Sentant bien que son audace n'est pas sans provoquer quelque réaction, elle s'applique à faire monter d'un cran la douce chaleur des lieux.
Et comment faire lorsque d'un déhanché ravageur et langoureux suivi d'un baiser passionné, on a déjà fait péter la braguette de son hôte ?
Et bien on se laisse glisser le long de son buste pour expirer un souffle torride sur son caleçon gonflé de désir, puis on fait glisser son pantalon jusqu'en bas et on extirpe le membre tant désiré pour le faire apparaître dans toute sa fierté.
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J'adore ce moment où elle découvre tout à la fois l'effet qu'elle produit, et la queue qui va lui prodiguer le plaisir auquel elle pense fiévreusement depuis quelques heures.
Je sais dire à son expression, juste au moment où jaillit le pieu, si elle adoooore ce qu'elle voit et perd tout contrôle, ou si elle l'apprécie plus modestement, qu'elle soit moins large, moins dressée, ou moins belle que prévu (ça arrive). C'est que madame fait sa difficile...
Ce soir là en tous cas, nul besoin d'être un psychologue émérite pour constater l'envie qui la prend immédiatement de flatter ce sexe qui coche absolument tous les critères de ses fantasmes inavoués.
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Un petit coup de langue pour faire... languir le monsieur (ça doit venir de là non
) ?
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... Et puis débutent des va-et-vients humides, lentement puis plus rapidement, sous le regards et les soupirs appréciateurs de notre hôte. Elle cherche à faire plaisir c'est une évidence, comme pour anticiper qu'on lui rende la pareille, ou mieux, qu'on la lui rende au centuple... Elle saisit les couilles de son amant tout en le suçant de plus en plus rapidement, en éprouve la densité tout en les caressant avec douceur et dévotion.
Elle qui apprécie également sans réserve les bourses pleines et volumineuses n'est pas déçue du voyage : elles sont parfaites
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Moi qui suis parfois tellement concentré sur ma tâche de reporter que mon excitation reste purement cérébrale, je dois dire que devant ce début de soirée tonitruant, j'avais le plus grand mal à rester de marbre
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