- 08 févr. 2010, 17:49
#20905
Voilà en quelques lignes comment, par l’utilisation judicieuse de messages en sms, j’ai convaincu ma femme de céder à l’adultère consenti.
Je la savais excitée par le fantasme de l’adultère, lorsqu’on l’évoquait sur l’oreiller, au plus fort de l’action, mais je devais constamment veiller à ne pas franchir la limite, floue et changeante, qui allait la bloquer radicalement. Le mot "amant" notamment la bloquait immédiatement. J’alimentais le fantasme avec tact et elle, elle se contentait de le recevoir, sans jamais surenchérir elle-même, ou à de très très rare exceptions.
J'avais trouvé un truc plutôt pas mal pour la "travailler" régulièrement à cette éventualité, pour que ses craintes s'évanouissent petit à petit et surtout pour qu'elle puisse formaliser dans son esprit une relation purement sexuelle, ce qu'elle avait toujours pensé impossible. Je lui envoyais des sms coquins à caractère candauliste dès qu'elle était seule, à la maison, en train de faire du shopping, au sport à la salle de gym, chez le médecin,…. Pour qu’elle puisse dédramatiser la chose, qu’elle s’en approprie l’idée, qu’elle s’émoustille même à une telle éventualité. Je voulais qu’elle acquière une autonomie, disons « de fantasmes », qui viendrait s’ajouter à la totale autonomie et indépendance qu’elle avait dans tous les autres domaines.
Je me régalais de trouver à chaque fois une petite phrase (sms oblige) qui allait la choquer et l’émoustiller en même temps :
- « Ma petite chérie, qu’est ce qui t’attire encore en ville. Il doit en avoir une vraiment grosse », ou
- « partie 2 heures, juste le temps d’une gâterie avec un bel inconnu », ou
- « encore sortie avec tes cuissardes et ta petite jupe, c’est louche »
Etc… j’ajoutais toujours à la fin « je t’aime » ou « je t’embrasse partout ». Elle ne répondait le plus souvent pas ou au mieux se contentait d’un « moi aussi ». Mais elle ne semblait jamais fachée par mes messages, ce qui m’encourageait à continuer. J’avais cessé d’en parlé sur l’oreiller pour ne pas être trop insistant et lourdingue. Mais je continuais mes sms.
Petit à petit, elle s'est mise à répondre des "Ohh!" ou des "tu es fou !" mais pas à chaque fois. Jamais fachée néanmoins. Et pour qu'elle ne perde jamais confiance en moi et qu'elle ne prenne pas peur, je ne manquais jamais d'ajouter "je pense à toi", ou "je t'aime". Elle me répondait alors alors "Ouuiii mon chéri !". Ca restait romantique et sexuel en même temps.
Et puis un jour, jour béni, elle me répondait : « Tu cherches la petite bête, tu vas la trouver ». Je n’en croyais pas mes yeux !! J’étai immédiatement incroyablement excité. Je me souviens tout aussi bien de la réponse que je lui ai faite : « Si ça pouvait être vrai ! ». Je n’en revenais toujours pas de sa réponse. Je me suis demandé ce qui avait été le déclic. Je crois que j’avais su la rassurer et lui faire accepter, mois après mois, qu’une partie de sexe puisse être comme un bon film ou un bon resto. Le soir même nous n’en n’avons pas parlé, mais elle avait dans les yeux une petite lueur espiègle très explicite. Elle me souriait, elle avait compris ma folie. Ce n’est que plusieurs jours après que nous avons abordé les choses face à face. Je lui ai d’abord dit combien j’appréciais qu’elle entre dans mon petit jeu. Elle m’a demandé ouvertement quelle était la limite du jeu que je jouais. Elle voulait m’entendre dire que je voulais le passage à l’acte. Elle avait réfléchit depuis longtemps à cette limite entre fantasme et réalité et je dois dire qu’elle m’avait pris un peu de court sur la question. A force de me dire que je devais être patient je m’étais habitué à ce que cette éventualité soit très éloignée. Mais soudain j’étais face au mur. Elle avait parcouru tout le chemin sans me le dire. Elle m’annonçait qu’elle était prête, qu’elle n’y voyait plus aucun problème, qu’elle était sûre d’avoir mon aval. Elle était tout à coup plus sûre que moi. Tout le blabla habituel du « sans amour, sans tendresse, pas de sexe possible, pas de plaisir… » s’était évanoui. Elle s’était réconciliée avec ses propres pulsions de femelle. J’étais sur un nuage, un nuage stratosphérique. J’étais tellement excité par ce bonheur immense que je n’ai pas longtemps réfléchit aux conséquences. A partir de là les choses sont allé assez vite, même si je n’ai volontairement pas forcé les choses. C’est en boite de nuit que nous avons concrétisé cette sorte de décollage sur la Lune. Ce fut incroyablement facile à réaliser d’un point de vue pratique. A croire qu’il n’y a dans les boites que des mecs à l’affut d’une nana à sauter.
Je raconte cela dans un autre post. nous-sommes-sur-le-chemin-du-cocufiage-elle-et-moi-t1077-20.html
Un des moments les plus intenses de toute ma vie. L’adultère consenti d’une femme est un des actes les plus vertigineux qui puissent être vécu, capable autant de susciter la jouissance la plus intense que de provoquer la souffrance la plus extrême. Dans un cas il rend le mari encore plus fou amoureux de sa femme, dans l’autre il peut l’amener à tuer.
Aujourd’hui je continue à lui envoyer des sms coquins. J’aime commencer par « Ma petite femme qui aime la bite… » Et elle aime répondre : « Que les grosses, mon chéri…». C’est absolument divin. Moi qui détestais les téléphones portables, je suis devenu un accro. Nous aimons autant le jeu virtuel que la mise en pratique, Le jeu des sms reste toujours aussi magique.
Je la savais excitée par le fantasme de l’adultère, lorsqu’on l’évoquait sur l’oreiller, au plus fort de l’action, mais je devais constamment veiller à ne pas franchir la limite, floue et changeante, qui allait la bloquer radicalement. Le mot "amant" notamment la bloquait immédiatement. J’alimentais le fantasme avec tact et elle, elle se contentait de le recevoir, sans jamais surenchérir elle-même, ou à de très très rare exceptions.
J'avais trouvé un truc plutôt pas mal pour la "travailler" régulièrement à cette éventualité, pour que ses craintes s'évanouissent petit à petit et surtout pour qu'elle puisse formaliser dans son esprit une relation purement sexuelle, ce qu'elle avait toujours pensé impossible. Je lui envoyais des sms coquins à caractère candauliste dès qu'elle était seule, à la maison, en train de faire du shopping, au sport à la salle de gym, chez le médecin,…. Pour qu’elle puisse dédramatiser la chose, qu’elle s’en approprie l’idée, qu’elle s’émoustille même à une telle éventualité. Je voulais qu’elle acquière une autonomie, disons « de fantasmes », qui viendrait s’ajouter à la totale autonomie et indépendance qu’elle avait dans tous les autres domaines.
Je me régalais de trouver à chaque fois une petite phrase (sms oblige) qui allait la choquer et l’émoustiller en même temps :
- « Ma petite chérie, qu’est ce qui t’attire encore en ville. Il doit en avoir une vraiment grosse », ou
- « partie 2 heures, juste le temps d’une gâterie avec un bel inconnu », ou
- « encore sortie avec tes cuissardes et ta petite jupe, c’est louche »
Etc… j’ajoutais toujours à la fin « je t’aime » ou « je t’embrasse partout ». Elle ne répondait le plus souvent pas ou au mieux se contentait d’un « moi aussi ». Mais elle ne semblait jamais fachée par mes messages, ce qui m’encourageait à continuer. J’avais cessé d’en parlé sur l’oreiller pour ne pas être trop insistant et lourdingue. Mais je continuais mes sms.
Petit à petit, elle s'est mise à répondre des "Ohh!" ou des "tu es fou !" mais pas à chaque fois. Jamais fachée néanmoins. Et pour qu'elle ne perde jamais confiance en moi et qu'elle ne prenne pas peur, je ne manquais jamais d'ajouter "je pense à toi", ou "je t'aime". Elle me répondait alors alors "Ouuiii mon chéri !". Ca restait romantique et sexuel en même temps.
Et puis un jour, jour béni, elle me répondait : « Tu cherches la petite bête, tu vas la trouver ». Je n’en croyais pas mes yeux !! J’étai immédiatement incroyablement excité. Je me souviens tout aussi bien de la réponse que je lui ai faite : « Si ça pouvait être vrai ! ». Je n’en revenais toujours pas de sa réponse. Je me suis demandé ce qui avait été le déclic. Je crois que j’avais su la rassurer et lui faire accepter, mois après mois, qu’une partie de sexe puisse être comme un bon film ou un bon resto. Le soir même nous n’en n’avons pas parlé, mais elle avait dans les yeux une petite lueur espiègle très explicite. Elle me souriait, elle avait compris ma folie. Ce n’est que plusieurs jours après que nous avons abordé les choses face à face. Je lui ai d’abord dit combien j’appréciais qu’elle entre dans mon petit jeu. Elle m’a demandé ouvertement quelle était la limite du jeu que je jouais. Elle voulait m’entendre dire que je voulais le passage à l’acte. Elle avait réfléchit depuis longtemps à cette limite entre fantasme et réalité et je dois dire qu’elle m’avait pris un peu de court sur la question. A force de me dire que je devais être patient je m’étais habitué à ce que cette éventualité soit très éloignée. Mais soudain j’étais face au mur. Elle avait parcouru tout le chemin sans me le dire. Elle m’annonçait qu’elle était prête, qu’elle n’y voyait plus aucun problème, qu’elle était sûre d’avoir mon aval. Elle était tout à coup plus sûre que moi. Tout le blabla habituel du « sans amour, sans tendresse, pas de sexe possible, pas de plaisir… » s’était évanoui. Elle s’était réconciliée avec ses propres pulsions de femelle. J’étais sur un nuage, un nuage stratosphérique. J’étais tellement excité par ce bonheur immense que je n’ai pas longtemps réfléchit aux conséquences. A partir de là les choses sont allé assez vite, même si je n’ai volontairement pas forcé les choses. C’est en boite de nuit que nous avons concrétisé cette sorte de décollage sur la Lune. Ce fut incroyablement facile à réaliser d’un point de vue pratique. A croire qu’il n’y a dans les boites que des mecs à l’affut d’une nana à sauter.
Je raconte cela dans un autre post. nous-sommes-sur-le-chemin-du-cocufiage-elle-et-moi-t1077-20.html
Un des moments les plus intenses de toute ma vie. L’adultère consenti d’une femme est un des actes les plus vertigineux qui puissent être vécu, capable autant de susciter la jouissance la plus intense que de provoquer la souffrance la plus extrême. Dans un cas il rend le mari encore plus fou amoureux de sa femme, dans l’autre il peut l’amener à tuer.
Aujourd’hui je continue à lui envoyer des sms coquins. J’aime commencer par « Ma petite femme qui aime la bite… » Et elle aime répondre : « Que les grosses, mon chéri…». C’est absolument divin. Moi qui détestais les téléphones portables, je suis devenu un accro. Nous aimons autant le jeu virtuel que la mise en pratique, Le jeu des sms reste toujours aussi magique.