Mars 2021, joyeux anniversaire Fabien !
Je gamberge depuis deux jours. J’ai bien une idée mais je ne suis pas sûr que Marine soit partante. Et pourtant, ce serait tout simplement génial !
Lorsqu’elle est rentrée du boulot, l’autre soir, elle m’a annoncé que fin de semaine, c’était l’anniversaire de Fabien. Il lui avait glissé l’info au cours d’une petite conversation informelle.
Et forcément, s’impose immédiatement à mon esprit l’idée d’un petit cadeau amicale…
Notre conversation est là, bien nette dans ma mémoire.
_ Tu te rends compte, il n’a que 38 ans ! Je me sens vieille avec mes 45…
_ Ben si toi tu es vieille, je suis quoi, moi avec mes 58 balais ? Et j’ai pas l’impression qu’il te trouvait si vieille que ça l’autre jour ! Ou alors, il aime se taper des vieilles...
Elle avait ri avant de répondre :
_ C’est vrai qu’il avait l’air de me trouver plutôt à son goût… Ta femme plaît encore, tu devrais t’en réjouir mon chéri !
Elle m’avait fait un bisou sur la bouche avant de reculer pour me contempler avec un petit sourire moqueur. Mais j’étais déjà ailleurs… Je lui avais rétorqué :
_ Il va falloir penser à lui faire un petit cadeau !
Puis je m’étais dirigé vers la cuisine afin de préparer le repas, c’était mon tour.
Et depuis, j’avais imaginé mille petites choses, de plus en plus coquines, de plus en plus excitantes. Le problème, c’est que cela faisait à peine plus d’un moi qu’on avait baisé tous les trois. Depuis, à part quelques conversations au téléphone ou sur whatsApp pour échanger nos sensations, on ne s’était pas revu. Or à chaque fois que j’abordais le sujet avec ma coquine, elle me répétait toujours la même chose. Cela avait été fantastique mais elle ne voulait pas que ce genre de rendez-vous ne devienne trop fréquent. Une fois de temps en temps, pour que cela reste très excitant, pourquoi pas…
A chaque fois que je lui posais la question : C’est quoi une fois de temps en temps ? Elle riait et me répondait : Ben je sais pas, quatre ou cinq fois par an peut- être…
J’avais beau lui expliquer que cela n’avait pas de sens, qu’à chaque fois que l’occasion se présenterai, il faudrait en profiter ! Elle se défilait en disant : on verra, mais moi je ne sais pas si j’en aurai envie très souvent.
Et là, j’ai mon idée, très précise. Un truc qui m’excite à mort rien qu’en l’imaginant. En fait, j’en ai déjà parlé à Fabien. Il ne sait pas vraiment les détails du scénario que j’ai imaginé mais il sait qu’il pourra profiter de Marine et ça, il en crève d’envie ! Il m’a dit qu’il pourrait trouver un moyen pour venir nous voir le lundi soir. Il prétexterait un départ en déplacement plus tôt que prévu pour assurer un rendez-vous le mardi matin. De notre côté, notre fille n’étant plus chez nous que de temps en temps, cela ne nous poserai aucun problème pour l’accueillir. Mais avant cela, je dois en parler avec Marine ! Fabien attend donc ma confirmation et le temps presse…
J’entends la porte claquée, elle rentre du boulot et je la vois s’affaler dans un fauteuil et consulter ses mails sur son portable. Je m’approche doucement et lui fait un petit bisou sur la bouche avant de m’asseoir dans l’autre fauteuil. Elle continue de regarder son portable puis finit par le poser sur la table basse en soupirant. Je me relève et lui propose un petit verre, une fois n’est pas coutume. Elle acquiesce en souriant et je prépare rapidement deux petits martinis. Je lui donne le sien puis je me rassois. On trinque et on boit une gorgée en se regardant. Elle me sourit de nouveau et me demande :
_ On a quelque chose à fêter à part la fin de journée ?
_ Ben non… Ou alors si, il y a bien l’anniversaire de Fabien mais on est en avance !
Elle pouffe de rire puis me répond :
_ Il ne m’en parle pas en tous cas. D’ailleurs, depuis avant-hier, je n’ai aucune nouvelle !
_ Ah, et ça te surprend ?
_ Ben non… Il doit être trop occupé sans doute.
Je bois une gorgée, repose mon verre puis le reprends cinq seconde plus tard avant de le reposer. Je me sens nerveux, je ne sais pas comment attaquer le sujet. Elle m’observe et son regard accentue ma nervosité.
Soudain, elle me sourit et me lance :
_ Tu sais, je te connais… Très bien même ! Et là, je me dis « il a un truc à me dire mais ne sait pas comment s’y prendre. ». Pas vrai ?
Je la regarde fixement et je dois avoir l’air complètement abruti car elle éclate de rire. Bon, je me lance :
_ Heuuu… C’est ça.
Magnifique début ! Elle rit encore plus fort !
_ Bon… En fait… Je me disais qu’on pourrait faire une petite surprise à Fabien pour son anniversaire…
Voilà, voilà, voilà. C’est parti !
Elle me regarde, un sourire au coin des lèvres :
_ Tiens donc…
Je me trémousse sur mon fauteuil. Merde, à 56 balais, je me sens comme un ado pris en faute, un comble ! Je souffle un coup puis je me lance :
_ Je ne vais pas tourner autour du pot… Je me disais qu’on pourrait le faire venir à la maison et… Tu pourrais t’habiller hyper sexy, genre petite tenue coquine et… lui faire un strip-tease.. Tu sais du genre de ce que tu faisais pour moi quand on partait tous les deux. Je… Je suis sûr qu’il adorerait ça.
Je retiens mon souffle, je transpire et je n’ose même pas la regarder, près à encaisser un refus net. Elle ne dit rien. Je relève courageusement la tête et me trouve face à son regard et toujours ce petit sourire narquois.
_ Ben voyons, rien que ça !
Je reste sans voix, incapable de lui répondre.
_ Et après ?
Je déglutis :
_ Après quoi ?
_ Et bien après que je me sois déshabillée ?
_ Ben heu… Je ne sais pas moi…
_ Ok, je me rhabille, on boit un coup et salut, à la prochaine ! Je suppose que c’est cela que tu as imaginé…
Je reprends mon verre, bois une gorgée et le repose sur la table.
_ Bon, ça va, j’avoue que je verrai bien une certaine suite... Que tu imagines bien toi aussi, non ? Je suis sûr qu’on prendrait notre pied comme la dernière fois… Et ce serait un chouette cadeau, non ?
Elle éclate de rire avant de me répondre :
_ C’est clair que ce serait un cadeau original !
Elle fait mine de réfléchir en regardant le plafond puis me fixe de nouveau :
_ Mais tu oublies deux petites choses… A condition que j’accepte ton idée, bien sûr.
Je retiens mon souffle, un peu tremblant. Elle n’a pas dit non ! Putain c’est génial !
_ D’abord je ne sais pas si je serai capable de faire ça devant lui… C’est… Plutôt particulier comme exercice. Mais imaginons que je puisse le faire. Tu oublies que c’est SON anniversaire, donc SON cadeau ! A lui et à lui seul!
Je la regarde bouche bée. Incapable de comprendre ce qu’elle veut dire exactement. Elle se penche vers moi avec de nouveau son petit sourire en coin et d’une voix mielleuse :
_ Tu ne pourras que regarder et uniquement regarder... Quoi qu’il arrive, mon chéri… Tu crois que tu pourras tenir ?
Je suis scotché. J’avais tout imaginé sauf ça ! Merde, elle m’a bien eu… Je reste de nouveau sans voix, échec et mat. Son sourire s’accentue, un sourire de vainqueur qui me hérisse le poil. Je réfléchi à toute vitesse. Bon, je vais être hyper frustré de ne pas participer, c’est sûr. Mais il me restera le plaisir pur du mari candauliste. Le plaisir de regarder ma femme se faire baiser devant moi, c’est énorme !
_ Ok, je ne ferai que regarder, promis !
Elle avale sa dernière gorgée puis se lève pour aller dans la cuisine. Elle se retourne et me regarde
_ Dans ces conditions, je veux bien y réfléchir.
C’est fou comme les jours de la fin Mars s’écoule lentement. Marine m’a donné son accord dès le lendemain de notre conversation. Je lui ai avoué aussitôt que Fabien était au courant d’une surprise mais sans plus. Qu’il pouvait se libérer le lundi soir et que ce serait bien que ce soit elle qui l’invite…
Durant le weekend, elle s’est approprié petit à petit mon idée. Et ce putain de lundi soir est enfin là !
Fab est arrivé comme prévu, pour l’apéro. Marine ayant préparé un diner de fête, on s’est régalé ! On a bien picolé aussi, deux bouteilles de rouge à trois. Sans être excessif, car nous ne sommes pas ivres, c’est quand même beaucoup ! Mais je sais bien qu’il faut tout ça à ma coquine pour qu’elle se détende suffisamment pour la suite. Hier encore, j’ai du la rassurer quand à ses performances artistico-érotiques lors d’un strip. On a pris soin de choisir sa tenue et surtout, la musique qui selon elle devrait l’aider à se lâcher.
Le plus surprenant c’est que pour elle, le clou de la soirée réside uniquement dans ce moment là. A aucun moment elle n’a envisagé la suite. Du moins, elle ne m’en a pas parlé mais je suis sûr que la salope qui sommeille en elle y pense beaucoup…
A la fin du repas, on boit un petit café et je sens l’excitation monter en moi au fur et à mesure que l’instant tant attendue approche. Je les observe l’un après l’autre. Depuis le début de la soirée, Fabien la dévore des yeux. Quant à ma coquine, elle devient de plus en plus nerveuse. Elle me regarde fréquemment avec un petit sourire contrit. Je l’encourage à chaque fois d’un petit clin d’œil.
Soudain elle se lève, me regarde d’un air presque désespéré puis se tourne vers Fabien et lui murmure :
_ Je reviens... Je vais chercher ton cadeau.
Elle nous tourne le dos et se dirige vers le couloir menant à notre chambre. C’est le signal. Je me lève à mon tour et je commence à débarrasser la table, aidé par Fabien. En silence, on range les assiettes et les couverts dans le lave-vaisselle puis j’essuie la table en laissant juste nos verres. Fabien ne sait absolument pas à quoi s’attendre et il reste là à se dandiner sur place. Je prends deux petits verres et l’invite à s’asseoir pour un digestif dans un fauteuil orienté face à la table. Je nous sers une petite eau de vie de poire et m’assois dans l’autre fauteuil que je place à coté du sien. Dans ma main, cachée, je tiens la télécommande de la chaine hi-fi, prêt à lancer la musique. Puis d’un ton de confidence, je commence à lui parler d’une de mes envies, monter à Paris, un jour, pour voir un spectacle du crazy horse. Immédiatement, il me répond qu’il serait partant pour m’accompagner. On commence à délirer sur les filles, brunes, blondes, rousses. On rigole en sirotant nos verres et le temps passe. Je commence à trouver le temps long mais je connais tous les préparatifs nécessaires. S’habiller, se maquiller, tout cela prend du temps. Je lui parle de son cadeau sans trop en dire. Je lui précise qu’il sera le seul à profiter d’une partie de celui-ci. Il fronce les sourcils, cherchant çà comprendre. Il m’interroge mais je reste évasif, trop heureux de le voire de plus en plus intrigué.
Enfin, j’entends une porte claquer. J’appuis discrètement sur la télécommande et une musique pleine de sensualité se fait soudain entendre. Fabien se fige et me regarde, visiblement surpris. Puis un mouvement attire son attention du côté du couloir.
Instantanément, je sens mon sexe se dresser dans mon jean. Marine entre dans la pièce et se dirige vers nous d’une démarche un peu chaloupée. Je suis époustouflé par la femme sublime qui se tient devant nous. Bustier bleu, mini jupe noir, bas et talons aiguille, la panoplie parfaite pour donner une envie folle de la baiser !
Elle hésite une fraction de seconde puis vient s’appuyer sur le bord de la table, face à nous.
La table, la même que l’autre fois... Elle regarde Fabien et commence lentement sa chorégraphie. Elle ondule au rythme de la musique. Prend quelques poses de plus en plus suggestives au fur et à mesure qu’elle se lâche. Au bout de quelques secondes, je la sens bien, à l’aise, à fond dans son rôle. J’ai la bouche sèche et me sens tout bizarre. Je n’arrête pas de bouger dans mon fauteuil car ma queue me fait mal tant elle est serrée dans mon jean. Mon cœur bat la chamade et j’essaie de me calmer un peu en respirant plus fort. Marine défait sa jupe et la laisse glisser sur le sol, dévoilant le haut de ses bas, un porte jarretelle et une petite culotte transparente. Je n’en peux plus. Je défais mon ceinturon, le bouton de mon jean, baisse la fermeture éclair de ma braguette, soulève mon bassin et fait glisser le tout sur mes cuisses. Je me sens bien, ma bite à l’air, bien raide.
Marine me regarde et esquisse un petit sourire tout en continuant à se déhancher lentement. Fabien me jette un rapide coup d’œil, regarde ma main branler doucement ma queue puis, tout en regardant de nouveau ma coquine, il se déshabille à son tour.
Il ne lui faut que quelques secondes pour se retrouver entièrement nu. De nouveau assis dans son fauteuil, cuisses bien écartés, il exhibe sa bite bien dressée aux yeux de ma femme !
Marine le fixe un instant, immobile, un petit sourire au coin des lèvres puis se hisse sur la table, assise les jambes dans le vide. Puis, doucement, elle laisse aller sa tête en arrière...
Je me lève, saisit mon portable et commence à prendre quelques photos, le seul droit qu’elle m’a octroyé ce soir !
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Fabien se lève à son tour. Debout à mes côtés, il la dévore des yeux tout en se masturbant doucement. Lentement, ma coquine relève la tête et nous regarde de nouveau. Ses yeux parcours nos corps, s’arrêtent sur le sexe de Fabien. Elle entrouvre sa bouche, respirant plus fort. Sa poitrine se soulève au rythme de son souffle. Je remarque que ses mains, en appui sur la table, tremblent un peu.
Elle ferme les yeux et faisant glisser ses bras en arrière tout en pivotant sur ses fesses, elle se retrouve allongée sur le dos, les jambes à plat sur la table. Elle remonte lentement sa cuisse droite ainsi que son bras afin de s’exhiber davantage dans une pose terriblement érotique !
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Fabien respire de plus en plus fort et vacille un peu sur ses jambes. Il me regarde et me glisse un « hummmm » explicite. Il crève d’envie de la baiser mais sait qu’il doit attendre encore. Je baisse les yeux et fixe sa bite, son gland tout rouge qu’il frotte lentement entre ses doigts. Pour la première fois de ma vie, j’ai envie de toucher une autre queue que la mienne ! C’est complètement fou ! Je lève les yeux et constate qu’il fixe de nouveau la salope allongée sur la table... A mon tour je la regarde, cette femme qui la veille encore me disait des mots tendres en se blottissant dans mes bras avant de s’endormir. Mais là, sur la table, c’est bien une vraie salope qui fait tout ce qu’elle peut pour lui donner envie, à lui, notre ami, notre complice coquin, de la sauter devant moi, son petit mari soumis !!!!
Comme si elle pouvait lire dans mes pensées, elle se redresse et le regarde, lui et lui seul ! Je n’existe plus pour elle. Je ne suis pas là, elle ne veut que lui ! Je sens mon cœur battre la chamade et mon ventre se crisper. De la jalousie ? De la peur ? Non ! Juste une putain de frustration dévorante. J’ai promis, je ne la toucherai pas. Lui pourra tout faire, lui donner sa bite à sucer, lui écarter les cuisses pour lui manger sa chatte, lui mettre sa queue et la baiser autant qu’il voudra, aussi fort qu’il voudra, dans les positions qu’il voudra... Elle m’a même avoué la veille que s’il avait envie de prendre son petit cul, il en aurait le droit. Mais moi, rien !
Sans un regard pour moi, elle enlève ses chaussures puis ses bas, les faisant glisser avec des gestes sensuelles sur ses cuisses, ses jambes puis ses chevilles. Elle les jette sur le sol puis, doucement, se tourne sur la table et se met à genoux, le cul tourné vers lui.
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Fabien hésite. Il a visiblement envie d’y aller, de l’aider à se déshabiller, de la toucher... La musique continue, lancinante, envoutante. Il me regarde et je lui fais un signe de dénégation. Ce n’est pas le moment, pas encore l’instant magique où il pourra s’approprier son cadeau. Il se recule un peu comme s’il pouvait atténuer ainsi son désir. Soudain, Marine glisse ses mains sur ses fesses, sous l’élastique de sa culotte...
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Elle entraine la dentelle noire vers le bas, se redresse pour la faire glisser sur ses cuisses, reste un instant immobile pour lui permettre de bien la regarder puis se retourne pour enlever la culotte et la jeter elle aussi sur le sol. Elle se retrouve assise, face à nous avec uniquement son juste au corps dont elle dégrafe un peu le haut…
Toujours en le fixant lui et lui seul, elle écarte lentement ses cuisses, un léger sourire au coin des lèvres. Elle exhibe sans aucune retenue, sans aucune gêne, son sexe humide. Je la sens provocante, pleine d’envie vis-à-vis du mec debout près de moi qui serre sa queue dans sa main comme pour l’empêcher d’aller se planter entre les lèvres rouges écarlates situées à moins d’un mètre..
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