Merci pour cet accueil.
Pour en dire un peu plus sur moi et sur nous : depuis l'université, j'ai toujours eu besoin, en fin de semaine ou après une journée difficile, de m'isoler loin du monde, dans mon appartement, et de " régresser " pour souffler et décompresser (chacun décompresse à sa façon

Pour moi, ça passait par un bon bain, de la musique calme, un biberon de lait aux céréales, un doudou et une couche pour la nuit, jusqu'à la douche du lendemain qui marquait le retour à la vie d'adulte

Quand j'ai rencontré ma future femme, je lui ai très rapidement fait part de cet aspect de ma personnalité, comme je l'ai toujours fait avec toutes mes ex. Elle l'a très bien pris, et a rapidement voulu participer à cela afin de me montrer son amour. C'est ainsi que très rapidement, c'est elle qui se chargeait de me langer le vendredi soir, parfois même d'elle-même, sans que je le demande : elle connaissait mes besoins.
Au fil du temps, elle m'a acheté des bodys, des grenouillères, des couches avec des motifs enfantins, des petits pots, et elle s'est mise à me dorloter, me donner le bain, me donner le sein,... Bien sûr pas tout le temps, simplement dans les moments de régression, à savoir environ une fois par semaine. Le reste du temps, je jouait pleinement mon rôle d'homme auprès d'elle.
Au bout de quelques années cependant, la fréquence a progressivement augmenté, à la fois à ma demande et à la sienne : j'adorais être dorloté et elle adorait s'occuper de moi. C'est ainsi que j'ai fini par être langé tous les soirs, chaque nuit, et à m'endormir chaque soir blotti dans ses seins, après un bisou sur le front. Au niveau sexuel, nos rapports avec pénétration s'espaçaient petit à petit, passant de tous les 2 ou 3 jours à 1 ou 2 fois par semaine. Mais cela était compensé largement par une autre forme de sexualité ! J'ai commencé à trouver un énorme plaisir à ma frotter dans ma couche, contre la cuisse de ma chérie, si bien que les soirs où on ne faisait pas l'amour, je me frottais et jouissais comme ça, éjaculant dans ma couche dans un mélange de plaisir physique et cérébral (car ma chérie ne ratait pas une occasion de m'humilier un peu en même temps, se moquant de moi et me traitant de pisseux). Elle, souvent, se caressait en même temps et me sentir me frotter contre sa jambe comme un chien lui procurait une excitation intense alimentée par un sentiment de supériorité et de domination. Parfois elle m'aidait avec sa main dans la couche.
Les rapports sexuels de "grands" ont continué à s'espacer, au fur et à mesure qu'ils étaient remplacés par cette nouvelle sexualité régressive. Jusqu'au jour où elle a commencé à me dire qu'elle avait des besoins sexuels, que la masturbation et les cunnis ne lui suffisaient pas, qu'elle avait aussi envie d'être prise, plus souvent et de façon plus sauvage, mais que malheureusement elle n'avait pas envie de ça avec moi quand j'avais ma couche : elle préférait que je me frotte (ce qui lui procurait de l'excitation phsychologique) mais ne se sentait pas du tout attirée physiquement par ma petite nouille pisseuse et ne me voulait pas en elle quand elle savait que j'allait passer la nuit en couche (ce qui avait lieu toutes les nuits). J'ai donc pensé qu'elle voulait que je ralentisse sur les couches, mais non, elle continuait de me langer tous les soirs avec la même régularité, et toutes mes tentatives de résistances étaient vaines ! " Vient ici que je te mette ta couche ! Dépêche toi ! sinon tu vas mouiller le lit ! " (elle avait bien sûr raison là dessus, car plusieurs années de langes systématiques m'ont totalement fait perdre l'habitude de me retenir la nuit... et la accidents auraient été inévitables. D'ailleurs, je me réveille tous les matins avec la couche pleine, sans savoir à quel moment je me suis soulagé dedans, ça se fait dans me sommeil...). Je rétorquais : " mais tu m'as dit que ça ne t'excitait pas que je sois tout le temps un bébé..."
En fait, bien vite, elle m'a fait comprendre qu'elle avait envie d'un autre homme, un vrai, un qui ne porte pas de couches... Et pire que ça : elle avait déjà repéré sa cible et elle ne faisait que me préparer doucement à cette éventualité... Je n'avais jamais imaginé cela avant qu'elle en parle, et n'avait jamais eu envie de faire un plan à 3, encore moins qu'elle couche avec un autre sans moi... Je n'étais pas du tout candauliste et sa révélation m'avait choquée. Je pensais que si elle voulait aller voir ailleurs c'est qu'elle ne m'aimait plus, qu'elle allait me quitter...