais je savais à peu près ou j’avais une chance de trouver des taxis mais rien n’était moins sûr. D'un autre côté, impensable de la laisser rentrer seule.
Je sais pas, j’ai décidé qu’il fallait que je prenne le risque, ça ne prendrait pas longtemps.
J’ai dis à Mag que je la raccompagnais chez elle. Mon garage est à cinq minutes de la ou on habite et nous voila dehors.
En sortant de l’immeuble, un petit silence gêné s’est installé. Puis Mag me dit : tout va bien ?
J’étais étonné.
- Heu oui pourquoi ,
- Non, je veux dire, avec Gaëlle, tout va bien ?
Bon, manifestement la question n’était pas anodine. Savait-elle quelque chose, voulait-elle me dire quelque chose ?
- Heu je pense pourquoi ?
- Non, rien, comme ça je demande.
Elle ne dit plus rien. J’étais anxieux à l’idée de ne pas trouver de taxis car elle habite du côté de Nation alors qu’on est à côté du Parc Monceau…
Et là ! j’ai vu un taxi passer et je me dis que c’était une occasion en or qui m’était offerte de ne pas jouer avec le diable. D’arrêter toutes ces conneries. De vite revenir à l’appartement ne plus renouveler ce genre d’invitation, de faire machine arrière et de revenir à une situation normale.
Je fais signe au taxi qui vient à contre-sens. Je lève la main, il s’arrête.
Mag me dit, non c’est gentil, mais j’ai pas beaucoup d’argent sur moi.
- Laisse tomber, c’est moi qui te le paye.
Elle ne dit rien. Je pense qu’elle est soulagée. Je donne un billet au chauffeur en lui demandant si ça suffit (ça m'a couté cher...) je lui donne l’adresse, il me dit que oui. J’étais hyper pressé de m’en débarrasser et de revenir à la maison.
Mag avait mis son masque, elle le baisse et me fait la bise. Elle va pour me dire quelque chose puis se ravise, je sens dans ses yeux quelque chose.
Je lui dis :
- Qu’est ce qu’il y a ?
Je la sens hésiter.
- Fait attention Maxime.
Je reste un peu con.
- A quoi ?
- A Gaëlle.
- C’est-à-dire ?
Elle ne dit rien monte dans le taxi.
Elle baisse la vitre et me dit :
- Elle a été allumeuse ce soir.
Puis, elle rajoute : et pas avec toi.
Et là le taxi a démarré.
Je peux vous dire que ça fait mal. Surtout quand c’est dit et confirmé par quelqu’un d’autre. Elle avait hésité car Gaëlle est son amie. Et pourtant, je ne me suis pas senti visé moi. C’était plutôt un jugement sans appel sur sa copine.
Je me suis dit sur le coup, heureusement que j’ai appelé ce taxi.
Je pouvais déjà être de retour.
A travers la porte de l’appartement, j’ai entendu un fond sonore de musique. Du coup, je suis rentré discrètement. Comme la dernière fois.
Je ne sais pas comment ils en sont arrivés la. J’ai réécris dix fois ce qui va suivre.
Des trucs que j’avais oublié me sont revenus, des douleurs inimaginables aussi.
Il n’y a pas un jour sans que je n’y repense tellement les images m’ont marqué. Je les trouve hallucinantes.
Je préfère le dire, les faits sont les faits, je pense ne pas en avoir oublié un et rien n'a été rajouté.
Gaëlle avait les mains sur le buffet (je pense qu’elle a du ranger des trucs dedans avant) et Luc était derrière elle. Quand je dis derrière, c’est les mains sur les hanches de ma femme, collé contre elle, comme s’ils dansaient tous les deux, lascivement, sur l’air de la musique, sans que cela soit pour autant des mouvements d’une danse. Plutôt un truc très tranquille.
Mais un mec chez moi se collait au cul de ma femme, les mains sur ses hanches, lui parlait à l’oreille et elle, elle s’appuyait contre lui, en riant un peu.
Que devais-je faire ?
Puis avant que je trouve quelque chose à faire pour arrêter tout ça et ne plus jamais l’inviter, il s’est passé un premier truc.
Il a attrapé délicatement la queue de cheval de Gaëlle et l’a lentement tirée vers l’arrière, jusqu’à ce qu’elle ait la tête renversée et là… il l’a embrassée.
Voila… c’était fait. L’avait-il déjà embrassée avant que je rentre ? Je sais pas.
Ma femme, la mère de ma fille roulait une pelle à un autre homme que moi. Comment on en est arrivé là ?
Et ça durait.
ça durait.
Puis il a reculé sa tête tout en maintenant celle de Gaëlle en arrière et a sorti sa langue et la approchée de la bouche de ma femme et j’ai vu un truc que je n’avais jamais vu de ma vie. Ça m’a fait plus mal que tout le reste.
J’ai vu ma femme, sucer cette langue. Comme une pipe. Ce fils de pute ne bougeait pas et ma femme suçait cette langue. Comme si c’était ce qu’il attendait d’elle et comme si elle, de son côté, savait ce qu’il voulait qu’elle fasse !!!
Moi, je n’aurais même compris.
En plus, elle me paraissait énorme et visqueuse, dégueulasse pour être franc.
C’était, je suis franc, insupportable. Ma poitrine s’enfonçait en moi. Elle lui suçait cette grosse langue dégueu lentement.
J’étais tellement bloqué dessus que je n’avais pas vu qu’il était déjà en train de la doigter. La main gauche tenait les cheveux et la droite était sous sa jupe.
Ma femme, sa plus grande intimité, celle qu’elle n’offrait qu’à moi un autre y mettait ses doigts.
Tout ce que je vais vous raconter s’est passé comme ça. Y compris ce qu’il s’est dit.
J’ai mis du temps à le digérer et à l’écrire…
Tout en lui maintenant la tete en arrière il a commencé à l’embrasser dans le cou.
Elle remuait sur sa main et la d’un coup elle a dit :
- Non ! pas ça !
???
Luc : - Quoi pas ça ?
- Pas un suçon !
Je vis qu’elle avait déjà une marque un peu rouge.
C’était le bordel dans ma tête, je ne comprenais plus rien.
Mon coeur s'est mis à vraiment cogner. Devais-je intervenir ?
Mais il n’a pas insisté. Il l’a lâchée, s’est reculé et s’est assis dans le fauteuil une place que nous avions. Du coup, il a fallu que je me déplace. C’était dangereux mais je n’ai pas pu résister.
Je me suis retrouvais derrière la porte et j’ai regardé à travers l’écart entre la porte et le chambranle.
Je voyais bien mais il ne fallait pas qu’ils viennent vers lui cuisine, sinon j’étais mort.
La musique continuait et il a dit : tu préfères que je te le fasse ailleurs.
Je la voyais de dos, à côté du buffet. Elle n’a pas répondu.
- A un endroit plus discret ?
Elle n’a toujours rien dit
- Alors ?
D’une petite voix, elle a dit : oui.
Il lui a fait un signe de tête appréciateur.
Lui : déshabille toi que je vois comment t’es gaulée.
Ma femme hésite pour le coup.
Elle ne bouge pas.
Je la connais, je sens qu’elle est en train de dégriser.
- Allez !
Et je la vois, elle, qui écarte d’abord les pans de son cache-cœur. Elle n’avait pas de soutif. Elle se retrouve donc seins nus.
Putain...
Quelques secondes passent puis elle défait le zip de sa jupe derrière elle. Celle-ci tombe à ses pieds. Elle fait un pas de côté et la laisse par terre. Elle est face à lui. En talons juste son string noir en dentelle.
Et c’est là, je l’avoue ou j’ai commencé à bander. Je sais qu’elle est belle mais vu de la ou j’étais, comme un nouveau point de vue, de dos, j’avais l’impression de la découvrir à nouveau. Et je sais pas comment nous serons plus tard physiquement mais là je la trouvait parfaite. Et lui s’en rinçait les yeux.
- Tourne toi
En pivotant, elle s’est presque retrouvée face à moi. Je me suis dit si elle regarde l’entrebaillement de la porte, je suis fait.
- T’es vraiment très bonne. Regarde moi.
Elle se tourne vers lui.
- Enlève ton string.
Elle hésite un peu, pas longtemps en fait, puis se penche et retire son string.
Surréaliste. Je n’en revenais pas. Chez moi !!
Elle s’est mise à poil devant un autre mec !
Et ça n’était pas comme quand on se déshabille en même temps. Là, ça voulait dire : j’obéis à te demande. Je sais que la seule chose qui t’intéresse c’est mon corps, et je n’y vois aucun inconvénient.
- T’as la chatte rasée, j’aime ça c’est bien.
Lui est toujours habillé.
- Approche je vais te faire un suçon la ou tu as envie.
Putain, j’ai vu ma femme marcher vers lui, lentement, sexy, comme si elle avait repris confiance. Il a passé une main derrière son mollet et l’a fait poser son talon sur l’accoudoir du fauteur, il a glissé un peu sous elle et il a commencé à lui lécher la chatte.
Directement !
Elle était debout, un talon au sol, l’autre à côté de son épaule à lui sur le dossier, écartée.
Elle s’est mise à lui caresser les cheveux et il s’est mis non à la lecher mais à la sucer littéralement. Elle lui a alors attrapé les cheveux et l’a plaqué encore plus contre elle, fort, comme elle me faisait parfois.
Ça durait. C’était affreux pour moi. J’ai failli partir de chez moi à ce moment-là.
Je me suis dis mais comment c’est possible !! Elle ne se dit pas que je peux rentrer à tout moment ???
Après coup, même si tout ce qui s’est passé m’a paru durer une éternité, ça n’a pas duré plus de trente minutes en fait. Je crois qu’en fait elle ne réalisait plus, qu’elle n’y a même pas pensé.
Sa jambe tendue commença à trembler.
Elle s’est dégagée de lui. Il lui dit : a ton tour de me faire du bien.
Elle s’est mise sur le coté car devant lui il y a la table basse et s’est mise a genou. Elle le regardait dans les yeux en lui déboutonnant son pantalon. Il s’est levé et a terminé de baisser son froc et... comment dire...
Je sais ce qu’on dit sur les blacks et tout, je n’en sais rien si c’est exagéré ou pas, mais un mec de deux mètres, je peux vous dire que j’ai compris que c’était proportionnel.
Il bandait un peu mou mais franchement c’était énorme. Elle commençait à durcir et elle lui arrivait presque jusqu’à mi-cuisse. Je n’en ai pas une petite, je ne complexe pas. Je suis bien dans ma peau. Je ne sais pas si la taille joue dans le plaisir. Mais j’ai compris que dans le cerveau de ma femme il y avait eu un court circuit, que son cerveau avait du fusionné en voyant cette queue. Je ne sais pas, l’aspect psychologique sans doute. Elle l’a pris dans sa main, qui n’en faisait pas le tour. Il s’est rassis et elle a commencé à le branler. Puis elle a commencé à le sucer en étant sur le côté toujours, la tête par-dessus sa cuisse. Il l’a attrapée par sa queue de cheval mais étonnamment il ne lui imposait pas de rythme. C’est elle qui se l’imposait.
Je l’ai vu sucer, comme elle me faisait, se l’enfonçant dans la gorge, à s’en faire mal. J’en ai eu mal pour elle, tout en bandant. Elle n’arrivait à rentrer que le tiers supérieur mais semblait déjà étouffer. Lui la laissait faire.
- Tu suce vraiment comme une bonne pute.
Je n’y croyais pas vous savez. Ça avait l’air d’un film de cul de mauvais gout et elle ne disait rien. Ma femme, la féministe, celle qui m’avait déjà dit, dans le sexe, la seule chose qui est tabou c’est ce que tu ne veux pas faire et moi parmi ces choses, il y a les insultes !
Et là, il traitait la mère de ma fille de bonne pute, en étant assis sur le fauteuil où notre fille joue, et plus il l’insultait, plus elle le poussait loin en elle.
- T’es une vraie suceuse de queue toi !
- T’as faim ça se voit !
- Bouffe la bien ! Vas y enfonce la toi bien à fond.
- Vas y fait ta pute.
- Oui voila. T’es une bonne pute.
- Je l'ai su dès que je t'ai vue la première fois
- …
Ça a duré au moins cinq minutes. Elle se cognait de plus en plus le fond de la gorge dessus et lui ne faisait rien, la laissait faire, juste il l’insultait. Elle essayait de le rentrer toujours plus mais là c’était vraiment trop gros.
J’entendais des bruits, elle étouffait, pour le satisfaire. Mais putain où est le plaisir à s’infliger ça ???
Elle s’est mise à avoir des hauts le cœur et elle continuait. Je voyais toute sa poitrine se soulever et j’ai vraiment crû à chaque fois qu’elle allait gerber sur lui. Elle attendait que les spasmes se calment et elle recommençait, avec un bruit horrible, presque de vomissement.
Il l’a soulevé par la queue de cheval et lui a dit :
- Allez vient te faire plaisir
Rétrospectivement je ne sais pas si c’est une bonne chose de voir sa femme coucher avec un autre. Je sais que bcp ne demande que ça.
Moi ça m’a tué. Je ne mens pas. Ça vous assomme. Ça fait mal dans la poitrine.
Elle s’est levée. Il était, je le reconnais vraiment gros. Elle s’est mise au-dessus de lui. J’ai vue sa main gauche (avec mon alliance, ça marque) passer derrière elle, attraper sa grosse queue et se positionner juste au- dessus. Elle était debout, les cuisses légèrement fléchies mais elle ne reposait pas sur lui encore. Elle le frottait contre sa chatte. J’ai vu le gland passer (sans capote), elle bougeait doucement dessus, et petit à petit elle s’enfonçait dessus. Elle a commençait à remonter et à redescendre à chaque fois un peu plus.
Puis elle a laché sa queue avec sa main et a commencé à faire des allers retours. Elle s’empalait jusqu’à la moitié de sa queue.
Puis, elle a posé ses tibias sur ses cuisses à lui. Elle avait toujours ses escarpins.
Il l’a attrapée par la nuque et a commencé à l’embrasser dans le cou. J’ai vu qu’elle a essayé de le repoussé à nouveau. Il s’est alors enfoncé d’un coup violent en elle. Elle a poussé un cri, je pense de douleur.
Il était entièrement en elle. Ça n’était pas possible !!
- Bouge !
Elle a commencé à remuer sur lui. Je voyais cette énorme truc rentrer dans ma femme.
Il a commencé lui faire un énorme suçon dans le cou. Elle ne disait plus rien. Je le voyais aspirer comme un malade la fine peau fragile de son cou, vraiment fort, sans la lâcher. Je voyais la peau s’étirer. Au moins deux minutes comme ça.
Puis, il lui a tourné le visage à deux mains, et a commencé à faire la même chose de l’autre côté. Quand il lui a tourné la tête, j’ai vu l’énorme marque qu’il lui avait déjà faite.
Il était entrain de faire pareille des deux cotés. Gaëlle ne luttait pas. Elle se laissait faire.
Ma femme et lui ‘étaient bougeaient en rythme.
Puis d’elle-même elle lui a tendu sa gorge. Elle a attrapé sa tête à deux mains et a plaqué sa propre gorge contre la bouche de ce salaud. Ça l’a rendu fou. Il lui a alors aspiré la gorge comme un malade, elle a commencé à gémir ! Elle allait et venait sur lui de plus en plus vite tout en le plaquant de plus en plus contre sa gorge.
On aurait dit qu'elle voulait qu'il avale sa gorge !
Il a ensuite commecé à lui bouffer les seins. Les fameux seins qu’il avait vu il y avait déjà cinq mois pour la première fois.
Et d’un coup,il lui a mis une claque énorme sur le cul.
Quand je dis énorme, c’était un vrai coup. Ça a claqué. Ma femme, prend des jolies couleurs l’été mais elle est très pale. Immédiatement, une marque rouge s’est imprimée sur sa fesse gauche.
Une fois, deux fois, trois fois, très fort.
Et la elle a pété un cable. Elle a commencé elle aussi à lui faire des suçons dans le cou.
Elle l’a basculé en arrière. Et s’est mise à lui lécher le cou d’abord. Toute sa langue le léchait puis elle a commencé à lui faire la même chose. A l’aspirer, soudée à son cou pendant qu’il lui mettait sa queue en elle.
Il semblait avoir rendu les armes. Lui le grand macho, ne bougeait plus et se laissait faire.
Il avait maintenant sa tete en arrière sur le haut du dossier. Il était descendu en avant presque allongé et ne bougeait plus. Et pendant qu’elle allait et venait sur lui, elle lui faisait des suçons, partout. Elle aspirait de longues secondes interminables son cou puis sa gorge, ses épaules. La poitrine. Elle s’est mise a lui lécher les aisselles. Des trucs mais à un milliard de kilomètres de ce que nous faisons et je considère qu’on n’est pas coincé !
Le pire, c’est que ça n’était pas lui qui lui faisait mais l’inverse. C’est elle qui voulait ça là !!!
Puis elle s’est dégagée, elle s’est mise entre ses jambes et lui a sucé les tétons, elle a poussé la table basse, s’est mise à quatre pattes devant lui et a fait une chose qu’elle ne m’avait jamais faite. Elle a pris ses couilles dans sa bouche. Juste ses couilles. Elle avait sa paire de couilles dans la bouche ! Elle ne le lechait pas. Juste c’était dans sa bouche. Et elle le branlait, à deux mains. En voyant sa queue, je n’arrivait pas à croire que tout avait pu rentrer. Elle le branlait a deux mains, fort, de haut en bas avec ses putains de couilles dans la bouche.
C’est en voyant ça qu’on se sent humilié. Voir sa femme qu’on met sur un pied d’estale se rabaisser à ce point !
Lui on voyait qu'il adorait ce qu'il se passait.
Je pense qu’a un moment elle a du sentir qu’il n’allait pas tarder. Elle s’est levée, s’est remise sur lui. Et la c’est devenu tout calme.
C’est ça qui m’a fait souffrir, cette soudaine douceur entre eux.
Je voyais sa marque hyper rouge sur sa fesse gauche, tous les vaisseaux de son cou avaient éclatés avec les suçons, des marques, comme des bleus, la marquait partout, et elle allait et venait doucement sur lui. Elle arrivait maintenant à se l’enfoncer complètement en elle. Ils s’embrassaient. Puis elle s’est mise à trembler de partout. J’ai compris qu’elle jouissait. Il s’est enfoncé tout au fond, je l’ai compris car il l’a même soulevée avec son bassin et il a éjaculé, dans ma femme.
Il a éjaculé dans ma femme !
Elle est restée avec lui fiché en elle. Sans bouger, sans l’embrasser. Juste la tête sur son épaule.
Puis, elle a commencé à lui lécher le cou. Il lui a dit un truc a l’oreille. Elle s’est dégagée. J’ai vu son sperme un peu couler sur lui.
J’ai vu ma femme se mettre de nouveau a genou et le lecher. Entièrement.
Ils ne disaient rien. Le silence. Il avait les yeux fermés. Elle le nettoyait. Il n’y avait pas d’autres mots.
J’ai regardé l’heure. Je savais que j’allais me faire gauler. Je suis parti le plus discrètement possible vers le couloir. La musique tournait toujours.
J’ai fermé la porte de l’appart derrière moi très doucement. Je n’ai pas fermé à clé et je suis sorti.
J’étais groggy. Comme si j’avais picolé.
Dehors, l’air m’a fait du bien. Une personne est passée, je lui ai demandé une cigarette. Dix ans que je n’avais pas fumé.
Je n’ai pas replongé, mais elle m’a fait du bien.
Voila, il y a quelques mois, on était encore dans le confinement. Tout allait bien dans ma vie. On avait même des projets de bébé même si on n’en parlait pas vraiment de façon claire.
Et puis, il y a eu une soirée, et cinq mois après, ma femme se prend une autre queue, et j’ai des cornes aussi grosses que ce que ce salaud a entre les jambes.
Pourtant je connais ma femme. Au début, je suis sûr que ça n’a été qu’un petit jeu de sa part. Un mec la mate, elle s’amuse un peu à l’allumer, parce que le mec lui plait (je suis forcé de le reconnaître) mais sans vouloir aller plus loin. Juste un petit jeu sans conséquence a priori.
Pour le plaisir de l’excitation sans doute.
Elle a aimé qu’il la mate, elle savait au fond d’elle que ça n’était pas bien mais en même temps, il n’y avait pas vraiment d’acte.
En fait, ce n’est que lorsque lui a décidé de passer à l’action qu’il était déjà trop tard. Elle s’était trop engagée dans ce jeu et n’a pas su dire non.
Je vous raconterai à notre retour de vacances la suite des évènements de cette nuit. Nous partons cette semaine.
Enfin, pour les photos, le problème, c’est que je n’en ai pas ou elle est nue ou ce genre de choses… pas notre genre. Pour le reste, son point fort, c’est son visage et ses yeux et si je le floute… il n’y a pas vraiment d’intérêt.
Alors je ne sais pas quoi faire…