- 22 oct. 2021, 09:25
#2559966
Soirée très particulière pour moi hier. J'ai passé un délicieux anniversaire. Clara avait réservé dans un bon restaurant proche de mon travail.
Je suis arrivé en avance car elle avait beaucoup de route. Lorsque ma chérie est arrivée, elle était magnifique, tenue sexy, rouge à lèvres, sourire coquin, elle est belle, elle est salope pour moi et parce qu'elle assume d'être une salope.
D'ailleurs, elle a suivi mes désirs puisqu'à son tour, Abel nous rejoint pour un merveilleux tête-à-tête-à-tête
Le dîner était sage et coquin à la fois, nous parlons de tout et de rien, et justement cela me donne un grand sentiment d'intimité avec notre amant. Quel plaisir et complicité.
Clara fait plusieurs fois référence à ma cage durant la soirée, le soutien-gorge qu pour une fois, elle a mis, ne tiendra pas longtemps, elle revient des toilettes avec le soutif en main et traverse la salle avec un grand sourire et les tétons qui pointent à travers le chemisier. En revenant à table, elle passe sa main sur la nuque d'Abel... Le spectacle est grandiose et le restaurant plein de regards étonnés.
Lorsque nous repartons vers chez nous, après minuit, elle se montre coquine et taquine, elle me demande si je voudrais être libéré, elle me provoque et s'amuse de ma situation.
Une fois à la maison, Clara me grimpe dessus en me touchant la cage,je l'embrasse, défait son chemisier, passe ma main dans son short, je libère et déguste sa poitrine. J'ondule le bassin et la pression sur ma cage me fait gonfler encore un peu et je commence à gémir... Clara m'embrasse et saisit sa clé plusieurs fois pour me faire croire à une libération imminente.
Puis, soudainement, elle se redresse et avec un grand sourire, me dit: "mon lapin, tu as vraiment cru que j'allais te libérer et t'offrir mon corps pour ton anniversaire ? Ah ah ah ah, je t'aime, tu es vraiment un gentil petit lapin".
Je prends une dernière photo, juste avant qu'elle ne range sa petite clé pour la nuit.
"Allez mon lapin, vient coller ta cage contre mes fesses pour t'endormir, tu l'as bien mérité"
Inutile de vous dire que j'ai mis un bout de temps à m'endormir.
Je suis arrivé en avance car elle avait beaucoup de route. Lorsque ma chérie est arrivée, elle était magnifique, tenue sexy, rouge à lèvres, sourire coquin, elle est belle, elle est salope pour moi et parce qu'elle assume d'être une salope.
D'ailleurs, elle a suivi mes désirs puisqu'à son tour, Abel nous rejoint pour un merveilleux tête-à-tête-à-tête
Le dîner était sage et coquin à la fois, nous parlons de tout et de rien, et justement cela me donne un grand sentiment d'intimité avec notre amant. Quel plaisir et complicité.
Clara fait plusieurs fois référence à ma cage durant la soirée, le soutien-gorge qu pour une fois, elle a mis, ne tiendra pas longtemps, elle revient des toilettes avec le soutif en main et traverse la salle avec un grand sourire et les tétons qui pointent à travers le chemisier. En revenant à table, elle passe sa main sur la nuque d'Abel... Le spectacle est grandiose et le restaurant plein de regards étonnés.
Lorsque nous repartons vers chez nous, après minuit, elle se montre coquine et taquine, elle me demande si je voudrais être libéré, elle me provoque et s'amuse de ma situation.
Une fois à la maison, Clara me grimpe dessus en me touchant la cage,je l'embrasse, défait son chemisier, passe ma main dans son short, je libère et déguste sa poitrine. J'ondule le bassin et la pression sur ma cage me fait gonfler encore un peu et je commence à gémir... Clara m'embrasse et saisit sa clé plusieurs fois pour me faire croire à une libération imminente.
Puis, soudainement, elle se redresse et avec un grand sourire, me dit: "mon lapin, tu as vraiment cru que j'allais te libérer et t'offrir mon corps pour ton anniversaire ? Ah ah ah ah, je t'aime, tu es vraiment un gentil petit lapin".
Je prends une dernière photo, juste avant qu'elle ne range sa petite clé pour la nuit.
"Allez mon lapin, vient coller ta cage contre mes fesses pour t'endormir, tu l'as bien mérité"
Inutile de vous dire que j'ai mis un bout de temps à m'endormir.
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« On a deux vies. La deuxième commence le jour où on réalise qu'on en a juste une. »
