L'entendre crier plus fort qu'avec soi, voir ses mains appuyer sur ses fesses pour qu'il s'enfonce plus profondément, ses jambes qui se nouent derrière son dos en missionnaire, ses fesses tendues pour lui en levrette, son gros barreau noir qui élargit sa chatte de blanche et prend possession de son cul, offrande ultime...

Des scènes gravées dans ma mémoire !
Avec comme bande-son, accompagnant gémissements et cris de jouissance, ces paroles qui constituent le graal cuckold : "
Elle est bonne, sa bite... Elle est beaucoup plus grosse que la tienne ! Il me remplit bien... C'est meilleur que ta petite bite. Regarde comme tu es cocu, il me baise mieux que toi, je n'ai jamais joui autant ! Il faudra qu'il revienne me baiser, je ne vais plus pouvoir me passer de sa grosse queue... Regarde comme il baise bien ta femme, cocu, regarde comme je suis à lui, comme je lui appartiens. Tu n'as pas fini d'être cocu. C'est ce que tu voulais, non ?"