- 16 déc. 2023, 10:33
#2765574
Je ne sais pas toujours tout. Nous sommes évidemment très proches avec Gaëlle, depuis toujours et encore plus depuis que nous nous sommes mis ouvertement à la pratique du candaulisme. Elle a tous les droits, du moment que je vois. C'est pour cette raison (surtout) que j'ai installé des caméras dans la maison auxquelles j'ai accès en direct sur mon téléphone.
Ainsi, je lui fais confiance mais il est vrai que je préfère qu'elle me prévienne pour des raisons de sécurité en plus des raisons moins louables... On a déjà eu plusieurs problèmes et je préfère être en mesure de réagir aux cas où le moment serait amené à dégénérer (ca pourrait faire l'objet d'un post à l'occasion).
Bref, j'étais en déplacement, en séminaire, à une soixantaine de kilomètres de la maison en Normandie avec une nuit, le jeudi, à passer là-bas. Nous finissons tard le repas (et l'apéro) et lorsque viens le moment de me coucher, je regarde mon téléphone n'affichant aucune notifications de Gaëlle. Je suis un peu surpris, insiste d'abord par messages puis je l'appeler au bout d'une dizaine de minutes sans qu'elle ne décroche. Je décide alors de visionner les caméras en direct de l'appartement.
Mes bras m'en tombent, un sentiment de malaise mêlé d'excitation perverse parcourt mon corps entier devant la scène qui est actuellement en train de se dérouler dans ma propre maison.Gaëlle est en compagnie de, je les compte, un, deux, trois (!) blacks au beau milieu de mon salon et ils ne sont pas en train de regarder un film... Je suis aussi choqué qu'excité. C'est comme regarder un porno mais dans lequel je serais acteur ou plutôt producteur quelque part.... Je lui en veux de ne pas m'avoir prévenu mais je suis encore plus excité du fait qu'elle ne l'ait pas fait...
Au début, je m'attelle à comprendre si elle est en train de se faire sodomiser par l'un des protagonistes. Ce qui est sur c'est qu'il est en elle et que l'amplitude des mouvements montre qu'il est bien doté. Elle est en train de dispenser à quatre pattes sur mon tapis une fellation à un autre mec que je n'ai jamais vu.
Ensuite, j'ai une poussée de jalousie qui me conduit à la rappeler. Je vois Gaëlle se faire enculer pendant qu'elle suce une grosse bite. Je la vois s'arrêter dans son entreprise lorsque le troisième individu lui tend son portable. Elle se repose sur ses coudes et non plus sur ses poignets pour manipuler son téléphone pendant qu'elle est pénétrée. Je vois qu'elle hésite à répondre et qu'elle finit par laisser sonne dans le vide. Je suppose qu'une fois l'appel terminé elle regarde l'ensemble des messages que je lui ai envoyés. Je la rappelle une seconde fois et elle me répond aussitôt d'une voix encombrée (sans doute par le sperme). Je me concentre sur les bruits suspects mais j'observe que son bourreau a considérablement ralenti la cadence et qu'il s'enfonce en elle discrètement.
Je lui demande si ça va vu qu'elle ne m'a pas envoyé de sms ce soir ni répondu au téléphone. Elle me répond que tout va très bien et qu'elles s'était endormie devant la télé. Je suis en plein dilemme. Soit lui reproché de coucher avec trois mecs à la maison sans en avoir été avisé avec la conséquence qu'elle découvrirait les caméras dans la maison (elle croit qu'il s'agit juste de détecteurs de mouvements) , soit laisser couler... Je ne peux évidemment pas renoncer aux caméras car c'est le lien avec le peu de contrôle sur elle qui me reste... Je lui souhaite donc bonne nuit et nous nous disons je t'aime. A peine reposé, ou plutôt jeté le téléphone sur le côté, elle reprend sa pipe de plus belle et je devine que les coups de bite dans son corps sont également plus violent.
Je mentirais si je disais que je ne me masturbais pas face à la scène.... Mais cette situation que je trouve suffisamment gênante justifie quelques investigations. J'accède aux enregistrements de la journée pour comprendre qui sont ces hommes qui baisent ma femme chez moi. Je visionne toutes les pièces et je tombe encore une fois des nues lorsque je constate la présence de deux sac réfrigérés estampillée Uberats dans l'entrée. Elle est vraiment en train de se faire prendre par des livreurs ??? Mon Dieu mais quelle salope !!
Je remonte le fil jusqu'à 21h48 où je vois qu'elle approche de la porte d'entrée en peignoir. Elle ouvre la porte et je vois un homme casqué qui lui tend une commande dans un sac en kraft. Elle le réceptionne et ils discutent quelques minutes. Je me masturbe toujours en réfléchissant à leurs échanges (c'est tellement facile pour une femme...). Je devine de dos, que Gaëlle ouvre son peignoir devant lui.... Il n'hésite pas longtemps avant de lui toucher la poitrine. Elle l'invite à rentrer chez nous et le fais s'assoir sur le canapé. Il retire son casque. C'est bon je vois Gaëlle de face dans le salon et je peux affirmer qu'elle est entièrement nue sous son peignoir ouvert. Le livreur a donc accès à l'intégralité de l'intimité de ma femme si prude au quotidien...
Ils plaisantent. Dans ma tête, je me dis qu'il sait comment ca va finir et je sais également ce qu'il pense de ma femme.... Ce genre de nympho à baiser, une opportunité. de satisfaire cette bourgeoise en manque. Ils ont l'air d'avoir une conversation sérieuse dans le cadre de laquelle il semble manifester son désaccord. Elle lui désigne son téléphone avec le doigts, qu'il porte au poignet sur son manteau imperméable. Il le retire et passe un appel pendant qu'elle s'agenouille devant lui et attache ses cheveux. Je sais ce qu'elle s'apprête à faire. Il regarde son téléphone comme si la communication avait cessé et rappelle mais cette fois si en visio à en croire la manière dont il tient son téléphone et la lumière qui se dégage de son écran. Ma femme sort sa bite et je devine son pénis disparaitre dans sa gorge. Elle est en train de le sucer. Il filme ou plutôt il la montre à son interlocuteur. La communication cesse et elle reste comme ca pendant une dizaine de minutes.
Jusqu'à ce, à 22h04 précisément, elle se dirige vers la porte pour ouvrir cette fois non pas à un mais à deux livreurs qui ont ramené leur sac réfrigéré probablement pour ne pas se le faire voler. Elle les redirige également vers le canapé. Ils retirent tous, probablement à sa demande, leur pantalon et leur sous vêtements. Gaëlle les suce chacun leur tour. C'est terriblement excitant.... Je regrette de vivre ce moment par la médiation d'un écran, sans sentir les odeurs et entendre les gémissements de ma femme sous l'assaut des coups de bite. Je passe en accéléré le film porno qui est tourné chez moi. Je n'ai pas vu de préservatifs même si je peine à croire qu'elle ne leur a pas imposé. Je reviens au flux direct et je suis une nouvelle fois choqué de voir le corps de ma femme disparaitre sous celui de trois inconnus qui la prennent désormais en double pénétration (elle en raffole) pendant qu'elle suce une troisième. Elle est en très mauvaise posture alors qu'elle m'a dit qu'elle se couchait... Je perçois la délicieuse sensation de souffrance mêlée au plaisir sur son visage, ce dilemme magnifique à contempler sur le visage de sa femme lorsqu'elle est reçoit plusieurs membres.
Elle reçoit des claques, je bondis de mon lit. C'en est trop, ca ne peut pas continuer comme ça...J'hésite à rentrer chez moi mais de quoi aurais-je l'air si je surprenais physiquement ma femme avec 3 hommes ? Mais surtout, pourquoi ne m'a-t-elle rien dit ? Me cache-t-elle des choses ??? S'agit-il d'une rupture de confiance ou est-ce prévu dans notre "contrat" ? Elle m'a déjà prévenu a posteriori sans que je puisse vraiment lui reprocher avec l'échange de photos et de vidéos coupent en général court toute dispute. Ce n'est pas ça, c'est le fait qu'elle me mente ouvertement, pourquoi fait-elle ça ? Elle n'a même pas mis la caméra sur trépied, ce n'est pas un surprise ou un cadeau, je ne comprends pas. Elle a l'air d'aimer ça, et elle redemande des claques.
Celui qui est sur elle prend son téléphone et filme la scène, je me dis que tout dégénère et que c'est exactement ce dont il faut avoir peur avec ce genre de profils "non sélectionnés". Pour la caméra, il lui assène quelques fessées que je devine bruyantes, il lui dire les cheveux. Je suis condamné à l'inaction, à subir cette scène impuissant. Je finis par avoir un orgasme contrit, culpabilisé mais salutaire parce qu'il me permet de retrouver ma lucidité. J'appelle donc Gaëlle qui voit très bien mon appel sur le téléphone qui se trouve à hauteur de sa tête, sur le canapé. Elle décide de ne pas y répondre délibérément. Je choisis donc de partir la rejoindre. En moins de 5 minutes je suis déjà dans ma voiture et le GPS affiche une heure d'arrivée dans 35 minutes. Je manipule maladroitement le téléphone pour avoir tantôt le GPS qui s'affiche, tantôt la vidéo directe. Je dois brancher mon téléphone dont la batterie s'amenuise à vue d'oeil. Je suis devant la maison, je n'ai même pas envoyé de sms parce plus la durée qui me sépare de mon dernier orgasme s'allonge, plus le sentiment qui domine est l'excitation, elle prime sur la culpabilité .
Je suis garé dans ma rue, moteur tournant pour le chauffage. Je rouvre l'application. Mon Dieu, ils sont désormais 4 !!! J'ai du prioriser le GPS pendant une quinzaine de minutes, comme cela est possible ?? Je repasse l'historique et constate effectivement qu'un autre homme est entré chez moi. Il a été ouvert par l'un d'eux. Ils se connaissent bien au regard de leurs salutations chaleureuses. Il doit vouloir faire profiter à son ami. Comment le lui reprocher quand on voit Gaëlle, et pas seulement son corps, sa manière d'être, son regard bleu qui reflètent sa volonté d'en avoir toujours plus et de toujours repousser les limites. Elle n'a même pas l'air surprise de la venue d'un quatrième inconnu qui vient loger sa bite directement dans la bouche de ma femme (je me pose souvent la question de savoir si elle fini par vraiment faire la différence entre toutes ces bites...). J'hésite à rentrer pour profiter aussi de ma femme, de la contempler, de filmer son visage marqué par les sensations de son propre corps. Au moins je suis à proximité en cas de problème.
Il est 23h30 et elle continue à se faire limer, quelle endurance... Elle est désormais allongée sur le sol et ils la prennent chacun leur tour entre deux allers et retours au frigo. Je me demande, avec une certaine excitation, si c'est bien la première fois qu'ils viennent... Elle a le pouvoir de les rendre à l'aise, trop à l'aise peut être puisqu'ils se servent en toute impunité dans le frigo et plaisantent pendant que l'un d'eux baisse ma femme en missionnaire devant les autres. Elle est un objet de plaisir à utiliser sans ménagements. Ils ne la respectent pas. Les spectateurs confortablement assis sur le canapé en buvant mes boisions s'excitent et donne des instructions à leur comparse avec une gestuelle très évocatrice. Ils rient de cette situation, gargarisés par le plaisir facile qu'ils procurent à ma femme. Des claques sont données, des doigts sont plongés dans sa bouche, ses cheveux sont tirés, ses tétons sont pincés. L'un d'eux s'agenouille même sur son visage surement pour qu'elle lui lèche plus que les parties génitales. Elle accepte tout, dans un état second, je la devine exténuée et à peine lucide. Ils jouent avec elle. C'est ce qu'elle voulait, tant pis pour elle, ca lui donnera une leçon. Ils changent de position, Gaëlle est désormais à quatre pattes, sur ses coudes, son cul en offrande.
Je me délecte de cette situation qu'elle semble désormais subir physiquement et surtout psychologiquement. Elle est devenue un objet de curiosité, ils testent ses limites. Quelques doigts dans son cul qu'ils portent à sa bouche. Quelques photos aussi. Elle fait tout, je ne connais pas de limites à Gaëlle. Sa seule limite, c'est moi. Je rassemble donc mon courage à deux mains pour lui envoyer un message "je suis la dans 15 min". Elle ne réagit même plus et elle n'aurait probablement jamais consulté son portable s'il ui avait pas été porté par l'un des livreurs. Elle se débarrasse des corps étrangers et, paniquée, les invite à partir. Ils n'ont pas l'air décidé et je pense qu'elle comprend vite, pour connaitre les hommes, qu'il faut qu'elle les finissent. Ils se lèvent et se place autour d'elle, à genoux, tenant les cuisses de chacun d'entre eux, la bouche ouverte et la langue tirée. Ils finissent sur son visage et ses seins.
Je les vois partir rigolant, se serrant dans les bras comme s'ils célébraient une victoire. Ils enfilent leurs casques et montent, pour 3 d'entre eux sur le scooter mal entretenu et très bruyant. Ils prennent tous la même direction et disparaissent dans le calme et l'anonymat parisien. Pour le quatrième, il part à pied et vient dans ma direction en empruntant le même trottoir. Je n'attend pas qu'il parvienne à ma hauteur pour aller à sa rencontre à pied. Je m'imagine l'interrompre succinctement "ca va ? tu t'as bien baisé ma femme et tu t'es bien vidé les couilles sur elle avec tes potes?". Aucun de ces mots ne sortent de ma bouche à l'exception d'un "bonsoir" maladroit auquel ce grand black de 1,90m ne daigne même pas répondre.
Je rentre chez moi et Gaëlle en espérant secrètement qu'elle n'a pas eu le temps de prendre sa douche. Dans tous les cas je la posséderai ce soir.
Ainsi, je lui fais confiance mais il est vrai que je préfère qu'elle me prévienne pour des raisons de sécurité en plus des raisons moins louables... On a déjà eu plusieurs problèmes et je préfère être en mesure de réagir aux cas où le moment serait amené à dégénérer (ca pourrait faire l'objet d'un post à l'occasion).
Bref, j'étais en déplacement, en séminaire, à une soixantaine de kilomètres de la maison en Normandie avec une nuit, le jeudi, à passer là-bas. Nous finissons tard le repas (et l'apéro) et lorsque viens le moment de me coucher, je regarde mon téléphone n'affichant aucune notifications de Gaëlle. Je suis un peu surpris, insiste d'abord par messages puis je l'appeler au bout d'une dizaine de minutes sans qu'elle ne décroche. Je décide alors de visionner les caméras en direct de l'appartement.
Mes bras m'en tombent, un sentiment de malaise mêlé d'excitation perverse parcourt mon corps entier devant la scène qui est actuellement en train de se dérouler dans ma propre maison.Gaëlle est en compagnie de, je les compte, un, deux, trois (!) blacks au beau milieu de mon salon et ils ne sont pas en train de regarder un film... Je suis aussi choqué qu'excité. C'est comme regarder un porno mais dans lequel je serais acteur ou plutôt producteur quelque part.... Je lui en veux de ne pas m'avoir prévenu mais je suis encore plus excité du fait qu'elle ne l'ait pas fait...
Au début, je m'attelle à comprendre si elle est en train de se faire sodomiser par l'un des protagonistes. Ce qui est sur c'est qu'il est en elle et que l'amplitude des mouvements montre qu'il est bien doté. Elle est en train de dispenser à quatre pattes sur mon tapis une fellation à un autre mec que je n'ai jamais vu.
Ensuite, j'ai une poussée de jalousie qui me conduit à la rappeler. Je vois Gaëlle se faire enculer pendant qu'elle suce une grosse bite. Je la vois s'arrêter dans son entreprise lorsque le troisième individu lui tend son portable. Elle se repose sur ses coudes et non plus sur ses poignets pour manipuler son téléphone pendant qu'elle est pénétrée. Je vois qu'elle hésite à répondre et qu'elle finit par laisser sonne dans le vide. Je suppose qu'une fois l'appel terminé elle regarde l'ensemble des messages que je lui ai envoyés. Je la rappelle une seconde fois et elle me répond aussitôt d'une voix encombrée (sans doute par le sperme). Je me concentre sur les bruits suspects mais j'observe que son bourreau a considérablement ralenti la cadence et qu'il s'enfonce en elle discrètement.
Je lui demande si ça va vu qu'elle ne m'a pas envoyé de sms ce soir ni répondu au téléphone. Elle me répond que tout va très bien et qu'elles s'était endormie devant la télé. Je suis en plein dilemme. Soit lui reproché de coucher avec trois mecs à la maison sans en avoir été avisé avec la conséquence qu'elle découvrirait les caméras dans la maison (elle croit qu'il s'agit juste de détecteurs de mouvements) , soit laisser couler... Je ne peux évidemment pas renoncer aux caméras car c'est le lien avec le peu de contrôle sur elle qui me reste... Je lui souhaite donc bonne nuit et nous nous disons je t'aime. A peine reposé, ou plutôt jeté le téléphone sur le côté, elle reprend sa pipe de plus belle et je devine que les coups de bite dans son corps sont également plus violent.
Je mentirais si je disais que je ne me masturbais pas face à la scène.... Mais cette situation que je trouve suffisamment gênante justifie quelques investigations. J'accède aux enregistrements de la journée pour comprendre qui sont ces hommes qui baisent ma femme chez moi. Je visionne toutes les pièces et je tombe encore une fois des nues lorsque je constate la présence de deux sac réfrigérés estampillée Uberats dans l'entrée. Elle est vraiment en train de se faire prendre par des livreurs ??? Mon Dieu mais quelle salope !!
Je remonte le fil jusqu'à 21h48 où je vois qu'elle approche de la porte d'entrée en peignoir. Elle ouvre la porte et je vois un homme casqué qui lui tend une commande dans un sac en kraft. Elle le réceptionne et ils discutent quelques minutes. Je me masturbe toujours en réfléchissant à leurs échanges (c'est tellement facile pour une femme...). Je devine de dos, que Gaëlle ouvre son peignoir devant lui.... Il n'hésite pas longtemps avant de lui toucher la poitrine. Elle l'invite à rentrer chez nous et le fais s'assoir sur le canapé. Il retire son casque. C'est bon je vois Gaëlle de face dans le salon et je peux affirmer qu'elle est entièrement nue sous son peignoir ouvert. Le livreur a donc accès à l'intégralité de l'intimité de ma femme si prude au quotidien...
Ils plaisantent. Dans ma tête, je me dis qu'il sait comment ca va finir et je sais également ce qu'il pense de ma femme.... Ce genre de nympho à baiser, une opportunité. de satisfaire cette bourgeoise en manque. Ils ont l'air d'avoir une conversation sérieuse dans le cadre de laquelle il semble manifester son désaccord. Elle lui désigne son téléphone avec le doigts, qu'il porte au poignet sur son manteau imperméable. Il le retire et passe un appel pendant qu'elle s'agenouille devant lui et attache ses cheveux. Je sais ce qu'elle s'apprête à faire. Il regarde son téléphone comme si la communication avait cessé et rappelle mais cette fois si en visio à en croire la manière dont il tient son téléphone et la lumière qui se dégage de son écran. Ma femme sort sa bite et je devine son pénis disparaitre dans sa gorge. Elle est en train de le sucer. Il filme ou plutôt il la montre à son interlocuteur. La communication cesse et elle reste comme ca pendant une dizaine de minutes.
Jusqu'à ce, à 22h04 précisément, elle se dirige vers la porte pour ouvrir cette fois non pas à un mais à deux livreurs qui ont ramené leur sac réfrigéré probablement pour ne pas se le faire voler. Elle les redirige également vers le canapé. Ils retirent tous, probablement à sa demande, leur pantalon et leur sous vêtements. Gaëlle les suce chacun leur tour. C'est terriblement excitant.... Je regrette de vivre ce moment par la médiation d'un écran, sans sentir les odeurs et entendre les gémissements de ma femme sous l'assaut des coups de bite. Je passe en accéléré le film porno qui est tourné chez moi. Je n'ai pas vu de préservatifs même si je peine à croire qu'elle ne leur a pas imposé. Je reviens au flux direct et je suis une nouvelle fois choqué de voir le corps de ma femme disparaitre sous celui de trois inconnus qui la prennent désormais en double pénétration (elle en raffole) pendant qu'elle suce une troisième. Elle est en très mauvaise posture alors qu'elle m'a dit qu'elle se couchait... Je perçois la délicieuse sensation de souffrance mêlée au plaisir sur son visage, ce dilemme magnifique à contempler sur le visage de sa femme lorsqu'elle est reçoit plusieurs membres.
Elle reçoit des claques, je bondis de mon lit. C'en est trop, ca ne peut pas continuer comme ça...J'hésite à rentrer chez moi mais de quoi aurais-je l'air si je surprenais physiquement ma femme avec 3 hommes ? Mais surtout, pourquoi ne m'a-t-elle rien dit ? Me cache-t-elle des choses ??? S'agit-il d'une rupture de confiance ou est-ce prévu dans notre "contrat" ? Elle m'a déjà prévenu a posteriori sans que je puisse vraiment lui reprocher avec l'échange de photos et de vidéos coupent en général court toute dispute. Ce n'est pas ça, c'est le fait qu'elle me mente ouvertement, pourquoi fait-elle ça ? Elle n'a même pas mis la caméra sur trépied, ce n'est pas un surprise ou un cadeau, je ne comprends pas. Elle a l'air d'aimer ça, et elle redemande des claques.
Celui qui est sur elle prend son téléphone et filme la scène, je me dis que tout dégénère et que c'est exactement ce dont il faut avoir peur avec ce genre de profils "non sélectionnés". Pour la caméra, il lui assène quelques fessées que je devine bruyantes, il lui dire les cheveux. Je suis condamné à l'inaction, à subir cette scène impuissant. Je finis par avoir un orgasme contrit, culpabilisé mais salutaire parce qu'il me permet de retrouver ma lucidité. J'appelle donc Gaëlle qui voit très bien mon appel sur le téléphone qui se trouve à hauteur de sa tête, sur le canapé. Elle décide de ne pas y répondre délibérément. Je choisis donc de partir la rejoindre. En moins de 5 minutes je suis déjà dans ma voiture et le GPS affiche une heure d'arrivée dans 35 minutes. Je manipule maladroitement le téléphone pour avoir tantôt le GPS qui s'affiche, tantôt la vidéo directe. Je dois brancher mon téléphone dont la batterie s'amenuise à vue d'oeil. Je suis devant la maison, je n'ai même pas envoyé de sms parce plus la durée qui me sépare de mon dernier orgasme s'allonge, plus le sentiment qui domine est l'excitation, elle prime sur la culpabilité .
Je suis garé dans ma rue, moteur tournant pour le chauffage. Je rouvre l'application. Mon Dieu, ils sont désormais 4 !!! J'ai du prioriser le GPS pendant une quinzaine de minutes, comme cela est possible ?? Je repasse l'historique et constate effectivement qu'un autre homme est entré chez moi. Il a été ouvert par l'un d'eux. Ils se connaissent bien au regard de leurs salutations chaleureuses. Il doit vouloir faire profiter à son ami. Comment le lui reprocher quand on voit Gaëlle, et pas seulement son corps, sa manière d'être, son regard bleu qui reflètent sa volonté d'en avoir toujours plus et de toujours repousser les limites. Elle n'a même pas l'air surprise de la venue d'un quatrième inconnu qui vient loger sa bite directement dans la bouche de ma femme (je me pose souvent la question de savoir si elle fini par vraiment faire la différence entre toutes ces bites...). J'hésite à rentrer pour profiter aussi de ma femme, de la contempler, de filmer son visage marqué par les sensations de son propre corps. Au moins je suis à proximité en cas de problème.
Il est 23h30 et elle continue à se faire limer, quelle endurance... Elle est désormais allongée sur le sol et ils la prennent chacun leur tour entre deux allers et retours au frigo. Je me demande, avec une certaine excitation, si c'est bien la première fois qu'ils viennent... Elle a le pouvoir de les rendre à l'aise, trop à l'aise peut être puisqu'ils se servent en toute impunité dans le frigo et plaisantent pendant que l'un d'eux baisse ma femme en missionnaire devant les autres. Elle est un objet de plaisir à utiliser sans ménagements. Ils ne la respectent pas. Les spectateurs confortablement assis sur le canapé en buvant mes boisions s'excitent et donne des instructions à leur comparse avec une gestuelle très évocatrice. Ils rient de cette situation, gargarisés par le plaisir facile qu'ils procurent à ma femme. Des claques sont données, des doigts sont plongés dans sa bouche, ses cheveux sont tirés, ses tétons sont pincés. L'un d'eux s'agenouille même sur son visage surement pour qu'elle lui lèche plus que les parties génitales. Elle accepte tout, dans un état second, je la devine exténuée et à peine lucide. Ils jouent avec elle. C'est ce qu'elle voulait, tant pis pour elle, ca lui donnera une leçon. Ils changent de position, Gaëlle est désormais à quatre pattes, sur ses coudes, son cul en offrande.
Je me délecte de cette situation qu'elle semble désormais subir physiquement et surtout psychologiquement. Elle est devenue un objet de curiosité, ils testent ses limites. Quelques doigts dans son cul qu'ils portent à sa bouche. Quelques photos aussi. Elle fait tout, je ne connais pas de limites à Gaëlle. Sa seule limite, c'est moi. Je rassemble donc mon courage à deux mains pour lui envoyer un message "je suis la dans 15 min". Elle ne réagit même plus et elle n'aurait probablement jamais consulté son portable s'il ui avait pas été porté par l'un des livreurs. Elle se débarrasse des corps étrangers et, paniquée, les invite à partir. Ils n'ont pas l'air décidé et je pense qu'elle comprend vite, pour connaitre les hommes, qu'il faut qu'elle les finissent. Ils se lèvent et se place autour d'elle, à genoux, tenant les cuisses de chacun d'entre eux, la bouche ouverte et la langue tirée. Ils finissent sur son visage et ses seins.
Je les vois partir rigolant, se serrant dans les bras comme s'ils célébraient une victoire. Ils enfilent leurs casques et montent, pour 3 d'entre eux sur le scooter mal entretenu et très bruyant. Ils prennent tous la même direction et disparaissent dans le calme et l'anonymat parisien. Pour le quatrième, il part à pied et vient dans ma direction en empruntant le même trottoir. Je n'attend pas qu'il parvienne à ma hauteur pour aller à sa rencontre à pied. Je m'imagine l'interrompre succinctement "ca va ? tu t'as bien baisé ma femme et tu t'es bien vidé les couilles sur elle avec tes potes?". Aucun de ces mots ne sortent de ma bouche à l'exception d'un "bonsoir" maladroit auquel ce grand black de 1,90m ne daigne même pas répondre.
Je rentre chez moi et Gaëlle en espérant secrètement qu'elle n'a pas eu le temps de prendre sa douche. Dans tous les cas je la posséderai ce soir.