- 01 nov. 2022, 08:27
#2661038
La politique ne me réussit pas ! Je me suis un jour ridiculisé en étant candidat à des municipales, et j’ai même été cocu par la faute de Sarkosy ! Oui messieurs…
Non pas par lui, bien sûr (ou hélas), mais c’était le deuxième tour des présidentielles en mai 2007 et j’avais des conversations bêtement passionnées avec un copain assureur. On était tous les deux de droite, mais s’il voyait Sarkozy vainqueur, moi je pensais Ségolène. Non pas parce qu’elle avait ma faveur, mais je pensais que toutes les femmes voteraient pour la candidate féminine qui l’emporterait donc. A plus fort de la discussion je m’écriai : « On parie ? » - « Qu’est-ce que tu paries ? » - « Ma femme ! » - « Quoi ta femme ? » - « Ma femme pour une soirée. » - « On tope ? » - « On tope ! »
L’intéressée, si je puis dire, ma femme donc qui était présente se récria, protesta, refusant qu’on dispose d’elle de cette façon, etc. Le copain rétorqua qu’on avait topé, et quand elle tourna vers moi son regard courroucé je ne pus que prendre un air penaud pour confirmer qu’on avait topé. En réalité, j’étais persàadé d’avoir raison !
Je l’étais un peu moins les jours suivant, mais j’y croyais encore, jusqu’au dimanche décisif où je glissai mon bulletin Ségolène (pour assurer le coup) dans l’enveloppe bleue. A voté ! Restait à attendre le verdict des urnes. Plus on approchait de vingt heures, plus le temps semblait long. Claire et moi assis, les yeux fixés sur l’écran, tendus, silencieux…
Vingt heures ! Nicolas Sarkosy ! Boum ! Je l’avais dans le cul, si j’ose dire. Au même moment le téléphone sonna, que je décrochais pour y entendre un cri de victoire : « J’ai gagné ! ». A quoi je répondis sobrement : « On arrive. ».
Claire s’était déjà levée, attrapant une veste et son sac en me lançant : « Alors, on y va ? » On y alla. Tout le long du trajet elle avait le visage fermé, pas un mot, moi je me tenais coi, ne sachant à quoi m’en tenir. Arrivés à destination je m’arrêtais devant le pavillon, elle me dit froidement : « Tu me reprends à onze heures. » Puis elle descendit, pas un bisou, rien, et elle se dirigea vers la porte où elle sonna. La porte s’ouvrit, elle entra, la porte se referma, je démarrais… Il n’était pas encore 20h30, ils avaient un peu moins de trois heures pour… écouter les résultats politiques !
C’est, en tout cas, ce que je fis en rentrant à la maison pour attendre l’heure prévue. J’avoue que j’avais du mal à fixer mon attention sur les orateurs dont les paroles ne m’atteignaient pas. Vous devinez à quoi je pensais, les images que mon esprit créait… Ma femme se faisait baiser ! Ce n’était pas la première fois depuis qu’on était ensemble, mais la première fois que cela se passait ainsi. Que je la conduisais chez un mec qui allait s’en servir, se vider les couilles dans sa fente, la faire jouir. Je la voyais dans les positions les plus osées, les plus cochonnes, se donnant à ce mâle qui, en plus, devait lui plaire. Je me reprochais d’avoir obligé ma chérie à se sacrifier pour honorer le pari imbécile de son mari.
Le temps passait quand même et l’heure de la récupérer approchait. Je repartis donc mais arrivé à destination j’étais largement en avance ! Je ne m’arrêtais donc pas et tournais dans les environs jusqu’à ce que la montre indique l’heure juste. Il faisait nuit, je donnais un coup d’avertisseur. L’instant d’après la porte s’ouvrit, je vis sortit ma femme, le copain qui me faisait un signe de la main et refermait la porte.
Depuis un moment je me demandais comment allait se passer le retour, aussi fus-je surpris lorsqu’elle entra dans la voiture toute guillerette : « Ce n’a pas été trop long mon chéri, tu ne t’es pas ennuyé ? ». Je répondis qu’en effet j’avais trouvé le temps long. Et toi demandais-je ? J’eus droit à la phrase habituelle : « Qu’est-ce qu’il m’a mis, le salaud ! » Avec une précision qui ne s’imposait pas vraiment : « Je t’ai fait cocu. » Et de préciser qu’elle m’avait fait cocu parce qu’elle avait vraiment aimé ça, qu’il lui avait fait des trucs dingues, qu’elle avait joui et joui encore, qu’elle en redemandait. On arrivait à la maison qu’elle me détaillait encore ce qu’elle lui avait fait, ce qu’il lui avait fait, ajoutant que c’était un super mâle, viril et endurant. Je demandais naïvement s’il avait utilisé une capote pour m’entendre répondre : « Tu rigoles ? Je suis encore pleine de son sperme ! Sure qu’il m’a fait un petit, ou plusieurs ! Tu vas être papa mon chéri. » Ça, c’était évidemment pour me faire bisquer et, en définitive, elle y réussissait.
Arrivés à la maison elle continuait, se déshabillant mais m’invitant à baisser sa culotte qui, en effet, était poisseuse de sperme. C’est vrai qu’il avait bien déchargé mon copain. Puis se mettant en position sur le lit : « Allez, viens me baiser ! Que je voie si tu es aussi bon que lui. » En tout cas elle a joui ma salope, même si une fois terminé elle a conclu : « Oui… C’était pas mal… »
Le lendemain elle faisait acte de contrition, avouant qu’elle m’avait dit tout cela un peu pour se venger de la mettre comme l’enjeu du pari. En réalité cela avait été une baise convenable mais pas vraiment exceptionnelle, même si elle avait connu le supplément d’excitation de baiser avec un nouveau mec. J’ai été étonné quand elle m’a dit qu’il s’attendait à ce que je vienne aussi, pas seulement comme voyeur, mais pour participer à la fête. On a donc recommencé avec lui, bien sûr, à trois, et plusieurs fois !
Non pas par lui, bien sûr (ou hélas), mais c’était le deuxième tour des présidentielles en mai 2007 et j’avais des conversations bêtement passionnées avec un copain assureur. On était tous les deux de droite, mais s’il voyait Sarkozy vainqueur, moi je pensais Ségolène. Non pas parce qu’elle avait ma faveur, mais je pensais que toutes les femmes voteraient pour la candidate féminine qui l’emporterait donc. A plus fort de la discussion je m’écriai : « On parie ? » - « Qu’est-ce que tu paries ? » - « Ma femme ! » - « Quoi ta femme ? » - « Ma femme pour une soirée. » - « On tope ? » - « On tope ! »
L’intéressée, si je puis dire, ma femme donc qui était présente se récria, protesta, refusant qu’on dispose d’elle de cette façon, etc. Le copain rétorqua qu’on avait topé, et quand elle tourna vers moi son regard courroucé je ne pus que prendre un air penaud pour confirmer qu’on avait topé. En réalité, j’étais persàadé d’avoir raison !
Je l’étais un peu moins les jours suivant, mais j’y croyais encore, jusqu’au dimanche décisif où je glissai mon bulletin Ségolène (pour assurer le coup) dans l’enveloppe bleue. A voté ! Restait à attendre le verdict des urnes. Plus on approchait de vingt heures, plus le temps semblait long. Claire et moi assis, les yeux fixés sur l’écran, tendus, silencieux…
Vingt heures ! Nicolas Sarkosy ! Boum ! Je l’avais dans le cul, si j’ose dire. Au même moment le téléphone sonna, que je décrochais pour y entendre un cri de victoire : « J’ai gagné ! ». A quoi je répondis sobrement : « On arrive. ».
Claire s’était déjà levée, attrapant une veste et son sac en me lançant : « Alors, on y va ? » On y alla. Tout le long du trajet elle avait le visage fermé, pas un mot, moi je me tenais coi, ne sachant à quoi m’en tenir. Arrivés à destination je m’arrêtais devant le pavillon, elle me dit froidement : « Tu me reprends à onze heures. » Puis elle descendit, pas un bisou, rien, et elle se dirigea vers la porte où elle sonna. La porte s’ouvrit, elle entra, la porte se referma, je démarrais… Il n’était pas encore 20h30, ils avaient un peu moins de trois heures pour… écouter les résultats politiques !
C’est, en tout cas, ce que je fis en rentrant à la maison pour attendre l’heure prévue. J’avoue que j’avais du mal à fixer mon attention sur les orateurs dont les paroles ne m’atteignaient pas. Vous devinez à quoi je pensais, les images que mon esprit créait… Ma femme se faisait baiser ! Ce n’était pas la première fois depuis qu’on était ensemble, mais la première fois que cela se passait ainsi. Que je la conduisais chez un mec qui allait s’en servir, se vider les couilles dans sa fente, la faire jouir. Je la voyais dans les positions les plus osées, les plus cochonnes, se donnant à ce mâle qui, en plus, devait lui plaire. Je me reprochais d’avoir obligé ma chérie à se sacrifier pour honorer le pari imbécile de son mari.
Le temps passait quand même et l’heure de la récupérer approchait. Je repartis donc mais arrivé à destination j’étais largement en avance ! Je ne m’arrêtais donc pas et tournais dans les environs jusqu’à ce que la montre indique l’heure juste. Il faisait nuit, je donnais un coup d’avertisseur. L’instant d’après la porte s’ouvrit, je vis sortit ma femme, le copain qui me faisait un signe de la main et refermait la porte.
Depuis un moment je me demandais comment allait se passer le retour, aussi fus-je surpris lorsqu’elle entra dans la voiture toute guillerette : « Ce n’a pas été trop long mon chéri, tu ne t’es pas ennuyé ? ». Je répondis qu’en effet j’avais trouvé le temps long. Et toi demandais-je ? J’eus droit à la phrase habituelle : « Qu’est-ce qu’il m’a mis, le salaud ! » Avec une précision qui ne s’imposait pas vraiment : « Je t’ai fait cocu. » Et de préciser qu’elle m’avait fait cocu parce qu’elle avait vraiment aimé ça, qu’il lui avait fait des trucs dingues, qu’elle avait joui et joui encore, qu’elle en redemandait. On arrivait à la maison qu’elle me détaillait encore ce qu’elle lui avait fait, ce qu’il lui avait fait, ajoutant que c’était un super mâle, viril et endurant. Je demandais naïvement s’il avait utilisé une capote pour m’entendre répondre : « Tu rigoles ? Je suis encore pleine de son sperme ! Sure qu’il m’a fait un petit, ou plusieurs ! Tu vas être papa mon chéri. » Ça, c’était évidemment pour me faire bisquer et, en définitive, elle y réussissait.
Arrivés à la maison elle continuait, se déshabillant mais m’invitant à baisser sa culotte qui, en effet, était poisseuse de sperme. C’est vrai qu’il avait bien déchargé mon copain. Puis se mettant en position sur le lit : « Allez, viens me baiser ! Que je voie si tu es aussi bon que lui. » En tout cas elle a joui ma salope, même si une fois terminé elle a conclu : « Oui… C’était pas mal… »
Le lendemain elle faisait acte de contrition, avouant qu’elle m’avait dit tout cela un peu pour se venger de la mettre comme l’enjeu du pari. En réalité cela avait été une baise convenable mais pas vraiment exceptionnelle, même si elle avait connu le supplément d’excitation de baiser avec un nouveau mec. J’ai été étonné quand elle m’a dit qu’il s’attendait à ce que je vienne aussi, pas seulement comme voyeur, mais pour participer à la fête. On a donc recommencé avec lui, bien sûr, à trois, et plusieurs fois !