- 18 févr. 2022, 06:41
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Après l'épisode de Mike que j'ai super mal vécu sur le coup (encore aujourd'hui je ne le referais pas, il était nase, je sais pas ce qui m'a pris), on s'est tous juré « plus de secrets ». Sauf pour les surprises. Et Tom et Jé m'en avaient préparé une. Une expérience de dingue dont je ne me serais jamais crue capable et que j'aurais certainement refusé si j'en avais su les détails. Mais voilà, ils avaient tout fomenté dans leur coin et je ne soupçonnais absolument rien.
Voici donc qu'un samedi où rien n'était prévu, alors que nonchalamment étendue sur notre canapé je me perdais dans les méandres des réseaux sociaux, Jé viens me voir avec une boîte cadeau emballée d'un papier argent et ceinte d'un large ruban rose fermé par un gros nœud. Il me la tend et me dit : « on voudrait que tu mettes ça avec tes escarpins noirs, tu dois être prête pour 19h. »
Aussitôt, la mention du « on » éveille une grande excitation en moi. Je dois tristement être honnête, si c'était juste mon Jé qui avait voulu ça, j'aurais sans doute plus traîné les pieds mais là, sachant Tom dans la boucle, je me suis vue émoustillée comme une adolescente amoureuse en quelques secondes ! Je me lève donc en saisissant le paquet, je remercie Jé par un petit bisou et je me dirige vers la salle de bain. Y a du travail ! ! Me voyant partir, Jé me lance un « n'oublie pas ce que Tom t'a dit la dernière fois, pas touche au maillot ! » En effet, ils avaient convenu tous les deux que je ne m'épile plus du tout le maillot et ça durait depuis 3 mois maintenant. Personnellement je ne suis pas fan, mais eux semblaient adorer, donc je jouait le jeu. Tout le reste était en revanche parfaitement entretenu.
Après un (long?) moment consacré à ma routine « beauté », j'ouvre enfin le paquet avec avidité... J'y découvre un très beau serre-taille en dentelle noire et une paire de bas noirs , et par bas, j'entends de vrais bas, pas ceux avec la bande collante. Cela faisait un moment que j'en rêvais ! ! !
Par contre, j'ai beau fouiller, il n'y a rien d'autre ! J'enfile donc mon peignoir et retourne voir mon homme lui disant qu'il manque sans doute quelque chose. Il me répond : « non non, tout est bien là, tu n'as pas besoin de plus » Ce à quoi je réponds que vu la tenue, y a peu de chances que l'on sorte, il va donc falloir qu'il prévoit à manger pour Tom (et pour nous accessoirement). Il me sourit sans répondre puis ajoute laconiquement « il te reste 20 min... » Wow ! J'avais pas vu passer l'heure ! Il va vraiment falloir que je raccourcisse ma « routine beauté » ! ! !
Je retourne donc dans la salle de bain et j'enfile le serre-taille et les bas. C'est vraiment très beau. J'appelle Jé lui demandant de m'apporter les escarpins censés accompagner le tout. Il revient avec une jolie paire d'escarpins Minelli noirs en satin. A tomber ! Dans tous les sens du terme d'ailleurs ^^ ! Je les enfile et je contrôle le résultat. Le serre-taille me gaine la taille, arrivant sous mes seins qui se tiennent bien (ce sont bien les seuls d'ailleurs^^) Mes jambes semblent galbées par le nylon des bas et la pilosité noire et fournie de mon sexe abandonné au naturel donne étonnamment comme un côté glamour à cette tenue qui semble ainsi héritée d'une époque révolue mais dont nous pourrions parfois être nostalgiques de certains charmes... Je suis mitigée mais je le suis toujours. Je me trouve toujours « à moitié ». A moitié jolie / à moitié boudinée – à moitié sexy / à moitié grosse pute – à moitié classe / à moitié « t'es ridicule ma pauvre fille ce n'est pas toi ». Dans ces moments, je cherche l'approbation de la tenue dans les yeux de mon chéri. Ca ne manque jamais, cette fois encore moins ! Il a les yeux brilants, luisants d'excitation ! Je souris et ajoutant « du calme, on va attendre Tom ok ? » Il ne dit rien et quitte la salle de bain pour aller au salon. Juste avant de le rejoindre, je rajoute une énième couche de parfum, j'éteins et toujous ainsi vêtue je le rejoins... pour le retrouver près de la porte, prêt à partir, me tendant un de mes manteaux, un imper un peu long.
« Wow ! Attend un peu on va où là ? ? Je peux pas sortir comme ça ! ! ! »
« C'est pour ça que je te donne un manteau. »
« Non mais c'est une blague ? Je suis à poil là ! Je bouge pas d'ici ! »
« Ah mince, c'est Tom qui va être déçu »
« De quoi ? Non attend, vous allez trop loin là ! »
Jé, stoïque, me fais face sans rien ajouter. Moi, je le fixe, en plein doute. J'ai très envie de jouer mais là je perds totalement le contrôle et je me sens complètement vulnérable ainsi « vêtue ». En plus je commence à les connaître ces deux là, avec eux il n'y a pas de limites. Alors si déjà la soirée commence comme ça … La vibration de mon téléphone vient interrompre mes réflexions. Message de Tom : « alors, tu es prête ? Tu dois être sublime » Ok, voilà qu'il s'en mêle à son tour … Bon, résignée, je capitule et j'enfile mon imper élégamment tenu par mon Jé. J'ajoute sans y croire : « Ok ; on peut y aller, mais allez-y doucement quand même » Juste avant d'ouvrir la porte Jé se tourne vers moi et me lance un : « il reste une ou deux formalités » et il me tend un masque de cuir noir. Un masque occultant. Et moi qui craignait de perdre le contrôle … Je l'enfile en essayant tant bien que mal de ne pas anéantir ma coiffure et pour le coup je suis vraiment ravie d'avoir passé autant de temps à me maquiller les yeux … Une fois ce morceau de cuir occultant mes yeux, je me tourne vers mon chéri lui disant « voilà, satisfait ? » Il répond en murmurant : « presque. Je t'ai dit une ou deux formalités. » Suite à quoi, il me retourne fermement et me plaque sur la porte. Surprise je lâche un petit soupir / cri qui ne semble pas le perturber le moins du monde. D'une main sur ma nuque, il me maintient plaquée sur la porte tandis que je sens son pied venir sèchement écarter mes chevilles l'une de l'autre pour ouvrir mes jambes alors que son autre main écarte vivement mon imper de côté, le fourrant tant bien que mal sous mon bras droit. « Tiens le ! » Sans rien dire je m'exécute, à la fois intimidée et excitée par cette « prise en main » un peu trop sauvage à mon goût mais surtout divinement inattendue. Je sens rapidement son autre main venir glisser sans ménagement sur ma toison fournie et humide et remonter sans hésiter entre mes fesses. Comme pour accompagner son geste ; sa main gauche quitte ma nuque pour venir tirer mon bassin vers l'arrière. Aussitôt, je le sens bouger derrière moi et rapidement, au contact de sa langue entre mes fesses, je comprends qu'il s'est accroupi. Je comprends aussi ce qu'il s'apprête à faire. Ca fait un moment qu'avec Tom ils me parlaient de faire une sortie avec l'un de mes « rosebud », ces fameux plugs anaux en acier ornés d'une sorte de « brilant au bout ». Résignée, amusée et, je dois l'avouer, excitée par la situation, je me cambre rapidement, ouvrant ainsi mes fesses à l'indiscrète entreprise de Jé. Il adore vraiment ça, au quotidien j'entends et, « stimulé » par ma réaction, il me fouille de plus belle, accompagnant son action de ses doigts dans mon sexe trempé. Puis, il se recule et aussitôt le sens le métal gelé venir forcer tout en douceur mon entrée la plus secrète... Je me détends, et je pousse un peu dessus. Ah, le salaud, il a choisi le plus gros. Je ne suis même pas étonnée ^^Je suis tellement excitée, il m'a tellement bien préparée et je suis tellement détendue que ça rentre assez facilement (malgré toujours un petit passage un peu difficile, qui fait partie du processus). Une fois le bijou en place, je souffle un peu et je demande « ça y est on peut peut-être y aller ? » d'un ton un peu « insolent ». Pour toute réponse, Jé me tire par le bassin, me faisant ainsi pivoter sur moi-même en murmurant « presque ». Puis je sens ses doigts puis sa langue venir fouiller avidement ma toison fournie et trempée. Excitée et plus à ça près, j'ouvre un peu mes cuisses pour lui faciliter le passage. Puis je sens qu'il arrête de me lécher tout en continuant de me caresser d'une main. Enfin, d'un murmure il ajoute « petit cadeau de Tom ». Et la je sens un objet froid et métallique, se glisser entre mes lèvres, puis un 2e. Très vite je comprends : des boules. Ce sont des boules de geisha. En métal. Hyper glissantes. Super, merci. Jé se redresse, m'embrasse en douceur. Il a goût de moi, je sens mon excitation partout sur son visage. Et ça c'est pas un truc que j'aime. Mais, excitée par la situation je laisse passer. Jé ajoute « maintenant on peut y aller, nous sommes attendus. » Je me retourne pour sortir et dès les premiers pas, je sens tout ça bouger et s'entrechoquer en moi. Je me sens vraiment « pleine », mais comme si tout pouvait tomber d'un coup. Ou presque. Vu sa taille, je pense que le rosebud, lui, ne va pas tomber. Sa présence me chauffe d'ailleurs, ajoutant une excitation physique intense à celle cérébrale causée par cette situation. Et on est pas encore partis. Ca promet... Avec le plaisir causé par le rosebud, mon sexe s'humidifie encore plus, facilitant ainsi la glissade potentielle des boules, me forçant donc à contracter tous ce que je peux pour les garder dans mon vagin et ainsi éviter de les perde à chaque pas. Car sous mon imper, je n'ai toujours pas de culotte. Accrochée au bras de mon Jé, masquée, aveuglée, je me laisse guider dans le couloir, dans l'ascenceur, puis je devine que nous nous dirigeons vers notre voiture au bruit caractéristique de mes talons résonnant dans le parking. A chaque pas, je sens les boules glisser, s'entrechoquer, à chaque pas, je sens le rosebud les bousculer, à travers la mince paroi de chair qui sépare tout cet attirail... Je n'ai qu'une seule hâte, m'assoir dans la voiture pour être sûre que tout reste en place. La soirée va être longue...
La suite bientôt