- 23 oct. 2023, 10:29
#2753438
Je voudrais aborder ici un sujet que je n'ai guère, voire pas du tout traité par mes poèmes, et qui pourtant s'avère plus présent que l'on croit sur ce forum. Je veux parler de l'attirance du mari prêteur pour l'amant de sa femme ; ou à tout le moins, un essai vers la bisexualité. Que cet essai soit temporaire ou pas d'ailleurs ; peu importe.
Alors je me suis lancé sur ce sujet avec le texte qui suit. J'attends vos retours messieurs (et mesdames aussi bien sûr).
いんけい (inkei),
Le sujet s’avère tabou
Fermé, pour beaucoup d’entre nous .
Existait-il déjà en moi,
Ou bien est-il né avec toi ?
Cela n’a guère d’importance,
Car va cesser mon ignorance.
Ce jour-là, je me suis surpris
À en avoir autant envie.
En un éclair, moi le complice,
Qui au fond de ta femme glisse
Son sexe raide de désir,
Je veux accroître mon plaisir.
De voir si près ta belle queue
Dressée, a mis mes sens en feu.
J’avance hardiment une main ;
C’est beau de se faire du bien.
Tu fermes les yeux de bonheur
Quand je t’astique avec ardeur.
Je me sens heureux, accompli,
Palpitant de vie, mon ami.
Toi comme moi, dorénavant
Voulons aller bien plus avant.
Tu vas siroter, mon lascar,
Comme ta femme, mon nectar.
Entre tes joues va coulisser
Mon sexe par tes soins dressé.
Sucé par elle, puis par toi,
Je me sens beau, je me sens roi.
Alors je me suis lancé sur ce sujet avec le texte qui suit. J'attends vos retours messieurs (et mesdames aussi bien sûr).
いんけい (inkei),
Le sujet s’avère tabou
Fermé, pour beaucoup d’entre nous .
Existait-il déjà en moi,
Ou bien est-il né avec toi ?
Cela n’a guère d’importance,
Car va cesser mon ignorance.
Ce jour-là, je me suis surpris
À en avoir autant envie.
En un éclair, moi le complice,
Qui au fond de ta femme glisse
Son sexe raide de désir,
Je veux accroître mon plaisir.
De voir si près ta belle queue
Dressée, a mis mes sens en feu.
J’avance hardiment une main ;
C’est beau de se faire du bien.
Tu fermes les yeux de bonheur
Quand je t’astique avec ardeur.
Je me sens heureux, accompli,
Palpitant de vie, mon ami.
Toi comme moi, dorénavant
Voulons aller bien plus avant.
Tu vas siroter, mon lascar,
Comme ta femme, mon nectar.
Entre tes joues va coulisser
Mon sexe par tes soins dressé.
Sucé par elle, puis par toi,
Je me sens beau, je me sens roi.
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Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier