Le chemin qui a conduit ma femme à pratiquer le candaulisme est d'abord passé par des évocations lors de nos ébats. En point de départ, ses expériences passées que je lui demandais de me raconter, les plus excitantes, celles qu'elle avait préférées. Elle a pu voir que plus c'était osé et révélait son côté "
petite cochonne", plus ça m'excitait. Avec une soif de ma part pour qu'elle me dise que tel ou tel avait une plus grosse bite que la mienne...
Ensuite, les évocations ont bifurqué, non plus sur son passé, mais sur le présent, en imaginant ensemble des situations mettant en scène d'autres hommes. L'excitation de l'un(e) se nourrit de celle de l'autre. Nous avons fantasmé aussi sur untel ou untel des hommes de son entourage... Le jour où on obtient enfin la réponse qu'on attend, c'est très fort, et l'on y revient souvent ensuite : "
tu aimerais que Fred te baise ?" La réponse positive met le feu au bas-ventre et les orgasmes sont sublimés... "
Imagine que c'est la queue de Fred dans ta chatte..."
Et puis le jeu se poursuit dans la vie courante, quand on croise un homme, je lui demande s'il lui plaît, et si elle opine, si elle aimerait qu'il la baise... Tout réside dans la transgression: une femme n'est pas censée se donner à un autre, sinon son compagnon est "
cocu"...

Ta femme sent que c'est ce qui t'excite et te rend jaloux en même temps, l'excitation prenant largement le dessus. Du coup elle titille cette jalousie, justement: "
si tu veux que je te fasse cocu, il faudra assumer après! Je serai à un autre que toi qui me possèdera, je peux y prendre goût... Une fois lancée, je ne le ferai pas que pour toi, mais pour mon propre plaisir. Tu n'auras plus rien à dire..."

Délicieux et ô combien excitant !
Et puis un jour, à force de faire monter ainsi la pression, on passe à l'acte... Soyez patients, si vos femmes sont réceptives aux évocations durant vos ébats, la graine germera.