- 25 mars 2022, 12:12
#2601843
Voici un fantasme que je n’ai pas réalisé... j’ai trouvé intéressant de le faire raconter (fictivement bien sur car c’est mon fantasme, et je ne sais pas si elle aurait pu le partager, car je n’ai jamais osé lui en parler)...... comme vous pouvez l’imaginer suite à mes différents récits il y a dans ce texte des faits réels....
Suite à la soirée au cours de laquelle j’avais été utilisée comme soumise sexuelle, et au cours de laquelle j’avais fait connaissance avec celui qui allait devenir pour une période courte Maître Philippe et sa complice Nathalie.
Maître Philippe m’appela (Alex lui avait donné mon numéro de portable, ce que j’ignorais).
« Bonjour Anne, j’aimerais déjeuner avec toi. Vendredi midi, c’est possible pour toi ? »
Étonnamment, j’acceptais l’invitation de Philippe sans hésitation.
Philippe m’avait donné rendez-vous dans un restaurant du Palais Royal (Chez Pierre). La disposition des tables, et la discrétion du service, nous permettaient d’aborder de nombreux sujets sans se soucier de nos voisins de table.
J’appris que Philippe avait un poste à très haute responsabilité dans un Groupe international, et qu’il voyageait beaucoup.
Il aborda rapidement les thèmes sexuels pour m’indiquer qu’il était bisexuel (ce que je savais), qu’il avait une amie (Nathalie), et un ami, qui, d’ailleurs, s’était occupé de moi lors des 2 soirées. Il aimait le sexe avec les hommes et il précisa qu’il était autant actif que passif.
Il pratiquait le Sado Masochisme (SM pour les initiés) depuis plusieurs années, et était connu dans ce milieu à Paris. Il aimait dominer hommes et femmes, mais particulièrement les femmes. Il lui arrivait également de se faire soumettre. Il m’indiqua être « switch », selon la terminologie employée dans le milieu SM.
Il ne faisait jamais l’amour à ses soumises, se contentant éventuellement de les pénétrer avec divers objets, ou avec ses mains.
Il m’interrogea longuement sur mes envies et mes fantasmes. Il cherchait notamment à savoir si j’étais tentée par une relation de type domination/soumission.
J’évoquai alors les quelques expériences de contraintes qui avaient accrues l’excitation que j’éprouvais. Je voulais bien vivre des situations de soumission, mais uniquement à caractère sexuel, et en aucun cas subir des actes violents.
Il était charmeur, et me parlait comme un homme «faisant fait sa cour ». Seuls les propos pouvaient choquer.
« j’aimerais t’avoir comme soumise, Anne»
Cette demande, formulée avec douceur, je l’attendais depuis qu’il m’avait fixée ce rendez vous.
Je l’attendais, et la désirais.
Je trouvais le personnage énigmatique, froid lors de mes visites chez lui, chaleureux depuis le début de notre déjeuner.
Sa volonté de me dominer constituait pour moi une reconnaissance. Je ne me sentais pas avilie, mais honorée.
« pourquoi pas, mais je ne suis pas prête à accepter n’importe quoi »
« je te propose de rédiger un contrat de soumission, dans lequel nous fixerons le périmètre que nous pourrons explorer, ainsi que les interdits. Es tu d’accord ? »
« oui, ça me va ».
Philippe m’envoya un projet de contrat par mail, dans les jours qui ont suivi notre déjeuner.
Plusieurs allers et retours furent nécessaires pour tomber d’accord. Philippe semblait particulièrement satisfait lorsque je vins lui remettre.
« Merci Anne, à compter de ce jour tu es « soumise Léa », je te tutoierais lors de mes dominations. Je te demande de me vouvoyer ».
Je ne dévoilerais pas le contrat sur lequel nous nous sommes mis d’accord. Je puis simplement préciser que Philippe m’obligeait, en particulier, à relater, dans le détail, chacun des plans auxquels je participerais. Le récit que je devais en faire concernait non seulement les aspects purement factuels, mais également les émotions que je pouvais ressentir avant où après. Je devais lui remettre mes comptes-rendus sous 48 heures.
Philippe m’appela quelques jours plus tard. Il me proposait de m’exhiber au bois de Boulogne, je devais être nue sous un manteau, il m’attacherait avec une laisse et un collier. La présentation du scénario n’était pas prévue dans notre contrat, mais Philippe souhaitait y aller en douceur pour la première fois.
Le Bois de Boulogne, je connaissais, pour y avoir été souvent avec Alex, mais je trouvais cette proposition excitante venant de la part de Philippe.
« c’est uniquement de l’exhibition, ou vous envisagez autre chose ? »
« non, exhibition uniquement, et éventuellement je te demanderais de sucer, mais ce n’est pas certain »
« c’est d’accord, c’est pour quand ? »
« vendredi dans 2 semaines , tu t’épiles totalement, et tu achètes une perruque blonde »
« une perruque ? »
« les blondes sont excitantes pour les noirs et les arabes »
« ouh lala… je vais me faire violer »
« non, nous serons 3, dont un ancien militaire qui était dans les commandos, tu ne crains rien »
« bon, je vais essayer de trouver une perruque »
« il y en a dans les sex-shops, ou sur internet »
« ok, je vais chercher ».
La préparation de cette soirée m’a excitée. Je me masturbais souvent en pensant à ce qui allait m’arriver.
Trois jours avant le vendredi en question, Philippe m’appela :
« alors, tout est prêt ?»
« oui, j’ai trouvé la perruque »
« ça te plais ? »
« oui, mais je me trouve plus sexy avec des lunettes noires »
« ça peut être une bonne idée, tu peux les mettre »
Je m’installais à l’arrière de la voiture peu après minuit. Philippe était à mes côtés, à l’arrière. Le conducteur, Ian, était large d’épaules. Il avait le crâne rasé. Le passager avant (Max) était un ami de Philippe que j’avais déjà vue lors de la dernière soirée chez lui.
« avant d’aller au Bois, on va faire un petit tour dans Paris. Il faut qu’on soit au Bois vers 1 heure ».
« c’est parti ». Ian démarra en direction de la Place de la République.
Philippe vérifia que j’étais préparée comme il l’avait demandé. Il me demanda d’écarter les cuisses. Il me découvrit totalement. J’étais totalement nue. Il passa sa main sur ma chatte, puis entre mes fesses .
« elle est toute douce les gars. elle est jolie comme ça, qu’en pensez-vous les amis ?»
Max se retourna, « oui, elle est très jolie »
« superbe, quelle belle poupée » dit Ian en me faisant un clin d’œil, dans le rétroviseur.
Nous avons roulé pendant une heure dans Paris. Philippe m’avait simplement demandée de laisser le manteau totalement ouvert, et de garder les cuisses écartées.
Aux feux rouges, en fonction des automobilistes ou motards présents à côté de notre voiture, Philippe refermait le manteau ou le laissait ouvert.
Un motard fit un geste, et Ian baissa sa vitre.
« elle est jolie, vous avez un plan ?
« on l’emmène au Bois pour une exhib, tu peux suivre si tu veux »
« je vais voir, j’ai un truc à faire, et j’irais peut être faire un tour. Putain, elle est bandante »
Philippe m’avait demandé d’écarter les jambes davantage, et de me caresser les seins, pour exciter le motard.
Nous avons poursuivi notre périple, avant d’arriver Porte Maillot. Philippe me passa un collier en métal chromé auquel était attachée une laisse en cuir rouge.
« fais un petit tour Ian, on va d’abord voir comment ça se présente ».
Ian emprunta l’avenue longeant le boowling.
Beaucoup d’hommes marchaient le long des allées, en bordure du bois. La plupart étaient seuls, mais il y avait quelques groupes.
De nombreuses voitures roulaient à allure réduite. A un carrefour, un attroupement était formé autour d’une camionnette vendant des sandwichs et des boissons.
« Passe lentement Ian» Philippe alluma le plafonnier arrière. Je devais être parfaitement visible de l’extérieur. Les hommes agglutinés autour des prostituées aperçurent la lumière, et se dirigèrent vers nous.
« exhib, exhib…. » Les mots « magiques » étaient prononcés. Des hommes coururent près de la voiture en espérant en voir davantage.
« c’est bon, on continue… rapproche toi de l’hippodrome, il y a des endroits sympas »
Ian, gara la voiture sur un parking au sol défoncé. Il y avait quelques véhicules stationnés. Nous attendîmes une dizaine de minutes. La lumière du plafonnier arrière était toujours allumée.
« c’est bon on y va ».
Philippe avait sans doute voulu attendre que nous soyons repérés avant de sortir.
« Tu marches bien droit Lea »
J’étais aux côtés de Philippe, Ian et Max nous suivaient à une dizaine de mètres. Philippe tenait la laisse, et je ne pouvais m’éloigner trop de lui. Le manteau était déboutonné, et il tournait autour de moi, à chaque pas. Juchée sur des escarpins d’une dizaine de centimètres, je devais avoir une démarche assez ridicule.
Nous arrivâmes près d’un très gros arbre. L’endroit était piétiné, laissant imaginer que de nombreuses rencontres se faisaient ici. Je n’avais encore pas aperçue d’hommes, lorsque je vis des ombres s’approcher.
« approchez, messieurs, cette jeune personne aime que je la montre, approchez »
Effectivement, je vis un groupe d’hommes approcher timidement. Je remarquais 2 jeunes d’à peine vingt ans.
Philippe tenait toujours la laisse qui était accrochée à mon collier de chien (de chienne ?). Il ouvrit mon manteau offrant au regard l’intégralité de ma nudité.
Les voyeurs ne disaient rien. L’un d’entre eux commença à s’approcher.
« On ne touche pas, elle va se montrer , vas y Lea, écarte bien les jambes et caresse toi ».
Je commençai à passer mes mains sur mes seins et ma chatte. J’écartais mes lèvres en avançant le bassin, pour qu’ils voient bien ma vulve.
Je voyais les hommes bouger leur main dans leurs pantalons, puis la plupart sortirent leur sexe. D’autres hommes, arrivèrent, je vis même une femme parmi eux. Je continuai à me caresser. Philippe écartait bien le manteau, il me faisait tourner sur moi-même, me donnant des petites tapes sur les fesses.
J’entendais des murmures, puis une voix rauque « elle suce pas ? ».
« Non, je l’exhibe, c’est tout , mais vous pouvez vous branler sur elle ».
Philippe enleva mon manteau, et l’étala sur le sol.
« allonge toi , et continue à te caresser»
« maintenant vous pouvez l’arroser »
Les hommes qui se branlaient s’approchèrent. Je vis tous ces visages au dessus de moi. Certains hommes étaient crispés, d’autres semblaient ne pas marquer un intérêt particulier à ce qu’ils voyaient et agitaient leur main avec détachement.
Je continuais à me caresser. Voir ces sexes bandés agités frénétiquement m’excitait énormément, et je commençais à être agitée de soubresauts.
Les premières giclées tombèrent sur mes jambes, les suivantes arrosèrent mon ventre.
« Sur la figure, sur la figure » ordonna Philippe.
Les plus endurants, quatre ou cinq, éjaculèrent sur mon visage. J’en reçu également sur les lunettes. Je devais donner un drôle de spectacle, allongée dans ce bois, nue avec un collier de chien, me faisant couvrir de sperme par des inconnus. Le premier cercle ayant fini de jouir, d’autres hommes prirent le relais. Ils devaient se masturber depuis un certain temps, car la plupart éjaculèrent tout de suite.
« allez Lea, c’est bon, tu peux te relever ».Les hommes se dispersèrent.
J’étais ravie de retrouver la voiture, dans laquelle je profitais du nécessaire de nettoyage me permettant de me laver.
@alexmart77 « Anne femme sage devenue accro... » ou comment une épouse sage et réservée est devenue une gourmande de sexe