- 23 oct. 2022, 08:43
#2658327
Nous avions décidé d’une semaine aux sports d’hiver et avions trouvé une location pas trop chère : chambre, beau séjour, belle vue, confort. Juste le fait que le propriétaire habitait là, se réservant une partie de l’appartement isolée, on ne le voyait pas. Arrivés le samedi, premières descentes le dimanche, parfait. Lundi aussi. Mardi le temps se gâte un peu, mais ça va encore, il commence à neiger. Mercredi ça neige dur, on ne sort pas, journée tranquille, télé. On se réveille le jeudi avec une couche considérable, tout est bloqué, la rue est réduite à un sentier entre deux murs de neige… On se couvre bien, on s’emmitoufle et on décide d’aller chercher à manger dans la supérette en bas de la station. On demande quand même au logeur s’il a besoin de quelque chose, ce dont il nous remercie et nous demande, pour lui, du pain et quelques bricoles. C’est une (petite) expédition polaire sous la neige, mais que l’on trouve amusante, et au retour nous sommes transformés en père et mère Noël. On s’ébroue avant d’’entrer et on déballe les provisions. Pépère (on l’appelait ainsi entre nous) nous remercie pour les courses et, comme on approchait de l’heure du déjeuner il insiste pour offrir l’apéritif. On en boit un. Puis deux. L’ambiance est amicale, très amicale, on se tutoie. Du coup on l’invite à déjeuner avec nous, il amène sa bouteille de vin de Savoie. Après, il insiste pour nous faire gouter le génépi et même de la liqueur de chanvre ! Rien à voir avec le cannabis, mais ça chauffe ! Claire qui avait déjà (comme moi) retiré son pull décide de se mettre à l’aise et revient en pyjama, et je remarque que Pépère la regarde un peu plus surtout que le boutonnage n’est pas hermétique…
Que faire de cet après-midi enfermé ? Programme télé sans intérêt. Pépère propose des films DVD et montre ce qu’il a quand Claire, un peu éméchée, demande : « T’as pas de films de cul ? » Il en avait ! Il prépare le lecteur, moi je me mets à mon tour à l’aise, Jo sort et revient au bout de quelques instants en pyjama lui aussi et on ‘installe tous les trois sur le canapé, la dame au milieu, bien sûr. Je ne me souviens pas de l’intrigue, qui avait peu d’importance, mais je me souviens que lorsqu’à l’écran une dame se donna seule du plaisir, je vis une main de Claire se glisser dans son pantalon tandis que l’autre main en faisait autant dans le mien. Je remarquais du coin de l’œil que Pépère s’intéressait autant à sa voisine qu’à l’écran Mais aussi que la bosse qui s’était développée dans son pyjama était bien modeste, alors que chez moi le chapiteau était dressé. Normal qu’à son âge…
L’ambiance monta quand ma femme baissa son pyjama pour se toucher à l’aise et sans doute aussi pour s’exhiber un peu. Comme en même temps elle s’était penchée pour m’offrir l’assistance de sa bouche, vous imaginez Pépère avec la croupe à portée de main. Il se crut autorisé, à juste te titre, et s’employa à explorer les zones inconnues qu’elle lui présentait, ce qui me fit bander encore plus fort. La situation évolua encore quand la cochonne se positionna assise et les cuisses bien écartées, son doigt toujours en action. Son voisin comprit le message et se positionna pour déguster le fruit qu’on lui présentait. Et il dégustait bien si j’en jugeais par l’attitude de ma salope qui lui tenait la tête et gigotait du cul en gémissant. Quand elle se releva soudain il crut peut-être que la récréation était terminée, mais je savais qu’il n’en était rien et j’avais raison puisqu’elle se dirigea vers la chambre en invitant : « Alors, vous venez ? » Un peu qu’on venait, surtout qu’elle était déjà allongée, à poil, ouverte, si bien que Jo se mit en place pour continuer son festin de cramouille. Mais la femelle en chaleur partit aussi à la découverte et lui retira son bas de pyjama, révélant une érection à laquelle je ne m’attendais pas. Je ne sais si elle s’y attendait, mais elle s’occupa aussitôt de la trique proposée en lui offrant une fellation comme elle sait les faire. Elle n’avait pas encore inventé son 69 croisé, alors elle passait équitablement d’une bite à l’autre. C’est alors qu’elle me faisait bénéficier de sa prestation buccale, agenouillée sur le lit, sachant très bien comment elle se présentait. Cela ne manqua pas, Pépère comprit encore le message et se positionna pour une levrette évidente. Ce que je trouvais comique, et je le trouve encore quinze ans après, c’est qu’il me regarda en demandant : « Je peux ? » On ne peut être plus courtois, et je donnais évidemment mon approbation, pour voir cette queue maintenant bien raide pointer et disparaitre. Voir baiser ma femme, ce n’était pas une première, mais baisée par un vieux, oui. Car Jo, dit Pépère, n’était pas du genre vieux beau bien conservé, c’était vraiment un petit vieux, cheveux blancs, peau fripée, mais sexuellement en pleine forme. On a d’ailleurs compris après quand il nous a avoué qu’en se mettant en pyjama il avait pris la petite pilule bleue qui revigore les bites défaillantes. Ce qui expliquait son léger retard à l’allumage, et aussi la vigueur érectile qui a suivi. Car il a tenu tout l’après-midi, on se l’est prise l’un après l’autre, même ensemble, je crois qu’on a fait (presque) tout ce qui peut se faire à trois, et ma femme s’est montrée à la hauteur, développant ses talents de salope et jouissant à répétition sous les saillies successives. Je puis témoigner de l’action salutaire du viagra, car je commençais à mollir alors que pépère bandait toujours. Par contre, quand les effets prirent fin, plus rien qu’une zézette pendante que les efforts pourtant avisés de Claire ne purent revigorer. Le dîner a été sommaire, et nous n’avons pas tardé à dormir, après cette journée d’exercices physiques intenses et prolongés.
Le lendemain, temps toujours impraticable, Jo nous avait préparé le petit déjeuner, que l’on prit ensemble, puis comme Claire n’avait pas envie de s’habiller pour sortir, je me sacrifiais pour descendre chercher le pain et l’indispensable. Il neigeait moins et les engins déblayaient les rues. Il le fallait, car le lendemain samedi ce serait le grand départ, et l’arrivée d’une nouvelle fournée de touristes. Vous devinez ce que je trouvais en rentrant ! Eh oui, les deux à poil sortant du lit. Je demandais si cela s’était bien passé, et Jo répondit franchement que cela avait été un moment agréable, mais que, n’ayant pas utilisé l’aide pharmaceutique, il n’avait pas été aussi performant qu’il l’aurait voulu. Claire précisait qu’il avait bien réagi à la sucette comme à la branlette, mais que dès qu’il se présentait à l’entrée tout retombait. Elle assurait qu’il l’avait pourtant bien faite jouir, avec la langue et les doigts. L’important, c’est le résultat !
On a déjeuné encore ensemble, modérant l’apéro et ignorant les digestifs, avons regardé un vrai film, ce qui ne nous empêcha pas en fin d’après-midi de nous livrer aux coupables réjouissances sexuelles à trois, qu’on ne débuta que lorsque le fortifiant utilisé par Pépère commença à faire effet. Et une nouvelle fois ce fut le feu d’artifice apprécié par Jo qui, malgré son âge, se tapait ce qu’il pouvait considérer comme une jeunette (Elle 38 ans lui 77), apprécié par le candauliste cochon que je devenais et voyais mon épouse saille par un type qui aurait largement pu être son père, et enfin par ma cochonne qui jouissait sans se lasser avec deux bites, comme elle aimait maintenant.
Le fait qu’on parte le lendemain désolait notre nouvel ami et complice, qui insistait pour qu’on reste un jour de plus, voire une semaine qu’il nous offrait, proposant même d’aller chercher à la ville voisine sa copine qu’il assurait bien cochonne pour son âge. Là c’était un argument bien tentant pour moi qui n’avais encore jamais baisé une vieille, mais ce n’était pas possible, le travail n’attendrait pas. Donc les adieux le lendemain de bonne heure avec, évidemment, promesse de se revoir.
Paroles en l’air mais sacré bon souv
Que faire de cet après-midi enfermé ? Programme télé sans intérêt. Pépère propose des films DVD et montre ce qu’il a quand Claire, un peu éméchée, demande : « T’as pas de films de cul ? » Il en avait ! Il prépare le lecteur, moi je me mets à mon tour à l’aise, Jo sort et revient au bout de quelques instants en pyjama lui aussi et on ‘installe tous les trois sur le canapé, la dame au milieu, bien sûr. Je ne me souviens pas de l’intrigue, qui avait peu d’importance, mais je me souviens que lorsqu’à l’écran une dame se donna seule du plaisir, je vis une main de Claire se glisser dans son pantalon tandis que l’autre main en faisait autant dans le mien. Je remarquais du coin de l’œil que Pépère s’intéressait autant à sa voisine qu’à l’écran Mais aussi que la bosse qui s’était développée dans son pyjama était bien modeste, alors que chez moi le chapiteau était dressé. Normal qu’à son âge…
L’ambiance monta quand ma femme baissa son pyjama pour se toucher à l’aise et sans doute aussi pour s’exhiber un peu. Comme en même temps elle s’était penchée pour m’offrir l’assistance de sa bouche, vous imaginez Pépère avec la croupe à portée de main. Il se crut autorisé, à juste te titre, et s’employa à explorer les zones inconnues qu’elle lui présentait, ce qui me fit bander encore plus fort. La situation évolua encore quand la cochonne se positionna assise et les cuisses bien écartées, son doigt toujours en action. Son voisin comprit le message et se positionna pour déguster le fruit qu’on lui présentait. Et il dégustait bien si j’en jugeais par l’attitude de ma salope qui lui tenait la tête et gigotait du cul en gémissant. Quand elle se releva soudain il crut peut-être que la récréation était terminée, mais je savais qu’il n’en était rien et j’avais raison puisqu’elle se dirigea vers la chambre en invitant : « Alors, vous venez ? » Un peu qu’on venait, surtout qu’elle était déjà allongée, à poil, ouverte, si bien que Jo se mit en place pour continuer son festin de cramouille. Mais la femelle en chaleur partit aussi à la découverte et lui retira son bas de pyjama, révélant une érection à laquelle je ne m’attendais pas. Je ne sais si elle s’y attendait, mais elle s’occupa aussitôt de la trique proposée en lui offrant une fellation comme elle sait les faire. Elle n’avait pas encore inventé son 69 croisé, alors elle passait équitablement d’une bite à l’autre. C’est alors qu’elle me faisait bénéficier de sa prestation buccale, agenouillée sur le lit, sachant très bien comment elle se présentait. Cela ne manqua pas, Pépère comprit encore le message et se positionna pour une levrette évidente. Ce que je trouvais comique, et je le trouve encore quinze ans après, c’est qu’il me regarda en demandant : « Je peux ? » On ne peut être plus courtois, et je donnais évidemment mon approbation, pour voir cette queue maintenant bien raide pointer et disparaitre. Voir baiser ma femme, ce n’était pas une première, mais baisée par un vieux, oui. Car Jo, dit Pépère, n’était pas du genre vieux beau bien conservé, c’était vraiment un petit vieux, cheveux blancs, peau fripée, mais sexuellement en pleine forme. On a d’ailleurs compris après quand il nous a avoué qu’en se mettant en pyjama il avait pris la petite pilule bleue qui revigore les bites défaillantes. Ce qui expliquait son léger retard à l’allumage, et aussi la vigueur érectile qui a suivi. Car il a tenu tout l’après-midi, on se l’est prise l’un après l’autre, même ensemble, je crois qu’on a fait (presque) tout ce qui peut se faire à trois, et ma femme s’est montrée à la hauteur, développant ses talents de salope et jouissant à répétition sous les saillies successives. Je puis témoigner de l’action salutaire du viagra, car je commençais à mollir alors que pépère bandait toujours. Par contre, quand les effets prirent fin, plus rien qu’une zézette pendante que les efforts pourtant avisés de Claire ne purent revigorer. Le dîner a été sommaire, et nous n’avons pas tardé à dormir, après cette journée d’exercices physiques intenses et prolongés.
Le lendemain, temps toujours impraticable, Jo nous avait préparé le petit déjeuner, que l’on prit ensemble, puis comme Claire n’avait pas envie de s’habiller pour sortir, je me sacrifiais pour descendre chercher le pain et l’indispensable. Il neigeait moins et les engins déblayaient les rues. Il le fallait, car le lendemain samedi ce serait le grand départ, et l’arrivée d’une nouvelle fournée de touristes. Vous devinez ce que je trouvais en rentrant ! Eh oui, les deux à poil sortant du lit. Je demandais si cela s’était bien passé, et Jo répondit franchement que cela avait été un moment agréable, mais que, n’ayant pas utilisé l’aide pharmaceutique, il n’avait pas été aussi performant qu’il l’aurait voulu. Claire précisait qu’il avait bien réagi à la sucette comme à la branlette, mais que dès qu’il se présentait à l’entrée tout retombait. Elle assurait qu’il l’avait pourtant bien faite jouir, avec la langue et les doigts. L’important, c’est le résultat !
On a déjeuné encore ensemble, modérant l’apéro et ignorant les digestifs, avons regardé un vrai film, ce qui ne nous empêcha pas en fin d’après-midi de nous livrer aux coupables réjouissances sexuelles à trois, qu’on ne débuta que lorsque le fortifiant utilisé par Pépère commença à faire effet. Et une nouvelle fois ce fut le feu d’artifice apprécié par Jo qui, malgré son âge, se tapait ce qu’il pouvait considérer comme une jeunette (Elle 38 ans lui 77), apprécié par le candauliste cochon que je devenais et voyais mon épouse saille par un type qui aurait largement pu être son père, et enfin par ma cochonne qui jouissait sans se lasser avec deux bites, comme elle aimait maintenant.
Le fait qu’on parte le lendemain désolait notre nouvel ami et complice, qui insistait pour qu’on reste un jour de plus, voire une semaine qu’il nous offrait, proposant même d’aller chercher à la ville voisine sa copine qu’il assurait bien cochonne pour son âge. Là c’était un argument bien tentant pour moi qui n’avais encore jamais baisé une vieille, mais ce n’était pas possible, le travail n’attendrait pas. Donc les adieux le lendemain de bonne heure avec, évidemment, promesse de se revoir.
Paroles en l’air mais sacré bon souv