Juillet 2022, folies en Ardèche. Suite et fin
L’hôtel est sympa, le coin agréable mais cela ne suffit pas pour rendre totalement le sourire à Marine. Elle s’était préparée pour autre chose... Ce matin, alors qu’on était sur la route, Fabien nous a communiqué l’heure de leur probable arrivée. Il avait l’air détendu et a tenu à rassurer de nouveau Marine. Lui aussi avait terriblement envie qu’on se retrouve tous les trois et de toutes les façons, c’était toujours prévu qu’on dorme ensemble ! Cyril avait bien compris qu’on était tous les trois dans le même hôtel et que lui serait seul dans le sien (dont il nous a donné l’adresse) ! Malgré cela, je la sens quand même tendue. Et j’avoue que moi aussi, j’appréhende un peu l’arrivée de nos deux compères.
18h, ils sont là, au lieu de rendez-vous fixé, c’est à dire à notre hôtel. Le dénommé Cyril est jeune, très jeune ! Il est à l’aise, décontracté, très avenant et je comprends pourquoi Fab ne pouvait pas lui refusé ce service. Marine les accueille plutôt « fraichement ». Elle leur fait la bise sans esquisser le moindre geste familier pour Fabien. Et là, je réalise que cela va être compliqué pour eux d’être continuellement dans la retenue... Ainsi que pour moi ! La soirée s’annonce pleine de frustrations et même si on se rattrape dans notre chambre, on aura perdu l’occasion de « s’amuser » un peu avant. Le jeunot est tout sourire :
_ J’espère que je ne vous dérange pas, Fabien m’a juste dit qu’il passait voir des amis avant de rentrer.
Après un bref coup d’œil vers Fabien, Marine répond sans hésiter sur un ton enjoué :
_ Pas du tout, vous êtes le bienvenu ! Il vous a dit aussi que je bossais dans la même boite ?
_ Ouuiiii, vous êtes un peu secrétaire de direction à Clermont, c’est ça ?
Marine se force à sourire.
_ Oui, c’est un peu ça... Je m’occupe de pas mal de choses et j’ai vu passer une note vous concernant...
_ C’est dommage que je sois en poste dans le nord, j’ai rencontré plein de gens sympa chez vous... On aura peut-être l’occasion de se voir si on fait des séminaires ou des réunions annuelles, des trucs comme ça...
Petit silence avant qu’il ne rajoute :
_ On pourrait peut-être se tutoyer, non ?
Sa franchise est désarmante... Il a raison, il est temps de se détendre. Je lui réponds aussitôt :
_ Moi, ça me va...
J’observe Marine et constate qu’elle aussi, semble un peu plus à l’aise, je dirai même qu’elle semble, elle aussi, sous le charme de cette spontanéité inattendue. Elle se tourne vers Fabien qui n’a rien dit jusque là et d’un ton légèrement moqueur :
_ Vous avez fait bon voyage ?
_ Ben oui, ça va... Et vous ?
_ Nous ? Tout va bien également, on est hyper content de passer un bon moment avec toi... Enfin, avec vous, plutôt !
Elle lui lance les derniers mots avec un sourire de connivence puis elle se tourne vers Cyril :
_ Bon, on s’organise comment ? Je propose que nous, on se change et ensuite on file tous à ton hôtel. Il est à mi chemin entre le nôtre et Aubenas. Là tu t’enregistres et ensuite on va boire un verre et chercher un restau à Aubenas... On pourra prendre qu’une voiture comme ça. Vous en pensez quoi ?
Il éclate de rire avant de lancer :
_ Ben ça se voit que tu as l’habitude d’organiser des plannings toi !
Fabien rétorque aussitôt :
_ Oh que oui !
Marine rit à son tour et je me sens soudain très bien. La soirée sera sûrement agréable même si elle ne correspondra pas à ce que j’avais imaginé.
Cyril reprend :
_ Bon ben ok pour moi, je vous attends alors...
Le « gamin » a 24 ans, il est sympa, pas du tout timide et adore faire la fête. Durant tout le diner, il nous régale de ses histoires d’étudiants, une année de fac de médecine en dilettante suivie de trois années d’étude dans une école de commerce, histoire de faire quelque chose. Cela nous change des sujets de conversation usuel et ça nous rappelle notre jeunesse. Le repas tire à sa fin et on a pas mal picolé mais sans abus, on est juste bien détendu. Marine assise à côté de Fabien n’a pas arrêté de chercher le contact avec lui. Epaule contre épaule, sa main sous la table parfois me laissant hyper frustré de ne pas voir ce qu’elle faisait. Son sourire narquois en me regardant droit dans les yeux.
Tout à l’heure, pendant que Cyril nous attendait, on avait pris un peu d’avance... Fabien nous avait discrètement suivis par la porte de service, sans se faire repérer. Notre chambre n’était réservée que pour deux. La porte à peine refermée, Marine s’était avancée vers Fabien et l’avait enlacé en plaquant sa bouche sur la sienne. J’avais regardé les mains de Fab pétrir les fesses de ma coquine pendant qu’ils échangeaient un baiser torride. A bout de souffle, ils avaient fini par se séparer. Marine avait tourné la tête vers moi avec un grand sourire. J’en avais fais de même et lui avais lancé :
_ Tu devrais quand même vérifier qu’il a toujours envie de finir la nuit avec nous...
Elle avait pouffé de rire et s’était immédiatement attaquée à la braguette de notre complice qui s’était laissé faire, bien entendu. Elle avait fini par baisser le jean et le slip pour libérer sa belle queue toute raide. Elle l’avait rapidement caressé puis pris dans sa bouche pendant quelques secondes. Ma tension artérielle avait augmenté d’un coup. La gorge serrée je leur avais dit que le temps pressait mais que ce serait bien d’en profiter un peu quand même. Marine s’était redressée, le souffle court et, tout en commençant à se déshabiller, avait murmuré :
_ Ca y est, ça commence... Il est mignon mais j’aurai préféré le rencontrer ailleurs...
Fab avait littéralement arraché ses fringues, pressé lui aussi par une excitation intense.
Assis sur une chaise, je les avais regardés sur le lit en face de moi. Marine suçant goulument sa queue bien raide tandis que Fab lui dévorait sa chatte dans un 69 parfait. On savait qu’on avait toute la nuit pour en profiter mais c’était plus fort que tout, il fallait qu’on se soulage un peu dès cet instant. Marine s’était relevée, m’avait souris tandis que Fab se mettait debout à son tour. Sa bite se balançait devant nous, gorgée de sang. Marine était remontée sur le lit, à quatre pattes et avait lancé d’une voix sourde :
_ Prends-moi, j’en ai trop envie... Prends-moi devant mon amoureux...
Il s’était exécuté en me jetant un petit sourire. Attentif à mes désirs, comme d’habitude, ils avaient pris un angle pour que je puisse bien mater. Bien voir son gland s’enfoncer entre les pétales de la jolie fleur rouge. Bien voir sa queue disparaitre dans le ventre offert. Putain que c’était bon de la voir cambrer au maximum, salope jusqu’au bout des ongles.
J’avais déjà vu ce spectacle des dizaines de fois mais c’est toujours la même chose. Mon ventre crispé, mes mains moites, tremblantes, mon cœur qui bat la chamade et une envie folle de voir ma coquine se faire baiser dans toutes les positions possible jusqu’à l’entendre crier, hurler son plaisir, sa jouissance.
Je m’étais masturbé lentement puis plus vite, plus fort au fur et à mesure que le bruit de leur souffle emplissait la chambre. Les gémissements de Marine, ses petits coups d’œil furtifs de mon côté pour s’assurer que je voyais bien, tout cela augmentaient mon excitation au point de la rendre presque insupportable. J’avais quand même trouvé la volonté de lâcher mon sexe et de me lever pour prendre une photo pour moi, pour plus tard... Fab s’était arrêté et reculé légèrement pour que je puisse avoir le bon angle de vue puis j’avais jeté mon portable par terre avant de me branler de nouveau.
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Ils avaient jouis ensemble, elle en criant, lui en grognant pendant que moi, je giclais sur la moquette. Ils avaient récupéré, allongés côte à côte pendant 5mn. Marine s’était levée la première et s’arrêtant devant moi, s’était penchée pour embrasser mon gland gluant de sperme avant de se redresser pour déposer un petit bisou sur mes lèvres puis disparaitre dans la salle de bain. Elle avait mis une petite robe légère sans rien dessous...
Et maintenant, elle se tenait là, à table à coté de Fab comme si de rien n’était. Je bande et ma queue me fait mal, serrée dans mon jean. Je me dis que Cyril ignore que la femme assise devant lui n’a pas de culotte ni de soutif. Il ignore que le mec assis à ses côtés adore regarder sa femme se faire démonter par le mec assis en face ou par d’autres... Et cela m’excite ! S’il savait... Je note qu’il la regarde souvent et que son regard dérive parfois sur ses formes.
_ Ca fait longtemps que vous vous connaissez ?
La question me tire soudain de mes rêveries salasses. Cyril regarde Marine, attendant la réponse.
_ Pas tant que ça en fait... Quatre ans environ... Pourquoi ?
_ Comme ça... Fabien m’a dit, en parlant de vous, que vous étiez des amis très proches donc je pensais que ça faisait longtemps que vous vous connaissiez.
Marine ne répond rien mais je la sens sur le qui vive. Sans doute pense-t-elle comme moi, « que lui a dit Fabien nous concernant ? ».
Ce dernier a sans doute deviné notre trouble car il enchaîne :
_ Tout le monde a quelques amis... particuliers avec qui on a beaucoup d’affinité.... C’est ce que je voulais te dire.
Cyril hoche la tête en souriant.
_ Ben sans te manquer de respect, Marine, je pense que pas mal de mecs aimeraient bien être parmi vos amis particuliers...
Il rit de ce qui lui semble un bon trait d’humour masquant un compliment discret. Je le suis afin de donner le change et Marine pouffe de rire avant de répondre :
_ Merci, suis flattée... Et toi, tu en a des amis particuliers ?
_ Hi, hi, je dirai que j’ai eu pas mal d’amies particulières... Particulières dans le sens, très proches... Au lit.
Il s’esclaffe de nouveau et nous aussi. Marine le regarde ensuite longuement avant de lancer :
_ Et elles ont apprécié ta compagnie ?
_ Je pense que oui, même si ce fut très bref parfois.
Fabien tente de désamorcer l’affaire ? Il parle en riant :
_ Je ne donnais pas ce sens là au mot particulier... Mais libre à toi de lui donner le sens que tu veux te concernant...
Cyril le regarde en souriant sans répondre.
A-t-il vu quelque chose ? A-t-il deviné ? C’est vrai que certains frôlements entre Marine et Fab étaient peu discrets mais quand même ! Je commence à me creuser les méninges, cherchant le truc qui nous aurait trahis. Je finis par me dire que je me fais des idées et qu’on s’en fou.
On finit le repas avec des cafés et Cyril nous annonce qu’il a vu que tout près, il y avait une boite de nuit. Marine lui répond que c’est une bonne idée mais qu’elle se sent un peu fatiguée et qu’elle ne voudrait pas qu’on rentre trop tard à l’hôtel. Fab acquiesce et nous voilà parti.
On s’installe et on regarde quelques danseurs. On commande à boire et au bout de quelques minutes, Marine se lève pour aller danser. On finit par la rejoindre et on s’amuse de nos mouvements désordonnés. Marine ondule entre nous trois et je remarque les regards de plus en plus appuyés de Cyril. Il fait chaud et le fait de boire des bières, à défaut de nous désaltérer, nous amène à nous lâcher un peu plus. Cyril et Marine se lance dans un rock endiablé avant de s’effondrer à notre table. On rit beaucoup et notre attention se relâche. Marine n’hésite pas à s’assoir sur les genoux de Fab qui enlace sa taille. Puis elle se relève pour retourner danser avant de revenir et s’assoir sur mes genoux, pour changer. On fait comme si Cyril n’était pas là mais il ne rate rien... Marine n’arrête pas de se lever, les morceaux qu’elle adore défilent. Alors qu’elle revient s’assoir pour la énième fois, Cyril lui lance :
_ Et moi ? Tu peux venir aussi sur mes genoux si tu veux !
Elle éclate de rire et s’exécute sans hésiter. Il est ravi et pose ses mains sur les hanches frémissantes. Il me regarde et je lui souris. Difficile d’être plus directe ! Ce type n’a pas froid aux yeux et ça me plait. Marine finit par se relever pour suivre Fab qui l’a invité pour un slow. C’est rare maintenant de voir ce type de danse où les couples s’enlacent. Il serre Marine contre lui et je regarde ses mains caresser ses hanches tandis qu’elle niche sa tête dans son cou. Cyril les regarde aussi puis me fixe à mon tour.
_ Vous êtes plus que des amis tous les trois, pas vrai ?
Bon, cette fois, c’est sûr, il a du deviner certaines choses ! Mais j’ai pas envie de cracher le morceau, je réfléchi à toute vitesse, je dois trouver une réponse qui le laisse sur ses interrogations. Je le regarde droit dans les yeux et en souriant, lui murmure :
_ Disons qu’on s’entend très, très bien...
Il hoche la tête en souriant lui, aussi.
_ Ben c’est super !
La musique change de rythme et Fab nous rejoint alors que Marine reste sur la piste de danse en sautillant. Je me lève et me dirige vers la sortie pour prendre l’air. Fab me rejoint aussitôt. On fait quelques pas et je lui relate notre petite conversation avec Cyril. Il ne dit rien, semblant réfléchir. Puis il s’arrête, nous sommes seuls. Il me fixe est d’une voix hésitante :
_ Faut que je te dise un truc. Tu vas trouver ça con mais... T’as vu comment Il la regarde ?
_ Je suppose que tu parles de Cyril qui mate Marine...
_ Pfff de qui veux-tu que je parle...
_ Tu sais quoi ? Ben ça me fait quelque chose... ; là !
Et il me montre son bas ventre.
Je me mets à rire doucement puis, en le regardant droit dans les yeux :
_ Tu veux dire que ça t’excite ?
_ Hummm... Je crois bien que oui.
_ Nooonnnn... Je te rappelle que c’est moi le mari candau !
On rigole tous les deux, ça, par en live mais on s’en fou.
Fab semble réfléchir puis murmure :
_ C’est dingue mais si je l’imagine en train de la baiser... Ca me fait bander...
_ L’amant candau... On aura tout vu !
De nouveau on pouffe de rire, la situation est tellement « décalée ». Mais l’image qu’il vient de me glisser dans la tête provoque une réaction similaire à la sienne.
Fab poursuit :
_ Non, je n’y arrive pas.
_ A quoi ?
Il rit.
_ A imaginer Sophie prise en levrette par un autre mec...
On rit de plus belle. Il poursuit :
_ Mais Marine, je l’imagine très bien... Tu serais d’accord ? Je veux dire que si on... Si on se retrouvait tous les quatre...
Je ne ris plus. Des flashes dans ma tête, le ventre crispé, je commence à me sentir à l’étroit dans mon jean, c’est terrible !
_ Ce serait un truc de fou... Rien que d’y penser, j’ai déjà la trique...
Fab hoche la tête doucement avant de murmurer :
_ Moi aussi figures toi ! Jamais ressenti un truc pareil...
_ Mouai... En tous cas, ça fait du bien d’en avoir parlé tous les deux !
Il rit en me donnant une petite tape sur l’épaule. Que c’est bon d’avoir un pote à qui on peut tout dire en toute confiance et surtout câblé exactement comme soi !
On retourne dans la salle et on trouve Marine seule à notre table. Elle nous apprend que Cyril vient de partir aux toilettes. Je décide de lui rapporter, à elle aussi, ma conversation avec Cyril. Elle se met à rire et nous répond qu’elle s’en moque totalement avant de poursuivre :
_ Tant pis s’il a deviné, on fera avec ! De toutes les façons, il aura disparu de notre vie dès lundi, alors rien à faire de ce qu’il pense.
Une bière de plus et je regarde ma montre, il est presque 1h30. Je propose à Fab et Marine de rentrer à l’hôtel. Cyril acquiesce également et nous voilà parti. Je conduis prudemment, manquerait plus que les bleus nous choppent et nous fassent souffler dans le ballon. On s’arrête à L’hôtel de Cyril afin de le déposer mais à peine descendu, il nous demande d’attendre. Il file vers la voiture de Fab, fouille dans le coffre, le referme et revient vers nous avec une bouteille de vin dans la main.
_ Ca vous dit de venir prendre un dernier verre dans ma chambre ? Je l’avais acheté pour vous la donner en remerciement pour m’avoir accepté parmi vous mais je me dis que ce serait plus sympa qu’on la boive ensemble...
Là il nous prend de court et Marine se met à rire. Elle le regarde et lui dit :
_ Quatre dans ta chambre, on va être serré ! Ça va nous rappeler la fac ! Faudrait pas que les proprios nous voient sinon ils vont se poser des questions... surtout me concernant !
_ Pourquoi, te concernant ?
_ Ben un client qui revient avec deux mecs et une nana, ça peut être mal interprété !
_ N’importe quoi. Les proprios, ils dorment et on peut rentrer discrètement. Non, le truc qui m’embête c’est qu’on n’a pas de verres.
Fab répond aussitôt :
_ Il n’y en a pas un de prévu dans ta salle de bain pour se laver les dents ?
J’enchaîne :
_ Sûrement que si, ils en mettent toujours un dans ces petits hôtels.
On se regarde, indécis, et c’est Marine qui prend finalement l’initiative :
_ Bon ben si on veut le boire ce dernier verre, on te suit mais vite fait hein ?
On descend de la voiture et on le suit en file indienne.
Finalement on décide de boire chacun notre tour à la bouteille. On se passe le vin qui a ma grande surprise est loin d’être mauvais, bien que trop chaud. Marine est assise sur le lit à coté de Fabien face à moi assis sur une chaise. Cyril est assis sur une petite table censée servir de bureau avec un bloc note et un crayon. C’est dessué mais bien suffisant pour nous. La robe de Marine est remontée laissant ses cuisses nues mais elle ne s’en soucie pas. La bouteille circule et Cyril se met soudain à rire tout seul. On le regarde, surpris !
_ En fait, la dernière fois que j’ai bu une bouteille au goulot, c’était avec un pote dans une situation très particulière.
Et il se met à rire de nouveau. Son rire devient communicatif et on rigole aussi, pour rien, juste pour l’accompagner et sans doute parce qu’on a suffisamment bu pour se sentir gais nous aussi.
Fab lui demande de raconter mais Cyril hésite :
_ C’était chaud... Je sais pas si...
Et il regarde Marine qui lui répond :
_ Oh ça va... Tu sais, à mon âge, j’en ai vu et entendu beaucoup... Allez, vas-y raconte. Je suppose que ça parle de sexe !
Cyril reprend ses esprits et commence son histoire.
En virée en boîte avec deux bons copains, ils achètent une bouteille wisky. La soirée se déroule normalement jusqu’à ce que l’un d’eux disparaisse. Les deux autres le cherchent, sans le trouver. De guerre lasse, Ils sortent avec la bouteille de whisky pour aller l’attendre dans la voiture. Et là, surprise, le disparu est avec une fille sur la banquette arrière ! Cyril nous raconte alors leur attente, à lui et l’autre copain, pendant que les deux finissaient ce qu’ils avaient commencé. Leur fou rire en entendant les cris peu discrets de la fille. Et pour finir, histoire de passer le temps, ils picolent la bouteille en buvant à tour de rôle au goulot. Et puis Cyril avait eu envie d’uriner et l’autre lui avait proposé de voir qui irait le plus loin.
Tout en l’écoutant, Fab caresse distraitement la cuisse de Marine qui semble ne pas le remarquer. Elle rit en écoutant Cyril décrire sa technique pour faire pipi le plus loin possible et finit par lui dire :
_ J’en reviens pas qu’à votre âge vous fassiez encore ce genre de jeu.
_ Ben pourquoi pas ?
On rigole et il poursuit :
_ Et quand tu bandes, je te raconte pas comme c’est compliqué !
Elle ouvre de grands yeux :
_ Naannn vous étiez en érection ?
_ Ben un peu voui, avec l’autre qui criait dans la voiture à côté, qu’est ce que tu crois !
Cette fois, elle explose de rire et après s’être un peu calmée :
_ Je vous imagine tous les deux alignés avec vos...
On rit avec elle, jusqu’aux larmes. C’est vrai que la scène devait être complètement surréaliste.
On finit par se calmer. La bouteille est vide. Cyril s’essuie les yeux et après un bref coup d’œil sur ses cuisses dénudées, lance :
_ Ben si tu voulais, plutôt que d’imaginer, tu, pourrais en voir trois pour de vrai...
Silence. Je me mets à trembler de partout tout en remarquant que la main de Fab s’est de nouveau posée sur l’une des cuisses de ma coquine. Marine rougit, troublée par la proposition. D’une voix hésitante :
_ Heuu... Je ne suis pas sûr que ce serait une bonne idée.
On se regarde tous les quatre, Fab et moi avec un petit sourire. Marine se force soudain à rire et dit :
_ En plus, il n’y a pas de fille qui crie pour vous faire bander...
On se met à rire plus fort puis c’est de nouveau le silence. Fab lance alors d’une petite voix :
_ C’est facile de vérifier...
Elle tourne la tête vers lui et le regarde, visiblement surprise.
_ Nooonnn mais ça va pas ? Si toi aussi tu t’y mets, où allons nous !
Sa bouche se crispe, comme si elle se retenait de rire et poursuit :
_ C’est vraiment du grand n’importe quoi ! Bon, je vais aux toilettes et on rentre !
Elle se lève et s’enferme dans la salle de bain. On se regarde tous les trois en pouffant de rire et je lance ;
_ Chiche !
Fab réagit aussitôt et commence à défaire son pantalon. On le suit. En quelques secondes on se retrouve avec nos sexes à l’air. Le côté excitant de la situation suffit à nous faire bander tous les trois. On s’aligne face à la porte de la salle de bain et on attend en rigolant.
La porte s’ouvre et Marine laisse échapper un cri.
_ Naaannnn... Vous êtes vraiment de grands malades !
Tout en parlant, elle garde les yeux fixés sur nos bites dressées. Puis elle remonte ses mains sur son visage en la secouant de droite à gauche. Elle redresse la tête:
_ Je peux savoir ce qui provoque cette... Cette réaction en chaine ?
Cyril lui glisse :
_ Moi, c’est parce que j’ai en face de moi une nana superbe... hyper bandante... comme tu peux le voir !
_ Mais je suis une vieille pour toi !
_ Ben c’est sans doute parce que je préfère les vieilles alors...
Elle ne dit rien, ne sachant visiblement pas quoi répondre. Elle hésite et vient finalement se réfugier dans mes bras, sa tête nichée contre ma poitrine. Je lui murmure :
_ C’est vrai que tu es bandante, tu le sais bien, non ?
_ Pfff, il ne vous en faut pas beaucoup... On devrait rentrer à notre hotel, non ?
Fab s’approche et se penche pour l’embrasser dans le cou, doucement, tendrement. Je la sens frissonner et lui murmure :
_ On n’est pas mal ici... Tu es sûr de vouloir rentrer ?
Elle redresse la tête et me regarde droit dans les yeux :
_ C’est moi ou j’ai l’impression d’être tombée dans un guet-apens...
Je lui souris :
_ Il y a pire comme piège, non ?
Elle sourit et je devine une sorte de renoncement chez elle. Ou plutôt une acceptation de ce qui nous semble à tous les deux une évidence. A tous les deux ? Ou à tous les trois ?
_ Tu crois que je n’ai pas, compris ! Je sais parfaitement de quoi vous avez envie tous les deux...
Fab l’embrasse de nouveau dans le cou sans qu’elle ne cherche à le repousser. Je dépose un baiser sur sa bouche et lui murmure tout bas :
_ J’ai trop envie de regarder ma belle faire une grosse bêtise devant moi...
Elle me répond sur le même ton :
_ Et qui te dit que j’ai envie de faire des bêtises avec l’autre... Il est trop jeune...
Son souffle devient plus saccadé, plus fort aussi tandis que Fab continue de l’embrasser dans le cou. Il a tout entendu contrairement à Cyril qui nous observe bien sagement de l’autre bout de la pièce.
Entre deux bisous, il lui murmure tout bas :
_ Foutaise... Il est assez vieux pour qu’on s’amuse ensemble...
Les yeux fermés, elle penche la tête légèrement en arrière et dans un souffle :
_ Vous allez me tuer...
Je suis sidéré, jamais je n’aurai cru qu’elle cèderait aussi vite !
_ Oui... Mais tu aimes ça qu’on te tue...
J’interviens dans un souffle :
_ Et moi j’adore te voir mourir...
J’écrase ma bouche sur la sienne. Sa langue jailli et vient chercher la mienne. Je la sens trembler tandis que je défais le lacet du haut de sa robe. Puis je la fais glisser sur ses épaules et la laisse tomber sur le sol. Elle est entièrement nue et j’imagine Cyril en train de se rincer l’œil. C’est terrible ! Je suis fou d’excitation. Je vais offrir ma femme à deux mecs ! Je vais la regarder se faire baiser par deux mecs et en plus, il est évident qu’elle aussi en a terriblement envie.
En quelques secondes, l’atmosphère devient presque irrespirable. Quel pied ! J’ai les jambes en coton. Je caresse ses seins tandis que femme l’embrasse dans le dos tout en lui massant les fesses. Je continue de l’embrasser à pleine bouche et je sens les mains de Fab s’insinuer entre nous deux. Il saisit ma queue et me branle doucement, un délice. Je me recule et constate qu’il doigte Marine en même temps avec son autre main. Elle a les yeux fermés et tremble de tout son corps. Je jette un coup d’œil du côté de Cyril qui ne rate rien du spectacle. Sans doute est-il un peu surpris mais je m’en fou. Je me dégage de la main de Fab et me lève doucement pendant qu’il continue de la doigter en lui embrassant les fesses. Soudain, il l’entraine doucement en arrière sur le lit sans qu’elle n’oppose la moindre résistance. Je regarde Cyril qui fixe les jolies rondeurs de notre coquine. Je m’approche de lui et chuchote :
_ Tu peux y aller... Tu seras le bienvenu.
Puis je m’assois sur la chaise tandis que Fab commence à parcourir ma coquine avec sa bouche et ses mains. Cyril hésite à peine, lui aussi semble avoir du mal à respirer. Il me jette un dernier coup d’œil et ne semble pas surpris par mon attitude (plus tard, il me dira qu’il savait que des hommes aimaient regarder leur femme se faire baiser devant eux).
Cuisses écartées, elle gémit tandis que Fab lui dévore sa vulve. Ses seins ont doublé de volume, les tétons bien raides. Je me branle doucement, la gorge serrée par l’émotion. Du coin de l’œil je vois Cyril chercher quelque chose dans sa valise. Il se redresse et enfile tranquillement sur sa bite bien raide un préservatif. Il me fait à son tour un petit sourire et s’avance vers le lit. Fab continue de lécher la chatte et le cul de ma coquine qui se tord de plaisir. Je vois les mains de Cyril se poser sur ses seins. Il les masses lentement tour en matant. Il saisit un téton et le fait rouler entre son pouce et l’index tout en se branlant lui aussi de l’autre main. Marine le regarde et lâche une sorte de hoquet, au bord de la jouissance. Fab se redresse et se recule afin de laisser sa place. Je me penche un peu, je ne veux rien rater. Cyril prend exactement la même position que fab, à genoux, la tête entre les cuisses grandes ouvertes. A son tour il lèche la fleur aux pétales écarlates. A son tour il fait gémir ma petite coquine qui se laisse de nouveau emporter par le plaisir. Elle ondule sur le lit et c’est divin ! Je transpire comme un bœuf. La sueur dégouline sous mes bras, entre mes omoplates. J’ai l’impression d’être asthmatique tellement j’ai du mal à respirer. Je regarde Fab qui fixe lui aussi la scène. Il semble tout aussi excité que moi, par ce qu’il voit. Notre salope qui se donne maintenant sans retenue à ce jeune type. Petit à petit, elle se retrouve de nouveau au bord de l’explosion et le « jeunot » se redresse. Il a visiblement l’intention de faire durer et cela me comble de joie. Ce type ne mentait pas, il a de l’expérience dans le domaine et n’agit pas en égoïste, pour notre plus grand plaisir à tous...
Il observe sa « victime » qui, haletante, lui rend son regard pendant quelques secondes. On dirait qu’ils se jaugent mutuellement avec un soupçon de provocation. Je suis à la fois un peu surpris et encore plus excité par l’attitude de ma complice adorée.
Lentement, Cyril se laisse aller en avant et s’allonge sur le corps de notre coquine. Elle le regarde et lorsqu’il pose sa bouche sur la sienne, répond à son baiser avec une fougue surprenante. Fab me jette un coup d’œil en souriant. Lui aussi à compris que notre Marine a décidé de se lâcher. Putain que c’est bon ! Tout en l’embrassant, je le vois soulever son bassin, positionner son gland sur la vulve bien ouverte et s’enfoncer dans le ventre offert. Marine laisse échapper une sorte de grognement tandis qu’il entame ses va et vient. Pendant de longues minutes, il la baise lentement, profondément, lui arrachant des gémissements de plus en plus forts. Il la contrôle, c’est évident, ralentissant ou accélérant ses mouvements suivant ce qu’il devine chez sa partenaire. Le bruit de leurs souffles saccadés emplie la chambre. Ce type est un queutard expérimenté, quel régale !
Fab semble soudain en avoir assez de regarder et s’avance à genoux vers leurs têtes. Bon joueur, Cyril redresse la sienne et prenant appui sur ses bras recule son torse afin de laisser de la place à son complice du moment. Fab s’allonge sur le coté et avançant son bassin, approche sa queue du visage de Marine. Je me lève, je veux voir, tout voir ! Elle ouvre sa bouche et tout en se laissant baiser par l’autre, suce notre Fab goulûment. C’est la première fois que je la vois faire cela, la première fois qu’elle se tape deux mecs en même temps. Mon dieu, qu’est donc devenue ma princesse ? J’ai l’impression de devenir dingue. Je perds un peu les pédales. Je ne pense plus, je me branle en matant du mieux que je peux. Elle aussi a visiblement perdu toute notion de retenue et cela augmente d’autant plus mon délire. Ils se relaient, dans sa bouche et dans sa chatte. Au début, elle fait un peu la grimace quand elle suce le latex puis semble s’y habituer (plus tard, elle me dira qu’elle n’aime pas du tout ce goût !). Je tourne autour du lit pour voir, pour toucher aussi de temps en temps, juste du bout des doigts, ses tétons, les bourses de Fab (pas osé toucher l’autre)...
Elle finit par craquer. Cyril lui donne un premier orgasme dévastateur. Elle grogne, feule en se tordant sous ses coups de boutoir, comme prise de convulsion. Il ne faut que quelques secondes pour que lui aussi explose, en appui sur ses bras crispé. Immobile tout au fond du ventre frémissant, il se vide dans un grognement qui résonne dans la pièce. Il finit par se retirer et je vois la bulle de sperme enfermée dans le latex au bout de sa queue. Fab qui n’attendait que cela, prend immédiatement sa place. Happant l’air à grande goulée, le corps toujours tremblant, Marine écarte ses cuisses afin de l’accueillir à son tour. Je suis subjugué par son appétit qui semble sans limite. Cette femme est un volcan et le feu qui brûle en elle n’est pas prêt de s’éteindre, elle en veut ! Jamais je ne l’avais vu aussi «affamée ». Fab la pilonne immédiatement et le résultat ne se fait pas attendre. Tétanisée, elle lâche un long râle de jouissance tandis que son amant complice se vide à son tour dans son ventre. Qu’elle est belle notre salope quand elle se lâche totalement...
Affalés côte à côte sur le lit, cherchant leur respiration, ils récupèrent doucement. Leurs corps couverts de sueur brillent dans la lumière du chevet. Je regarde le sperme de Fab couler le long des cuisses de ma coquine, c’est tellement beau... Je retourne chercher mon téléphone dans mon pantalon, je viens de réaliser que je n’ai pris aucune photo de ces instants sublimes, quel con !
Cyril se retourne sur le dos. Il me regarde en souriant, ravi. Il enlève son préservatif plein de sperme et je me lève pour le prendre. Je vais dans la salle de bain et le jette dans la poubelle. Je reviens dans la chambre et ouvre sa valise. Je ne me pose même pas de question, je sais qu’ils vont remettre ça, il le faut, j’en veux encore... Le paquet est là, sur le dessus. J’en prends un et m’avance vers le lit. Marine se redresse et voyant ce que je tiens, me fait un petit sourire complice avant d’avancer sa main vers la mienne. Elle aussi n’a visiblement pas l’intention d’en rester là. C’est fabuleux ! C’est comme si je découvrais une nouvelle facette chez elle, quelque chose qui éclate au grand jour... Je lui donne la capote et elle déchire l’emballage avec ses dents. Après un autre petit sourire, elle se penche vers la queue de Cyril qui n’a rien raté de la scène. Elle la prend délicatement dans sa main et commence à la caresser doucement. Rapidement, la magie opère et le sexe se redresse doucement. Elle en profite pour l’habiller de nouveau. Pendant quelques secondes, elle regarde la tige de chair bien raide dans sa main puis se penche pour la prendre dans sa bouche. Fab se redresse à son tour et contemple le spectacle. Je vois sa bite se redresser, ils sont enragés ! Il se met à genoux et de ses mains, tourne le bassin de Marine pour l’obliger à se mettre à quatre pattes. Sans plus attendre, il s’avance entre les jambes de notre coquine et glisse sa queue entre les fesses ouvertes. Je vois le gland violacé contre la vulve béante. D’un cou sec, il s’enfonce en elle tout en la maintenant par les hanches. Marine se cambre au maximum pour s’offrir à la pénétration. Il reste immobile, dégustant l’instant. Lentement ; il commence à la baiser, faisant coulisser sa bite en douceur. C’est comme une danse bien rythmée. Marine réagit avec de petits bruits de gorge étouffés, la bouche pleine, La danse s’accélère et bientôt le claquement de ses testicules sur les cuisses emplit la chambre. Fab semble pris de folie alors que Marine relève la tête et se met à gémir de plus en plus fort. Je m’attends à un autre orgasme mais Fab ralenti soudain, essoufflé. Lui aussi veut faire durer... Il se retire et pose ses mains sur les fesses de notre coquine puis les pousse en avant. Elle se redresse et se retourne vers lui, cherchant à comprendre ce qu’il veut. Il s’avance dans son dos, l’enlace et tout en massant ses seins, l’embrasse dans le cou avant de murmurer :
_ J’ai envie de te voir sur lui... Suis sûr que Pat va adorer aussi...
J’ai tout entendu ! Bien sûr que j’en ai envie ! Je prends mon téléphone, cette fois j’aurai mes photos souvenir. Je me lève et m’approche.
Marine me regarde et devinant mes intentions, me fait un tout petit sourire. Elle sait que je vais prendre mon pied à bien la regarder...
Cyril est toujours immobile, attendant la suite. Elle s’avance et se positionne accroupie au-dessus de sa queue. Elle la prend dans une de ses mains et tout en la tenant verticalement, s’empale lentement dessus tout en tenant le sexe bien raide de Fab dans son autre main.
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J’ai mal au ventre tellement je suis excité. J’assiste à un truc de fou. J’ai une envie de sexe quasi incontrôlable. C’est la première fois que je peux voir une bite autre que la mienne et celle de Fab s’enfoncer entre les pétales de la magnifique fleur rouge. La bite d’un type que l’on a juste rencontré quelques heures auparavant... Pour moi, c’est fantastique !
Je regarde les mains de Cyril enserrer les hanches de ma femme qui reste immobile. C’est comme si elle prenait le temps de bien le sentir en elle, tout au fon d’elle.
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Elle serre toujours la queue de Fab dans sa main et je devine facilement la suite. Il attend lui aussi en matant celle qui jusqu’à présent lui avait accordé l’exclusivité de sa petite chatte en tant qu’amant. Nous avons partagé tant de chose que je n’ai aucun doute sur ce qu’il ressent en cet instant. Lui aussi doit être hyper excité de voir un autre mec baiser notre petite coquine...
Elle commence à onduler légèrement sur le pal de chair tout en se penchant en avant. Elle approche son visage de la bite de Fab et l’embouche, tout cela de manière presque naturelle, c’est bluffant ! Son cul se balance d’avant en arrière au même rythme lent qu’elle pompe la queue dans sa bouche.
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Je suis littéralement hypnotisé. Elle prend tout son temps pour profiter au maximum du plaisir intense la submergeant. Cela se voit, cela s’entend... De temps en temps elle sort la bite de sa bouche pour reprendre son souffle puis replonge sur sa gourmandise. Je n’ai plus la notion du temps, je suis là et j’en prends plein les yeux, que du bonheur pour moi.
Soudain, elle se redresse en lâchant un petit bruit de gorge. Je devine que quelque chose se passe elle. Elle ondule plus vite, lâche la queue de Fab et se laisse aller en avant sur le corp de cyril. Je me positionne devant son cul splendide bien ouvert devant moi. Je vois parfaitement la bite habillée de latex s’enfoncer et sortir pour s’enfoncer de nouveau profondément avant de ressortir encore et encore. C’est trop beau, j’utilise le flash, je la veux bien nette celle là !
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Marine gémit plus fort tout en ondulant plus vite. Mon cœur bat la chamade, ma vue se trouble. J’ai trop envie de baiser moi aussi, trop envie de me vider, de me soulager.
Tout d’un coup, Marine laisse échapper un petit cri et se redresse, en appui sur ses bras. Cambrée au maximum, elle agite rapidement son bassin en gardant la queue profondément enfouie en elle. Je devine qu’elle frotte son clitoris sur le pubis de son amant. Je sais qu’elle va jouir, on a tellement pratiqué cette position auparavant...
L’orgasme se déclenche telle une tornade. Totalement tétanisée, son corps agités de spasmes, elle lâche un long « ooooouuuuuiiiiii » de plaisir intense. A bout de force, elle se laisse tomber en avant sur Cyril qui bascule immédiatement sur le côté en la renversant sur le dos. Sans attendre, il la pénètre de nouveau et se met à la baiser comme un fou.
Ma coquine appartient à cette catégorie de femmes capable d’avoir des orgasmes multiples. Plusieurs fois, avec Fab, nous avons assisté à ce phénomène extraordinaire. Dans un lâcher prise total, elle est capable d’avoir des orgasmes s’enchaînant comme s’il n’y avait pas de fin. Je ne suis donc pas surpris de la voir « exploser » de nouveau... Les mains crispées dans le dos de Cyril, elle happe l’air et finit par crier, oubliant que nous sommes dans une chambre d’hôtel. En cet instant, elle semble habitée par un démon et nous sommes trois à vouloir le maitriser... Cyril finit par se retirer et de nouveau je constate que le préservatif est plein de sa semence. Je regarde Fab se positionner, c’est sont tour.
Sans attendre, il s’allonge sur Marine qui cherche péniblement son souffle. Elle ouvre les yeux, le regard dans le vide, comme absente. Il est clair qu’elle est ailleurs, comme aspirée dans un autre monde. Un univers de plaisirs intenses qui vous submergent telle une drogue.
.A peine sent-elle la bite de Fab en elle qu’elle remonte ses cuisses le long des hanches de son tortionnaire. Les Jambes en l’air, bien écartées elle tremble de nouveau sous les coups de boutoir. Fab est lui aussi dans cet état second où un mâle en rut n’a qu’une idée, baiser cette femelle en chaleur qui ne demande que cela... C’est rapide, bestial, sans aucune retenue de part et d’autre. Ils jouissent ensemble, accrochés l’un à l’autre dans la tourmente. Cyril ouvre de grands yeux, visiblement admiratif.
Fab bascule sur le côté, sa queue luisante de sperme, le souffle court. C’est mon tour...
J’ai trop attendu, je n’en peux plus. J’ai mal dans mon ventre, dans mes bourses. Je tremble de partout et je ne vois que ce cul que j’ai envie de prendre. Je veux la baiser par derrière, la sodomiser et lui faire crier grâce. Je m’avance à genoux sur le lit où ma coquine halète, visiblement épuisée. Mais je suis dans un tel état d’excitation que cela m’importe peu. Mon cerveau est ailleurs, entre mes jambes ! Je lui dis ce que je veux, tout de suite :
_ Retournes toi... Donnes moi ton cul !
Cherchant toujours son souffle, le regard voilé, elle s’exécute, me prouvant si nécessaire qu’elle en veut encore...
Je lui lèche la vulve et immédiatement elle se cambre en lâchant un petit cri. Elle semble toujours en feu. Je lèche son anus puis de nouveau sa vulve tout en massant son œillet avec un doigt. Elle tremble de partout, et lâche une sorte de feulement du fond de sa gorge. Je sens le goût du sperme de Fab sur ma langue mais je m’en moque. Je pénètre doucement le petit orifice étoilé avec mon doigt afin de le détendre. Elle laisse tomber sa tête dans un oreiller en étouffant un cri. Une position d’attente que je connais bien, elle est prête !
Je me redresse, saisit ma queue dans ma main et pose mon gland sur l’œillet détendu. J’avance mon bassin et m’enfonce doucement entre les fesses bien ouverte. Marine lâche une sorte de grognement de satisfaction. C’est elle qui commence à se balancer d’avant en arrière sur ses genoux. C’est fabuleux, elle semble incapable d’attendre plus longtemps comme s’il ne s’était rien passé avant ! Je saisi ses hanches et je commence à lui imposer mon rythme. Immédiatement, fidèle à son habitude en pareil circonstance, elle glisse sa main sous son ventre et commence à se masturber. C’est divin ! Les deux autres nous matent ne voulant rien rater du spectacle. Fab sait bien que notre coquine adore la sodomie mais Cyril n’a peut-être pas eu beaucoup d’occasion de la pratiquer. En tout cas, il fixe avec insistance ma bite allant et venant dans le cul bien offert.
Cela ne dure pas longtemps, Marine lâche de nouveau un cri après quelques allers retours seulement. Sa main s’agite très vite sur son clitoris pendant que je continue de la baiser. Elle enfonce sa tête dans l’oreiller pour étouffer une sorte de hurlement. Elle jouit de nouveau, c’est incroyable...
A mon tour, je me lâche. Je gicle tout au fond de ce merveilleux réceptacle, mes mains crispées sur ses hanches. Je ne sens plus mes cuisses et ma vision se voile. C’est comme si tout s’estompait autour de moi avec juste ces crispations dans mon ventre pour me rappeler que je suis vivant.
Avec un résidu de conscience, je me retire le plus lentement possible puis me laisse tomber sur le lit, vidé, assommé. Marine reste allongée sur le ventre, happant l’air comme un poisson hors de l’eau. Elle n’en peut plus, c’est évident, et nous non plus. Je note les sexes « rabougris » des deux autres compères et sens le mien se rétracter rapidement. On récupère lentement comme après une épreuve sportive.
Je tourne la tête vers notre coquine et suis surpris de croiser son regard. Elle souffle toujours très fort mais semble plus « consciente ». Elle me souris et trouve la force de se rapprocher de moi. J’entends à peine sa voix :
_ Je n’en peux plus... je ne sens plus mes jambes... Suis morte.
Elle n’est visiblement pas consciente du fait qu’aucun de nous n’est en mesure de continuer quoi que ce soit. Fab est assis sur la chaise, hagard, vidé. Cyril est parti dans la salle de bain. Je l’attire contre moi et dépose un petit bisou sur son front.
_ T’inquiètes pas ma belle... Nous aussi on a eu notre dose.
Elle pouffe de rire :
_ Ah ben tant mieux alors...
Silence. Elle continue à voix basse :
_ C’était... Je ne pouvais plus m’arrêter... Et ce type... C’est différent... Je sais pas pourquoi... Ca me faisait de drôle de truc dans mon ventre quand il me touchait... J’espère que toi aussi tu en as bien profité... Et Fab aussi...
_ C’était fabuleux... Comme toujours... Dommage qu’on ne fasse pas cela plus souvent...
_ Pffff.... Heureusement plutôt ! Vous finiriez par me tuer pour de bon !
Elle rit doucement en se serrant contre moi.
_ Je me dis que si Fab est comme toi, ça va être compliqué...
_ C'est-à-dire ?
_ Ben si lui aussi prend son pied en me regardant avec un autre mec, on ne va pas s’en sortir...
A mon tour je pouffe de rire. C’est drôle qu’elle pense à ça en cet instant.
Elle me sert plus fort et murmure à mon oreille :
_ En tous cas, moi, j’ai de la chance d’avoir un amoureux comme toi.
Je me sens tout drôle soudain. J’ai le cœur qui gonfle et ma gorge se serre de nouveau mais pas pour les mêmes raisons qu’avant. J’ai presque envie de pleurer tellement je suis touché par sa petite déclaration, surtout dans un tel moment !
_ Non, c’est moi qui ai de la chance... J’ai une femme extraordinaire... Jer sais pas si je te l’ai déjà dit mais tu es sacrément canon !
Elle rit doucement contre mon oreille.
_ On va me draguer alors et tu vas être jaloux !
_ Très jaloux... Le premier qui te touche, je le bute !
On rigole en se serrant l’un contre l’autre.
Silence. On est bien. Je revois certaines scènes dans ma tête, quelle nuit ! Soudain le bruit de son souffle se fait plus lent, plus profond. Je recule ma tête pour la regarder, elle dort... Et nous ne sommes pas dans le bon hôtel !
. Je me sens hyper motivé maintenant 
