- 12 oct. 2022, 10:19
#2655663
Je lui en avais déjà un peu parlé. Timidement. Elle n’avait pas relevé. Peut-être parce qu’elle ne sentait pas comme ce fantasme était ancré en moi. Peut-être parce que je n’osais pas lui dire tout : que je rêvais de la partager avec d’autres hommes, de les voir crever de désir face à son corps jeune et parfait, face au plaisir qu’elle prenait à se soumettre. Peut-être parce que je n’osais pas lui partager les images que j’avais en tête quand nous faisions l’amour : des queues, toujours plus, dans tous les orifices. Des files d’hommes qu’elle sucerait avec le talent incroyable qu’elle avait pour ça. De sa petite voix qui exigerait qu’on l’insulte, qu’on la prenne par terre, qu’on lui donne des fessées et qu’on la prenne plus profondément et plus fort.
Que ma Reine fasse se dresser les queues d’inconnus, et qu’elle puisse en disposer à sa guise, car je ne connaissais rien de plus beau que son corps pris par le désir et le plaisir.
Que ma chienne devienne la chienne des autres.
Ce fameux jour qui a lancé toute la suite, N avait 18 ans et j’en avais 22. On était ensemble depuis deux ans. Elle était particulièrement précoce pour son âge. Nous nous aimions très fort, avec beaucoup de douceur en dehors de nos ébats qui pouvaient être aussi doux que fougueux, aussi tendres qu’abrupts. Elle n’aimait rien tant que s’offrir à moi. Être dominée. Je n’avais jamais pris mon pied comme ça avec quelqu’un auparavant. Je n’aurais d’ailleurs jamais pensé me prêter un jour à ces jeux de domination – assez softs tout de même. Mais elle y prenait tant de plaisir qu’il n’a pas été compliqué de m’y mettre, bien que je n’aie jamais vraiment aimé ça avec les précédentes comme les suivantes.
Ce fameux jour donc, j’ai rusé. Mon fantasme devenait de plus en plus puissant. J’ai fait un rêve la nuit qui l’avait précédé, dans lequel un inconnu la prenait sur mon lit. Au réveil je n’en pouvais plus. Alors, je me suis dit que, peut-être, si je lui parlais de ce rêve, ça pourrait lancer la discussion, et voir si un jour ou l’autre ce fantasme pourrait être assouvi.
Au moment où j’écris ce post, je relis les messages qu’on s’est envoyés ce jour là, à ce sujet. C’était en avril 2017. Je bande toujours autant en y repensant. Je lui ai donc raconté mon rêve, elle m’a répondu « Oulah, j’espère que ce n’est pas un fantasme inconscient ! » Ce à quoi j’ai répondu qu’en effet – il était tout à fait conscient. Elle n’a pas parue gênée ni jugeante. Elle a commencé par me dire qu’elle ne s’imaginait pas coucher avec plusieurs hommes en même temps, ni avec quelqu’un d’autre que moi. Qu’elle ne se sentait pas aussi ouverte sexuellement. Mais qu’elle respectait tout à fait mon fantasme et que je n’avais pas à en avoir honte, ni à me retenir de lui en parler. Et de message en message, j’ai senti qu’elle se montrait… Curieuse, mais qu’elle se retenait, peut-être par pudeur pour que je n’aie pas l’impression qu’elle se jetait sur l’occasion ? Bref. Quelques messages plus tard, elle m’a innocemment dit que de toute façon, même si elle s’était sentie prête, elle ne voyait pas trop comment trouver d’autres gens de confiance pour ça. C’est là que je lui ai parlé de sites comme Wyylde. Et puis au bout d’un moment, je n’ai plus eu de réponse. En plein milieu de conversation. Avant de recevoir « Cette discussion m’a beaucoup excitée, pardon, j’étais partie me masturber
»
Et à ce moment-là, j’ai senti que, peut-être, mon fantasme pourrait devenir notre fantasme.
[La suite bientôt !]
Que ma Reine fasse se dresser les queues d’inconnus, et qu’elle puisse en disposer à sa guise, car je ne connaissais rien de plus beau que son corps pris par le désir et le plaisir.
Que ma chienne devienne la chienne des autres.
Ce fameux jour qui a lancé toute la suite, N avait 18 ans et j’en avais 22. On était ensemble depuis deux ans. Elle était particulièrement précoce pour son âge. Nous nous aimions très fort, avec beaucoup de douceur en dehors de nos ébats qui pouvaient être aussi doux que fougueux, aussi tendres qu’abrupts. Elle n’aimait rien tant que s’offrir à moi. Être dominée. Je n’avais jamais pris mon pied comme ça avec quelqu’un auparavant. Je n’aurais d’ailleurs jamais pensé me prêter un jour à ces jeux de domination – assez softs tout de même. Mais elle y prenait tant de plaisir qu’il n’a pas été compliqué de m’y mettre, bien que je n’aie jamais vraiment aimé ça avec les précédentes comme les suivantes.
Ce fameux jour donc, j’ai rusé. Mon fantasme devenait de plus en plus puissant. J’ai fait un rêve la nuit qui l’avait précédé, dans lequel un inconnu la prenait sur mon lit. Au réveil je n’en pouvais plus. Alors, je me suis dit que, peut-être, si je lui parlais de ce rêve, ça pourrait lancer la discussion, et voir si un jour ou l’autre ce fantasme pourrait être assouvi.
Au moment où j’écris ce post, je relis les messages qu’on s’est envoyés ce jour là, à ce sujet. C’était en avril 2017. Je bande toujours autant en y repensant. Je lui ai donc raconté mon rêve, elle m’a répondu « Oulah, j’espère que ce n’est pas un fantasme inconscient ! » Ce à quoi j’ai répondu qu’en effet – il était tout à fait conscient. Elle n’a pas parue gênée ni jugeante. Elle a commencé par me dire qu’elle ne s’imaginait pas coucher avec plusieurs hommes en même temps, ni avec quelqu’un d’autre que moi. Qu’elle ne se sentait pas aussi ouverte sexuellement. Mais qu’elle respectait tout à fait mon fantasme et que je n’avais pas à en avoir honte, ni à me retenir de lui en parler. Et de message en message, j’ai senti qu’elle se montrait… Curieuse, mais qu’elle se retenait, peut-être par pudeur pour que je n’aie pas l’impression qu’elle se jetait sur l’occasion ? Bref. Quelques messages plus tard, elle m’a innocemment dit que de toute façon, même si elle s’était sentie prête, elle ne voyait pas trop comment trouver d’autres gens de confiance pour ça. C’est là que je lui ai parlé de sites comme Wyylde. Et puis au bout d’un moment, je n’ai plus eu de réponse. En plein milieu de conversation. Avant de recevoir « Cette discussion m’a beaucoup excitée, pardon, j’étais partie me masturber

Et à ce moment-là, j’ai senti que, peut-être, mon fantasme pourrait devenir notre fantasme.
[La suite bientôt !]