- 06 janv. 2023, 08:35
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- LA PARTIE DE BILLARD -
La journée avait été particulièrement chaude. Tous les trois avaient erré dans les différents endroits de la propriété à la recherche d'une relative fraîcheur, naviguant entre intérieur et extérieur. Ce n'est que tard dans la soirée que la température commença à baisser un peu. La Nymphette était sortie observer la lune déjà haute dans le ciel et qui éclairait la maison comme un projecteur.
Ils avaient été peu actifs en journée, aucun d'eux n'avaient sommeil. La Nymphette proposa d'aller faire une partie de billard dans la grange. Son époux et son amant la suivirent, en profitant de sa démarche souple le temps de se rendre jusqu'au bâtiment.
Les équipes furent formées : les hommes contre la Nymphette, qui jouerait donc deux fois par tour. Ils lui laissèrent le privilège de commencer la partie.
Son époux fut le premier à sortir une boule. Les règles avaient été fixées : à chaque réussite d'une équipe, un gage était donné à l'autre. La Nymphette fut donc contrainte de se débarrasser d'un vêtement. Le souci, c'est que par cette chaleur, elle ne portait que sa petite robe noire à bretelles qui cachait à peine ses petits seins insolents. Elle se retrouva donc entièrement nue, dans cette pièce poussiéreuse, sous les yeux de ses deux hommes aux yeux brillants.
La partie continua et la Nymphette réussit enfin à sortir une boule. Elle exigea que ses hommes ôtent leur tee-shirt. Un frisson de plaisir la parcourut lorsqu'elle vit ses deux mâles torse nu.
La réussite revint du côté des hommes. La Nymphette dut alors se laisser caresser les seins par ses amants avant de pouvoir reprendre la partie. De nouveau, ayant réussi quelques jolis coups, elle parvint à dénuder entièrement ses hommes. Elle contempla alors la scène : eux trois entièrement nus dans cette grande pièce étrange, tournant autour d'un billard, les corps s'évitant ou se frôlant dans un curieux ballet.
La partie se poursuivit mais le niveau de jeu diminua fortement tant la concentration était difficile à maintenir. Quand les hommes jouaient, la Nymphette prenait un malin plaisir à les aguicher en s'asseyant sur le bord du billard ou en arborant fièrement son triangle noir à proximité de la boule qui était visée. De leur côté, les hommes ne se privaient pas d'exhiber leur sexe devant leur Nymphette ou de se caresser pour le faire durcir. Elle eut bien du mal à jouer
correctement alors que les hommes, forts de leur succès, multipliaient les gages : à tour de rôle, ils promenaient leurs doigts un peu partout dans la Nymphette, l'embrassaient fougueusement ou la caressaient avec délicatesse. Ils finirent par remporter la partie.
Les vainqueurs réclamèrent leur trophée. Alors, La Nymphette s'allongea sur le billard protégé par quelques coussins défraîchis, écarta les cuisses et offrit son sexe largement ouvert à ses deux hommes. Chacun leur tour, ils venaient pénétrer leur Nymphette, doucement ou activement et prenaient plaisir à la voir se tortiller de plaisir. Le vert du billard faisait ressortir la blancheur de sa peau mais aussi la rougeur de son sexe échauffé.
La Nymphette ouvrit les yeux pour profiter de la vue de son amant planté en elle tandis que son époux lui caressait les seins, jouant avec ses pointes durcies.
Le regard qu'elle lui porta lui fit perdre sa contenance, il accéléra ses va-et-vients en réclamant que sa Nymphette continue à le regarder et à gémir. Son souffle était de plus en plus court, sa voix perdait en intensité, son corps tendu était au bord de la rupture. La Nymphette aimait par-dessus tout cet infime instant juste avant que son amant ne jouisse. Elle le guettait, et s'employait à provoquer l'explosion par un mouvement de bassin ou un regard selon les circonstances. Ce fut alors un déluge de gémissements, de souffles rauques tant le plaisir était intense pour lui.
Ce fut ensuite le tour de son époux de profiter pleinement de sa Nymphette. Le sexe gonflé comme jamais, il fit néanmoins durer son plaisir le plus longtemps possible, tout en observant ce petit corps si désirable qu'il était en train de posséder. L'amant, une fois remis de ses émotions revint s'affairer sur les seins de sa Belle avec sa bouche. La Nymphette qui savait que cette position ne lui permettrait pas de jouir décida de se caresser pour prendre sa part de plaisir.
La tension était à son comble, les corps arc-boutés, les souffles rapides dans le silence de la nuit et soudain, la décharge électrique s'abattit sur eux, puissante, ample. Elle résonna de longs instants dans leurs muscles avant de laisser le calme revenir.
Le silence se fit, à peine entendaient-ils leur propre respiration calme, apaisée.
Ils se rhabillèrent en échangeant sourires et regards heureux. Ils ressentaient tous les trois une grande satisfaction du moment passé ensemble. Ils savaient qu'ils allaient pouvoir s'endormir avec de belles images dans leur tête.
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