Récemment deux magnifiques coquins,
@Saxojaune {http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2760911#p2760911} et
@Patrice63 {http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2760899#p2760899} ont publié des réflexions très intéressantes et profondes quant à leurs ressentis et perceptions du candaulisme, et s'interrogeaient sur ceux que vivaient et ressentaient les complices.
Je tente, par le poème ci-dessous, de répondre à leurs interrogations.
Feu sacré (âtar آتش),
Comment décrire l’impensable,
Cet espace-temps improbable,
Où l’âme infusée de bonheur
Défie toutes les pesanteurs ?
Longtemps, je n’ai rien su de lui ;
Aveugle perdu dans ma nuit.
Depuis que je lui suis fidèle,
Frissons et caresses se mêlent.
C’est un feu brûlant et éteint,
Pèlerine aux clous de satin ;
Flamme bien visible et cachée,
Au message clair et brouillé.
C’est un feu beau et enjôleur,
Un jardin aux mille senteurs ;
Âtre à la fois doux et violent,
Au souffle long et haletant.
C’est un feu où le mot banal,
Gît, dans le chaos primordial ;
Foyer aux joies contradictoires
Et aux sensations transitoires.
C’est un feu qui teste les peurs
En écartant les amateurs ;
Brasier qui te fera grandir
Si son chemin tu sais tenir.
C’est un feu au-delà du bien,
Ou du mal, qui te fera sien.
Brandon qui génère le vent
Dont sont issus les bons amants.
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