- 03 mars 2024, 16:04
#2783116
Sonia passait donc aux confidences. Après avoir cherché à nier tout en bloc ou à minimiser, elle se jetait à corps perdu dans les aveux les plus complets, pour se soulager, pour afficher son « entière coopération », comme on dit dans les affaires judiciaires. A la question « Est-ce qu’il t’a pénétrée ? », un « oui » sincère et immédiat était sorti de ses lèvres. Combien de fois ? Souvent. C’est-à-dire ? Presque tous les jours ? Mais vous faisiez ça où ? A la sellerie du manège, ou des fois chez Marco. Donc mon épouse allait se faire sauter comme ça tranquillement quand je la quittais après le petit-déjeuner ; ça faisait partie du programme de sa journée. Une sorte de vertige me saisit en découvrant l’étendue des faits. J’avais l’impression que mon sang n’irriguait plus mon cerveau, mais ce qui est sûr aussi c’est qu’il avait afflué dans ma verge, car j’avais une très forte érection. Mû par le désir bien légitime de faire toute la lumière sur les agissements de ma femme et certainement aussi par l’excitation de plus en plus intense, qui le disputait avec la colère, je poussais Sonia dans ses derniers retranchements et exigeait qu’elle me détaille chacune de leurs pratiques. Chaque révélation me traversait comme un éclair. Elle suçait Marco assidument, notamment en voiture, quand ils allaient chez lui. C’était pour le mettre en forme, me disait-elle. Elle le suçait aussi au manège, et une fois, quelque instants après avoir tout avalé, elle avait croisé Gianni, à qui elle avait donné un petit smack sur les lèvres, riant intérieurement en pensant à la forte odeur de pipe qu’il n’avait sans doute pas manqué de percevoir. Partie sur sa lancée, Sonia avait progressivement changé de ton ; celle qui s’exprimait n’était plus l’épouse honteuse et repentante face à son confesseur, mais une joyeuse polissonne débitant ses gaudrioles. Parfois, elle hésitait quand même un peu, prenait quelques précautions, tout de même. Elle me dit ainsi que cette crème apaisante pour le mains que j’avais cherchée partout (je travaillait alors le ciment, ce qui dessèche beaucoup la peau), c’est elle qui l’avait prise. Pourquoi ? Tout simplement pour se lubrifier. Explications : Marco avait essayé de la sodomiser en la préparant avec ses doigts. Mais la salive ne suffisant pas à faire glisser sa grosse queue dans le cul de mon épouse, Sonia, avait pensé à ma crème pour les mains. Et la fois d’après, tout s’était bien passé. Il avait pu l’enculer à souhait en lui claquant les fesses et lui tirant les cheveux. Elle s’était sentie très femme, très femelle.
N’y tenant plus, je me saisis de ma salope de femme la retournai et lui administrai une magistrale fessée. Claquer le postérieur de mon épouse, investi le matin même par la queue de son amant, m’excitait au plus haut point.
Hâte de lire vos retours (n’hésitez pas à commenter en termes crus. Les amants de Sonia n'hésitent pas à la traiter de pute; elle apprécie et moi aussi)
N’y tenant plus, je me saisis de ma salope de femme la retournai et lui administrai une magistrale fessée. Claquer le postérieur de mon épouse, investi le matin même par la queue de son amant, m’excitait au plus haut point.
Hâte de lire vos retours (n’hésitez pas à commenter en termes crus. Les amants de Sonia n'hésitent pas à la traiter de pute; elle apprécie et moi aussi)