[trestigres]

@trestigres merci chère tsarine pour cette jolie dédicace si dionysiaque. Je sais ton attrait pour les appâts masculins conséquents qui te comblent d'aise lors de tes parties de baise.

Voici une preuve supplémentaire de l' immense appétit sexuel, couplé à un non moins immense besoin de liberté et de découverte chez Victoire. Malgré, ou à cause ?, des ans, la tsarine ne pouvait se résoudre à capituler face à ses impérieux désirs libertins et à cette nécessité viscérale qu'ont les femmes sexe prouver qu'elles plaisent encore et toujours aux hommes. Le choix de M comme amant s'inscrit évidemment dans cette trajectoire. Je dis amant et non complice, car sa dissimulation visuelle s'apparente à ce que je qualifierais "d'adultère partiel par omission" : ne rien montrer à son mari, mais ne rien lui cacher. Évidemment, il faut se mouvoir dans l'univers libertin pour en saisir le sens, et en apprécier la complexité. Et Victoire et toi possédaient cette capacité cognitive du fait de vos pratiques.
Comment ne pas être soufflé et ébloui par l'audace de la tsarine partant en escapade sexuelle soudaine avec son jeune amant ? Comment ne pas être attendri voire ému par l'approbation compréhensive du mari candauliste qui n'aura que son imagination pendant cette absence ? Il faut être deux pour le tango coquin ; et comme vous le dansez bien !

Ta description clinique et teintée d'effroi dissimule de M montre à quel point cet homme remarquable eût été ton vrai rival s'il avait été plus âgé. Eut-il été capable de te ravir Victoire ? Ce n'est pas impossible tant ses qualités intellectuelles, son physique et son humour en faisaient un adversaire particulièrement redoutable. Bien davantage que P dont l'appétit sexuel démesuré et peu sélectif ainsi que le moindre rayonnement intellectuel ne prouvaient qu'user Victoire. En effet, au-delà du plaisir sexuel que procure un amant étalon comme P, la tsarine doit connaître l'ivresse de la joute intellectuelle, les duels culturels à fleuret moucheté, et l'humour qui la cueille et l'enveloppe.

Vivement la suite de vos trépidantes aventures.

Cher Dionysos, quelle plaisir nous avons eu à te lire. Ton analyse si pénétrante, lumineuse, clairvoyante a ravi Victoire qui a dit, après t’avoir lu, que tu l’as cernée de tellement près qu’elle ne peut plus que se rendre… et danser le tango avec toi !

Oui, j’ai eu peur.
Sa première aventure lors de la fête chez une amie m’avait déjà alerté, mais j’avais estimé que l’alcool aidant, elle avait cédé malgré elle à une pulsion irrésistible pour cet homme séduisant mais redoutable. J’avais eu très peur mais je l’ai contenue grâce à notre longue expérience libertine. Et cette peur s’est mutée en expérience érotique : le candaulisme vint à mon secours ! En faisant le parallèle avec une aventure similaire beaucoup plus ancienne, je me suis rassuré car celle-là n’avait pas eu de suite, ou si peu ! Je m’étais convaincu que je devais la laisser exprimer ses pulsions sans intervenir.
Pourtant cette nouvelle aventure s’apparentait bien à un quasi adultère car ce qu’elle fit s’écartait de nos conventions tacites. Elle le rencontra à mon insu, elle accepta de partir avec lui sans m’en parler au préalable, alors là oui, je fus jaloux et elle le comprit bien, aussi elle tenta de me calmer en me promettant de tout me raconter ou presque, comme elle avait dit, façon d’aiguillonner mon excitation ! Elle se justifia : « je ne suis plus jeune, j’ai repris des hormones pour te faire plaisir mais pas que.. Je ressens des pulsions et des envies érotiques. D’un côté il y a Lison, toi et moi, et de l’autre il y a P.. toi et moi. Mais tu sais bien que je m’en fatigue, P.. n’est plus un jeune homme et il préfère coucher avec Lison, et toi non plus du reste, alors quand un beau mec, jeune, intelligent, cultivé s’intéresse à une cougar comme moi sans que je l’ai sollicité, je me sens flattée, captivée, courtisée. Je me suis donnée à lui, il le voulait tellement, et je ne l’ai pas regretté, même qu’il m’a prise dans les reins, ce que tu as fait avec Lison mais jamais avec moi ! »
Elle est donc partie au bras de son jeune amant ; j’étais à moitié rassuré, en me disant que la différence d’âge jouerait en ma faveur tôt ou tard. Il aurait eu vingt ans de plus, je me serais alarmé !
Mais elle ne communiqua pas pour me rassurer, augmentant à la fois mon angoisse, ma jalousie et mon excitation. J’aurais enduré durement cette semaine d’absence, imaginant des scénarios les plus invraisemblables si je n’avais pas fait venir Lison chez moi ; elle s’installa comme une nouvelle épouse. Elle fut exquise et cela me calma.
Lorsqu’enfin j’ai rencontré cet homme jeune et beau, mon rival, je l’ai trouvé très sympathique. J’ai été rassuré par ce qu’il me dit. Il ne voulait pas mettre à mal notre couple. Il avait eu beaucoup de plaisir à connaître Victoire si intimement et pensait que c’était réciproque, et de façon très discrète me demanda s’il pourrait encore la revoir. Je lui répondis que c’était à elle de poser la question. Et le tango coquin continuait…

[trestigres]

@trestigres merci chère tsarine pour cette jolie dédicace si dionysiaque. Je sais ton attrait pour les appâts masculins conséquents qui te comblent d'aise lors de tes parties de baise.

Voici une preuve supplémentaire de l' immense appétit sexuel, couplé à un non moins immense besoin de liberté et de découverte chez Victoire. Malgré, ou à cause ?, des ans, la tsarine ne pouvait se résoudre à capituler face à ses impérieux désirs libertins et à cette nécessité viscérale qu'ont les femmes sexe prouver qu'elles plaisent encore et toujours aux hommes. Le choix de M comme amant s'inscrit évidemment dans cette trajectoire. Je dis amant et non complice, car sa dissimulation visuelle s'apparente à ce que je qualifierais "d'adultère partiel par omission" : ne rien montrer à son mari, mais ne rien lui cacher. Évidemment, il faut se mouvoir dans l'univers libertin pour en saisir le sens, et en apprécier la complexité. Et Victoire et toi possédaient cette capacité cognitive du fait de vos pratiques.
Comment ne pas être soufflé et ébloui par l'audace de la tsarine partant en escapade sexuelle soudaine avec son jeune amant ? Comment ne pas être attendri voire ému par l'approbation compréhensive du mari candauliste qui n'aura que son imagination pendant cette absence ? Il faut être deux pour le tango coquin ; et comme vous le dansez bien !

Ta description clinique et teintée d'effroi dissimule de M montre à quel point cet homme remarquable eût été ton vrai rival s'il avait été plus âgé. Eut-il été capable de te ravir Victoire ? Ce n'est pas impossible tant ses qualités intellectuelles, son physique et son humour en faisaient un adversaire particulièrement redoutable. Bien davantage que P dont l'appétit sexuel démesuré et peu sélectif ainsi que le moindre rayonnement intellectuel ne prouvaient qu'user Victoire. En effet, au-delà du plaisir sexuel que procure un amant étalon comme P, la tsarine doit connaître l'ivresse de la joute intellectuelle, les duels culturels à fleuret moucheté, et l'humour qui la cueille et l'enveloppe.

Vivement la suite de vos trépidantes aventures.

Cher Dionysos, quelle plaisir nous avons eu à te lire. Ton analyse si pénétrante, lumineuse, clairvoyante a ravi Victoire qui a dit, après t’avoir lu, que tu l’as cernée de tellement près qu’elle ne peut plus que se rendre… et danser le tango avec toi !

Oui, j’ai eu peur.
Sa première aventure lors de la fête chez une amie m’avait déjà alerté, mais j’avais estimé que l’alcool aidant, elle avait cédé malgré elle à une pulsion irrésistible pour cet homme séduisant mais redoutable. J’avais eu très peur mais je l’ai contenue grâce à notre longue expérience libertine. Et cette peur s’est mutée en expérience érotique : le candaulisme vint à mon secours ! En faisant le parallèle avec une aventure similaire beaucoup plus ancienne, je me suis rassuré car celle-là n’avait pas eu de suite, ou si peu ! Je m’étais convaincu que je devais la laisser exprimer ses pulsions sans intervenir.
Pourtant cette nouvelle aventure s’apparentait bien à un quasi adultère car ce qu’elle fit s’écartait de nos conventions tacites. Elle le rencontra à mon insu, elle accepta de partir avec lui sans m’en parler au préalable, alors là oui, je fus jaloux et elle le comprit bien, aussi elle tenta de me calmer en me promettant de tout me raconter ou presque, comme elle avait dit, façon d’aiguillonner mon excitation ! Elle se justifia : « je ne suis plus jeune, j’ai repris des hormones pour te faire plaisir mais pas que.. Je ressens des pulsions et des envies érotiques. D’un côté il y a Lison, toi et moi, et de l’autre il y a P.. toi et moi. Mais tu sais bien que je m’en fatigue, P.. n’est plus un jeune homme et il préfère coucher avec Lison, et toi non plus du reste, alors quand un beau mec, jeune, intelligent, cultivé s’intéresse à une cougar comme moi sans que je l’ai sollicité, je me sens flattée, captivée, courtisée. Je me suis donnée à lui, il le voulait tellement, et je ne l’ai pas regretté, même qu’il m’a prise dans les reins, ce que tu as fait avec Lison mais jamais avec moi ! »
Elle est donc partie au bras de son jeune amant ; j’étais à moitié rassuré, en me disant que la différence d’âge jouerait en ma faveur tôt ou tard. Il aurait eu vingt ans de plus, je me serais alarmé !
Mais elle ne communiqua pas pour me rassurer, augmentant à la fois mon angoisse, ma jalousie et mon excitation. J’aurais enduré durement cette semaine d’absence, imaginant des scénarios les plus invraisemblables si je n’avais pas fait venir Lison chez moi ; elle s’installa comme une nouvelle épouse. Elle fut exquise et cela me calma.
Lorsqu’enfin j’ai rencontré cet homme jeune et beau, mon rival, je l’ai trouvé très sympathique. J’ai été rassuré par ce qu’il me dit. Il ne voulait pas mettre à mal notre couple. Il avait eu beaucoup de plaisir à connaître Victoire si intimement et pensait que c’était réciproque, et de façon très discrète me demanda s’il pourrait encore la revoir. Je lui répondis que c’était à elle de poser la question. Et le tango coquin continuait…

Victoire en voyage

[Dionysos06]

@trestigres merci beaucoup pour ce tango érotique chère Victoire. Il m'a inspiré ce poème à la japonaise (chôka) : viewtopic.php?p=2788304#p2788304

[trestigres]

Extrait du journal de Lison

Vendredi 1er octobre
Victoire est partie à Lisbonne avec son nouvel amant .
D.. m’a dit quelle rentre dans une semaine ! eh ben ma cocotte, t’as chaud aux fesses toi !

Dimanche 3
Pendant que Victoire coquine avec son amant docteur au Portugal, mon chéri m’a fait venir chez lui, je me suis installée comme si j’étais son épouse ! On a vécu une semaine de rêve (enfin pour moi). On a fait l’amour matin et soir dans le grand lit matrimonial, j’ai adoré ! je me suis baignée longuement avec lui dans la grande baignoire, dans la mousse.. J’ai employé les produits de beauté et l’eau de toilette Chanel n°19 de Victoire, mais mon chéri n’a pas apprécié : il trouve que Chanel 5 me va mieux! Il faisait beau temps, on s’est promenés au bois. J’étais sur un petit nuage, je croyais rêver! On a fait tous les bistrots des environs, souvent rentrant pompettes, ça finissait toujours au lit. Il m’a baisée, encore et encore. Fallait qu’on arrête, c’était irrité à force !

Mardi 5
On est parti tous les deux passer le we à la campagne. Il a essayé de m’apprendre à jouer au tennis.. je suis nulle, j’ai calé des balles dehors plus souvent que dedans ! C’est pas mon truc. Quand il voulait me montrer comment saisir le manche de la raquette, ça tournait à la rigolade, y a qu’un manche que je saisis bien, c’est le tien, j’ai dit!

Jeudi 7
Deux jours qu’on a passé au lit à cause du mauvais temps.
On a parlé du temps passé, la première fois qu’on s’était vus sur le quai de la gare.. J’avais remarqué qu’il me regardait sans cesse, alors je l’avais fixé des yeux et il avait soutenu mon regard, j’avais cédé la première. Je l’intéressais c’était clair! J’avais pas été surprise quand il s’était approché de moi pour me proposer de prendre un café au buffet de la gare; vu que ce mec me plaisait alors pourquoi pas ! On avait beaucoup parlé, puis quand on s’était quittés, je connaissais même pas son nom ni lui le mien, j’étais un peu déçue, il m’avait plu.. On s’était même embrassés sur les joues ! Et le hasard ensuite a fait que, me reconnaissant sur la photo de mon CV il m’avait engagée comme secrétaire particulière dans sa société! Il était mon patron, un très gentil patron! Et j’étais une bonne secrétaire.. On déjeunait souvent ensemble tous les deux, je crois bien qu’il m’aimait, mais j’étais déjà fiancée avec mon futur mari. Le bruit courrait que sa femme avait une aventure avec un certain P.. Je me disais que s’il divorçait de sa femme, j’aurais bien voulu de lui.. et alors j’aurais rompu avec mon fiancé ! Et alors peut-être que j’aurais eu un enfant…Mais avec des si et des peut être…

Il a fallu attendre près de 20 ans (et ma ménopause!) pour qu’on se retrouve et que je saisisse le sexe et les couilles de mon (ex) patron devenu mon amant, et qu’il me pénètre au fond de mon ventre!
On a lu des romans policiers . On a fait les voyeurs en visionnant les DVD de nos parties de jambes en l’air, surtout moi qui ait souvent les jambes en l’air. Ça fait une drôle d’impression de voir son propre vagin élargit par une grosse queue qui va et vient, puis de me voir et m’entendre jouir. C’est drôle, quand je crie en jouissant, je ne m’entends pas, je ne savais pas à quoi ça ressemblait ! Maintenant je sais.. J’ai un peu honte de faire autant de bruit et de m’entendre dire des cochoncetés… oh là làà !
Je lui ai dit que j’aurais pu être sa femme, on s’entend si bien, et même si il a la bougeotte, moi j’aime cocooner . Lui il doit faire des choses, moi pas, sauf me faire baiser par lui… ou P.. !

Samedi 9
Victoire revient ce soir m’a dit mon chéri. Je vais devoir céder la place, elle a de la chance d’avoir un homme comme D.. Je suis amoureuse .. Je le voudrais pour moi mais lui, le voudrait-il ? J’en doute
On fera l’amour avant qu’elle rentre, une dernière fois dans le grand lit. Il doit pas oublier de changer le drap qui est souillé.

Mardi 12
Il m’a tout raconté. Elle s’est pas ennuyée la petite Victoire avec son beau docteur ! Et moi ,j’ai eu plus qu’une semaine de rêve avec mon chéri. C’était gagnant-gagnant !
Ça l’excitait de me raconter alors il m’a prise mais il a joui trop tôt, c’est rare avec lui, il est plutôt long à la détente, pas comme moi ! Mais cette fois j’ai pas joui mais c’était bon.
Ils vont repartir pour l’Espagne, je serai seule et ça m’attriste. J’appelerai P..pour me consoler même si il m’énerve avec ses blagues, lui il est toujours dispo!


Notre absence m’avait permis de faire le point sur ma relation avec Lison ; je sentais qu’elle me mettait la pression pour resserrer les liens qui la liaient à moi alors qu’au contraire je voulais les desserrer. Lors de l’absence de Victoire partie à Lisbonne, Lison s’est installée chez nous, jouant à l’épouse officielle. Il est vrai que je l’avais laissée jouer ce jeu parce que ça la rendait heureuse. Elle aurait accepté de faire ménage à trois si à deux ce fut impossible. Mais j’ai réalisé une fois encore qu’elle allait prendre trop de place dans ma vie passablement compliquée.
Victoire me demanda si j’arriverais à me passer de Lison.. « Pas vraiment » lui dis-je, en ajoutant que dans cette hypothèse elle devrait alors se passer de P.. « Pas vraiment non plus» fut répondu ! « Et toi avec Lison ? » lui demandais-je. Elle réfléchit longuement pour dire qu’elle pourrait se passer de son esprit mais pas de son corps. « Tu comprends, elle me fait chavirer, quand nous sommes corps à corps, cuisses contre cuisses, pubis contre pubis, ventre contre ventre, seins contres seins, nos langues entrelacées, je me sens à ta place, j’essaie vainement de ressentir le plaisir qu’elle te procure quand tu la baises, mais elle aussi me donne du plaisir, jusqu’à l’orgasme ». Lorsque nous faisions l’amour elle m’avoua qu’elle fantasmait souvent pour booster son orgasme en m’imaginant baisant tour à tour Lison et elle, quelques coups de queue chez l’une puis quelques coups chez l’autre !..
En vue de mon absence je m’étais entendu avec P.., à l’insu de Victoire dont je craignais la réaction, pour qu’il s’occupa de Lison durant celle-ci.
Il apparu qu’il s’en était préoccupé au delà de ce que j’espérais. Il lui avait présenté Ali qui était revenu de son Niger natal. P.. m’a raconté comment ça s’était passé alors que Lison était restée muette à mon retour.

[frenchy]

C'est vraiment intense et c'est un délice de voir comment cela se passe et comment sa va se dérouler par la suite

[trestigres]

Merci à vous d'apprécier ces anciennes agapes. Il faut bien dire que Lison avait un corps magnifique, je ne pouvais m'en lasser.

[trestigres]

Dans les Landes, sur la plage naturiste d'Arnaoutchot, Lison va faire du surf avec son moniteur (et amant occasionnel).

[Dionysos06]

@trestigres décidément la comédie humaine de vos aventures mêlées, emmêlées, (empalées même ) auraient rendu Balzac lui-même impressionné. Toujours ce tourbillon incessant de corps et de sentiments, de sexe et de passion, de sensualité et de réflexion ; sans oublier la multiplicité qui ajoute le sel suprême à ces aventures.
Une capsule temporelle d'une époque bénie où tout semblait permis, sans limite.

Victoire a toujours possédé cette force, cette stature, cette stabilité que Lison n'avait pas. La tsarine contre la dame de compagnie. La partie était pliée d'avance.

[trestigres]

@trestigres décidément la comédie humaine de vos aventures mêlées, emmêlées, (empalées même ) auraient rendu Balzac lui-même impressionné. Toujours ce tourbillon incessant de corps et de sentiments, de sexe et de passion, de sensualité et de réflexion ; sans oublier la multiplicité qui ajoute le sel suprême à ces aventures.
Une capsule temporelle d'une époque bénie où tout semblait permis, sans limite.

Victoire a toujours possédé cette force, cette stature, cette stabilité que Lison n'avait pas. La tsarine contre la dame de compagnie. La partie était pliée d'avance.

Tu as raison mais il n'empêche: nous formions une sorte de Trinité et si Lison n'avait ni la caractère ni la culture de Victoire, elle avait quelque chose d'érotiquement animal dont Victoire raffolait tout autant que moi. Lorsque la trinité se retrouvait sur le drap, nous ne formions plus qu'un corps (comme le dogme!)

[Dionysos06]

@trestigres la parabole de la Trinité fusionnelle me paraît excellente et colle parfaitement à ce que vous viviez. Une forme de métamorphose érotique et sexuelle où les corps se transfigurent pour mieux s'emmêler et se fondre en un seul. Si j'ose, je dirais que vous écriviez un évangile coquin des plus orthodoxes, tout en étant fort hétérodoxe pour la vaste majorité des gens.
Je décrirais Lison en femme demeurée naturelle en tout, et notamment pour sa sexualité. Avec la force et la beauté pure, brute, naïve et généreuse qui va avec. Sans parler de ses appâts si sensuels. Je comprends que tu adorais faire l'amour avec elle, tu es un homme de goût. Je conçois aisément que Victoire ait été également attirée par cette naturalité si érotique.
Pour finir, je dirais que Victoire, à mon sens, présente une puissance sexuelle et érotique aussi forte que Lison. Mais si cette dernière évoque une forêt sauvage, la tsarine incarne le jardin à la française.

[Toto44]

Vos recits nous manquent cher @trestigres

[trestigres]

@trestigres la parabole de la Trinité fusionnelle me paraît excellente et colle parfaitement à ce que vous viviez. Une forme de métamorphose érotique et sexuelle où les corps se transfigurent pour mieux s'emmêler et se fondre en un seul. Si j'ose, je dirais que vous écriviez un évangile coquin des plus orthodoxes, tout en étant fort hétérodoxe pour la vaste majorité des gens.
Je décrirais Lison en femme demeurée naturelle en tout, et notamment pour sa sexualité. Avec la force et la beauté pure, brute, naïve et généreuse qui va avec. Sans parler de ses appâts si sensuels. Je comprends que tu adorais faire l'amour avec elle, tu es un homme de goût. Je conçois aisément que Victoire ait été également attirée par cette naturalité si érotique.
Pour finir, je dirais que Victoire, à mon sens, présente une puissance sexuelle et érotique aussi forte que Lison. Mais si cette dernière évoque une forêt sauvage, la tsarine incarne le jardin à la française.

Aah que c'est bien anatomisé de ta part cher ami. Hélas la forêt sauvage dont j'adorais parcourir les collines et les vallons mystérieux, seul ou accompagné de la Tsarine, n'est plus. Orphelin de ma forêt je me contente de mon jardin à la française, taillant et coupant les fleures fanées, sans espoir de voir de nouveaux boutons de roses..

[Dionysos06]

@trestigres que la tristesse pointe énormément dans tes propos ! Comme un adieu à la jeunesse, à l'insouciance , au temps et aux jours fous et coquins qui ne sont plus et ne reviendront pas. Ils font écho en moi à ces vers de Virgile dans "Les Géorgiques" :
" Hélas ! nos plus beaux jours s'envolent les premiers :
Un essaim de douleurs bientôt nous environne ;
La vieillesse nous glace et la mort nous moissonne.
Préviens donc leurs ravages, et que dans tes troupeaux
L'hymen forme toujours des nourrissons nouveaux. "

[trestigres]

@trestigres que la tristesse pointe énormément dans tes propos ! Comme un adieu à la jeunesse, à l'insouciance , au temps et aux jours fous et coquins qui ne sont plus et ne reviendront pas. Ils font écho en moi à ces vers de Virgile dans "Les Géorgiques" :
" Hélas ! nos plus beaux jours s'envolent les premiers :
Un essaim de douleurs bientôt nous environne ;
La vieillesse nous glace et la mort nous moissonne.
Préviens donc leurs ravages, et que dans tes troupeaux
L'hymen forme toujours des nourrissons nouveaux. "

Je pleure... et cette fois je m'en vais: contact!

[trestigres]

Vos recits nous manquent cher @trestigres

Merci. Patience, la suite pour bientôt..

[Dionysos06]

@trestigres "Une larme est la goutte d'eau qui fait déborder l'âme" a très joliment écrit Frédéric Dard.

[trestigres]

Chers amis,
Aux abonnés absents depuis la mi-mai, je vais reprendre – et peut-être ou pas les poster à leur terme – le cours de nos aventures, pour autant qu’elles vous amusent encore. Si vous les trouvez ringardes, dépassées, surannées, si elles vous fatiguent… dites-le moi franchement, je n’en prendrai nullement ombrage et je m’abstiendrai. Je compte sur votre franchise et votre franc-parler.
En attendant de vous lire, voyez Victoire pédalant vers de nouvelles aventures..

[Dionysos06]

@trestigres ah la magie de Victoire pédalant, libre, nue et resplendissante, vers son amant pour assouvir ses envies libertines les plus intenses ! Bénie était cette époque, hélas révolue, où tout semblait à portée de main, où l'impossible était au coin de la rue.

[CC01]

@trestigres "ringardes, dépassées, surannées" ? Que nenni ! Ne nous prive pas de ta prose et des récits de vos aventures.

[trestigres]

@trestigres "ringardes, dépassées, surannées" ? Que nenni ! Ne nous prive pas de ta prose et des récits de vos aventures.

Ah, bien, merci, voilà un encouragement sympa.

[latinaycornudo]

Chouette ! Je suis ravi de ce retour !

[Sparte]

Au plaisir de vous lire à nouveau.
Merci à vous deux @trestigres
Sparte.

[Dionysos06]

Cher @trestigres, un hommage poétique s'imposait : viewtopic.php?p=2821788#p2821788

[trestigres]

Victoire étant à Lisbonne, accompagnant son nouvel amant, Lison vînt prendre la place laissée vacante ; elle s’installa chez nous, ravie de jouer le rôle d’épouse temporaire. Mais cela ne dura que le temps de l’escapade de Victoire. A peine rentrée nous quittâmes pour l’Espagne ; j’abandonnai une Lison désespérée mais qui retrouva rapidement P.. et aussi Ali. A mon retour elle était aux abonnés absents.



Je l’ai appelée plusieurs fois sans la trouver. P.. m’a dit qu’il pensait qu’elle se trouvait peut-être avec Ali .. Je finis par l’avoir au téléphone : «que se passe-t-il, tu ne réponds pas ? » Elle me répondit que puisque je l’avais abandonnée si longtemps, elle avait décidé de m’ignorer. Elle ne voulait pas me voir ni m’entendre : elle était fâchée. Je lui ai demandé si elle était avec P.. ; elle me répondit qu’elle était avec Ali ! « Il te baise ? » lui ai-je demandé.. Réponse « Oui, et même si ça t’excite ça ne te regarde pas ! ». Je voulus en savoir plus mais elle avait raccroché. Je ne pouvais rien faire qu’attendre qu’Ali s’en aille, ce qui ne tarderait pas selon P.. En effet il s’en alla, laissant Lison aux mains de P..
Elle me manquait, j’avais envie d’elle, mais j’attendrais qu’elle me revienne. Je n’ai pas attendu longtemps pour qu’elle finisse par m’appeler : « tu boudes ? » me demanda-t-elle ! Je mis la pédale douce en lui répondant qu’au contraire j’étais très heureux de l’entendre, ça faisait si longtemps. Elle parut soulagée ! Nous convînmes de nous retrouver un midi chez son écailler favori. C’était l’été indien, il faisait encore doux et ensoleillé. J’étais attablé sur la terrasse à l’attendre, elle était en retard. Soudain surgit une beauté que je reconnus à peine ! C’était elle! Tout le monde la regarda, elle avait défait ses cheveux blonds, s’était maquillée légèrement les yeux, mis du mascara et du rouge à lèvres ; elle portait une robe légère en coton rouge imprimé de petits confettis blancs, chaussée de légers escarpins rouges à talons mi hauts. Elle approchait en ondulant légèrement de la croupe, faisant tourner négligemment son petit sac.. J’eus instantanément une envie folle d’elle. Elle se jeta dans mes bras en s’installant à califourchon sur mes cuisses, écartant largement les siennes ce qui fit remonter sa robe jusqu’à apercevoir son fondement : elle n’avait pas mis de slip ! J’étais gêné par son comportement, en pensant aux autres personnes attablées un peu plus loin. Mais je ne pus m’empêcher de mater du coin de l’oeil son fondement avec envie, fantasmant que la queue d’Ali était passée par là ! « Tu restes mon chéri d’amour » me dit-elle en m’embrassant sur la bouche, badigeonnant ma figure de son rouge à lèvres ! Les clients du resto nous observaient, certains jeunes encouragèrent Lison en lui faisant des remarques grivoises! En riant elle leur tira la langue ! Il était clair qu’elle avait pris une avance : elle avait plus d’un verre dans le nez !
Le calme revînt lorsque le traditionnel plateau de fruits de mer nous fut servi avec un blanc sec du pays de Loire. La bouteille fut vidée et remplacée par une autre. Nous quittâmes le resto passablement pompettes tous les deux, encouragés par les mêmes qui nous souhaitèrent une agréable après-midi.. Que fit alors Lison ? Elle souleva sa robe et projeta ses fesses nues vers ses admirateurs . Acclamations explosives et unanimes du public ! « M’enfin Lison, t’as pas honte ? tu vas provoquer une émeute ! » lui dis-je. Mais elle trouvait ça très drôle, elle était fière d’elle, ajoutant qu’elle aurait même osé faire volte face pour montrer le côté pile si je le lui avais demandé, ce dont je me serait bien gardé !

[Masterlaurent]

Même si je ne suis que de loin en loin (emploi du temps professionnel oblige..) vos aventures, je suis heureux de vous voir de retour!!! Vos aventures sont palpitantes, excitantes, émouvantes, et votre respect de notre belle langue dans votre narration de ces sympathiques souvenirs les rend d'autant plus agréables à lire et à imager. Nous attendons donc vos textes (et les quelques images qui les accompagnent parfois) avec impatience et gratitude!!!

[Dionysos06]

@trestigres ravi, comme nous tous, de ton retour ici (même si nous échangeons ailleurs).
Que dire de ce récit en trois temps différents en durée, en intensité et en signification ? Trois temps, comme trois tigres, comme les trois règles des tragédies classiques françaises

1) Lison en épouse de remplacement pendant l’absence, presque adultère, de Victoire à Lisbonne.
Joie intense, plaisirs sexuels, amour parallèle, et vide cosmique quand la normalité reprend ses droits. Lison en doublure de la tsarine dont elle ne prendra jamais la place.

2) Lison en cure sexuelle avec P et Ali pour te punir, pour oublier, pour se désintoxiquer de toi, pour te rendre jaloux avec ces hommes si puissants sexuellement. Cela ne dure qu’un temps, comme une nuit d’amour que l’aurore dissipe. Elle t’aime trop pour t’abandonner. Ton esprit, ton être, toi, la comblez au-delà des performances intimes les plus sauvages. Elle t’aime et t’aimera toujours profondément. Mais tu n’es pas libre.

3) Lison délurée, adolescente en pleine crise qui déchire son personnage habituel, connu, policé pour basculer vers l’exhibitionnisme. Vengeance, désir de s’afficher, de s’affirmer, de te montrer qu’elle est mieux que Victoire et que tu devrais la choisir ? Tout cela à la fois je pense. Signe d'un profond mal-être de sa part que ses gamineries ne pouvaient masquer ni effacer.

Merci pour ce retour illustré du sourire craquant de Lison.

[frenchy]

@trestigres je suis impressionné par ce qu'elle a fait devant tout le monde , quel sacré caractère pour pouvoir faire cela je suis admiratif

[trestigres]

@trestigres ravi, comme nous tous, de ton retour ici (même si nous échangeons ailleurs).
Que dire de ce récit en trois temps différents en durée, en intensité et en signification ? Trois temps, comme trois tigres, comme les trois règles des tragédies classiques françaises

1) Lison en épouse de remplacement pendant l’absence, presque adultère, de Victoire à Lisbonne.
Joie intense, plaisirs sexuels, amour parallèle, et vide cosmique quand la normalité reprend ses droits. Lison en doublure de la tsarine dont elle ne prendra jamais la place.

2) Lison en cure sexuelle avec P et Ali pour te punir, pour oublier, pour se désintoxiquer de toi, pour te rendre jaloux avec ces hommes si puissants sexuellement. Cela ne dure qu’un temps, comme une nuit d’amour que l’aurore dissipe. Elle t’aime trop pour t’abandonner. Ton esprit, ton être, toi, la comblez au-delà des performances intimes les plus sauvages. Elle t’aime et t’aimera toujours profondément. Mais tu n’es pas libre.

3) Lison délurée, adolescente en pleine crise qui déchire son personnage habituel, connu, policé pour basculer vers l’exhibitionnisme. Vengeance, désir de s’afficher, de s’affirmer, de te montrer qu’elle est mieux que Victoire et que tu devrais la choisir ? Tout cela à la fois je pense. Signe d'un profond mal-être de sa part que ses gamineries ne pouvaient masquer ni effacer.

Merci pour ce retour illustré du sourire craquant de Lison.

Cher Dionysos, voilà qui est finement analysé comme toujours! Tu démontes le noeud de cette relation multiple avec la précision d'un chirurgien.

[trestigres]

@trestigres je suis impressionné par ce qu'elle a fait devant tout le monde , quel sacré caractère pour pouvoir faire cela je suis admiratif

Elle a manifesté quelques fois une tendance à l'exhibitionnisme de façon très brève ( un sein, une paire de fesses..), toujours avec un certain panache, sans tomber dans l'inélégant. Ce n'était jamais obscène. Oui elle avait du caractère, parfois provocateur que je devais gérer! pas toujours facile..

[trestigres]

Même si je ne suis que de loin en loin (emploi du temps professionnel oblige..) vos aventures, je suis heureux de vous voir de retour!!! Vos aventures sont palpitantes, excitantes, émouvantes, et votre respect de notre belle langue dans votre narration de ces sympathiques souvenirs les rend d'autant plus agréables à lire et à imager. Nous attendons donc vos textes (et les quelques images qui les accompagnent parfois) avec impatience et gratitude!!!

Voilà qui me fait plaisir! Alors je vous convie à lire la suite qui est rédigée, mais non postée, depuis longtemps mais qui doit encore faire l'objet d'un choix d'illustrations en accord avec les sujets.
Bonne lecture à venir!