- 28 mars 2023, 01:40
#2701579
Après cette folle nuit, Victoire se calma quelques temps ; elle avait découvert que P.. était excité à la voir baisée par un autre homme, ce qui lui avait ouvert de nouvelles perspectives.. A cause de ce qui lui était arrivé elle mit un peu de distance affective entre eux deux mais elle ne renonça pas à le retrouver une à deux nuits chaque semaine. Elle n’avait plus besoin de me raconter ses nuits avec lui, je savais tout..
Un matin, l’air un brin inquiet elle m’apprit que, n’ayant toujours pas eu ses règles, elle irait acheter un test de grossesse. Le résultat fut positif : elle était enceinte ! Ça devait remonter à trois ou quatre semaines ! Ma question fut immédiate : « Oh là là, c’est pas vrai ! à ton avis qui est le géniteur ? ». Elle avait pourtant été sous pilule progestative, mais oubliant souvent de la prendre elle n’était pas très sûre d’elle-même. Nous avions fait l’amour de nombreuses fois en mêlant les semences de son amant et la mienne ; même celle d’Ali s’était retrouvée au chaud dans son ventre le matin où nous l’avions fait !
Elle fit un test HLA qui détermina qu’Ali ne pouvait pas être le géniteur. N’ai-je pas eu l’impression qu’elle fut un peu déçue ? Mais je pouvais me tromper. Restait son amant et moi. D’autres tests devaient encore être faits mais en attendant son ventre s’arrondissant, elle persistait à coucher avec son amant, elle estimait qu’en tant que géniteur potentiel, il y avait droit, tout comme moi. Elle m’annonça qu’un fois que le géniteur serait connu, elle ne se donnerait plus qu’à lui jusqu’à l’accouchement !
Trois mois s’était écoulés depuis, sans que les tests aient pu désigner un géniteur certain, de sorte qu’un avortement n’était plus envisageable ; du reste Victoire l’aurait refusé. Nous continuâmes à l’honorer à tour de rôle : Victoire travaillant encore à son bureau, elle craquait ; elle suivait P.. chez lui l’après-midi, il la prenait avec précaution et jouissait dans son ventre comme avant. Les nuits étaient pour moi quand elle n’était pas trop fatiguée.
Vers le septième mois elle arrêta les relations sexuelles aussi bien avec son amant qu’avec moi. Puis, en présence de ses deux géniteurs potentiels, elle accoucha sans souffrance d’une petite fille bien rose (j’arrive pas à imaginer qu’elle va avoir 49 ans dans une semaine !).. Sans doute P.. et Ali lui avaient bien élargi le passage !
Elle se remit rapidement de son accouchement ; aucun nouveau test ne fut tenté pour définir le géniteur et nul parmi nous n’évoqua la question : l’enfant vivait chez nous et P.. n’y fit aucune difficulté.
Il fallut plusieurs semaines avant que son amant puisse revisiter les profondeurs de son bas-ventre, comme pour moi du reste. Il eut l’honneur d’être le premier à la reprendre. Elle disait l’air taquin que son vagin avait été élargi par l’accouchement et qu’il lui faudrait au moins son amant et Ali en même temps pour lui donner du plaisir ! Néanmoins je la pénétrai à son retour de chez lui même si, comme elle disait, elle ne me sentait pas très fort. Je l’ai baisée avec délice, j’arrivais facilement à la faire jouir en m’occupant activement de son clitoris et de ses tétons, les claques sur son fessier étant le privilège de son amant, je n’avais pas l’autorisation. « On peut me claquer les fesses quand on me baise, ça m’excite, mais pas quand on me fait l’amour comme toi.. » disait-elle.
L’année passa ; son rôle de mère l’accaparait pas mal en plus de son métier. J’étais absent de plus en plus souvent en voyage. Je la savais en de bonnes mains avec son amant. Mais je la savais parfois velléitaire quand un homme lui plaisait. Je lui téléphonais pour prendre de ses nouvelles sans pour autant la trouver à la maison ; la « au pair » répondait que madame était sortie.. Puis j’apprenais par la même « au pair » que madame était rentrée trop tard pour lever les enfants. Elle sortait avec un confrère de P.. m’avait dit mon frère qui les avait rencontrés dans un resto. Quand je l’interrogeais plus tard elle ne me cachait rien. Elle eut quelques aventures sans lendemain avec des amis et des connaissances. Elle acquit une réputation de femme facilement baisable, ce qui m’était régulièrement rapporté; je leur répondais que Victoire avait toute liberté de ma part pour rencontrer qui elle voulait. Lorsque je rentrais de voyage j’avais le plaisir de la retrouver de bonne humeur, en beauté, et très coquine. Qu’aurais-je pu vouloir de mieux ? Ensuite elle me racontait les potins de la quinzaine, ses sorties et avec qui… P.. était le plus cité mais pas que.. Elle avait un faible pour le confrère de P.. , H ! Ça m’amusait et m’excitait de savoir comment et en quel lieu ça s’était passé.. Dorénavant elle rentrait plus tôt à cause des enfants. Une bonne mère !
Un matin, l’air un brin inquiet elle m’apprit que, n’ayant toujours pas eu ses règles, elle irait acheter un test de grossesse. Le résultat fut positif : elle était enceinte ! Ça devait remonter à trois ou quatre semaines ! Ma question fut immédiate : « Oh là là, c’est pas vrai ! à ton avis qui est le géniteur ? ». Elle avait pourtant été sous pilule progestative, mais oubliant souvent de la prendre elle n’était pas très sûre d’elle-même. Nous avions fait l’amour de nombreuses fois en mêlant les semences de son amant et la mienne ; même celle d’Ali s’était retrouvée au chaud dans son ventre le matin où nous l’avions fait !
Elle fit un test HLA qui détermina qu’Ali ne pouvait pas être le géniteur. N’ai-je pas eu l’impression qu’elle fut un peu déçue ? Mais je pouvais me tromper. Restait son amant et moi. D’autres tests devaient encore être faits mais en attendant son ventre s’arrondissant, elle persistait à coucher avec son amant, elle estimait qu’en tant que géniteur potentiel, il y avait droit, tout comme moi. Elle m’annonça qu’un fois que le géniteur serait connu, elle ne se donnerait plus qu’à lui jusqu’à l’accouchement !
Trois mois s’était écoulés depuis, sans que les tests aient pu désigner un géniteur certain, de sorte qu’un avortement n’était plus envisageable ; du reste Victoire l’aurait refusé. Nous continuâmes à l’honorer à tour de rôle : Victoire travaillant encore à son bureau, elle craquait ; elle suivait P.. chez lui l’après-midi, il la prenait avec précaution et jouissait dans son ventre comme avant. Les nuits étaient pour moi quand elle n’était pas trop fatiguée.
Vers le septième mois elle arrêta les relations sexuelles aussi bien avec son amant qu’avec moi. Puis, en présence de ses deux géniteurs potentiels, elle accoucha sans souffrance d’une petite fille bien rose (j’arrive pas à imaginer qu’elle va avoir 49 ans dans une semaine !).. Sans doute P.. et Ali lui avaient bien élargi le passage !
Elle se remit rapidement de son accouchement ; aucun nouveau test ne fut tenté pour définir le géniteur et nul parmi nous n’évoqua la question : l’enfant vivait chez nous et P.. n’y fit aucune difficulté.
Il fallut plusieurs semaines avant que son amant puisse revisiter les profondeurs de son bas-ventre, comme pour moi du reste. Il eut l’honneur d’être le premier à la reprendre. Elle disait l’air taquin que son vagin avait été élargi par l’accouchement et qu’il lui faudrait au moins son amant et Ali en même temps pour lui donner du plaisir ! Néanmoins je la pénétrai à son retour de chez lui même si, comme elle disait, elle ne me sentait pas très fort. Je l’ai baisée avec délice, j’arrivais facilement à la faire jouir en m’occupant activement de son clitoris et de ses tétons, les claques sur son fessier étant le privilège de son amant, je n’avais pas l’autorisation. « On peut me claquer les fesses quand on me baise, ça m’excite, mais pas quand on me fait l’amour comme toi.. » disait-elle.
L’année passa ; son rôle de mère l’accaparait pas mal en plus de son métier. J’étais absent de plus en plus souvent en voyage. Je la savais en de bonnes mains avec son amant. Mais je la savais parfois velléitaire quand un homme lui plaisait. Je lui téléphonais pour prendre de ses nouvelles sans pour autant la trouver à la maison ; la « au pair » répondait que madame était sortie.. Puis j’apprenais par la même « au pair » que madame était rentrée trop tard pour lever les enfants. Elle sortait avec un confrère de P.. m’avait dit mon frère qui les avait rencontrés dans un resto. Quand je l’interrogeais plus tard elle ne me cachait rien. Elle eut quelques aventures sans lendemain avec des amis et des connaissances. Elle acquit une réputation de femme facilement baisable, ce qui m’était régulièrement rapporté; je leur répondais que Victoire avait toute liberté de ma part pour rencontrer qui elle voulait. Lorsque je rentrais de voyage j’avais le plaisir de la retrouver de bonne humeur, en beauté, et très coquine. Qu’aurais-je pu vouloir de mieux ? Ensuite elle me racontait les potins de la quinzaine, ses sorties et avec qui… P.. était le plus cité mais pas que.. Elle avait un faible pour le confrère de P.. , H ! Ça m’amusait et m’excitait de savoir comment et en quel lieu ça s’était passé.. Dorénavant elle rentrait plus tôt à cause des enfants. Une bonne mère !