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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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#2655058
@Patrice63 a publié un récit vraiment magnifique et très prenant du premier trio endiablé avec Fabien { viewtopic.php?p=2654278#p2654278 }. Je me permets de l'illustrer par ce poème, qui, je l'espère aura l'heur de lui plaire.

Voie trinitaire,

J’avais longtemps rêvé d’emprunter le chemin
Qui mènerait nos pas vers l’éden libertin.
Et bien que n’étant pas une épouse trop prude,
La voie vers ce jardin s’était avérée rude.

Puis un soir, tu avais basculé dans la danse,
Gratifiant mes désirs d’une nouvelle transe.
Tu t’étais révélée vraie furie de la nuit,
En incendiant mes rêves insensés avec lui.

Sitôt l’acte accompli, descendue des étoiles,
Serais-tu libérée ou prendrais-tu le voile ?
Tu savais mes espoirs, mais j’ignorais tes plans.
Serait-ce un coup d’un soir ou un vœu rémanent ?

Je ne voulais surtout pas te forcer la main,
Mais ton feu intérieur a changé le destin.
Dès qu’il est apparu en cet après-midi,
Du plaisir libertin, tu devins l’égérie.

D’un simple frôlement, vos peaux sont enflammées ;
Il suffit d’un regard, et vos corps sont mêlés.
Mais tu ne m’oublies pas, tu appelles mon nom.
Tu me veux dans ta bouche, et lui sur ton bouton.

Je vis en déraison devant ce ballet fou ;
Ma femme en pâmoisons, mais quel coup de grisou !
Se tordant de plaisir, ma douce Pénélope
S’est couronnée tantôt, en reine des salopes.

Son amant déchaîné, tel Attila le Hun,
Chevauche de son pieu leurs corps qui n’en font qu’un.
Soudain, deux cris puissants emplissent le salon.
Essoufflés, les coquins ont joui à l’unisson.

Je viens à mon tour, ravi que mon monopole
Ait cessé. Ma mie, blottie contre son épaule
Accueillante, reprend peu à peu ses esprits.
Son beau corps de femelle, de ses traces luit.

Les dés sont jetés ; la morale gît à terre.
Nous vivrons désormais des ébats trinitaires.
Et pour bien célébrer cette révolution,
L’amant lui prend la bouche, et le mari le con.

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cetd91 a liké
#2655235
. Je me permets de l'illustrer par ce poème, qui, je l'espère aura l'heur de lui plaire.


Mon cher @Dionysos06 , il faudrait être sacrément difficile pour que ce magnifique poème ne nous (Marine et moi) plaise pas!
Comme toujours, tu retranscrits parfaitement nos émotions, notre évolution, nos envies, tout y est...
Merci beaucoup pour ce très, très beau cadeau.
#2657650
Floralies,

Repue de plaisirs, tu t’es lovée contre moi ;
Et je caresse ton corps du bout de mes doigts.
Nos bouches se collent. Les mots sont inutiles,
Cohortes dépassées de désuets alguazils.

La chaleur de l’été a chauffé nos ardeurs
Et fait de nos désirs, de triomphants vainqueurs.
Le parfum de nos ébats sature la chambre ;
La sueur de nos efforts luit, couronne d’ambre.

Bourdon assoiffé de nectar, j’ai butiné,
À satiété, ton délicat bouton sucré
Et pollinisé de mon dard bien audacieux

Ta corolle nacrée brillant de mille feux.
De jour, de nuit, faire l’amour nous a tant plu,
Que les cigales, admiratives, se sont tues.

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cetd91 a liké
#2660036
Quoi de plus excitant qu'une surprise érotique de votre complice coquine. Celle qui m'a récemment été faite m'a inspiré ce poème.

La petite robe noire,

« Demain, je te réserve une surprise.»
Ce simple décamètre, en moi attise
Le feu incandescent de mes désirs
Qui jamais n’ont envie de se tarir.

Le sommeil m’a fui, avant l’aube éclose,
Le cerveau en émoi devant ta prose.
Voici déjà l’heure du rendez-vous,
Et mon sexe t’accueille au garde-à-vous.

Ton sourire coquin me fait languir ;
Tu sais comment décupler mon plaisir.
Ton manteau ôté, je reste pantois
Devant cette vision de tes appâts.

Une petite robe noire enserre
Ton corps coquin brûlant comme un cratère.
Tes seins moulés déforment le tissu ;
Un trou taquin m’en donne un aperçu.

La tenue descend à peine à mi cuisses,
Marquant d’un trait ta fente de réglisse.
L’élasthanne glorifie ton séant
Dont le galbe devient affriolant.

Ta surprise m’a si bien excité,
Que je n’y tiens plus, je dois te l’ôter.
Et ton corps nu, libéré, triomphant,
Accueille, trempé, mon sexe d’amant.

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cetd91 a liké
#2660050
Dionysos06 a écrit :Quoi de plus excitant qu'une surprise érotique de votre complice coquine. Celle qui m'a récemment été faite m'a inspiré ce poème.

La petite robe noire,

« Demain, je te réserve une surprise.»
Ce simple décamètre, en moi attise
Le feu incandescent de mes désirs
Qui jamais n’ont envie de se tarir.

Le sommeil m’a fui, avant l’aube éclose,
Le cerveau en émoi devant ta prose.
Voici déjà l’heure du rendez-vous,
Et mon sexe t’accueille au garde-à-vous.

Ton sourire coquin me fait languir ;
Tu sais comment décupler mon plaisir.
Ton manteau ôté, je reste pantois
Devant cette vision de tes appâts.

Une petite robe noire enserre
Ton corps coquin brûlant comme un cratère.
Tes seins moulés déforment le tissu ;
Un trou taquin m’en donne un aperçu.

La tenue descend à peine à mi cuisses,
Marquant d’un trait ta fente de réglisse.
L’élasthanne glorifie ton séant
Dont le galbe devient affriolant.

Ta surprise m’a si bien excité,
Que je n’y tiens plus, je dois te l’ôter.
Et ton corps nu, libéré, triomphant,
Accueille, trempé, mon sexe d’amant.

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BRAVO... <3
#2662330
Voie trinitaire,

J’avais longtemps rêvé d’emprunter le chemin
Qui mènerait nos pas vers l’éden libertin.
Et bien que n’étant pas une épouse trop prude,
La voie vers ce jardin s’était avérée rude.

Puis un soir, tu avais basculé dans la danse,
Gratifiant mes désirs d’une nouvelle transe.
Tu t’étais révélée vraie furie de la nuit,
En incendiant mes rêves insensés avec lui.

Sitôt l’acte accompli, descendue des étoiles,
Serais-tu libérée ou prendrais-tu le voile ?
Tu savais mes espoirs, mais j’ignorais tes plans.
Serait-ce un coup d’un soir ou un vœu rémanent ?

Je ne voulais surtout pas te forcer la main,
Mais ton feu intérieur a changé le destin.
Dès qu’il est apparu en cet après-midi,
Du plaisir libertin, tu devins l’égérie.

D’un simple frôlement, vos peaux sont enflammées ;
Il suffit d’un regard, et vos corps sont mêlés.
Mais tu ne m’oublies pas, tu appelles mon nom.
Tu me veux dans ta bouche, et lui sur ton bouton.

Je vis en déraison devant ce ballet fou ;
Ma femme en pâmoisons, mais quel coup de grisou !
Se tordant de plaisir, ma douce Pénélope
S’est couronnée tantôt, en reine des salopes.

Son amant déchaîné, tel Attila le Hun,
Chevauche de son pieu leurs corps qui n’en font qu’un.
Soudain, deux cris puissants emplissent le salon.
Essoufflés, les coquins ont joui à l’unisson.

Je viens à mon tour, ravi que mon monopole
Ait cessé. Ma mie, blottie contre son épaule
Accueillante, reprend peu à peu ses esprits.
Son beau corps de femelle, de ses traces luit.

Les dés sont jetés ; la morale gît à terre.
Nous vivrons désormais des ébats trinitaires.
Et pour bien célébrer cette révolution,
L’amant lui prend la bouche, et le mari le con.

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