- 14 sept. 2023, 16:28
#2744975
La libido de Gabrielle, qui était au calme plat depuis deux ans, s’est réveillée au printemps. Entre nous, les choses restaient calmes, mais je le constatai en la voyant fréquenter à nouveau des sites de rencontre. Beaucoup considéreraient sans doute étrange que le désir éclose ainsi, mais pas parmi vous à qui j’écris, chers happy fews.
Ainsi, elle ne s’en cachait pas et je ne me formalisais pas, nous en discutions au contraire. Notre amour et notre sincérité l’un envers l’autre ne se sont pas érodés dans la relative routine où notre intimité s’était installée.
Elle cherchait des hommes : polis, beaux gosses (ce qui est subjectif mais elle a des préférences physiques marquées) et… soumis ! Car ce n’est pas par la faim de sexe qui animait Gabrielle, mais le sadisme. Sadique : elle l’a toujours été. Mais il apparut rapidement qu’il revenait transformé plus fort et plus exigeant, galvanisé par sa traversée du désert.
La voie du retour vers le plaisir fut semée d’embûches : fantasmeurs, lapins, etc. Elle a dû traverser les affres de la drague virtuelle, qui je crois n’épargnent personne.
Elle revit donc d’abord un de ses anciens soumis, avec qui elle avait renoué la discussion. Bien qu’homosexuel, il adore se faire passer à tabac par Gabrielle, et fut gâté.
Elle revint de cette rencontre, en juin, avec plus d’appétit encore.
Soudain, elle tomba simultanément sur deux soumis sérieux et correspondant exactement à sa recherche. L’alignement des planètes était parfait, parce qu’à ce moment je quittais notre domicile pour des vacances d’été en famille, la laissant seule et libre de rencontrer sans contrainte.
Le premier, marié, vivait son masochisme de manière clandestine, et Gabrielle dut retenir ses coups pour ne pas le trahir aux yeux de sa femme. Frustrée, elle se vengea sur le deuxième qui s’avéra parfait : très docile et acceptant les marques.
Comme elle ne fait pas les choses à moitié, ils vécurent en mon absence une véritable lune de miel. Ils séjournèrent ensemble chez l’un puis chez l’autre, souvent pour plusieurs jours, et ce à maintes reprises. Elle fut tellement charmée que leur relation prit un cours plus intime, où les séances BDSM devirent ponctuées de câlins amoureux où leurs corps s’unissaient.
Je n’étais pas toujours très concentré lorsque, en famille, je les savais ensemble sans recevoir de nouvelles : elle est toujours très concentrée sur l’homme avec qui elle est quand elle rencontre. Pleinement dans l’instant, elle communique alors très peu. Imaginez-vous : trois ou quatre jours avec seulement un ou deux textos par jour pour assurer que tout va bien, le reste étant à deviner. Tempête sous un crâne (et en bas du ventre) ! Je n’en menais pas large non plus lorsqu’ils se séparaient et qu’elle ne tarissait plus d’éloge sur lui et la qualité du temps qu’ils avaient partagé. J’étais ravi qu’elle soit pleinement épanouie, agréablement surpris même, mais sans cesse inquiet et traversé de milles interrogations.
Puis les vacances touchèrent à leurs fins. Comme prévu, elle me rejoint dans ma famille quelques jours afin que nous rentrions ensemble à Paris pour la rentrée.
Soudain, superbe surprise, nous fûmes invités à une soirée, qui devait avoir lieu juste le jour de notre retour. S’y rendre demandait un petit jeu de prestidigitation logistique, et nous décidâmes que je la déposerais d’abord, puis irait à la maison chercher le nécessaire (robe et escarpins essentiellement) avant de retourner la rejoindre auprès de nos hôtes et amis, qui sont des membres honorables de ce forum : les Saxojaunes. Programme ouvert donc.
Tandis que j’étais à la maison en train de préparer le sac, je reçus un texto des plus surprenants : « prend mes cordes ». Les choses commenceraient-elles déjà à déraper ?? J’étais tendu et impatient à la fois en finissant les préparatifs, puis en reprenant la route.
A l’arrivée, je constatai que l’alcool avait coulé et que l’ambiance était des plus chaleureuses. Etaient présents trois couples, tous candaulistes, et un amant. Aussitôt, Gabrielle partit se changer. La discussion continua calmement en son absence. Elle réapparût rapidement dans ses plus beaux atours : escarpins et simple robe, très échancrée et sans rien en dessous. Elle était prête. Aussitôt, les cordes firent leurs apparitions, et la soirée bascula. Je ne savais pas pourquoi elle m’avait demandé ses cordes mais j’eus aussitôt la réponse : une amie, MissCroclavie, souhaitait les essayer.
Gabrielle m’avait déjà surpris plusieurs fois cet été, mais là j’étais vraiment abasourdi de voir devant nous ces deux femmes, pour lesquelles j’ai tant de tendresse, s’exercer au shibari. Et je n’étais pas au bout de mes surprises pour autant.
MissCroclavie s’avéra très réactive au traitement et ce qui devait être un simple essai, une initiation aux cordes, se transforma en réelle séance de domination. Sous nos yeux ébahis, le sadisme de Gabrielle s’exerçait sur une amie. Elles étaient, au milieu de nous, sur une autre planète. En osmose toutes deux comme si nous autres étions derrière une vitre sans tain, au théâtre ou au stade – un blind test musical joué en parallèle nous donnait de la contenance.
Tout en complicité et en sourires, l’une guidait et l’autre obéissait, tous ses muscles se pliant aux pressions des cordes qu’imposaient Gabrielle. Pendant ce temps, nous autres regardions ce prodige, parfois en discutant d’autre chose, parfois en commentant, mais tous absolument charmés. Le spectacle était divin.
Gabrielle fessait Misscroclavie après l’avoir mise à quatre pattes, puis, après l’avoir redressée, lui pinçait les tétons. Ces sévices étaient ponctués de moments de grande tendresse et de baisers. Gabrielle constatant que son sujet était plus sensible des tétons que des fesses, elle se concentra sur ces derniers, qu’elle tirait et pressait avec de moins en moins de ménagement. Gabrielle souriait et MissCroclavie gémissait, elles avaient l’air heureuses ! Gabrielle allongea aussi à plusieurs reprises MissCroclavie pour accéder à son sexe, aux côtés duquel couraient les cordes, et le titiller, le masser, le gifler, pendant qu’elle l’embrassait sur la bouche.
Je ne sais trop dire combien de temps dura la séance. D’abord parce que j’ai peu regardé ma montre. Ensuite, et surtout, parce que c’était un moment d’éternité qui venait de se dérouler devant nous. Ça aurait pu durer mille ans (ou plus d’un million d’années comme aurait dit Nino). Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et elle se termina.
Tout ce qui venait d’arriver était magnifique et, à proprement parler, incroyable. Gabrielle soumet les hommes d’habitude et jamais je n’aurais cru la voir prendre du plaisir à dominer une femme. MissCroclavie découvrait également, ce qui est un moment difficile. Mais tout cela s’était déroulé le plus naturellement du monde, sans effort et sans rien forcer, comme si c’était simple et habituel, alors que ça n’arrive jamais.
La discussion et la soirée reprirent leur cours, normal en apparence. Mais en réalité, nous étions tous imbibés de l’explosion de pure sensualité qui venait d’avoir lieu au milieu de nous.
Nous étions à la fois chauffés à blanc et épuisés. MissCroclavie, surtout, était vidée et nous quitta rapidement, ce qu’on peut aisément comprendre. MissSaxojaune et Gabrielle s’assoupissaient sur les canapés tandis que leurs hommes se mirent à lécher leurs sexes brûlants, là aussi comme si c’était naturel, sans la moindre gêne. La pudeur n’avait plus lieu d’être.
Il était quatre heures du matin et Gabrielle s’endormit sur le canapé aussitôt après avoir joui de ma langue. Les hommes discutèrent encore un peu et la soirée se termina ainsi.
Nous couchions sur place. Je me réveillais dès sept heures, malgré la fatigue, électrisé encore. Je ne savais que faire dans une maison encore toute assoupie. Comme un lion en cage, j’hésitais à aller dans les autres chambres faire des câlins, mais me retint. Au lieu de ça, je me positionnais calmement au bas du lit, aux pieds de Gabrielle. Au bout d’un moment, elle allongea ses jambes ? Ses pieds se déposèrent sur ma bouche et je commençais à les lécher et les embrasser, profondément ému, pendant un long moment.
Ainsi, elle ne s’en cachait pas et je ne me formalisais pas, nous en discutions au contraire. Notre amour et notre sincérité l’un envers l’autre ne se sont pas érodés dans la relative routine où notre intimité s’était installée.
Elle cherchait des hommes : polis, beaux gosses (ce qui est subjectif mais elle a des préférences physiques marquées) et… soumis ! Car ce n’est pas par la faim de sexe qui animait Gabrielle, mais le sadisme. Sadique : elle l’a toujours été. Mais il apparut rapidement qu’il revenait transformé plus fort et plus exigeant, galvanisé par sa traversée du désert.
La voie du retour vers le plaisir fut semée d’embûches : fantasmeurs, lapins, etc. Elle a dû traverser les affres de la drague virtuelle, qui je crois n’épargnent personne.
Elle revit donc d’abord un de ses anciens soumis, avec qui elle avait renoué la discussion. Bien qu’homosexuel, il adore se faire passer à tabac par Gabrielle, et fut gâté.
Elle revint de cette rencontre, en juin, avec plus d’appétit encore.
Soudain, elle tomba simultanément sur deux soumis sérieux et correspondant exactement à sa recherche. L’alignement des planètes était parfait, parce qu’à ce moment je quittais notre domicile pour des vacances d’été en famille, la laissant seule et libre de rencontrer sans contrainte.
Le premier, marié, vivait son masochisme de manière clandestine, et Gabrielle dut retenir ses coups pour ne pas le trahir aux yeux de sa femme. Frustrée, elle se vengea sur le deuxième qui s’avéra parfait : très docile et acceptant les marques.
Comme elle ne fait pas les choses à moitié, ils vécurent en mon absence une véritable lune de miel. Ils séjournèrent ensemble chez l’un puis chez l’autre, souvent pour plusieurs jours, et ce à maintes reprises. Elle fut tellement charmée que leur relation prit un cours plus intime, où les séances BDSM devirent ponctuées de câlins amoureux où leurs corps s’unissaient.
Je n’étais pas toujours très concentré lorsque, en famille, je les savais ensemble sans recevoir de nouvelles : elle est toujours très concentrée sur l’homme avec qui elle est quand elle rencontre. Pleinement dans l’instant, elle communique alors très peu. Imaginez-vous : trois ou quatre jours avec seulement un ou deux textos par jour pour assurer que tout va bien, le reste étant à deviner. Tempête sous un crâne (et en bas du ventre) ! Je n’en menais pas large non plus lorsqu’ils se séparaient et qu’elle ne tarissait plus d’éloge sur lui et la qualité du temps qu’ils avaient partagé. J’étais ravi qu’elle soit pleinement épanouie, agréablement surpris même, mais sans cesse inquiet et traversé de milles interrogations.
Puis les vacances touchèrent à leurs fins. Comme prévu, elle me rejoint dans ma famille quelques jours afin que nous rentrions ensemble à Paris pour la rentrée.
Soudain, superbe surprise, nous fûmes invités à une soirée, qui devait avoir lieu juste le jour de notre retour. S’y rendre demandait un petit jeu de prestidigitation logistique, et nous décidâmes que je la déposerais d’abord, puis irait à la maison chercher le nécessaire (robe et escarpins essentiellement) avant de retourner la rejoindre auprès de nos hôtes et amis, qui sont des membres honorables de ce forum : les Saxojaunes. Programme ouvert donc.
Tandis que j’étais à la maison en train de préparer le sac, je reçus un texto des plus surprenants : « prend mes cordes ». Les choses commenceraient-elles déjà à déraper ?? J’étais tendu et impatient à la fois en finissant les préparatifs, puis en reprenant la route.
A l’arrivée, je constatai que l’alcool avait coulé et que l’ambiance était des plus chaleureuses. Etaient présents trois couples, tous candaulistes, et un amant. Aussitôt, Gabrielle partit se changer. La discussion continua calmement en son absence. Elle réapparût rapidement dans ses plus beaux atours : escarpins et simple robe, très échancrée et sans rien en dessous. Elle était prête. Aussitôt, les cordes firent leurs apparitions, et la soirée bascula. Je ne savais pas pourquoi elle m’avait demandé ses cordes mais j’eus aussitôt la réponse : une amie, MissCroclavie, souhaitait les essayer.
Gabrielle m’avait déjà surpris plusieurs fois cet été, mais là j’étais vraiment abasourdi de voir devant nous ces deux femmes, pour lesquelles j’ai tant de tendresse, s’exercer au shibari. Et je n’étais pas au bout de mes surprises pour autant.
MissCroclavie s’avéra très réactive au traitement et ce qui devait être un simple essai, une initiation aux cordes, se transforma en réelle séance de domination. Sous nos yeux ébahis, le sadisme de Gabrielle s’exerçait sur une amie. Elles étaient, au milieu de nous, sur une autre planète. En osmose toutes deux comme si nous autres étions derrière une vitre sans tain, au théâtre ou au stade – un blind test musical joué en parallèle nous donnait de la contenance.
Tout en complicité et en sourires, l’une guidait et l’autre obéissait, tous ses muscles se pliant aux pressions des cordes qu’imposaient Gabrielle. Pendant ce temps, nous autres regardions ce prodige, parfois en discutant d’autre chose, parfois en commentant, mais tous absolument charmés. Le spectacle était divin.
Gabrielle fessait Misscroclavie après l’avoir mise à quatre pattes, puis, après l’avoir redressée, lui pinçait les tétons. Ces sévices étaient ponctués de moments de grande tendresse et de baisers. Gabrielle constatant que son sujet était plus sensible des tétons que des fesses, elle se concentra sur ces derniers, qu’elle tirait et pressait avec de moins en moins de ménagement. Gabrielle souriait et MissCroclavie gémissait, elles avaient l’air heureuses ! Gabrielle allongea aussi à plusieurs reprises MissCroclavie pour accéder à son sexe, aux côtés duquel couraient les cordes, et le titiller, le masser, le gifler, pendant qu’elle l’embrassait sur la bouche.
Je ne sais trop dire combien de temps dura la séance. D’abord parce que j’ai peu regardé ma montre. Ensuite, et surtout, parce que c’était un moment d’éternité qui venait de se dérouler devant nous. Ça aurait pu durer mille ans (ou plus d’un million d’années comme aurait dit Nino). Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et elle se termina.
Tout ce qui venait d’arriver était magnifique et, à proprement parler, incroyable. Gabrielle soumet les hommes d’habitude et jamais je n’aurais cru la voir prendre du plaisir à dominer une femme. MissCroclavie découvrait également, ce qui est un moment difficile. Mais tout cela s’était déroulé le plus naturellement du monde, sans effort et sans rien forcer, comme si c’était simple et habituel, alors que ça n’arrive jamais.
La discussion et la soirée reprirent leur cours, normal en apparence. Mais en réalité, nous étions tous imbibés de l’explosion de pure sensualité qui venait d’avoir lieu au milieu de nous.
Nous étions à la fois chauffés à blanc et épuisés. MissCroclavie, surtout, était vidée et nous quitta rapidement, ce qu’on peut aisément comprendre. MissSaxojaune et Gabrielle s’assoupissaient sur les canapés tandis que leurs hommes se mirent à lécher leurs sexes brûlants, là aussi comme si c’était naturel, sans la moindre gêne. La pudeur n’avait plus lieu d’être.
Il était quatre heures du matin et Gabrielle s’endormit sur le canapé aussitôt après avoir joui de ma langue. Les hommes discutèrent encore un peu et la soirée se termina ainsi.
Nous couchions sur place. Je me réveillais dès sept heures, malgré la fatigue, électrisé encore. Je ne savais que faire dans une maison encore toute assoupie. Comme un lion en cage, j’hésitais à aller dans les autres chambres faire des câlins, mais me retint. Au lieu de ça, je me positionnais calmement au bas du lit, aux pieds de Gabrielle. Au bout d’un moment, elle allongea ses jambes ? Ses pieds se déposèrent sur ma bouche et je commençais à les lécher et les embrasser, profondément ému, pendant un long moment.