- 13 sept. 2021, 13:51
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Décembre 2016...
J'adore faire l'amour à ma princesse... Je ne me lasse pas de caresser sa peau douce du bout des doigts tout en la couvrant de petits baisers un peu partout sur son corps. Jaime la voir frissonner puis se tordre de plaisir, soumise aux jeux de mes mains et de ma bouche. Son souffle se fait plus profond, plus rapide. Nos regards se croisent et tout est dit, sans le moindre mot. Envie de se fondre l'un dans l'autre, de se donner l'un à l'autre pour ne plus faire qu'un. J'aime la pénétrer lentement, tendrement, pour aller ensemble vers ce cri ultime, nos doigts emmêlés. Nos âmes fusionnent, nos cœurs battent à l’unisson et nos corps tressautent enfin dans un orgasme commun.
J'aime sentir sa tête posée sur ma poitrine après la tempête. Nos souffles ralentissent, nos cœurs se calment et enfin, les mots sont là, au bord de nos lèvres. Des mots tous simples déjà dits des centaines de fois mais dont on ne se lasse pas non plus: Je t'aime mon amour...
Mais ce matin là, à mon réveil, ce n’'est pas de ma princesse don’t j’ai envie mais de l’autre! L’autre Marine, Marine la mutante qui se laisse emporter par ses pulsions les plus secretes, les plus inavouables. Depuis quelque temps, des images défilent de plus en plus souvent dans ma tête, obsédantes... Les souvenirs de notre escapade coquine d’il y a cinq mois envahissent alors mes pensées et me font bander comme un fou.
Marine suçant leurs queues. Marine la salope, ouvrant ses cuisses pour leur offrir sa chatte à dévorer. Marine, la chienne, à quatre pattes, creusant les reins pour mieux se faire sodomiser devant moi par Philippe tout en suçant Eric... Ce matin, une fois de plus, j'ai une envie terrible de l'offrir à d'autres hommes! Je pose ma main sur ses hanches et la caresse doucement, c'est plus fort que moi. Elle remue dans son sommeil, se tourne vers moi sur le côté et machinalement pose sa main sur mon torse. J'attends dans la pénombre de notre chambre, j'attends son réveil afin de lui parler... Je caresse de nouveau ses hanches si douces afin de hâter les choses. Sa respiration se fait moins profonde, légèrement plus rapide. Je devine qu'elle émerge doucement de son sommeil, prenant lentement conscience de ma main se promenant sur sa cuisse puis sur ses fesses. Plusieurs minutes s'écoulent avant que sa main ne se mette, à son tour, en mouvement. Elle parcourt lentement mon torse puis descend doucement sur mon ventre pour se perdre dans les poils de mon pubis et rencontrer mon sexe en érection. Les yeux toujours fermés, elle l'empoigne délicatement et commence à me branler tout doucement. J'observe son visage et aperçois un petit sourire au coin de ses lèvres. Pendant quelques secondes, elle me masturbe puis soudain me chuchote:
_ Tu es vraiment tout dur ce matin... Tu as encore envie?
Je devine qu'elle fait référence à hier soir, lorsque nous avons fait l'amour comme au premier jour, avide de tendresse et de câlins pleins de douceur.
Mais là, c'est différent ! Et je dois lui en parler.
_ Je repensais à certaines choses...
Silence.
_ Au petit bois, cet été...
Sa main s'immobilise. Les yeux toujours fermés, elle semble attendre la suite de mes confidences.
_ Tu y penses, toi aussi ?
Elle ne répond pas immédiatement, toujours immobile. Puis à voix basse, à peine audible :
_ oui, parfois...
Son aveu m’excite. Je sens mon cœur cogner un peu plus fort dans ma poitrine.
_ Et ça te fait quoi?
Elle ouvre enfin les yeux et me fixe. Son sourire a disparu.
_ Ça me fait de drôles de choses dans mon ventre...
_ Tu as envie de recommencer ?
_ Je ne sais pas...
_ Hum, ça c’est une réponse inacceptable! Ça ressemble à un “oui mais j’assume pas totalement”.
Elle pouffe de rire et enchaine:
_ Et toi?
_ Moi c’est Oui et j’assume complètement.
Elle rit de nouveau puis se tait. Silence, les yeux dans les yeux. Elle semble réfléchir.
_ Tu as envie de quoi exactement ?
C'est le moment, je dois tout lui dire de mes envies, sans rien oublier.
_J'ai envie de t'offrir à baiser à d'autres mecs... J'ai envie de regarder... Envie de... Envie de te voir baiser comme... Comme une vraie salope.
_ Houaaaa, rien que ça!
Elle ne dit plus rien. Ses yeux toujours rivés sur les miens, elle semble analyser mes paroles. Et soudain je prends peur. L'ai-je choquée ? Dégoûtée ?
Sa main remonte vers mon visage et me caresse doucement la joue tandis qu'elle me répond enfin, à voix basse:
_ J’aime bien quand tu regardes...
Je suis fou de joie. C'est sa façon à elle de m'avouer qu'elle a les mêmes envies que moi, c'est merveilleux !
Je me penche vers elle et nos bouches se trouvent aussitôt. Sa langue jaillit à la rencontre de la mienne dans un baiser torride. Sa main descend rapidement pour s'emparer de nouveau de ma queue qu'elle empoigne avec force. Je la sens hyper excitée, loin de ma princesse tendresse de la veille. Notre petite conversation semble avoir ouvert une sorte de vanne libérant nos envies les plus bestiales. Je suis certain qu’elle revoit les mêmes images que moi dans sa tête.
Je vérifie que la porte de notre chambre est bien fermée et me lance à mon tour dans l'exploration de son corps magnifique. Ses seins gonflés de désir aux tétons dressés, bien durs, sa chatte trempée, ruisselante, son cul ondulant à la rencontre de mes mains, tout m'indique qu'elle ressent à cet instant la même chose que moi, une envie frénétique de baiser !
_ T’aimes bien quand je te regarde te faire tringler par un autre, pas vrai?
Sa main me branle avec vigueur, presque brutalement.
_ Sa réponse fuse, clair et net:
_ Oui!
Je me redresse et lui dit de se mettre à quatre pattes, de m’offrir son cul. J’ai envie de la baiser par derrière ! J'ai envie de tant de chose et de les lui dire... A peine en position, elle se cambre en écartant ses genoux, la tête posée sur son oreiller. Je saisis ma bite et pose mon gland entre les lèvres brillantes de sa vulve. Je plaque mes deux mains sur ses hanches et m’enfonce d’un coup sec jusqu’au fond, lui arrachant un « han » de surprise mêlé du premier plaisir.
Tout en lui parlant à voix basse, je la pilonne doucement puis de plus en plus fort.
_ Jamais vu une salope comme toi... aimer autant la queue...
Chaque vulgarité me rend encore plus fou, encore plus bestiale. Mais le plus excitant, c’est que ses gémissements, ses petits cris dans l’oreiller se font de plus en plus nombreux. Elle balance son bassin d’avant en arrière de plus en plus vite, de plus en plus fort pour venir à la rencontre de mes coups de boutoir. Soudain, entre deux halètements, elle redresse un peu sa tête et murmure :
_ Oh oui... oui... Continue... encore... Plus vite... ohhhh
Je la pilonne comme un dingue pendant qu’elle joui, la tête dans l’oreiller pour éviter que nos enfants l’entendent crier. A mon tour, je me fige tout au fond de son ventre, et je me vide, mon ventre agité de spasmes qui n’en finissent pas.
Je me dégage de sa chatte dégoulinante de sperme et m’allonge sur le dos. Essoufflée, elle se retourne et se place sur le côté en se serrant tout contre moi. Sa tête de nouveau appuyée sur ma poitrine, nous reprenons notre souffle.
Je réflechis à la façon de lui présenter mon idée et finis par lui glisser :
_ J’aimerai bien qu’on trouve un mec sur internet et qu’ensuite on se retrouve dans un hôtel tous les trois.
Elle reste silencieuse un long moment me laissant une fois de plus avec cette petite angoisse face à un refus possible.
_ C’est un peu glauque, non ? Avec un type que je n’aurai jamais vu en vrai, j’aurai l’impression d’être une pute...
Je ne dis rien, préférant la laisser cogiter un peu. Elle finit par reprendre :
_ Et comment on le choisira ?
Silence.
_ J’ai pas envie de ce genre de truc trop prêt de chez nous... On ne sait jamais...
Silence.
_ Et l’hôtel... Le réceptionniste comprendra... Ca me gênerait qu’il me regarde comme une pute...
Je ne dis toujours rien mais au fond de moi, je jubile. Elle est en train d’accepter petit à petit le principe, se faisant elle-même les questions et les réponses.
Je finis par lui répondre :
_ Ben commençons par le début, trouver un type qui te plaise et qui habite assez loin d’ici. Après on verra...
_ Je... Je ne sais pas trop... Jusqu’à présent, on avait eu le temps de sympathiser un peu avec ... avec ceux qui... Mais là, je ne me sens pas vraiment à l’aise.
_ Ecoute, laisses moi essayer de faire une recherche, ça n’engage à rien !
Long silence.
_ Si tu veux...
Un bruit de pas dans le couloir nous indique que les filles sont levées. La discussion est close.